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Agriculture

Mon association POT AU FEU.

Le 14/03/2019

L’association  POT AU FEU.

 Il y a environ une vingtaine d’années, l’école du village que j’hatitais, dans une vie antérieure, avait organisé un jumelage, avec un village, non loin du lac d’Annecy, plus précisément, Argonay.

 Nous avions fait l’échange, physique, je veux dire, eux avaient dormi chez l’habitant, c'est-à-dire les parents d’élèves, et nous, aussi, par voie de conséquence, chaque élève, ayant un correspondant, dans la classe du village.

 A cette époque, internet, était encore dans l’œuf, ou en tout cas, pas encore répandu, au point, que dans une école, on puisse en être équipé.

 La question, que certains se posent, alors, serait de savoir, si l’expérience serait aussi enrichissante, aujourd’hui, la réponse relève de la  certitude, ABSOLUMENT.

 Plus encore, je dois préciser, parce que l’idée reçue, qui voudrait, qu’internet par la vidéo live, skype, etc, tuerait la magie de la rencontre, est fausse, parce que rien, jamais, ne vaudra la réalité d’une rencontre , « dans la vraie vie ».

  Michèle, femme au foyer, et qui faisait, comme moi, du bénévolat, dans le milieu associatif, nous avait reçues, ma fille ainée et moi, son mari, ingénieur aux eaux et forêts, ils habitaient un chalet, en pleine forêt, avec vue sur le montagne, et leur parc à daim. (le mari de la daimne ?).

 Enfin, le rêve, quoi.

  Evidemment, on refaisait le monde, parce que j’ai pas attendu ni de péter les plombs, ni d’inspirer des gens, ou des décideurs, pour avoir envie, de mettre ma pierre à l’édifice.

 Déjà, et oui, jeune maman, j’étais une chieuse, qui fourre son nez partout.

   Parlant de choses et d’autres, elle, m’expliquait, qu’un jour, je ne sais plus dans quel contexte, dans le cadre associatif, elle avait eu l’occasion d’organiser un repas, préparé exclusivement, par les femmes, mais je ne me souviens plus, de quel pays arabe, elles étaient originaires.

   Mais ce qui l’avait particulièrement marquée, c’était qu’elle avait ressenti, la charge émotionnelle, absolument incroyable, et particulièrement palpable, due au fait que ces femmes, n’étaient absolument pas habituées, au fait de sortir de chez elles, qui plus est, dans une démarche, où précisément, leur identité culturelle, était ainsi, mise en valeur….

  On leur avait demandé, A ELLES, qui ne sortaient que peu,  de s’en charger.

  Ce qu’elle m’avait expliqué là, je dois dire, m’avait beaucoup touchée, et m’est toujours resté en mémoire.

 J’ai mis ça de côté comme on dit,  en me disant, « un jour, j’en ferai quelque chose ».

 Cette histoire, remonte aux années 70 environ, environ.

 Ou si vous préférez, on courrait le risque, d’être perçus, comme antiféministes, risque que je ne prendrai pas.

   Ce que je retiens de cette expérience si émouvante, réside dans le fait, que c’est dans ce cas précis, par le vecteur de la nourriture, et du « manger ensembles », que l’intégration se fait.

 Alors, qu’aujourd’hui, comme certains l’avaient prévu, dont moi, il y a environ 15 ans, on voudrait nous faire gober, que le phénomène migrant, serait un problème, là où il est en vérité, une incroyable opportunité à saisir, je me suis dit, qu’il fallait agir.

 Certes, il n’est pas question, pur moi, de saper, le repas annuel, de telle association culturelle, émanant de telle, diaspora, régionale, ou nationale, auquel je n’ai d’ailleurs jamais participé….

 Pourquoi, au fait ?

 Et bien parce que vous écrivant ces lignes, je suis sous curatelle, toujours, et que financièrement, je n’en ai jamais les moyens, sinon, j’y viendrai  d’office.

 Je précise, parce qu’il existe des associations locales, prés de chez moi, et qu’elles pourraient penser que je marche sur leurs plates bandes .

Surtout pas ! L’un n’empêche pas l’autre.

 Quelqu’un qui émigre, comme on le sait tous, émigre aussi, avec une culture culinaire, qui lui est propre. Des que des migrants arrivent, et sont acceptés, pour vivre sur notre territoire, il émerge certains d’entre eux, qui souhaitent cuisiner, et en vivre.

 Certains, au point d’ouvrir leur food truk.

 Il y a quelques semaines, j’tais allée rouler ma bosse, à paris, place de la République, où la ville de Paris, avait organisé une manifestation, un week end entier, pour donner l’occasion à ces food truk,  de proposer leurs cuisines, aux parisiens.

 J’avais trouvé cette idée géniale.

 A renouveler, ça va sans dire, et à multiplier, ailleurs.

 Dans quel contexte, et où, c’est une autre histoire, à laquelle, on doit réfléchir.

 Mais en ce qui me concerne, j’y vois surtout, une occasion rêvée, de mettre en pratique, l’idée selon laquelle, un restaurateur, ambulant, puisque c’est ça, un food truk, peut parfaitement fournir, la logistique, « colorée de sa culture »,  l’association, elle, étant chargée, d’une part,  de répertorier, les food truk,  de veiller à ce que l’éthique de la démarche, venant de chacun, soit conforme  à la culture qu’il revendique, mais aussi,  de veiller, justement, au lieu d’accueil, où le repas, sera servi.

 Ce que je veux dire, c’est que le nomadisme culinaire, peut aussi, donner l’occasion incroyable, de proposer, une activité culturelle, dans certains villages, par exemple, qui voient leur vie culturelle, un peu poussive, par manque de bénévoles,  (je sais ce que c’est), qui voient leurs petits commerces, boulangeries, épiceries, cafés, fermer, les uns après les autres, dans l’objectif que j’assume, aussi, d’apporter un peu de sang neuf, dans des villages, ou petites villes, qui ont le sentiment, d’être les oubliés, de la République.

