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avortement

Les visas dorés ouvrent les portes de l’UE aux criminels.

Le 05/12/2018

https://www.euractiv.fr/section/politique/news/europes-golden-visa-schemes-open-doors-for-criminals-report-finds/

Les pays qui octroient des passeports aux riches ouvrent les portes de l’UE à la criminalité et au blanchiment. Les ONG Transparency International et Global Witness s’insurgent contre le dispositif.

« Si vous avez beaucoup d’argent que vous avez acquis de manière douteuse, il est tout simplement raisonnable de vouloir trouver un nouveau chez-vous loin de vos victimes ». 

 Difficile de faire plus clair, effectivement.

Quel remede, contre de telles pratiques ?

  Pour commencer, une vision objective, qui revele, que des que quelqu'un, en a les moens, et qu'il souhaite prendre des vacances, il va au soleil, et donc, vers le sud d e l'Europe, et qu'à ce titre, il n'y aurait pas, les pays du nord de l'Europe, economiquement vertueux, et ceux qui trainent la savate (désolée, si je suis un peu lapidaire, dans mon propos),  comme la grece, l'italie, ou l'espagne,  qui meriteraient moins de considération, au seul pretexte, qu'ils sont moins performant, economiquement.

  D'une part,  ils souffrent, eux, d'être sollicités, au minimum, cmme pays de passage par les migrants venus d'Afrique, à plus forte rason, par l'opportunisme des mafias, représentées, par les passeurs, qui s'adaptent entièrement aux lacunes européennes, sur ce sujet, mais aussi, dans leur accueil, fondé, celui là, en ce qui concerne, l'activité touristique, qu'on est bien contents d'y trouver.

 Savez vous, par exemple, qu'en certaines grandes villes du Nord de l'Europe, il existe des partenariats, tout à fait officiels,  qui leur permettent d'envoyer les personnes âges, l'hiver ?

 Interpellant, non ?

 Je ne suis pas dans la critique, quand je prétends celà, je dis juste, que chaque pays, est aussi complémentaire de son voisin, et rien de plus.

La solution ? 

Pas de liste frontiste aux européennes ? Histoire d'un sabordage annoncé.

Le 10/07/2018

  Je crois que marine le pen nous fait un remaque, de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf, de jean de la fontaine.

https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/elections-europeennes-est-ce-qu-il-va-y-avoir-une-liste-si-le-rassemblement-national-n-existe-plus-s-inquiete-marine-le-pen-1088271.html

  Pour le coup, c'est ma  pas le'melon, qu'elle chope, mais bien plutôt, la pastèque, et de celles, qui ne sont pas BIO, c'est à dire, version ballon de foot. le jour où l'equipe de france rencontre la belgique, en demi finale, qui plus est.

  Putain de merde, comment vont faire tous les racistes et les xénophobes, s'ils n'ont plus aucun "sein", auquel se vouer.

  Je ne sais pas la profondeur de ses bonnets de son soutien gorge, je veux dire.

  Mais en tout cas, une chose est certaine, alors que les politiques éprouvent certaines difficultés, à se faire entendre et à se faire respecter dans leurs fonctions, et ce, quelque soit leurs bords politiques, et qu'ils soient aux manettes ou pas,  ceux qui ne font de la politique, que dans le seul et unique objectif que de s'en foutre plein les fouilles, eux, sont encore plus mal barrés, ça, c'est une certitude.

 Et les français y voient fort clair, sur ce point.

 Et puis y'a quand même un truc, que j'aimerai qu'on m'explique...

 Le pognon, en question , Qui en a bénéficié , et bien qu'ils le rendent.  Non ?

 Moi, si quelqu'un, se fait choper, à se servir dans mon porte monnaie, j'appelle la police, il est pousuivi, mais surtout, j'exige qu'il me rende mon pognon.. Non ?

 Et bien alors.... Bon, pour les étrennes du paternel, va falloir attendre cet hiver, mais bon.

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L'usine à gaz de marion maréchal le pen.....

Le 04/06/2018

 Un reportage avait traité du sujet, il y a quelques jours, dans le journal de France 2... "l'oeil du 20h", qui porte un nom particulièrement adapté, si l'on "observe" avec nos deux yeux, d'une part, le strabisme de marion marechal le pen, qui doit ici orrespondre psychologiquement, à la forme de somatisation, la plus subtile, des valeurs familiales frontistes.

 Bon, la vidéo n'est pas disponible...

  On y expliquait, qui la finance, et surtout, qui y travaille. Et le but non dit, de cette démarche, tend à chercher à accroitre une forme de crédibilité, crédibilité intellectuelle qu'ils n'ont pas, puisque une des rares cautions intellectuelles "version énarque", qu'ils avaient en la personne de Florient Philippot, s'est fait la malle.

  Non, la seule raison véritable ne réside, qu'à brasser du vent, sans véritable vision futuriste positive, qui pourtant, serait une synthèse, de ce à quoi les français aspirent.

 "Placer ses copains",  cadres du parti, voilà, la véritable raison, qui la mène à avoir fait cette école.

