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Plus d'agriculture "raisonnée", mais une agriculture BIO.

Le 13/02/2016

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

 Bon, il faut bien que je m'y colle, n'est ce pas ?

http://pluzz.francetv.fr/videos/cash_investigation.html

 Et oui, CASH INVESTIGATION au sujet des pesticides.

 Merci à France Télévision, de m'avoir ecoutée, et d'avoir fait le choix tres courageux, de diffuser cette emission d'orev navent, en debut de soirée.

   Pour être franche, je suis très en colère.

   Je suis très en colère, parce que le combat du BIO, est un combat que moi, je mène du mieux que je peux,  de ma Normandie profonde, depuis bien des années, et à chaque fois qu'on aborde le sujet, avec des agriculteurs, ou des personnes qui bossent dans ls lycées agricoles, depuis toutes ces années, l'argument qu'on nous retorque, c'est "oui mais enfin, vous savez, on est parfaitement au courant, de cette nocivité des persticides, et pour que ce soit moins nocif pour l'environnement, et bien on pratique à présent, ce que l'on nomme,  "l'agriculture raisonnée".

 Oui, oui, vous avez bien lu.

 Raisonnée, comme on dit vulgairement, "on croit rêver"....

   Je veux bien moi, quand on utilise un produit chimique, comme du purin d'ortie sur une parcelle, qui est un produit naturel, que selon l'heure à laquelle on le pulverise  son efficacité soit décuplée, parce que c'est un produit naturel, et en biodynamique, ce soit envisageable, mais quand on pose du poison à l'etat pur, jamais nulle part, je n'ai vu, ni entendu, et encore constaté, que le fait de le poser à la tombée du jour ou au lever, le rendrait inoffensif !

 Voilà, cequ'est l'agriculture RAISONNEE... J'ose à peine imaginer, ce qu'elle aurait été si elle avait deraisonnable.

 En gros, DE LA MERDE EN BRANCHE.

 Je precise juste que moi, depuis que j'ai entendu ce mot, dans la bouche d'un agriculteur, non seulement, j'étais morte de rire, mais j'étais deja parfaitement consciente, qu'on se faisait entuber, mais alors, comme on dit vulgairement, "en première classe".....

   Et oui, d'ailleurs, les mots, "agriculture raisonnée", devraient être gravés en lettre d'Or, chez MONSANTO, et toutes ces boites de vérole de merde, là, parce que franchement, dans le style "conscience washing", difficile d'insuter les valeurs morales plus que ça, en fait, je suis vraiment incroyablement stupéfaite, de voir qu'on ait pu lui donner un tel nom, pour tenter de nous faire gober, qu'on posant du poison sur leurs cultures, simplement parce qu'on les posait tôt le matin, ou tard le soir, d'un seul coup, ça devenait un magnifique petit beouillard, d'ailleur, quasiment inifensif, pour un peu, en filmant, le plverisateur, devant un coucher de soleil, pour un peu, il s'en serait bien trouvé pour crier haut et fort, YES WE CAN.

 Désolée, Barak, hein, mais j'ai franchement les boules, là, et c'était vraiment trops tentant.

 Et puis comme bon nombre de ces boites de merde, sont americaines, et empoisonnent le peuple americain, aussi, c'est somme toute, assez logique.

   Alors, pour simples rappel, deja, pour commencer, je remercie Elise Lucet et son équipe, qui sont de véritables petits soldats, et je ne souhaite qu'une chose, c'est que cette émission soit traduite dans toutes les langues.

  Alors, pour ceux qui seraient en doute, relativement au fait, qu'il y ait une vraie relation, entre les pesticides, et certaines maladies, qui sont citées, je precise que moi, j'avais assisté à une conference sur l'autisme, il y a quelques années, à Toulouse.

 J'étais allée discuter avec le chercheur sur l'origine de la maladie.

 Et c'est lui,qui m'avait dit, il y a plusiurs années, que le nombre de naissances autistes, était en augmentation, et que l'on soupçonnait très fortement, la pollution, et les pesticides.

 J'imagine que depuis ces quelques années, lesrecherches, en ce sens ont dû progresser.

 Mais ce que tout le monde ignore.