 Ce qui m’importe, aussi,  je dois admettre, c’est de donner l’opportunité  à ces professionnels, parce que je souhaite que ça ne soit que des professionnels  de la restauration, et pas des bénévoles, qui s’y collent, si possible, puissent bosser, en mauvaise saison, sachant, que le principe, du food truk, réside, dans le fait, que les gens, mangent en plein air,  à proximité, avec éventuellement, quelques chaises, et tables, installées sur place, mais EN PLEIN AIR.

 Avec cette formule, tout sort du food truck, sur le plan matériel, et professionnel, mais c’est uniquement, le lieu de consommation, de la cuisine produite, qui apporte l’opportunité pour le consommateur, de manger, et de profiter de son repas, dans des conditions matérielles, plus confortables.

 Je tiens à ce que ce soit, des food truk, précisément, pour le côté nomade, qui me semble important.

 Ensuite, pour le côté professionnel, qui impose,  des normes de sécurité, mais surtout, pour donner la plus grande crédibilité, à la valeur culturelle,  de la cuisine proposée.

 L’association, bien sûr, (MOI, EN L’OCCURANCE), sera chargée, d’une part, de  dénicher le food truck, prendre contact avec lui, le rencontrer,  voir si le courant passe (parce que sinon, ça le fera pas !), voir son histoire, rédiger une bio, afin de le présenter.

 Afin, que faisant le lien, avec des villages, les associations, les salles, ou pourquoi pas, les restaurateurs, qui souhaiteraient mettre à disposition  leur salles, puissent se faire.

 Au sujet du nom.

 Pour moi, culturellement, le pot au feu ? c’est juste SACRE….. Mais sacre, à un point que vous ne soupçonnez pas.

 C’est un plat rural, et modeste…. Tout est dit.

 On a un potager, on fait un pot au feu, et on le mange, pendant plusieurs jours.

   Le bouillon, pour ma part, j’en congèle une partie, dans des bocaux(remplis aux deux tiers), pour faire des soupes, ou pour cuire des pâtes, nouilles en lettres, vermicelle, cheveux d’anges, ou autres.

   Si je trouve important, de donner ce nom, à cette association, c’est précisément, pour appuyer sr le fait, que notre culture, y compris, donc notre cuisine, puisqu’elle en fait partie, s’est enrichie, au fil des siècles et au fil des voyages, aussi, des découvreurs qui ont introduit, tel légume, ou tel autre.

 En somme NOTRE POT AU FEU, s’il n’était in finé, que la somme de ce mille feuilles salutaire, de ces diverses cultures, nous n’aurions à nous mettre sous la dent, ni chou, ni pommes de terre, ni poireaux….

 Et pour conclure, tiens, je vous recommande, à nouveau, l’émission, de France inter, « on va déguster »,  de François Régis Gaudry, à qui je demande officiellement, d’être le parrain.

https://www.franceinter.fr/emissions/on-va-deguster/on-va-deguster-17-mars-2019

 Alors, je sais, certains me diront, « mais puisque  c’est ainsi, pourquoi, ne pas prévoir, aussi, des artistes, qui correspondent à cette culture, et à ce pays d’origine… »

 Oui, je sais, j’anticipe.

 Paris et Rouen, ne se sont pas fait en un jour .

 On commence, déjà, par mettre sur pied, le côté strictement  culinaire, à petite échelle, on observe, ou met en pratique, et ensuite, on verra en corrigeant, ce qui peut ne pas fonctionner, et petit à petit, on y pensera, mais pour l’instant, ce qui importe, c’est que ça voie le jour.

 Un détail, encore, et là, je m’adresse aux restaurateurs, en particulier.

 Je sais que pour certains, les temps sont durs, quelquefois, relativement à la baisse du pouvoir d’achat, et donc, des répercussions  sur le nombre de clients, en salle.

 Cette idée, peut offrir l’opportunité alors, de modifier, quelque peu l’image, de certains établissements.

 A méditer.

 Ça n’est pas de bénévolat, dont je parle, je le rappelle.

  Le seul bénévolat, éventuellement, ne serait que dans mon travail de coordination, des différents acteurs de l’ensemble de la démarche.

20 Mais 2019.

A l'instant, je parlais de ce projet d'association, pour demontrer, à quel point, au cours de notre histoire, chaque flux mif  graoire, ait enrichi, notre culture.

 POT AU FEU QUI DEDIT !

 

Dans SOCIÉTÉ.

Pour une baisse de la TVA sur les produits de première nécessité.

Le 03/03/2019

  Le challenge, reside dans le fait, de choisir, si l'on inclut, le fait d'inciter, à une consommation, plus verteuse, et meilleure, pour la santé, ou pas...

  Personnellement, je serai tentée, par le fait, de l'inclure.

  Mais malgré tout, je vais installer ce sondage, sur FB, afin d'y voir plus clair.

  A chaque fois, que je preferai, un produit, plutot qu'un autre, j'en expliquerai la ou les raisons.

https://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/pont-audemer-de-la-baguette-au-cafe-solidaire--un-concept-qui-fonctionne-AE14674400

@Francoise Niel Aubin, oui, pour moi, ce principe, est juste génial, comme les épiceries solidaires, d'ailleurs.

J'ai expliqué, il y a quelques années, que les épiceries solidaires, psychologiquement, pressentaient, un énorme avantage, pour ceux, qui sont en situation de précarité.
j'ai été bénéficiaire des restos du cœur, il y a quelques années, alors, je sais, ce que l'on ressent...

Loin, de moi, l'idée de vouloir cracher, dans la soupe, qui m'est venue en aide, ça ne risque pas...

