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Mon "Amour Haine", pour la chanson française.

Le 06/01/2016

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

Mon « amour-haine» pour la chanson française .

 Comment beaucoup, des l’enfance.

 Sheila.

Muse malgré moi.

Le pouvoir thérapeutique des émotions, les pépites merveilleuses..

 Comment consolider  ces réparations.

De la haine quelquefois.

 Les chapitres qui précèdent, je les remplirai quand j'en aurai envie, pour l'instant, ça n'est pas le cas.

Pourquoi, vis-à-vis de la chanson, et pas du reste ?

   Parce que c’est le noyau dur, de ma reconstruction. Le reste, je m’en accommode, c’est moins grave .

   Moi, je me suis réparée et reconstruite, de cette façon, je n’avais pas le choix.

   Cette relation ambivalente, est la conséquence du fait que Thomas Fersen, pour des raisons  de priorités  me concernant,  devait quelquefois  voir comment je réagissais, vis-à-vis d’un concert, d’un artiste  que j’avais inspiré, par exemple, mais comme je travaillais sur des sujets sensibles, il voulait avoir la certitude, que je supporterai, d’en être privée, si d’aventure pour des raisons de securité j’aurai été menacée, d’une façon ou d’une autre.

   Les personnes, qui sont hyper sensibles émotionnellement, bénéficient d’un énorme aventage, parce qu’elles ont l’opportunité  de se réparer, par le biais de leurs émotions, c’est un gros avantage, elles ressentent aussi, relativement à tout ce qui est artistiques, notamment, des plaisirs certainement plus intenses  que d’autres, qui sont moins sensibles…..

   Mais le revers de la médaille, réside, dans le fait, qu’elle sont aussi plus vulnérables, précisément, parce qu’elles sont plus facilement touchées  émotionnellement, et donc, peuvent « vaciller », dans équilibre intime.

   C’est pour cette raison, que Thomas Fersen a assez souvent, généré ces frustrations, c’était pour générer une forme de résistance, de ma part aux émotions, qui auraient pu me faire vacillera, ou me mettre en danger, éventuellement.mais j'ai toujours été contrirement à ce que certainspensent peut être, plutôt du genre rasionnable, pourtant.

   Si je devais utiliser une métaphore, je dirai qu’il a voulu m’épaissir le cuir,  et je dois dire que qu’il y est plutôt bien parvenu.

    La conséquence, hélas, réside dans le sentiment d’une forme de désenchantement, qui rend la moindre présence à un concert, ou ma présence à une émission, simplement  dans le public, toujours sous le coup d’un empêchement, provoqué par lui, où le simple plaisir de l’attente du moment, m’est littéralement gâché, presque systématiquement, et donc, l’enregistrement  ou le concert, tout autant.

  Ce qui moi, me choque profondément, dans cette histoire, réside  dans le fait, que ça va parfaitement à l’encontre, de mon épanouissement personnel, où la chanson a toujours, depuis 12 ans, eu une place vraiment fondamentale, et que la fraicheur  indispensable, à ce que je retrouve de bonnes sensations, elle, ne peut absolument pas dans ces conditions, être présente, avec son cortège de conséquences, qui vont bien au-delà, du simple fait d’aimer la chanson française, ou pas, c’est de politique, dont je parle.

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