David Bowie nous a quitté, hier, dans sa soixante neuvième année à la suite d'un cancer.
Je ne vous sortirai pas de grandes phrases, parce que je le connaissais bien moins que d'autres, je dirai plutôt que j'étais passé hélas plutôt à côté, que ça n'est que depuis plusieurs années que j'y avais prêté attention, parce que Thomas l'admirait beaucoup.....
La raison pour laquelle il le fascine, réside dans le fait que c'était un visionnaire, un artiste particulièrement prolifique, qui avait fait tomber des barrières, que d'autres consideraient comme infranchissables, y compris, relativement à son orientation sexuelle, aussi quand il declarait "devenez vous même", propos que je tiens moi, depuis des années, je ne peux que me reconnaitre, dans cette déclaration.
En fait, comme toujours, moi qui n'ai pas un niveau d'anglais suffisant, je pense que la frustrtion de ne pas comprendre les paroles, m'irritait....Alors je compensais, par le visuel.
Ce qui était fascinant chez lui, c'était sa posture plus qu'innovante à l'époque, qui consistait à faire se croiser diverses formes artistiques, ces dernières se nourrissant les unes les autres, pour parvenir ainsi, à être l'instigateur de voies nouvelles qu'on empreinte, aujourd'hui, toute branches confondues.
Ce croisement, qui aux yeux des puristes, adeptes des étiquettes, et cautionnant une forme d'intégrisme culturel, qui pouvait conférer à l'ennui, n'autorisait que trop peu, ces croisements.
J'ai moi, avec bien d'autres, avant moi, concurru à enfoncer le clou, sur ce point.
Ce soir, le magasine ALCALINE, lui rend hommage, ainsi que la rediffusion de TARATATA qui lui fût consacré.