Je prétends, juste, que le principe de l'épicerie solidaire, présente, l'énorme avantage, de ménager, le demandeur, sur le plan psychologique...

PARCE QUE DEMANDER DE L'AIDE, exige quelquefois du courage, que certains, en situation de détresse sociale, ou psychologique, n'ont peut être pas, parce que ça impose, d'avoir, déjà, en amont, une image de soi, qui soit suffisamment digne...

Et ça n'est certes pas avec la banalisation des contrats courts, que ce soit ici, en France, mais aussi, dans les autres pays d'Europe, comme l'Allemagne, mais bien au delà, que ça risque de s'arranger...

Et pendant ce temps là, le poste "logement", occupe une part, de plus en plus importante, dans le budget des ménages, et de plus en plus de logement, qui appartiennent au privé, demeurent désespérément vides...

J'ai demandé aux banques, de mettre sur pied, un "certificat de solvabilité"... Et on attends toujours.

AGRICULTURE, TU T'ADAPTES OU TU T'ADAPTES.

Le 18/08/2018

https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/havre/pres-etretat-agriculteur-transforme-champ-labyrinthe-1527682.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20180818-[info-bouton1]&pid=726375-1518382847-38f67f66

 Bon, si je puis me permettre, avec un Ministre de l'Agriculture, qui s'appelle TRAVERS? faut pas s'etonner, qu'il n'arrive pas sortir du labyrinthe. Enfin, je veux dire, "difficile de marcher droit".

 Oui, je sais, c'est un peu facile, mais ça ne me pose aucun problème.

28 mars2023.

 C'est le titre de l'ouvrage que j'aimerai écrire sur le sujet.

 Helas, j'ai d'autres projets en cours, et je ne peux pas être partout en même temps.

 Donc, je rédige, et je pose au fur et à mesure.

Une harmonisation des politiques agricoles sur le plan européen,  devient indispensable.

Alors, que se tient actuellement le salon international d’agriculture, porte de Versailles, tous les projecteurs sont braqués sur le secteur, à juste titre, et certains débats ramenés par l’actualité sur le plan médiatique, est disponibles à la population.

Le problème réside dans le fait, qu’il faut observer l’ensemble des problèmes du monde agricole, aujourd’hui, sous deux aspects qui doivent impérativement cohabiter.

 D’une part, l’adaptation indispensable, d’ordre purement technique, ou de choix de culture, exigée par le réchauffement climatique, et d’autre part, la concurrence déloyales qu’on observe, vis-à-vis des autres pays européens sur certains secteurs, mais aussi, vis-à-vis d’autres régions du monde, sur d’autres secteurs.

 Cette concurrence déloyale, existe  sur différents niveaux.

 Certains pensent, peut être , qu’on s’éloigne du sujet,  sur les ressources en eau, ou sur le droit du travail, alors que c’est l’inverse.

 En effet, ces différents aspects, au contraire, revêtent une importance fondamentale, puisque par capillarité (ce qui est un adjectif des plus appropriés, vous en conviendrez), au contraire, ces aspects, sont des plus importants.

 Produire de la fraise ou des tomates sous serre, dans le sud de l’europe, avec un droit du travail, qui est d’avantage conforme à une pratique de l’esclavage moderne, dans des serres industrielles, et inonder, ainsi, toute l’Europe, avec des fruits qui imposent, une concurrence déloyale, là, où les autres pays,  respectant potentiellement le droit du travail, fait donc  grimper le prix de vente, à juste titre,  des denrées concernées…

 Interdire, de prélever, l’eau des nappes phréatiques, dans les zones les plus touchées, par la sécheresse, ressemble à quoi sur le plan européen, si d’un autre côté, tel autre pays, lui, l’autorise,  et met alors en défaut, notre agriculture, et donc au détriment de nos agriculteurs ?

 Un des moyens, d’y mettre un peu d’ordre, devrait être de trouver le moyen, de calculer, le bilan carbone, de n’importe quelle denrée alimentaire, quelque soit sa finalité, qu’elle soit au service, de l’agroalimentaire, ou qu’elle ne concerne  que le frais, en fruits et légumes.

 Cette pratique, devrait tout autant être mise au point, pour n’importe quel autre denrée, sur le plan de l’élevage, notamment.

 Taxer, ainsi les denrées, présentant un bilan carbone le plus élevé, aurait pour conséquence, d’une part, d’imposer à l’agroalimentaire, de chercher des modes d’adaptation à leurs produits, moins couteux en bilan carbone, et les producteurs locaux, y trouveraient mieux leurs compte.

 La concurrence déloyale, alors, se trouveraient entravée, par ce qui taxé.

 Sur le plan régional, et à petite échelle, beaucoup, le pratique déjà.

 Le vrai problème, toujours, réside dans le fait, qu’on observe encore, l’aspect industriel, de l’agriculture, qui mène la danse, et ce sont eux, bien sûr, qui y trouveraient à redire.

 En effet, chaque pays, toujours, se vente d’être exportateur, sur telle denrée, ou telle autre…

 Se voyant, alors  taxés, eux,  (et donc, nous, la France)à l’exportation, bien sûr, ça ne ferait pas leurs affaires…

 Et pourtant, sans savoir, comment cette pratique pourrait être mise en application, techniquement, parc que ça induirait, alors une traçabilité indispensable, notamment, pour lutter contre les fraudes, il ne fait aucun doute que ce soit là, une piste à étudier,  et à étudier, de toute urgence.

 

TOUS ENSEMBLE, FAISONS BARRAGE À LA LOI DES LOBBIES !

Le 19/03/2018

LOI SECRET DES AFFAIRES:
NE LAISSONS PAS LES ENTREPRISES
ET LES BANQUES D’AFFAIRES
IMPOSER LA LOI DU SILENCE ! 

