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Pour la suppression de la moindre notion de prescription, en matière de crimes sexuels.

Le 19/10/2017

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

   Les traumatismes sexuels, quelque soit leurs natures, parce que helas, la diversité par les fait, traduit souvent une inventivité chez les bourreaux, que bien peu soupçonnent, laissent sur leurs victimes, et plus encore, quand ils sont perpétrés pendant l'enfances, des plaies de l'âme incommensurables, qui non seulement, distordent la construction de l'enfant, lui apprenant la peur des adultes, dans leur ensemble, ou des hommes, en particulier, mais aussi, ont des incidances toxiques, elles aussi diverses, et quand le cerveau "bienveillant", enclanche ce qu'on appelle, le refoulement, donnant alors le sentiment que ce souvenir terrifiant, n'existe pas, ça n'est qu'un leurre.... Qui a pour but de protéger l'enfant, effectivement.

   Mais le cerveau, lui, dans sa mémoire profonde, a stoké ce traumatisme sur le disque dur, et l'embryon de souffrances terrifiantes, alors, croit au fur et à mesure que les années passent, entravant de façon extrêmement grave, selon les cas, le caractère, la culture, la croissance physique, même quelquefois, l'aprentissage,  la concentration,  la confiance en sa famille, en ses amis, l'ambition, "au sens large", parce que ce crime, qui a ce jour été commis sur la victime, imprégné, au plus profond de son âme a le sentiment de ne plus être, qu'un morceau de la mort, elle même.

   Alors, depuis ce jour, cet enfant a cheminé avec son lourd secret, comme un énorme sac de charbon (merci à Nourago, pour l'image), qui jamais ne le quittera, et entravera son cheminement personnel, déformant sa perception du monde, de sa famille, de ses amis, de son environnement, et de la totalité de la sphère dans laquelle, pourtant, jusqu'à ce jour, il aurait dû aimer la vie.

   Pour faire face à ce terrible challenge, qui consiste à laisser croire qu'il est encore en vie, il va déployer, une énergie phénoménale, pour tenter de faire croire qu'il est heureux,  qu'il est le plus fort, et la partie morte de son coeur, toujours, au moindre moment de solitude, tentera de lui rappeller qu'il sera toujours perdant.

   Bien sûr il y aura des moments de répit, et quelques amis, ou un amoureux,   que vous aimerez assez, j'ose l'espérer, pour que vous puissiez vous en ouvrir à lui. Ou grandissant, à l'un de vos parents, ou aux deux, comme moi, j'avais pu le faire....

   Mais cette partie morte, qui fait désormais d'autant plus partie de votre construction, que ce crime qui a été commis, sur votre personne, a été commis jeune, vous avez le sentiment, qu'il est impossible, de vous en séparer.... 

   En realité, c'est faux.

   Vous avez la possibilité, véritablement, de vous defaire de façon réelle et définitive, de cette partie morte, qui fait partie de vous, mais seuls, ceux, qui y sont parvenus,  comprendront, ce que je veux dire.

  Je vous recommande sur ce point, le livre de Boris Cyrulnik, "s'aimer au bord du gouffre", qui moi, m'avait considérablement aidée, et je  l'en remercie.

  Helas, si certains moments de repis se produisent, ces blessures d'une extrêmes gravité, resurgissent,  au moindre accident de la vie, un peu comme une petite lumière toxique,  qui vous rappelle régulièrement, quand vous êtes seul, le plus souvent, "je suis là.. Ne l'oublie, pas, je te ferai sombre, coûte que coûte".

  Puis les années passent, et le fardeau est de plus en plus lourd, avec pour conséquence, un effet de superposition, avec les tracas du quotidien.

  Un jour, à une occasion, quelquefois, au printemps, ou à l'automne, le cerveau se met alors, en mode "autonettoyage".

 Et il faut bien faire face...

  Nier, le fait qu'une victime de crime sexuel, puisse prétendre obtenir justice, au prétexte qu'elle ait eu la naïveté  de penser qu'elle serait assez forte, pour se battre seule, contre ce crime,  c'est la tuer symboliquement, une seconde fois, et se positionner dans le camp de l'agresseur, qui le premier, dès le départ, aura tout fait, pour faire passer sa victime, même si aucune démarche n'a été faite juridiquement, pour la faire passer pour folle, dépravée, ou de moindre intérêt.

  Je veux dire que les institutions, elles même, doivent choisir leur camps, et être claires, sur ce point.

  

 

Mardi 24 octobre 2017.

 Depuis que ce hagtag a permis à tant de femmes de reveler, leurs agressions, quelqu'en soit la gravité, diverses émissions de télé, ou de radio, ont évoqué le phénomène.

 Le consensus est relativement général, pou admettre que ça va véritablement faire bouger quelquechose au minimum, au sujet de la loi, sur cet énorme problème.

  Certains diront à juste titre,  "oui, mais enfin, ça n'est pas ça, qui va changer les mentalités".

  Ce qui entendable,  au sens "entendre", mais certainement pas entendable, au sens "comprendre".

  Si vous prenez un pays de culture islamique (je n'ai pas dit islamiste), qui a toujours trouvé légitime, que les chefs religieux, s'acoquinnent avec le pouvoir, au point que la charia soit de mise, et considèrent qu'à ce titre, les lois, et "valeurs", édictées par le coran, soient celles adoptées par les gouvernements, comme s'il les mimaient, comme de braves petits toutous, nul doute qu'alors, il ne faut pas s'etonner qu'une femme battue ou violèe,  ne se sente pas capable, d'aller déposer plainte, puisque la loi l'autorise...