 C'est que moi, "discretement", me tombent dans les oreilles, certaines données, qui n'y tombent pas "par hasard", c'est à dire, que dans le milieu medical certains faits, ou chiffres, ou constations, sont bien relles, et ne sortent pas, excepté, pour me parvenir aux oreilles.

 Du genre.

    Le fait, qu'aujourd'hui, sur cent naissances, alors, qu'aucune raison apparente, ne puissent l'expliquer, le poucentage, de bébés prematurés, est en constante augmentation.... j'ai posé la question, "pourquoi ? on m'a repondu, "on ne sait absolument pas".

   Alors, moi, je vais vous raconter autre chose.

  le processus, qui declanche, l'accouchement, est un processus tres myterieux, que la medecine, ne connait, que partiellement.

   Je le sais, car pour mon premier enfant, onavait du declencher, l'accouchement, ce que les medecins savent faire.... Sauf, que le fait, de savoir le declancher, ne suffit pas ! Car ne connaissant la totalité du processus andocrinien, qui déclanche l'accouchement, et biença ne fonctionne pas toujours.

 pour ce qui me concerne, moi, au bout de quelques heures, ce fût une cesarienne, comme ils le font en pareil cas.

  Mais j'ai cuonnu, une vielle femme, qui avait elle, accouché aux alentours de 1950 donc, c'est vieux, et bien son accouchement, ne se declanchait pas..... je vou epargne, les détails, les odeurs, le côté psychologique, de la fin de la gresse, parce que c'est irraconttable.

 Une amie à moi, a eu la même aventure,  il y a 15 ans, Dieu soit loué, ça s'est bin fini.

   Mais ce que je veux dire, c'est qu'il se produit tout un tas, de dysfonctionnements, dans la physiologie du corps humain, qui sont encore méconnus de la médecine, notamment, en endicrinologie,  c'est à dire, la branche de a medecine, qui concerne, les subsrtences, qui sont fabriquée, par des glancdes, pour commander, certains organes.....

   Oui, si vous avez un problème de tiroïde, on peut le doser. Mais en ce qui concerne certaines autres glandes, et bien non !

 Le pourcentage de personnes, qui sont en hypotiroïdie, ou hypertoroïdie, est absolument hallucinant, et c'est absolument anormal ! Ces substences chimiques, sont perturbateurs endocriniens.

 Moi, je pense que le moment est venu, de délivrer, les véritables chiffres,  relatifs aux cancers, au diabètes, type 1 et 2, enfin, toutes ls maladies, y compris, les handicaps, d'en etudier la localisation, et de supperposer, les cartes ainsi obtenues.

 Il est probable que ces firmes criminelles internationales, vont vouloir démontrer que cette toxicité, n'est  pas demontrée.....

 Ce qu'il importe à mon avis de faire, à présent,  c'est de faire modifier la loi, sur le plan international, en ce qui concerne ces grand groupes.

   Le but, ne consiste pas uniquement, à obtenir des compensations, financières, et je vous explique pour quelle raison.

 C'est simplement parce que si nous ne faisons que demander de l'argent, leur politique, à eux, restera la même, simplement, ils continueront à vendre leurs saloperies, en incluant, le risque "dommage et intérêt", dans le prix de base....et donc, leur politique, ne changera pas !

 Alors, que si le PDG, est responsable, et recnnu coupble, en temps que personne, il pourra alors, non seulement être attaqué en temps que personne, mas aussi, aller en tôle, pour crime !

  En attendant, se pose un autre problème d'une extrême gravité qui réside dans le fait, qu'on ne peut pas passer au BIO, comme ça, du jour au lendemain.

   Pour commencer, j'ai appris qu'il y avait une réunion tres importante, au niveau européen, les jours qui arrivent.

  La France est le pays d'Europe, qui consacre le plus fort pourcentage des aides européennes, au BIO, 30%, je précise, si mes souvenirs sont bons. Je remercie, F Hollande, d'avoir conservé Stéphane le Foll, à l'agriculture, parce qu'il est courageux, faut dire qu'avec un tel nom.... (MDR, MDR, MDR ).

 Moi, je demande aux autres pays d'Europe, qu'ils s'alignent, sur notre législation, en matière de produits phytosanitaires, pour commencer, puisque nous sommes, le pays d'Europe, à être le plus vigilent, sur ce point.