PÉTITION AUX PARLEMENTAIRES

Mesdames, Messieurs,

Vous serez prochainement amenés à vous prononcer sur la proposition de loi portant « sur la protection des savoir-faire et des informations commerciales non divulgués (secrets d'affaires) contre l'obtention, l'utilisation et la divulgation illicites ».

Ce texte est la transposition d'une directive européenne adoptée en 2016 malgré les mises en garde des ONG, des syndicats, des journalistes et l'opposition massive des citoyens. Elaborée par les représentants des lobbies des multinationales et des banques d'affaires, elle constitue une offensive sans précédent contre l'intérêt général et le droit des citoyens à l'information.

La « loi secret des affaires » a des implications juridiques, sociales, sanitaires et environnementales graves. Sous couvert de protéger les entreprises, elle verrouille l'information sur les pratiques des firmes et les produits commercialisés par les entreprises.Des scandales comme celui du Médiator ou du bisphénol A, ou des affaires comme les Panama Papers ou LuxLeaks, pourraient ne plus être portés à la connaissance des citoyens.  

En gravant dans le marbre la menace systématique de longs et couteux procès, cette loi est une arme de dissuasion massive tournée vers les journalistes, les syndicats, les scientifiques, les ONGs et les lanceurs d'alertes.

Nous, signataires de cette pétition, lanceurs d'alertes, syndicats, ONGs, journalistes, chercheurs, et simples citoyens, nous opposons à l'application en l'état de cette loi en France, et vous demandons de défendre le droit à l'information et l'intérêt des citoyens que vous représentez, en adoptant les amendements qui vous sont présentés pour restreindre son champ d'application aux seuls acteurs économiques concurrentiels.

LOI SECRET DES AFFAIRES:
NE LAISSONS PAS LES ENTREPRISES
ET LES BANQUES D’AFFAIRES
IMPOSER LA LOI DU SILENCE ! 

#stopsecretdaffaires

URGENT!

SIGNEZ LA PETITION

 

 

 

Campagne lancée par le collectif d'associations, ONG, journalistes, syndicats et représentants des citoyens unis contre l'application de la Directive Secrets d'affaires en France, et hébergée par l'association de défense des pollinisateurs et de l'environnement POLLINIS. Si vous souhaitez vous désinscrire de notre liste de diffusion, il vous suffira d’envoyer un e-mail à unsubscribe@pollinis.org en mentionnant «Désinscription» comme objet de votre message. Le droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression est assuré par nos soins, vous pouvez à tout moment l’exercer en écrivant à info@pollinis.org

Soutiens de la pétition

Élise Lucet, journaliste ; Edouard Perrin, journaliste, Président du Collectif “Informer N’est Pas un Délit”; Antoine Deltour, lanceur d’alertes Luxleaks ; Laurence Roques, Présidente du Syndicat des avocats de France ; Sophie Binet, membre du Secrétariat général de l'UGICT CGT ; Marie José Kotlicki, membre du Secrétariat général de l'UGICT CGT ; Clément Rémy, Président de l’ONG POLLINIS ; Nicolas Laarman, Délégué général de l’ONG POLLINIS ; Sandra Cossart, Directrice de Sherpa ; Emmanuel Vire, Secrétaire général du Syndicat national des Journalistes CGT (SNJ-CGT) ; Pablo Aiquel, journaliste, SNJ-CGT ; Patrick Kamenka, journaliste, SNJ-CGT ; Leïla de Comarmond, Présidente de la Société des journalistes des Échos ; François Pitrel, Société des journalistes de BFMTV ; Nathalie Stephan ; Patrick Raffin, photographe ; Elliot Lepers, Directeur de l’ONG “Le Mouvement” ; Aurélie Trouvé, porte parole d’Attac ; Dominique Plihon, économiste, porte-parole d'Attac ; Éric Alte, Vice-Président de l’association ANTICOR ; Wojtek Kalinowski, Co-Directeur de l'Institut Veblen ; Christophe Ramaux, économiste à l'Université Paris 1, membre des Economistes atterrés ; Ritimo ; Foodwatch ; CrimHalt ; Collectif On ne se taira pas !

https://info.pollinis.org/fr/stopsecretdaffaires/?utm_source=newsletter_688&utm_medium=email&utm_campaign=18mta-new

 En cours de commentaire.

Plus d'agriculture "raisonnée", mais une agriculture BIO.

Le 13/02/2016

 Bon, il faut bien que je m'y colle, n'est ce pas ?

http://pluzz.francetv.fr/videos/cash_investigation.html

 Et oui, CASH INVESTIGATION au sujet des pesticides.

 Merci à France Télévision, de m'avoir ecoutée, et d'avoir fait le choix tres courageux, de diffuser cette emission d'orev navent, en debut de soirée.

   Pour être franche, je suis très en colère.

   Je suis très en colère, parce que le combat du BIO, est un combat que moi, je mène du mieux que je peux,  de ma Normandie profonde, depuis bien des années, et à chaque fois qu'on aborde le sujet, avec des agriculteurs, ou des personnes qui bossent dans ls lycées agricoles, depuis toutes ces années, l'argument qu'on nous retorque, c'est "oui mais enfin, vous savez, on est parfaitement au courant, de cette nocivité des persticides, et pour que ce soit moins nocif pour l'environnement, et bien on pratique à présent, ce que l'on nomme,  "l'agriculture raisonnée".

 Oui, oui, vous avez bien lu.

 Raisonnée, comme on dit vulgairement, "on croit rêver"....

   Je veux bien moi, quand on utilise un produit chimique, comme du purin d'ortie sur une parcelle, qui est un produit naturel, que selon l'heure à laquelle on le pulverise  son efficacité soit décuplée, parce que c'est un produit naturel, et en biodynamique, ce soit envisageable, mais quand on pose du poison à l'etat pur, jamais nulle part, je n'ai vu, ni entendu, et encore constaté, que le fait de le poser à la tombée du jour ou au lever, le rendrait inoffensif !

