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Des filtres à eau pour le Mozambique.

Le 11/04/2019

Je cite l'article.

https://www.secourspopulaire.fr/des-filtres-a-eau-pour-le-mozambique

Ignês Fernanda Antônio élève seule ses deux enfants. Le cyclone Idai, qui a balayé l’Afrique australe dans la nuit du 14 au 15 mars, a détruit la petite cabane dans laquelle la famille s’abritait. Elle n’a même plus de quoi nourrir ses deux filles.  « Ses voisins s’organisent pour l’aider mais leurs ressources sont limitées », observe Antoine, membre d’une mission du Secours populaire, rejointe par ses partenaires philippins (Fondation Mirasol) et malgaches (Comité de solidarité de Madagascar), qui s’est rendue à Beira, la deuxième ville du Mozambique, du 1er au 8 avril.

Le SPF a débloqué un premier fonds d’urgence de 50 000€ et lance un appel à la solidarité, en mobilisant son mouvement d’enfants copains du Monde.

Avec l’aide, sur place, de l’association ESSOR, la délégation a distribué des filtres à eau potable dans plusieurs centres sociaux communautaires, alors que les autorités s’inquiètent du manque eau potable après le passage du cyclone Idai, qui a balayé l’Afrique australe dans la nuit du 14 au 15 mars. Les dégâts sont considérables et l’accès à l’eau potable reste une priorité pour faire face aux épidémies, notamment le choléra.

Venir en aide aux femmes les plus vulnérables

Le second volet de la mission était d’identifier les actions envisageables avec le partenaire AMPDC, qui gère des centres sociaux venant en aide à des communautés de femmes vulnérables, comme Ignês Fernanda Antônio, seules avec des enfants ou avec leurs petits-enfants. En général, elles tiennent de petits commerces, comme la fabrication de charbon de bois.

« A perte de vue, les maisons sont sans toit ou avec des murs abîmés, explique depuis Beira, Nicole Rouvet, secrétaire générale de la fédération du Puy-de-Dôme du Secours populaire. Celles des plus pauvres n’existent même plus. En même temps, les gens montrent beaucoup de force. Ils s’entraident, la vie reprend. »

 Mon commentaire...  Je n'ai rien à dire, je pense que beaucoup, partout, dans le monde, sont pétés de thunes, et que  ce sont eux, qui devraient le plus être sollicités. c'est tout. désolée, pour le manque d'imagination, au sujet de mon commentaire.

immigration féminisme émancipation

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