 En effet, si certains produit, sont interdits chez nous, ils sont en vente libre, en belgique, par exemple. Un comble.

 Pour l'agriculture, je dois aller regarder, certaines vidéos, et lire certains articles, j'y reviens rapidement.

 

 Lundi 7 mars 2016.

https://www.facebook.com/groups/181874168821810/238717323137494/?notif_t=group_activity

12 fevrier 2020.

  Cette année, RADIO FRANCE sera presente au salon de l'agriculture.

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/l-agriculture-en-dehors-de-nos-frontieres/salon-de-l-agriculture-2019.html

RURALITE.

 

Et oui, vous seriez en droit de vous dire:

 "Mais enfin, pourquoi plus parler d'agriculture, sur ce fil, que de parler de n'importe quel autre sujet ?

   Pour une simple raison, qui est que les agriculteurs, contrairement, à ce que certains, qui n'y voient qu'une industrie, n'aurait jamais du perdre, la conscience, de  l'importance du rôle, qu'ils ont à y jouer.

   Car à laquestion, "Est ce que l'agriculture, est une industrie, comme les autres ?";

   J'en vois deja, qui bondissent comme des cabris, là, mais enfin, il faut avoir le courage de regarder le problème en face, et observer que c'est bien ce qu'on a collé dans le cerveau (aipulations par subventions interposées, ce qui perdure encore, pour le cas, où certains, auraient Alzheimer, au delà, des pesticides incriminés) de toutes les générations d'agriculteurs, depuis 70 ou 80 ans, au bas mot, et certains visiblement, n'ont pas encore vraiment saisi, que ça n'était plus vraiment sous cet angle, qu'il fallait envisager de mener sa barque, désormais.

  Oui, j'ai bien dit, MENER SA BARQUE...

  Quelle barque ? Quand on se demande, si encombrée d'algues vertes,  elle va pouvoir avancer, penser donc, à  les voir ramer, ramer, ramer ainsi, au point qu'Alain souchon, qui porte  si bien son nom, en periode de déforestation galopante,  dans bien des endroits, sur notre terre,  s'en gratte la tête....

  Déja que de devoir ramer ainsi, c'est pas du gâteau, mais si en plus de l'eau trouble, relative au vote RN, dans bien des villages, (dont le mien, helas ), aux dernières présidentielles, d'où les avirons en questions,  ne peuvent parvenir à fendre l'eau à cause des algues vertes...  Est ce que c'est bon, là, côté métaphore ? Ou bien est ce que je dois en remettre une couche....?

   

J’ai la dent dure, sur le sujet, c’est vrai, et je le revendique .

 Certains me trouvent sévère, sur le sujet des subventions.

 Ben oui…

 Les agriculteurs ne sont pas pires que les autres.

 Mais à force de reprendre l’exploitation familiale  de génération en génération, il n’est pas dit que ce soit toujours  la foi en leur métier, qui dicte toujours leur démarche.

Aujourd’hui, en 2020, les deux tiers environ des étudiants, en école d’agriculture, sont non issus du milieu agricole, ce qui en dit long d’une part sur l’intérêt que suscite la profession, mai aussi,  sur le fait, que certains enfants, préfèrent renoncer plutôt que d’être victime, d’un conflit générationnel, entre parents et enfants, au sujet d’envisager la reprise de la ferme.

Adaptabilité fait loi…

 Certains trouvent ça dur, ou injuste.

 Ils sont dans l’erreur….

Car en vérité, il n’existe aucune profession, aujourd’hui, qu’elle soit liée à l’environnement, ou pas…

 Quelque soit le secteur concerné, santé, éducation, ou quoique ce soit d’autre, n’importe quelle profession, depuis toujours, et particulièrement, depuis les années après guerre, ont vu, n’importe quel métier, être confronté, à ce qu’on appelait « le progrès »,  ce qui, hélas, de façon non dite, de la pat des puissants, et donc, des décideurs, donc, de ceux qui détiennent le pouvoir de l’argent,  n’a jamais consisté, qu’à prétendre vouloir produire plus, avec un prix cde revient le moindre possible, et se gardant bien, de préciser qu’à chaque fois, le principal acteur de la profession, c'est-à-dire, la force vive, qui en justifie l’existence, se retrouverait un jour, rangé sur le bas côté, là où la course poursuite du productivisme agricole, roule à fond la caisse, « pourvu que les agro industriels,  dont les industriels, de l’alimentations font partie intégrante,  se sucrent, le plus possible…

 Je parle là  de l’agriculture, ça va sans dire…

 Mais en réalité, il en est de même exactement, dans le secteur de la santé ou de l’éducation,  d’où l’explication plus générique, qui précède….