 Voilà, cequ'est l'agriculture RAISONNEE... J'ose à peine imaginer, ce qu'elle aurait été si elle avait deraisonnable.

 En gros, DE LA MERDE EN BRANCHE.

 Je precise juste que moi, depuis que j'ai entendu ce mot, dans la bouche d'un agriculteur, non seulement, j'étais morte de rire, mais j'étais deja parfaitement consciente, qu'on se faisait entuber, mais alors, comme on dit vulgairement, "en première classe".....

   Et oui, d'ailleurs, les mots, "agriculture raisonnée", devraient être gravés en lettre d'Or, chez MONSANTO, et toutes ces boites de vérole de merde, là, parce que franchement, dans le style "conscience washing", difficile d'insuter les valeurs morales plus que ça, en fait, je suis vraiment incroyablement stupéfaite, de voir qu'on ait pu lui donner un tel nom, pour tenter de nous faire gober, qu'on posant du poison sur leurs cultures, simplement parce qu'on les posait tôt le matin, ou tard le soir, d'un seul coup, ça devenait un magnifique petit beouillard, d'ailleur, quasiment inifensif, pour un peu, en filmant, le plverisateur, devant un coucher de soleil, pour un peu, il s'en serait bien trouvé pour crier haut et fort, YES WE CAN.

 Désolée, Barak, hein, mais j'ai franchement les boules, là, et c'était vraiment trops tentant.

 Et puis comme bon nombre de ces boites de merde, sont americaines, et empoisonnent le peuple americain, aussi, c'est somme toute, assez logique.

   Alors, pour simples rappel, deja, pour commencer, je remercie Elise Lucet et son équipe, qui sont de véritables petits soldats, et je ne souhaite qu'une chose, c'est que cette émission soit traduite dans toutes les langues.

  Alors, pour ceux qui seraient en doute, relativement au fait, qu'il y ait une vraie relation, entre les pesticides, et certaines maladies, qui sont citées, je precise que moi, j'avais assisté à une conference sur l'autisme, il y a quelques années, à Toulouse.

 J'étais allée discuter avec le chercheur sur l'origine de la maladie.

 Et c'est lui,qui m'avait dit, il y a plusiurs années, que le nombre de naissances autistes, était en augmentation, et que l'on soupçonnait très fortement, la pollution, et les pesticides.

 J'imagine que depuis ces quelques années, lesrecherches, en ce sens ont dû progresser.

 Mais ce que tout le monde ignore.

 C'est que moi, "discretement", me tombent dans les oreilles, certaines données, qui n'y tombent pas "par hasard", c'est à dire, que dans le milieu medical certains faits, ou chiffres, ou constations, sont bien relles, et ne sortent pas, excepté, pour me parvenir aux oreilles.

 Du genre.

    Le fait, qu'aujourd'hui, sur cent naissances, alors, qu'aucune raison apparente, ne puissent l'expliquer, le poucentage, de bébés prematurés, est en constante augmentation.... j'ai posé la question, "pourquoi ? on m'a repondu, "on ne sait absolument pas".

   Alors, moi, je vais vous raconter autre chose.

  le processus, qui declanche, l'accouchement, est un processus tres myterieux, que la medecine, ne connait, que partiellement.

   Je le sais, car pour mon premier enfant, onavait du declencher, l'accouchement, ce que les medecins savent faire.... Sauf, que le fait, de savoir le declancher, ne suffit pas ! Car ne connaissant la totalité du processus andocrinien, qui déclanche l'accouchement, et biença ne fonctionne pas toujours.

 pour ce qui me concerne, moi, au bout de quelques heures, ce fût une cesarienne, comme ils le font en pareil cas.

  Mais j'ai cuonnu, une vielle femme, qui avait elle, accouché aux alentours de 1950 donc, c'est vieux, et bien son accouchement, ne se declanchait pas..... je vou epargne, les détails, les odeurs, le côté psychologique, de la fin de la gresse, parce que c'est irraconttable.

 Une amie à moi, a eu la même aventure,  il y a 15 ans, Dieu soit loué, ça s'est bin fini.

   Mais ce que je veux dire, c'est qu'il se produit tout un tas, de dysfonctionnements, dans la physiologie du corps humain, qui sont encore méconnus de la médecine, notamment, en endicrinologie,  c'est à dire, la branche de a medecine, qui concerne, les subsrtences, qui sont fabriquée, par des glancdes, pour commander, certains organes.....

   Oui, si vous avez un problème de tiroïde, on peut le doser. Mais en ce qui concerne certaines autres glandes, et bien non !

 Le pourcentage de personnes, qui sont en hypotiroïdie, ou hypertoroïdie, est absolument hallucinant, et c'est absolument anormal ! Ces substences chimiques, sont perturbateurs endocriniens.

 Moi, je pense que le moment est venu, de délivrer, les véritables chiffres,  relatifs aux cancers, au diabètes, type 1 et 2, enfin, toutes ls maladies, y compris, les handicaps, d'en etudier la localisation, et de supperposer, les cartes ainsi obtenues.

 Il est probable que ces firmes criminelles internationales, vont vouloir démontrer que cette toxicité, n'est  pas demontrée.....

 Ce qu'il importe à mon avis de faire, à présent,  c'est de faire modifier la loi, sur le plan international, en ce qui concerne ces grand groupes.

   Le but, ne consiste pas uniquement, à obtenir des compensations, financières, et je vous explique pour quelle raison.

 C'est simplement parce que si nous ne faisons que demander de l'argent, leur politique, à eux, restera la même, simplement, ils continueront à vendre leurs saloperies, en incluant, le risque "dommage et intérêt", dans le prix de base....et donc, leur politique, ne changera pas !