  J'ai entendu qu'elle avait répondu aux journalistes, qui tentaient de lui faire dire qu'elle cherchait à soutenir le Rassemblement National (nouveau nom du FN),  qu'elle faisait un parallèle, avec le grave problème de harcèlement et d'agressions sexuelles, qui sont en train de révolutionner les relations hommes femmes...

  C'est pour le moins interpellant, si l'on considère que s'il est un sujet, sur lequel, ni le Rassemblement National,   et elle encore moins, sont demeurés particulièrement muets sur un sujet, d'une aussi criante vérité.

  Pour ce qui concerne son école, je dois admettre que la lecture que j'en fait, n'est rien de moins,  qu'une forme de mentoring , pas très loin, idéologiquement, d'une forme de dérive sectaire, puisqu'elle est sensée hissser institutionnellement, des valeurs qui sont aux antipodes des lois de notre République.

  Si on veut synthétiser, je dirai, que ça pue la boite à fachos, mais "haute gamme". 

  Que je conchie ceux du front national, n'est pas une nouveauté, et je l'assume.

  Cependant, j'aimerai attirer l'attention sur le fait, qu'il me semble plus que necessaire, d'initier à la politique, par une forme d'ouverture d'esprit, qui tend à connaitre, en tout premier lieu, le rôle de nos institutions, à plus forte raison si l'on envisage, un jour, de les remettre en cause, mais aussi,  et si ce sont des valeurs qui sont sensées en être la justification, en aucune  façon, ça ne doit être les valeurs, qui en  seraient le combustible, mais bien, au contraire, le fait de s'interresser, à ce qu'on appelle POLITIQUE, donc, éthymologiquement, "la gestion de la cité"....

  En d'autre terme, entrer dans ce genre d'école, c'est y entrer, d'office,  avec les oeillères, vissées et cadenassées,  de telle sorte, que le lavage de cerveau, soit irrevesible....

  Eux, qui ont toujours, la pretention, de s'intresser au rral, mettent simplement, comme on dit, "la charrue avant les boeufs".

  Désolée d'être aussi péssimiste sur leur situation, mais je n'ai malheureusement, absument aucun doute, sur mon analyse.

  Je signale d'autre part, que beaucoup attendent, de ce parti, qu'il innove, et démontre, qu'il aurait des aptitudes, pou ne serait que bosser concrètement sur certains dossiers, et je ne vois rien de concret de cet ordre, dans une telle démarche.

  Quand au fait, de vouloir ne plus être appelée, par le nom de pen, c'est une proposition, que j'avais faite à sa tante il y a quelques années, comme celle de changer le nom du parti, et j'avais émis cette hypothèse, dans l'éventualité ou pour des raisons de conscience, leurs estimes d'elles même, respectativement, s'en trouvent réparées, comme on change son fusil d'epaule....

  Mais quand il s'agit de rester dans le même bourbier idéologique, comme ça semble être effectivement le cas, c'est juste profondément risible. Mais surtout, absolument ridicule.

 Enfin, je veux dire, "personne n'est dupe", c'est "on prend les mêmes et on recommence".

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Ma chaine youtube et les commentaires, qui s'y rapportent.

Le 17/01/2018

https://www.youtube.com/channel/UCtcBQK79sCTfa4oxgoZew9A/discussion

 J'invite tout à chacun, à deposer des commentaies, sous mes videos, et  au sein de ma chaine, globale, pour ceux qui le souhaitent.

 Je vous invite surtout, à vous y abonner, bien sûr.

12 janvier, 2018, message à tous ceux qui attendent après moi.

Le 12/01/2018

 Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.

   Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.

  Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.

  Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques,  en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.

  Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?

  Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.

  Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de  Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus  acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.

  Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans  la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?

  Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.

  Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit,  du sort que l'on m'impose.

  Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....

 Comment vous dites ?

 Consulter un psy ?

 Mais j'ai fait, bien sûr.

  Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement,  qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.

  Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.

  J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre,  principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...

  Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".

  Bon, week end à tous.

 

50 nuances pour balancer son porc !

Le 05/12/2017

 Certain vont trouver quelque peu hasardeux, de voir, que je mélange tout ainsi.

J’ai déjà commenté, pat le passé, ce livre, à l’époque, et surtout, ce que personne ne faisait, le fait qu’il ait eu un aussi grand succès, et quelles, en étaient les potentielles raisons.

Si je m’étais permis de le commenter, à l’époque, non pas que je m’en croyais indigne, mais comme toujours, je ne l’avais pas lu, alors, ça me semblait cohérent.

Mais lors d’une de mes dernières hospitalisations à l’HP, pendant quelques jours, alors qu’on m’avait déplacée dans différents services, j’avais sympathisé avec une jeune femme qui tenait dans ses mains, ce livre.

Elle m’expliquait alors, qu’il lui avait été offert, par sa propre mère, qui comme elle, était victime de violences conjugale, raison pour laquelle elle se trouvait hospitalisée en HP, ce qui en soit, déjà, m’interpellait sérieusement.