 Et oui, car il y a 40 ou 50 ans, on ne leur avait pas dit, qu’ils seraient, en vérité, la cinquième roue du carrosse…

 Certes, le carrosse en question, est un tracteur de 500 chevaux, qui n’accepte plus de pouvoir croiser une voiture, sur les routes de campagne, industrialisation, oblige, c’est de largeur d’engin, exclusivement, dont je parle, et pas du fait, que l’agriculteur, s’y opposerait.…

Mais ce tracteur n’a que quatre roues, alors, disons que l’agriculteur, en  est la cinquième .

Réduire les intermédiaires.

 Au point de les supprimer, tel avaient été mes recommandations (vérifiables sur internet), au début du mandat de F Hollande,  quand Stéphane le Foll, était ministre de l’agriculture.

 Car c’est bien lui et personne d’autre, avec l’aval de François Hollande,  qui avait induit, le virage vers le BIO, qui s’amplifie, de façon plus que certaine, désormais.

 Adaptabilité fait loi…

 Et c’est vrai, dans n’importe quelle profession, et plus encore, en tout ce qui concerne le vivant, qu’il s’agisse de l’être humain, en matière d’éducation, ou de santé publique, mais aussi, le végétal, qu’il s’agisse de biodiversité, ou qu’il s’agisse des professions qui produisent le vivant, qu’il s’agisse d’élevage, ou qu’il s’agisse de maraichage.

 Une agriculture raisonnée, qui ne raisonne pas vraiment.

 L’agriculture raisonnée, tend à nous faire croire  qu’elle  n’utilise certains traitements,  que dans la mesure où ces derniers seraient « indispensables », et s’engagent, pour des raisons vertueuses, au sens BIO, d’une certaine façon, à ne les appliquer qu’à certaines heures, et selon un dosage minitécimal, et donc, moindre, comparativement, à des doses ultérieures, comparativement, à quelques années, ou quelques décennies auparavent.

 Pour commencer,  ces histoires de dosages n’ont pas grande signification, si l’on observe qu’auparavant,  ces dosages étaient anarchiques et incontrôlés,  d’une part, mais surtout, que les agriculteurs qui les appliquaient, subissaient l’influence toxique des industriels,  des produits phytosanitaires, incitant, sans le moindre scrupule, à surdoser, ou en tout cas, jamais, ne donnaient la moindre consigne, qui aurait tendu, à en diminuer les dosages…

 Pour vous la faire plus courte.

 Si sur une parcelle, l’agriculteur observait que le traitement posé, n’avait été que partiellement efficace, je n’ai aucun doute, sur le fait que le technicien, payé par le trust chimique, qu’il appelait à la rescousse, lui conseillait de le repasser, en doublant la dose…

 Pourquoi , parce que ces traitement posés, depuis des décennies, et extrêmement dangereux, avaient induit des résistances  dans le comportement des plantes, auxquelles, ils étaient destinés, et qu’à ce titre,  la baisse d’efficacité, était n inévitable.

 Comment je le sais ?

 Parce que ai jardiné, aussi, et que l’utilisation des produits phytosanitaires, je m’y suis laissée prendre aussi, figurez vous.

 Et que donc, en cas d’un manque d’efficacité, je sais, comment réagissait le jardinier,  ce qu’il observait, ce qu’il décidait de faire, « ou pas », et que je sais donc, que cette réaction au surdosage, existait, et dit exister encore, chez certains.

 Conclusion de l’histoire, quand il dit, aujourd’hui, qu’il traite ses cultures de façon raisonnée, bien malin, qui est allé contrôler, de visu,  selon quel critère  de comparaison, il peut ainsi le prétendre….