  Je veux dire par là, que la loi fait elle aussi, évoluer les mentalités, en posant des interdits, et que par ce fait, elles oeuvrent donc aussi, à faire bouger les curseurs de n'importe quelle société.

  Le fait, que les agressions, de toute sortes, fassent l'objet d'une condamnation unanyme, n'empêche pas cependant, d'entendre certains hommes, sortir, des absurdités, pour le moins évidantes....

  Hier matin sur France inter, BHL, trouvait problèmatique, de voir, que l'on traitait les homme de porc....

  Mais enfin, quelquefois, nous les femmes, n'avons pas le choix !

   Aujourd'hui, 80 % des femmes qui déposent plainte, pour harcèlement, sont grillées, professionnellement, avec comme simple conséquence, qu'on les accuse, de manquer d'humour...

 Et bien, merde, "ça va quoi.... Non mais pour qui elle se prend".

   Oui, je fais bien aussi, la conversation des lourdingues portes couilles, devant la machine à café !

  Si ce hagtag, s'est appelé "balancetonporc", ça n'est pas pour rien, c'est justement, parce qu'il est percutant, et ces pauvres messieurs, qui se sentent agressés, par le qualificatif de porcs, devraient plutot se demander, pour quelle raison il se sentent insultés....

   Ne serait ce pas plutôt, parce qu'ils savent, qu'ils pourraient éventuellement se voir reprochés, un jour, de ne pas toujours avoir su comment se comporter, avec certaines d'entre nous, par hasard...

  Enfin, moi, je connais, plein de mecs bien, autour de moi, et je n'ai aucune doute, que cette qualification, de PORC, ne les ai jamais blessés ! et pour cause, ils  savent, ne pas avoir à se sentir concernés ! C'est aussi simple que ça....

  Et puis bon, ça va 5mn, les susceptibilités hein, une insulte, on s'en remet, hein, franchement, qu'est ce que c'est comparativement, à une agression sexuelle, juste un truc "pas tres gentil", qui écorne votre vulgaire "estime de soi"...

  PAUVRE BICHONS, allez donc, vous plaindre à votre MOMAN qui vous fera une caresse sur la joue, apres un bon chocolat chaud !

  De toute façon, c'est bien connu, "toutes des salopes, sauf MOMAN !

 23 novembre 2018.

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/brigitte-macron-s-engage-dans-la-protection-de-l-enfance.html

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/pour-une-europe-plus-sociale-et-donc-plus-humaniste-et-donc-efficace/benoit-hamon-croit-en-l-europe-parce-qu-il-aime-ses-enfants.html

https://aivi.org/

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/media-critique-qui-tique/vvvvvv.html

 29 octobre 2019.

https://www.facebook.com/lerubanvertpomme/

#FFnielAubin, je cautionne entièrement leur combat je suis moi même, une ancienne victime de pédophilie, et quand j'avais voulu porter plainte, alors, que j'vais environ 40 ans, alors, que les faits, remontaient à mes 9 ans, inutile de préciser, que la prescription, alors, m'en avait empêchée.

 

Certes, je m'en suis bien sortie, parce que j'ai une nature (artistique), qui me l'a permis, et j'ai trouvé les bons soutiens, (merci,Thomas), au bon moment...

 

Mais tout le monde n'a pas cette chance.

 

Il faut en vérité, que Justice soit rendue, pour une raison, où, dans l’idéal, il ne s'agirait pas d'y trouver, une forme de vengeance, ou de réconfort, aux yeux de la victime, parce que le fait, que le pédophile, soit condamné, hélas, ne signifie pas, que la ou les victimes, s'en sortent, elles....

 

Mais plutôt, d'observer les choses, sous l'angle strictement sociétal, dans la mesure, où un pédophile ou un violeur, qui peut jouir de la prescription, trouve tout intérêt, alors, à laisser traîner les choses, partant du principe, que le temps, jouera, ainsi, en sa faveur, alors, que dans le cœur, et dans la psyché, de la victime, ou des victimes, c'est les catacombes, et la mort, intérieure, qui règne en maître...

 

Là, encore, la mort intérieure, je la connais, pour l'avoir vécue, pendant des années....

 

Le principe m^me de prescription, induit, dans la psychologie, du pédophile ou du violeur, la notion, selon laquelle, il s'en tirera toujours, mieux, que la victime, et qu'il pourra donc, qui plus est, recommencer, sur d'autres victimes, qui statistiquement, auront toutes les chances, aussi, de ne pas porter plainte, quand on observe, le fait, que côté budget, le gouvernement actuel, laisser crever de faim, son ministère de la Justice, par manque de moyen....

 

Soit le gouvernement actuel, est du côté des violeur, et des pédophiles, soit il est du côté des victimes.

 

Il arrive un moment, où il va falloir avoir le courage de choisir.

 

Je suis prête à collaborer, avec qui que ce soit, sur ce sujet, parce que contrairement, à beaucoup, qui bien que parfaitement sincères, je connais hélas, fort bien le sujet, pour l'avoir vécu, dans ma chair....

 

Encore une fois, "tout e monde n'a pas ma chance".

 

Pensez y !

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