Je ne nie pas qu’il puisse arriver qu’une femme battue, ait besoin, dans certains cas, d’être hospitalisée, mais objectivement, celui qui a de graves problèmes, dans le couple, c’est celui qui porte les coups, et pas celle qui les reçoit.

BREF.

Je rentrais chez moi, plutôt pensive, par ces confidences qu’elle m’avait faites.

Il y a quelques jours, je découvrais le film, qui a été fait du livre.

Je ne l’ai pas regardé, par intérêt, mais par devoir, parce que je voulais éventuellement pouvoir compléter le travail que j’avais fait sur le livre, et son analyse.

  J’avais retendu, dans un article précédent, qu’il était probable, que sur le pourcentage de livres achetés, un fort pourcentage, l ne l’avaient ^me pas ouvert, et je persiste en ce sens, à moins qu’il ne leur soit tombé des films, comme moi, j’ai laissé tomber le film, au bout d’une heure…

  J’ai insisté, je précise, par devoir, puis j’ai laissé tomber.

  Vous me direz « mais toi aussi, tu achètes des livres, quelquefois, que tu ne lis pas », ce qui est vrai, et c’est souvent le cas, mais moi, c’est pour une autre raison, c’est par manque de temps, et à cause de ma dyslexie.

  Mais une des questions, qu’on peut se poser, réside sur les raisons, qui justifient d’acheter un livre.

  Je pense que certains font l’objet d’achats compulsifs, comme n’importe quelle bien de consommation.

  Acheter 50 nuances de gris, à l’époque, et le poser sur la table, en rentrant chez soi, était sensé, je crois, se faire passer pour ce qu’on est pas, ou en tout cas, tenter de suggérer, qu’on aimerait bien, être autre chose, vis-à-vis de celui qui partage sa vie que ce qu’on est.

  Tenter d’allumer un fantasme, en quelque sorte.

  L’autre théorie que j’avais avancée, était que le succès, était dû au fait que les femmes devant assurer sur tous les plans, ce qui se traduit sociologiquement, par l’expression « charge mentale », le désir de laisser l’initiative aux hommes, une fois passé le seuil de la chambre à coucher, m’avait semblé assez cohérent.

  Et oui, comme vous l’aurez remarqué, il existe effectivement, une sacrée nuances, entre revendiquer des pratiques SM, et simplement proposer à l’homme de prendre l’initiative, nuance, que certains hommes, semblent d’ailleurs, ne pas avoir encore saisie.

  Mais venons-en au film.

  Il s’agit dune jeune femme, vierge, de surcroit, qui fait la connaissance d’un bel homme, plus âgé qu’elle, et riche….

  La description qui est faite du film, généralement, prétend, que l’objectif du film, tendrait à décrire, l’initiation du mentor sexuel, vis-à-vis de son élève, qu’il initie.

  Pour commencer, je tiens juste à préciser, que le contexte qui est décrit, est détaché de toute probabilité.

  Je ne prétends pas que ça n’existe pas…

  Mais franchement, la fille qui gagne le SMIG, à ranger des boites de conserves, dans une superette de quartier, qui voit débouler un mec pété de thunes, qui l’emmène des le lendemain, à la ville la plus proche, dans son hélico personnel, qu’il conduit lui même bien sûr….Moi, perso, je n’ai pas trouvé ça excitant, mais comique, oui, certainement .

  Nous en étions, là, à la version de Danny Boon, qui nous explique la collection Arlequin…

  Car en vérité, ça n’est de plus que ça…..

  Et oui, objectivement, il faut bien le reconnaitre, ça n’est rien de plus.

  Car enfin, que recherche ton, quand on ouvre un livre, ou qu’on regarde un film ?

  Certains ont envie de trouver des réponses aux questions qu’ils se posent, sur un thème abordé.

  D’autres « une belle histoire ».

  D’autres, que ça colle avec certaines formes de réalité sociétales, dignes de les faire ressortir, ensuite, en se disant, « tiens, oui, c’est vrai, j’aurai pas vu les choses comme ça ».

  Un peu des trois, souvent, je crois, avec selon les goûts de chacun, plus certaines raisons que d’autres.

  En ce qui me concerne, je place le cinéma si haut, dans mon estime, qu’il me faut bien reconnaitre que c’est la troisième raison, qui est la plus forte.

  Inutile de vous alors, que « le film m’est bien vite tombé des mains ».

  Mais au-delà du fait que je n’y ai pas trouvé mon compte, je vois d’autre part, par contre, une certaine toxicité, dans le film, puisque ce dernier tendrait à laisser croire, puisque le lien, entre coups et blessures, ou si vous préférez, le phénomène de violences conjugales, est avéré, qu’il existerait une voie, qui tendrait à laisser croire, qu’une femme battue, ne serait qu’une femme, qui serait adepte du SM, mais qui refuse de l’admettre, ou qui en tout cas, refuserait d’admettre, la théorie, sein laquelle, de recevoir des coups serait légitime, et acceptable, au sein d’un couple.

  En somme, ce film, pour moi, est juste d’une certaine façon, fortement préjudiciable, parce qu’il tendrait à légitimer la violence conjugale, en laissant croire, que « sous certaines conditions », liées aux pratiques sexuelles, ça serait non seulement, acceptable, mais pourquoi pas, digne, d’ouvrir des portes insoupçonnées, vers le plaisir sexuel.