   Je rappelle, pour ceux qui ne me connaitraient pas encore, que je suis fille d’agriculteurs, et que, je connais ce milieu là, et leur psychologie, bien mieux que quiconque.

   Raison supplémentaire pour ne pas boire, « comme du petit lait », ce qu’ils nous disent, par cette appellation, « d’agriculture raisonnée ».

   Et puis de toute façon, je suis intolérante au lactose. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas.

 Quand le raisonné,  tolère le glyphosate.

Entendu, par l’un d’eux, ces derniers temps…

 Selon eux, le glyphosate,  ne poserait aucun problème, des lors, qu’il est appliqué sur les plantes, et ne serait toxique, que quand il est posé, sur un sol nu.

 Comment vous dire ?

 Pour commencer, effectivement, le glyphosate, n’agit en temps que désherbant, que de façon systémique, c'est-à-dire,  absorbé par la plante, qui respire, une fois le produit posé, par pulvérisation… .

 Pour son côté désherbant, nous sommes bien d’accord…

 La lecture, de ces propos, est double.

 D’une part, elle, induirait que le glyphosate, une fois absorbé par la plante,  n’aurait aucune incidence sur la terre, dans lequel  la plante traitée, ait poussé.

 Cette donnée, aussi hypocrite que mensongère, ne devrait pas être trop difficile à démonter…

  Vous prenez une plante quelconque, pour la mettez dans un vase, et vous fermez le collet, hermétiquement.

 Vous pulvérisez, le glyphosate, sur le feuillage.

 En une quinzaine de jours,  la plante devient orange, puis brune, le glyphosate a fait son effet.

 Ensuite, on analyse l’eau, et on verra bien, si l’eau contient des molécules de glyphosate, ou pas.

 Ensuite, il va falloir m’expliquer selon quel miracle, alors, les endroits, où le glyphosate ait été appliqué, à plus forte raison, de façon répétitive, il ne pousse plus que de la presle, quasiment, ou d’autres adventices, particulièrement réfractaires,  aux moindre désherbant….

 Et quand ça ne se produit pas, alors, ça signifie, que les dosages, de glyphosate, ont été triplés, ou quadruplés…

 La verité, et c’est instinctivement, que j’en ai l’absolue certitude, réside, dans le fait, que les glyphosate, pervertit de façon extrêmement puissante, les échanges chimiques, qui interagissent, dans le sol, entre tous les végétaux,  et le sol, ainsi que les bactéries, ou mes mycéliums, et que si ma certitude, n’est basée que sur mon instinct, et pas sur des preuves scientifiques,  elles ne le sont que suite à l’observation des dérèglements, que j’ai observés, dans mon environnement le plus proche.

 Quand j’était enfant, puis ado, nous  allions, aux petits rosés des prés, très tôt, le matin…

 Comment expliquer, alors,  que ces merveilleux champignons, aient ainsi s disparu ?

 Pour ne citer que ceux là.

 Est-ce  bien nécessaire, que je vous fasse la version biodiversité, vers de terre, et  disparition, des insectes ?

Ensuite, pour ce qui concerne le fait, que le glyphosate, ne serait pas toxique, des lors, qu’il n’est efficace, que posé, sur le feuillage.

 Par définition, le pulvérisateur, arrose aussi, le sol, nu, si partiellement, que ce soit…

 Et que son efficacité, ou pas, sur le feuillage,  n’empêche aucunement, qu’il soit absorbé, par le sol…

 En somme, absorbé par le feuillage, ou pas, par ruissellement, il arrive aussi sur le sol, où son efficacité en temps que désherbant est nul, ce qui est vrai, mais le fait, qu’il soit nul, en temps que désherbant, ne fait pas de lui, un produit inoffensif,  sur le sol, ce raisonnement, est illogique et ne fait que traduire, une malhonnêteté intellectuelle évidente.

 Pisse un coup pour voir ?

Comme nous le savons tous les pisseurs volontaires, ont mis en évidence le fait que des personnes, se croyant écartés de ce péril, parce que mangeant très sain, ont dans leurs urines, et donc, dans leur organisme, des molécules de glyphosate….

 Qu’est ce que ça démontre ?