 Alors, que si le PDG, est responsable, et recnnu coupble, en temps que personne, il pourra alors, non seulement être attaqué en temps que personne, mas aussi, aller en tôle, pour crime !

  En attendant, se pose un autre problème d'une extrême gravité qui réside dans le fait, qu'on ne peut pas passer au BIO, comme ça, du jour au lendemain.

   Pour commencer, j'ai appris qu'il y avait une réunion tres importante, au niveau européen, les jours qui arrivent.

  La France est le pays d'Europe, qui consacre le plus fort pourcentage des aides européennes, au BIO, 30%, je précise, si mes souvenirs sont bons. Je remercie, F Hollande, d'avoir conservé Stéphane le Foll, à l'agriculture, parce qu'il est courageux, faut dire qu'avec un tel nom.... (MDR, MDR, MDR ).

 Moi, je demande aux autres pays d'Europe, qu'ils s'alignent, sur notre législation, en matière de produits phytosanitaires, pour commencer, puisque nous sommes, le pays d'Europe, à être le plus vigilent, sur ce point.

 En effet, si certains produit, sont interdits chez nous, ils sont en vente libre, en belgique, par exemple. Un comble.

 Pour l'agriculture, je dois aller regarder, certaines vidéos, et lire certains articles, j'y reviens rapidement.

 

 Lundi 7 mars 2016.

https://www.facebook.com/groups/181874168821810/238717323137494/?notif_t=group_activity

12 fevrier 2020.

  Cette année, RADIO FRANCE sera presente au salon de l'agriculture.

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/l-agriculture-en-dehors-de-nos-frontieres/salon-de-l-agriculture-2019.html

RURALITE.

 

Et oui, vous seriez en droit de vous dire:

 "Mais enfin, pourquoi plus parler d'agriculture, sur ce fil, que de parler de n'importe quel autre sujet ?

   Pour une simple raison, qui est que les agriculteurs, contrairement, à ce que certains, qui n'y voient qu'une industrie, n'aurait jamais du perdre, la conscience, de  l'importance du rôle, qu'ils ont à y jouer.

   Car à laquestion, "Est ce que l'agriculture, est une industrie, comme les autres ?";

   J'en vois deja, qui bondissent comme des cabris, là, mais enfin, il faut avoir le courage de regarder le problème en face, et observer que c'est bien ce qu'on a collé dans le cerveau (aipulations par subventions interposées, ce qui perdure encore, pour le cas, où certains, auraient Alzheimer, au delà, des pesticides incriminés) de toutes les générations d'agriculteurs, depuis 70 ou 80 ans, au bas mot, et certains visiblement, n'ont pas encore vraiment saisi, que ça n'était plus vraiment sous cet angle, qu'il fallait envisager de mener sa barque, désormais.

  Oui, j'ai bien dit, MENER SA BARQUE...

  Quelle barque ? Quand on se demande, si encombrée d'algues vertes,  elle va pouvoir avancer, penser donc, à  les voir ramer, ramer, ramer ainsi, au point qu'Alain souchon, qui porte  si bien son nom, en periode de déforestation galopante,  dans bien des endroits, sur notre terre,  s'en gratte la tête....

  Déja que de devoir ramer ainsi, c'est pas du gâteau, mais si en plus de l'eau trouble, relative au vote RN, dans bien des villages, (dont le mien, helas ), aux dernières présidentielles, d'où les avirons en questions,  ne peuvent parvenir à fendre l'eau à cause des algues vertes...  Est ce que c'est bon, là, côté métaphore ? Ou bien est ce que je dois en remettre une couche....?

   

J’ai la dent dure, sur le sujet, c’est vrai, et je le revendique .

 Certains me trouvent sévère, sur le sujet des subventions.

 Ben oui…

 Les agriculteurs ne sont pas pires que les autres.

 Mais à force de reprendre l’exploitation familiale  de génération en génération, il n’est pas dit que ce soit toujours  la foi en leur métier, qui dicte toujours leur démarche.

Aujourd’hui, en 2020, les deux tiers environ des étudiants, en école d’agriculture, sont non issus du milieu agricole, ce qui en dit long d’une part sur l’intérêt que suscite la profession, mai aussi,  sur le fait, que certains enfants, préfèrent renoncer plutôt que d’être victime, d’un conflit générationnel, entre parents et enfants, au sujet d’envisager la reprise de la ferme.

Adaptabilité fait loi…

 Certains trouvent ça dur, ou injuste.

 Ils sont dans l’erreur….

Car en vérité, il n’existe aucune profession, aujourd’hui, qu’elle soit liée à l’environnement, ou pas…

 Quelque soit le secteur concerné, santé, éducation, ou quoique ce soit d’autre, n’importe quelle profession, depuis toujours, et particulièrement, depuis les années après guerre, ont vu, n’importe quel métier, être confronté, à ce qu’on appelait « le progrès »,  ce qui, hélas, de façon non dite, de la pat des puissants, et donc, des décideurs, donc, de ceux qui détiennent le pouvoir de l’argent,  n’a jamais consisté, qu’à prétendre vouloir produire plus, avec un prix cde revient le moindre possible, et se gardant bien, de préciser qu’à chaque fois, le principal acteur de la profession, c'est-à-dire, la force vive, qui en justifie l’existence, se retrouverait un jour, rangé sur le bas côté, là où la course poursuite du productivisme agricole, roule à fond la caisse, « pourvu que les agro industriels,  dont les industriels, de l’alimentations font partie intégrante,  se sucrent, le plus possible…

 Je parle là  de l’agriculture, ça va sans dire…

 Mais en réalité, il en est de même exactement, dans le secteur de la santé ou de l’éducation,  d’où l’explication plus générique, qui précède….