  Et que l’on ne vienne pas me répondre, qu’avec son contrat, qu’il lui fait signer, ça devient recevable et légitime…

  S’il suffisait d’être épanouie sexuellement, pour que tout roule, comme sur des roulettes, psychologiquement, ça se saurait.

  L’équilibre psychologique au sein d’un couple, est une chose éminemment subtile, l’épanouissement sexuel, n’en est qu’une des facettes, et je persiste à prétendre que ce film, en banalisant les violences et la domination du « mentor sexuel », sur la jeune femme, dans l’esprit de certains jeunes, filles ou garçons, peut être toxique.

  Il est possible que certains doutent, de ce que je prétends, là .

  Et bien sachez pour information, que lors de cet internement psychiatrique, aussi, justement, il m’est arrivé aux oreilles, que certaines femmes, et pas uniquement des jeunes filles, se retrouvaient embarquées, dans des histoires soit disant SM, alors, que pour moi, la définition même du SM, ne peut être autre, que librement consentie, et entre personnes, qui se connaissent suffisamment, pour y prétendre, certaines, donc, se retrouvent au comissariat, pour viols, ou coups et blessure, voir, internement psy, au seul prétexte, qu’elle sont parties d’à prioris, parfaitement tronqués, sur les pratiques SM.

  Alors, je le dis, et je dis, de nouveau, le corps que nous avons, est un bien précieux, qu’on ne doit pas prêter à n’importe qui, et surtout à un connards, qui n’a pour seul ambition, de vous considérer que comme un jouet sexuel, destiné à assouvir, ses frustrations perverses, dans sa sexualité à lui.

Dans JUSTICE.

A quel âge peut-on consentir à un acte sexuel ?

Le 16/11/2017

http://www.francetvinfo.fr/choix/a-quel-age-peut-on-consentir-a-un-acte-sexuel-un-fait-divers-impliquant-une-fillette-de-11-ans-rouvre-le-debat_2467732.htmlencer, je dois expliquer ma position, depuis toutes ces années, face ce problème, parce qu’il est possible, que je n’ai pas été bien comprise.

Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.

Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.

Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.

Voilà, le danger.

Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.

"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?

Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.

La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."

Consentante à 11 ans ?

C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.

  Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,

Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.

C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…

Juste dégueulasse.

"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.

Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.

Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !

Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.

Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.

Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.

Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.

Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis". 

Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.

"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.

Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.

Laure Habeneck, avocate de la plaignante

à franceinfo

Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."

12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?

Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews

Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."

Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.

Une requalification en "atteinte sexuelle" possible

On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.

Samir Mbarki, avocat de l'accusé

à franceinfo

Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.

Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.

Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.

Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.

Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.

En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilement envisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?

Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…

En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :

« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».

Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !

Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?

Dans JUSTICE.

Roman Polanski, "impunité, ou pas" ?

Le 02/11/2017

  Un article refait l'historique des faits qui lui sont reprochés, depuis que ce monsieur, a considéré que le milieu du cinéma, était l'occasion de consommer de la chaire fraiche, parce que "intellectuellement, il pouvait se le permettre"....

   A ceux qui attendent de voir ce que j'en dis, mais surtout, qui s'etonnent de voir, que je n'en ai pas encore parlé, je répondrai simplement, que ça n'est pas par négligeance, mais uniquement, parce que ces histoires de harcelements, de viols, et d'humiliations, que subissent la majorité des femmes, partout dans le monde, chaque jour qui passe avec des nouveaux faits, reactions, et révélations, sur des prises de position, demontrent à quel point c'est extrêmement complexe, et qu'il importe que je veille à ne pas vouloir montrer les différents éclairages, dans la même vidéo, puisque ces derniers temps, c'est par video, souvent, que je travaille.

http://www.lefigaro.fr/cinema/2017/01/24/03002-20170124ARTFIG00221-pour-tout-comprendre-de-l-affaire-polanski.php

   Cet article présente l'aventage de démonter la chronologie.

   La raison, pour laquelle cette chronologie est importante, parce qu'elle doit mettre en evidence, le fait que les faits qui lui sont reprochés, correspondent à une époque, ou la liberation sexuelle, avait poussé certains à considérer que la pedophilie, n'aurait pas été sigrave, et dommageable, pour l'enfant.

  On sait, aujourd'hui, qu'il n'en est rien, et au contraire, que c'est là, un crime veritable, qui detruit, la vie de l'enfant violé, à tout jamais.

   Maintenant, il y a d'autres eclairages, qu'il me semble judicieux, de montrer.

  Je suis particulièrement choquée, pour la part, par le fait, que nulle part, jamais, je n'ai entendu Roman Planski, emettre le moindre regret,  sur cette periode de sa vie.

  Parce qu'il est bien là, en vérité, le souci, aujourd'hui, ce ne sont pas les faits, qu'il ait commis, qui lui sont reprochés, enfin, je ne pense pas, puisque le passé est le passé, et que les victimes elles, portent ce fardeau, pour leurs vies entières.