 Ça démontre, précisément, que cette molécule, particulièrement dangereuse, arrive dans nos organismes, par des voies, qu’on n’aurait jamais suspectées, et donc, bien au-delà, de produits qui auraient été traités, puisque les végétaux qui l’ont été, par définition, sont morts, et donc, en aucune façon n’auraient pu être consommés .

 Ce fait, là, à lui seul, démontre de la façon inéluctable, que le glyphosate, empoisonne tout l’environnement, bien au-delà, de faire mourir la plante, qu’on a jugée, comme indésirable, notamment, par le bais des eaux de ruissellement, qui empoisonnent les nappes phréatiques, et les cours d’eau….

 Locavores à tous les étages.

 Enfin, quand je dis à tous les étages, c’est une façon de parler, car ça serait plutôt, à hauteur de vache, dont il serait question.

 Ca aussi, je l’ai préconisé, au début du mandat de François Hollande, sous le ministère de l’agriculture, de Stéphane le Foll.

 Et pour cause, trouvez vous logique, d’aller nourrir, vos animaux, avec du soja, qui plus est, transgénique, venant des USA, là, où précisément, nos agriculteurs (notamment, ceux, qui sont aussi éleveurs), sont parfaitement capables, de cultiver certains aliments, sous nos lattitudes…..

 Figurez vous, qu’on en était arrivé au point, que certains éleveurs, se demandaient comment, on pourrait faire autrement…

 J’enrageais.

  Ca n’était rien de moins que de prétendre « comment faire compliqué, quand on peut faire simple ».

 Observer à quel point, en agriculture, comme ailleurs, on puisse se contenter d’avancer, sans chercher à être son propre décideur, sans la moindre perspective, d’innovation, quasiment, (désolée, si je semble exigeante), ça me met toujours en colère.

 Il faut dire qu’en agriculture, comme ailleurs, je suis allée à bonne école…

  Il suffisait, qu’on fasse miroiter à mon père, une quelconque subvention, pour le caresser dans le sens du poil (la soie du cochon, pour tout dire), pour qu’il la refuse, et fasse l’inverse….

 On voulait, qu’il bouche les mares ?

 Ok, il en ouvrait d’autres.

 Mais revenons en à l’élevage…..

 Laisser ses animaux, dehors, dans la boue, à longueur d’hiver, désolée, ça non plus ça ne passe pas.

 Vous manquez de paille et de fourrage, l’hiver ?

 C’est que vous refusez d’observer le changement climatique qui est à l’origine du manque d’herbe, l’été, votre réserve de foin  se trouve entamée, trop tôt, dans la saison, pour peu que vous ayez eu, l’opportunité, de la faire… ET oui, difficile, de  faire le stock, quand vous devez mettre vos vaches à l’herbe, et parallèlement, constituer votre stock de foin, pour l’hiver, alors, que l’herbe ne pousse pas, à cause du manque d’eau.

 Desolée, pour mon vrai sentiment, de défoncer des ports ouvertes, mais je n’arrive pas à comprendre, comment,  en temps qu’agriculteur, on peut prétendre, avoir un cheptel donné, alors, qu’on ne dispose pas, de la terre cultivable, pour en assurer, le nourrissage, et le soin…

 Oui, on appelle ça, « le bon sens paysan », et j’ai souvent le sentiment, d’en être pourvue, bien plus que certains industrieux agricoles.

 Est-ce que le régime alimentaire du paysan, interfère sur la qualité des flatulences de ses bovins, et de ses vaches ?

 La question mérite d’être posée, si l’on observe, que de manger des légumineuses, sur le plan de la santé publique, mériterait une plus grande attention.

 Alors, en modifiant l’alimentation des bovins afin de rendre leurs flatulences moins toxiques pour l’atmosphère, tout le monde aurait à y gagner.

13 Fevrier 2020.

 Je précise, que je viens de faire, certaines corrections, sur les articles, de haut de pages.

 la correction, est disponible, en suivant ce lien.

https://www.linkedin.com/pulse/plus-dagriculture-raisonn%C3%A9e-mais-une-agriculture-bio-niel-aubin-/?published=t

émancipation Agriculture élevage glyphosate salonagricole2020

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