 Et oui, car il y a 40 ou 50 ans, on ne leur avait pas dit, qu’ils seraient, en vérité, la cinquième roue du carrosse…

 Certes, le carrosse en question, est un tracteur de 500 chevaux, qui n’accepte plus de pouvoir croiser une voiture, sur les routes de campagne, industrialisation, oblige, c’est de largeur d’engin, exclusivement, dont je parle, et pas du fait, que l’agriculteur, s’y opposerait.…

Mais ce tracteur n’a que quatre roues, alors, disons que l’agriculteur, en  est la cinquième .

Réduire les intermédiaires.

 Au point de les supprimer, tel avaient été mes recommandations (vérifiables sur internet), au début du mandat de F Hollande,  quand Stéphane le Foll, était ministre de l’agriculture.

 Car c’est bien lui et personne d’autre, avec l’aval de François Hollande,  qui avait induit, le virage vers le BIO, qui s’amplifie, de façon plus que certaine, désormais.

 Adaptabilité fait loi…

 Et c’est vrai, dans n’importe quelle profession, et plus encore, en tout ce qui concerne le vivant, qu’il s’agisse de l’être humain, en matière d’éducation, ou de santé publique, mais aussi, le végétal, qu’il s’agisse de biodiversité, ou qu’il s’agisse des professions qui produisent le vivant, qu’il s’agisse d’élevage, ou qu’il s’agisse de maraichage.

 Une agriculture raisonnée, qui ne raisonne pas vraiment.

 L’agriculture raisonnée, tend à nous faire croire  qu’elle  n’utilise certains traitements,  que dans la mesure où ces derniers seraient « indispensables », et s’engagent, pour des raisons vertueuses, au sens BIO, d’une certaine façon, à ne les appliquer qu’à certaines heures, et selon un dosage minitécimal, et donc, moindre, comparativement, à des doses ultérieures, comparativement, à quelques années, ou quelques décennies auparavent.

 Pour commencer,  ces histoires de dosages n’ont pas grande signification, si l’on observe qu’auparavant,  ces dosages étaient anarchiques et incontrôlés,  d’une part, mais surtout, que les agriculteurs qui les appliquaient, subissaient l’influence toxique des industriels,  des produits phytosanitaires, incitant, sans le moindre scrupule, à surdoser, ou en tout cas, jamais, ne donnaient la moindre consigne, qui aurait tendu, à en diminuer les dosages…

 Pour vous la faire plus courte.

 Si sur une parcelle, l’agriculteur observait que le traitement posé, n’avait été que partiellement efficace, je n’ai aucun doute, sur le fait que le technicien, payé par le trust chimique, qu’il appelait à la rescousse, lui conseillait de le repasser, en doublant la dose…

 Pourquoi , parce que ces traitement posés, depuis des décennies, et extrêmement dangereux, avaient induit des résistances  dans le comportement des plantes, auxquelles, ils étaient destinés, et qu’à ce titre,  la baisse d’efficacité, était n inévitable.

 Comment je le sais ?

 Parce que ai jardiné, aussi, et que l’utilisation des produits phytosanitaires, je m’y suis laissée prendre aussi, figurez vous.

 Et que donc, en cas d’un manque d’efficacité, je sais, comment réagissait le jardinier,  ce qu’il observait, ce qu’il décidait de faire, « ou pas », et que je sais donc, que cette réaction au surdosage, existait, et dit exister encore, chez certains.

 Conclusion de l’histoire, quand il dit, aujourd’hui, qu’il traite ses cultures de façon raisonnée, bien malin, qui est allé contrôler, de visu,  selon quel critère  de comparaison, il peut ainsi le prétendre….

   Je rappelle, pour ceux qui ne me connaitraient pas encore, que je suis fille d’agriculteurs, et que, je connais ce milieu là, et leur psychologie, bien mieux que quiconque.

   Raison supplémentaire pour ne pas boire, « comme du petit lait », ce qu’ils nous disent, par cette appellation, « d’agriculture raisonnée ».

   Et puis de toute façon, je suis intolérante au lactose. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas.

 Quand le raisonné,  tolère le glyphosate.

Entendu, par l’un d’eux, ces derniers temps…

 Selon eux, le glyphosate,  ne poserait aucun problème, des lors, qu’il est appliqué sur les plantes, et ne serait toxique, que quand il est posé, sur un sol nu.

 Comment vous dire ?

 Pour commencer, effectivement, le glyphosate, n’agit en temps que désherbant, que de façon systémique, c'est-à-dire,  absorbé par la plante, qui respire, une fois le produit posé, par pulvérisation… .

 Pour son côté désherbant, nous sommes bien d’accord…

 La lecture, de ces propos, est double.

 D’une part, elle, induirait que le glyphosate, une fois absorbé par la plante,  n’aurait aucune incidence sur la terre, dans lequel  la plante traitée, ait poussé.

 Cette donnée, aussi hypocrite que mensongère, ne devrait pas être trop difficile à démonter…

  Vous prenez une plante quelconque, pour la mettez dans un vase, et vous fermez le collet, hermétiquement.

 Vous pulvérisez, le glyphosate, sur le feuillage.

 En une quinzaine de jours,  la plante devient orange, puis brune, le glyphosate a fait son effet.

 Ensuite, on analyse l’eau, et on verra bien, si l’eau contient des molécules de glyphosate, ou pas.

 Ensuite, il va falloir m’expliquer selon quel miracle, alors, les endroits, où le glyphosate ait été appliqué, à plus forte raison, de façon répétitive, il ne pousse plus que de la presle, quasiment, ou d’autres adventices, particulièrement réfractaires,  aux moindre désherbant….