  Non, la vrai malaise, réside dans le fait que pour lui, c'est avant tout, une histoire d'avocats, d'ailleurs, dans l'article, il est bien précisé, que ça n'est pas lui, qui attaque aux USA, pour se défendre, mais bien "ses avocats", comme si lui, etait dans sa bulle, artitiquement, à l'abri de toute attaque, psychologiquement.

  En gros,c'est que du business, tout ça, n'est ce pas ?

  La souffrance générée, ma Foi, je crois qu'il s'en tape, mais alors, complètement.

 Maintenant, un autre problème se pose, et il est de taille....

  Le fait d'observer  des crimes commis, et des jugements rendus, et appliqués, quand il s'agit du milieu artitique, fait observer, qu'il se pose, un veritable cas de conscience, ensuite, qui réside dans le fait, qu'artistiquement, une fois la peine prononcée et exécutée, s'il est "entendable", au sens comprendre, que certains se trouvent choqués, par le fait de voir son travail promu... Je considère, comme particulièrement choquant, de refuser à l'artiste en question, une fois la peine executée, qu'il ne s'en trouve pas blanchi, comme doit bénéficier n'importe quel condamné, quelque soit le crime commis, et la peine en question.

  Je pense à Canta...

  D'accord, sur le fait, que le fait d'être artiste et riche, célèbre, ne doit surtout pas avoir pour conséquence, qu'ils soient au dessus des lois...Pour moi, c'est une évidence....

  Mais à l'inverse, une fois le crime payé, par le jugement rendu, et la peine executée, quelque soit la décision de Justice, je trouve incohérent,  de ne pas accorder la seconde chance,  au coupable en question.

  Pour polanski, le problème ne se pose pas sous cet angle, puisque certaines affaires sont en cours....

  J'ai le sentiment, our tout dire, d'être vraiment manipulée, pour le coup, parce que moi, qui lit peu, justement, le film dont il est le realisateur, bizarrement, est l'un des rares que j'ai lu, ces derniers temps, et que j'ai beaucoup apprecié, de Delphine de Vigan, "d'apres une histoire vraie".

   Je vous recommande chaleureusement le livre, d'ailleurs.

  Le problème réside donc, dans le fait que l'on reproche à la cinémathèque d'avoir organisé, cette rétrospective, à cause de ces accusations.

  Je suis d'accord avec cette posture, mais je m'en explique.

  C'est au prétexte que des accusations,  sont encore en cours, que je la justifie, et pas vis à vis des faits qui ont été jugés.

 Apres tout, chacun est libre individuellement, de juger, en son âme et conscience,  de boïcoter polanski, dans tout ce qu'il fait, non ?

  Mais de là, à mettre en avant l'oeuvre d'un homme, qui n'est même pas foutu d'emettre le moindre regret, sur cette periode trouble de son existence, voilà, ce qui moi, me pose veritablement problème.

  Et puis merde, enfin, il trouve le pognon, sans le moindre problème, pour exister artitiquement, et faire ses films, mais visiblement, il est trop con, et trop arrogant, pour dire, "j'ai vraiment deconné, alors, j'utilise mon pognon, pour proposer une arrangement amiable, à chacune de mes victmes, dont j'ai ruiné la vie et la carrière?" non mais c'est quoi, ce délire ?

  Même DSK, a lui, au moins, eu cette présence d'esprit, que de proposer un arrangement amiable, pour parvenir à avoir la paix, et ne plus être entravé, enfin, le moins possible.

  Alors, quoi, polanslki, est aussi con, qu'il est PETIT, c'est ça, son problème ?

Ha, ça, c'est sûr, pour être "petit", il est "petit".

Vendredi 6 octobre 2017 Questions sur le métier d'avocat.

Le 23/10/2017

https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-06-octobre-2017?xtmc=metier_avocats&xtnp=1&xtcr=1

Je précise que j'avais écouté cette emission, mais que partiellement parce que j'étais en voiture, je la réécoute.

Retour vers ses racines.

Le 18/10/2017

 Moi, perso, j'aimerai bien deja, à 56 ans, qu'on m'autorise à les quitter....

 Mais enfin, ça finira bien par arriver à un moment, ou un autre.

  On se pose toujours la question, à un moment ou  un autre, pas necessairement en période de crise, je précise, mais juste quelquefois,  quand un évènement survient, une naissance, un décès,  ou quoi que ce soit qui survient, et d'un seul, on se souvient.

   Alors, vous en aurez toujours pour vous dire gentiment, "et bien t'avais qu'à ne pas les laisser, becasse"....

  Certes...

  C'est présisément, par l'éloignement, justement, que l'on pend conscience de l'attachement que l'on a à ses racines, et la conscience véritable de cet attachement, ne peut se faire à aucun autre prix, ne serait ce que pour quelques semaines de vacances.

  Une autre raison demeure, qui réside dans le fait que familialement, des liens se  défont, ou des traumatismes vous font fuir, alors, pour vous protéger, l'éloignement aide à panser les plaies.

  C'est une stratégie qui peut aider, effectivement, mais il serait déraisonnable, de pêcher par naïveté sur ce point, car les traumatismes de l'enfance, sont ancrés en nous, et quelque soit l'endroit du monde où l'on habite, ces terribles valises, toujours vous poursuivront.

  L'idéal, en pareil cas, ors contraintes proffesionnelles, je veux dire, c'est de ne s'éloigner que de quelques dizaines de kilomètres, et ne pas hésiter à faire appel à un psy.

 Camille avait fait une chanson sur ce thème, dans son premier opus, "le sac des filles"....

http://www.deezer.com/search/camille%2C%20%22le%20sac%20des%20filles%22

 Elle s'appelle, "là où je suis née".

 Pour l'heure ce matin, c'est Rosemary Stanley, qui visiblement a fait des petits pieds, l'année dernière, elle aussi, une des Françoises, qui est retournée sur ses racines, à Lanmeur où visiblement, elle n'a pas eu la chance de croiser, le curé de là bas, qui revenait de sa baignade !

 

 En cours de commentaire.

 

Dominique Wolton a écrit sur le pape François.

Le 17/09/2017

dimanche 17 septembre 2017

08:07

 "Saint père", l'appeler saint Père.

   Moi aussi, comme Laurent Ruquier, je pourrai l'appeler ainsi, je trouve ça parfaitement légitime, non parce qu'il est "mon pape", mais parce qu'il le mérite amplement, posture que je n'aurai, je crois, jamais adopté, vis-à-vis de ses prédécesseurs, qui ont été bien moins courageux que lui, ne l'a jamais été, depuis le début de sa nomination, en temps que pape.

   Pour ce qui concerne le fait, qu'il ait choisi un français, pour ouvrir son cœur, et si j'approuve parfaitement les motivations, qui sont données par l'auteur,  je crois que c'est aussi, en partie lié à moi, qui suis française, pour le cas, où certains l'auraient oublié.

   Christine Angot, ensuite, explique que sa notion du temps, devient pour le moins contraire, aux propos tenus par l'auteur, si l'on observe que six mois de psychanalyse, lui ait semblé suffisant.

   Si je crois avoir un regard à présent assez affuté sur le sujet, tout comme elle, il me semble plutôt hasardeux, de prétendre qu'une psychanalyse soit inefficace, sous prétexte, qu'elle ait été aussi courte….

   En effet, chaque individu est unique, il le devient plus encore, au fur et à mesure, que les décennies se déroulent, et posent devant nous d'incroyables obstacles à franchir, et si l'on peut prétendre, dicerner certaines généralités, dans ce domaine, il me semble qu'elle tout comme moi, d'ailleurs, devons a voir la sagesse, de ne pas prendre nos expériences, sur le sujet, comme seul regard qui mériterait de valoir comme généralité….

  Pour ce qui concerne le regard qu'il donne, sur les femmes, alors, qu'on lui reproche, que sous prétexte qu'il ait eu quelques petites amies, il ne peut pas les prétendre…

  Mais peut on vraiment, aujourd'hui, prétendre les connaître? Ou plutôt NOUS CONNAITRE….

  Nous ne pouvons prétendre connaître les femmes, comme n'importe quel autre groupe d'humains, d'ailleurs, que par le regard un peu biaisé, de nos expériences personnelles, qui, si elle peuvent sembler partiales, quelquefois, présentent, au moins, l'aventage, de la bienveillance, enfin, j'ose l'espérer, là, où une plus grande subjectivité, peut être, le serait moins…

  Combien d'hommes, aujourd'hui, sont en couple, aujourd'hui, jeunes couples, vieux couples, qui font quelquefois, l'admiration, autour d'eux, alors, qu'une fois, entre leurs quatre murs, ils ne se parlent quasiment, pas, ou peu, et l'un et l'autre, vont confier leurs soucis, à l'extérieur ?

  Connaissent ils mieux pour autant, l'autre sexe, que quelqu'un, comme le pape ?... Pas si sûr.

  Bon ensuite, en ce qui concerne l'affaire barbarin, par contre je me range entièrement, derrière ce que prétend, Christine Angot….

 "Grâce à Dieu, les faits sont prescrits"….

  C’est-à-dire que pour barbarin, la réputation de l'Eglise, passe avant l'intérêt des enfants, qui avaient été confiés aux prêtres….

  Christine Angot dit : "il considère que le silence des enfants, traduit leur responsabilité", enfin, c'est tourné un peu comme ça.

  Quand l'auteur cherche à recentrer la problématique, sur le fait que la pédophilie, doit être revu sous l'angle sociétal donc, surtout, aussi familial, il a parfaitement raison… SAUF QUE…..

  Adopter cette tournure, démontre, une méconnaissance absolue de la psychologie de l'enfant, puisque c'est occulter entièrement, le fait que précisément, en temps que "notable spirituel", un prêtre est infiniment plus répréhensible, encore, que ne le serait un autre adulte, qui serait simplement responsable d'un enfant….