 Et quand ça ne se produit pas, alors, ça signifie, que les dosages, de glyphosate, ont été triplés, ou quadruplés…

 La verité, et c’est instinctivement, que j’en ai l’absolue certitude, réside, dans le fait, que les glyphosate, pervertit de façon extrêmement puissante, les échanges chimiques, qui interagissent, dans le sol, entre tous les végétaux,  et le sol, ainsi que les bactéries, ou mes mycéliums, et que si ma certitude, n’est basée que sur mon instinct, et pas sur des preuves scientifiques,  elles ne le sont que suite à l’observation des dérèglements, que j’ai observés, dans mon environnement le plus proche.

 Quand j’était enfant, puis ado, nous  allions, aux petits rosés des prés, très tôt, le matin…

 Comment expliquer, alors,  que ces merveilleux champignons, aient ainsi s disparu ?

 Pour ne citer que ceux là.

 Est-ce  bien nécessaire, que je vous fasse la version biodiversité, vers de terre, et  disparition, des insectes ?

Ensuite, pour ce qui concerne le fait, que le glyphosate, ne serait pas toxique, des lors, qu’il n’est efficace, que posé, sur le feuillage.

 Par définition, le pulvérisateur, arrose aussi, le sol, nu, si partiellement, que ce soit…

 Et que son efficacité, ou pas, sur le feuillage,  n’empêche aucunement, qu’il soit absorbé, par le sol…

 En somme, absorbé par le feuillage, ou pas, par ruissellement, il arrive aussi sur le sol, où son efficacité en temps que désherbant est nul, ce qui est vrai, mais le fait, qu’il soit nul, en temps que désherbant, ne fait pas de lui, un produit inoffensif,  sur le sol, ce raisonnement, est illogique et ne fait que traduire, une malhonnêteté intellectuelle évidente.

 Pisse un coup pour voir ?

Comme nous le savons tous les pisseurs volontaires, ont mis en évidence le fait que des personnes, se croyant écartés de ce péril, parce que mangeant très sain, ont dans leurs urines, et donc, dans leur organisme, des molécules de glyphosate….

 Qu’est ce que ça démontre ?

 Ça démontre, précisément, que cette molécule, particulièrement dangereuse, arrive dans nos organismes, par des voies, qu’on n’aurait jamais suspectées, et donc, bien au-delà, de produits qui auraient été traités, puisque les végétaux qui l’ont été, par définition, sont morts, et donc, en aucune façon n’auraient pu être consommés .

 Ce fait, là, à lui seul, démontre de la façon inéluctable, que le glyphosate, empoisonne tout l’environnement, bien au-delà, de faire mourir la plante, qu’on a jugée, comme indésirable, notamment, par le bais des eaux de ruissellement, qui empoisonnent les nappes phréatiques, et les cours d’eau….

 Locavores à tous les étages.

 Enfin, quand je dis à tous les étages, c’est une façon de parler, car ça serait plutôt, à hauteur de vache, dont il serait question.

 Ca aussi, je l’ai préconisé, au début du mandat de François Hollande, sous le ministère de l’agriculture, de Stéphane le Foll.

 Et pour cause, trouvez vous logique, d’aller nourrir, vos animaux, avec du soja, qui plus est, transgénique, venant des USA, là, où précisément, nos agriculteurs (notamment, ceux, qui sont aussi éleveurs), sont parfaitement capables, de cultiver certains aliments, sous nos lattitudes…..

 Figurez vous, qu’on en était arrivé au point, que certains éleveurs, se demandaient comment, on pourrait faire autrement…

 J’enrageais.

  Ca n’était rien de moins que de prétendre « comment faire compliqué, quand on peut faire simple ».

 Observer à quel point, en agriculture, comme ailleurs, on puisse se contenter d’avancer, sans chercher à être son propre décideur, sans la moindre perspective, d’innovation, quasiment, (désolée, si je semble exigeante), ça me met toujours en colère.

 Il faut dire qu’en agriculture, comme ailleurs, je suis allée à bonne école…

  Il suffisait, qu’on fasse miroiter à mon père, une quelconque subvention, pour le caresser dans le sens du poil (la soie du cochon, pour tout dire), pour qu’il la refuse, et fasse l’inverse….

 On voulait, qu’il bouche les mares ?

 Ok, il en ouvrait d’autres.

 Mais revenons en à l’élevage…..

 Laisser ses animaux, dehors, dans la boue, à longueur d’hiver, désolée, ça non plus ça ne passe pas.

 Vous manquez de paille et de fourrage, l’hiver ?

 C’est que vous refusez d’observer le changement climatique qui est à l’origine du manque d’herbe, l’été, votre réserve de foin  se trouve entamée, trop tôt, dans la saison, pour peu que vous ayez eu, l’opportunité, de la faire… ET oui, difficile, de  faire le stock, quand vous devez mettre vos vaches à l’herbe, et parallèlement, constituer votre stock de foin, pour l’hiver, alors, que l’herbe ne pousse pas, à cause du manque d’eau.

 Desolée, pour mon vrai sentiment, de défoncer des ports ouvertes, mais je n’arrive pas à comprendre, comment,  en temps qu’agriculteur, on peut prétendre, avoir un cheptel donné, alors, qu’on ne dispose pas, de la terre cultivable, pour en assurer, le nourrissage, et le soin…

 Oui, on appelle ça, « le bon sens paysan », et j’ai souvent le sentiment, d’en être pourvue, bien plus que certains industrieux agricoles.

 Est-ce que le régime alimentaire du paysan, interfère sur la qualité des flatulences de ses bovins, et de ses vaches ?

 La question mérite d’être posée, si l’on observe, que de manger des légumineuses, sur le plan de la santé publique, mériterait une plus grande attention.

 Alors, en modifiant l’alimentation des bovins afin de rendre leurs flatulences moins toxiques pour l’atmosphère, tout le monde aurait à y gagner.

13 Fevrier 2020.

 Je précise, que je viens de faire, certaines corrections, sur les articles, de haut de pages.

 la correction, est disponible, en suivant ce lien.

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