  Et que c'est justement aussi, parce qu'il s'agit d'un maitre spirituel, que l'enfant se tait, d'autant plus, vis-à-vis de sa famille, et de ses parents…

  Pour ce qui concerne le fait, d'observer le fait que l'Eglise, gère des temporalités, je dois admettre, que j'ai du mal, à taire ma colère, parce que la temporalité, j'y vois, moi, une autre notion, qui concerne le temps de prescription, en ce qui concerne les crimes sexuels, en général, et la Loi, qui est si imparfaite, encore, pour l'instant….

  Un enfant qui est victime d'un acte pédophile, est entièrement broyé, si cet acte est commis, par un prêtre, il l'est dix fois plus, n'en déplaise à certains, justement, parce que la notion de bienveillance, et de refuge spirituel, s'en trouve assassiné…

  Imaginez donc, ensuite, dans quel contexte cet enfant, (qui  existe encre aujourd'hui, pour information), et qui va se rendre au catéchisme, sachant que son père et sa mère, souhaite qu'il s'y rende, il n'ose rien dire, de peu du scandale, et ses parents, en gros, l'envoie direct à l'abattoir….

  Oui, j'ai bien dit AUJURD'HUI, là, au moment, où je vous parle.

  L'Eglise d'aujourd'hui, n'est pas responsable, pour ce cas là, puisque tant que l'enfant, terrifié, n'a pas tiré le signal d'alarme, et que les parents n'ont pas réagi….

  Ha, au fait, aujourd'hui, en 2017? Comment, réagit un père ou une mère, qui entend de la BOUCHE DES SON ENFANT, que le  prêtre, s'est fait faire une petite gâterie, et qu'il voit son gamin, en pleur, comment, réagit il ?

  Est-ce qu'il lui dit, comme je l'ai entendu, les années passées, en disant "tu te tais, tu mens, c'est impossible, " ou bien , "tu vas nous faire remarquer".

  Ou bien, "on ira pas au paradis, et ça sera ta faute"…

  Ne riez pas,…

  Enfin, si riez en, désolée, si je choque,  mais à for ce de filer, des coups de tatanes, dans la fourmilière, quelquefois, la colère est si grande….

  On nous parle là, une perception, du temps qui passe, aux yeux de l'Eglise, "la bonne blague".

  Jusqu'à preuve du contraire, la seule temporalité que connaît la Justice, elle, et la prescription,  c'est la temporalité du calendrier, celui, qui, je le rappelle, est basé, au départ, sur le naissance, du Christ, celui là, même que l'on vénère, dans la religion, catholique, ha, ça, pour être "vener", je suis vener…..

  Pour information, je signale juste qu'un enfant, quia été victime, d'un pédophile, voir, son traumatisme, inscrit, sur son génome, et que cette trace sur son génome, est inscrite, SUR TROIS GENERATIONS…..

 TROIS GENERATIONS…..

  Alors, NOUS AUSSUI, LES VICTIMES DE PEDOPHILIE AVONS NOTRE TEMPORALITE !

  Pour ce qui concerne les reproches, qui sont faits, sur la responsabilité des enfants…

  Je n'ai pas lu, les propos, qui sont reportés dans le livre.

  Mais de façon générale, pour qu'un enfant, soit tenté de se confier, à ses parents, quand il subit un acte de pédophilie,  il doit se trouver en confiance.

  Ce qui traduit, la position, de Christine Angot, et j'espère ne pas la trahir en disant cela, c'est que les choses, sont présentées, comme si l'enfant, parce qu'il a été silencieux, est perçu, comme étant responsable des accusations, qu'il profère ultérieurement.

   Je ne crois pas que l'on reprocherait à un enfant de s'être tu, pour un crime semblable, dans un contexte, qui serait en dehors du contexte religieux…

   Mais là, PARCE QU'IL S'AGIT DE L'EGLISE, on le lui reproche.

   Il me semble que c'est sous cet angle que les choses doivent être observées, parce que la Vérité réside dans le fait, que ça braque l'objectif sur le fait que la pédophilie, serait moins grave dans le cadre religieux  qu'elle ne le serait dans les autres sphères sociétales.

  Ce qui je prétend là, n'est pas de l'ordre de la suspicion, mais de l'ordre de l'absolue certitude.

  Il est probable que beaucoup, qui ont la chance, de ne jamais avoir été confrontés, à la pédophilie, de près ou de loin, et s'il est un point que cette observation, met en évidence, c'est que ça ouvre la boite de pandore, sur le fait, parfaitement positif, celui, là, qui réside, dans le fait, que l'Eglise catholique, au moment, où je vous parle, EST LE SEULE A AVOIR OBSERVE LE PHENOMENE PEDOPHILIE AVEC INTELLIGENCE ET HONNETETE…. De la part du pape.

 Car les pédophiles, au sein des autres cultes, eux, agissent en toute légalité, sans que jamais personne ne trouve à y redire.

   Je sais, par exemple, qu'aujourd'hui, beaucoup de curseurs, bougent, au sein de l'Eglise, qui tendent à faire évoluer, les choses, sur  le mariage des prêtres, par exemple,  qui  n'est pas le seul point, qui a lui seul, pourrait résoudre, le problème de la négation, du plaisir charnel, vis-à-vis de l'Eglise, nous sommes bien d'accord, mais qui au moins, tend à proposer des solutions….

   Aujourd'hui, je sais, parce que j'en ai été informée, que les jeunes hommes, qui souhaitent devenir prêtres, et entament des études, dans cet objectif, font l(objet, d'une détection véritable, relativement au risque pédophile…

  Quand je parle "détection", c'est au sens large, qu'il faut l'entendre, et je ne sais pas comment, c'est organisé, mais je sais que  c'est fait, véritablement, et la raison, c'est qu'il y a plusieurs années, j'avais m pointé du doigt, le fait, qu'un e pédophile, avéré, avait tout intérêt, à devenir prêtre, puisqu'il savait qu'il serait couvert, par l'Eglise…

   Alors, du coup,  à présent, ils e  anticipent les risques.

  Je précise que cette détection ne peut en aucune façon, être sécure à 100%... Quelle qu'elle soit.

   Mais au moins, par ce fait, et combiné au fait que l'Eglise, n'est plus considérée à présent, grâce au pape François, comme antinomique avec la psychanalyse, les officiants, qui œuvrent à encadrer les postulants prêtres,  agissent en ce sens.

   Je précise, d'autre part qu'au sein de chaque diocèse, il y a un psychiatre,  qui collabore avec le culte, enfin, c'est le cas pour le diocèse de Rouen, en tout cas, que je connais mieux que les autres, puisque c'est mon diocèse.

  Je précise que Monseigneur Lebrun, s'est vu remettre ces jours derniers, la légion d'Honneur.

https://actu.fr/normandie/rouen_76540/apres-une-annee-eprouvante-larcheveque-rouen-recoit-legion-dhonneur_11900320.html

  Je précise ma pensée, s j'ai moi aussi, beaucoup d'admiration pour mon Evêque, je connais fort bien sa position sur le droit à l'avortement, et l'euthanasie…

  Mais "ne mélangeons pas tout".

  Pour ce qui concerne le rapport au temps, qui est dénoncé par Dominique Wolton,  c'est en ce sens, qu'il faut l'entendre…

  Ca met alors, parfaitement en lumière, justement, la relation, que nous avons, tout à chacun, avec le culte…

  Pour quelle raison, va t'on à l'Eglise, est ce que c'est pour se souvenir de quelle culture nous sommes issus ? 

  Est ce que c'est pour se retrouver "entre soi" ?

  Est ce que parce qu'on croit en Dieu ?

  Ne riez pas, certains vont à la messe, alors, qu'ils ne croient pas nécessairement, mais ça les rassure….

  Certains croient, et ne veulent pas entendre parler de culte…

  Certains y vont uniquement  pour les valeurs.

  La relation à Dieu, si l'on y croit, est très diverse, celle au culte, l'est d'autant plus.

  Et c'est pour cette raison que cette notion de temps, que l'on doit rattacher, à la notion d'adaptabilité, doit être retenue, comme une forme d'indulgence, vis-à-vis du pape, sur ces problèmes de société, il me semble.

 En cours de rédaction.

2017, une soirée continue, sur France 3, contre le viol.

Le 12/09/2017

 

  Je tiens à faire une mise au point, face à ceux qui soNt victimes de ces crimes Sexuels, et qui portent d'autres noms, aussi, comme attouchements, inceste,  pédophilie,  que si je ne parle que tr7s peu, pas assez je suppose, de ces crimes? ce fait a pour principale raison, que j'en suis complètement guerrie.

  Et que c'est précisément, parce que j'en suis parfaitement guerrie, que je n'en parle plus guère, "pour l'instant".

   Il ne faut voir dans ma posture, aucun mépris ou démotivation face à cette cause, bien au contraire, mais uniquement, le fait que cette cause, me tient à coeur, non pas plus qu'une autre, mais plutôt, autant qu'une autre.

  En ce sens, je suis accaparée, par d'autres sujets, comme  la famille, notamment, entre autre, mais surtout, d'autres thèmes, qui comme la famille, justement, sont précisement, intimement liés à la lutte contre le viol, et les crimes sexuels...

  En ce sens, il ne faut surtout pas considérer ce fait, comme une forme de résignation, venant de moi, bien au contraire, mais juste comme un signe, qu'on peut s'en sortir véritablement, et rien de plus.

  Par contre, sur ce plan là, j'ai une excellente nouvelle à vous annoncer, me concernant. 

  Depuis des années, sur differents aspects de la santé, je suis amenéee, et sollicitée, pour devenir "patiente experte", comme le sont beaucoup de malades, qui souhaitent mettre leur experience en temps que patients, au service es chercheurs, ou des associations.

  Jusqu'à il y a quelques mois, maintenant, le prétexte psychiatrique (par le biais des expertises mensongères) avait rendu impossible, la moindre chance, que ce soit envisageable, pour des raisons parfaitement coherentes.

  Lors de l'entrevue  avec la juge des tutelles, il y a quelques mois, il a été entendu, que la seule raison pour laquelle je serai maintenue sous curatelle, désormais, ne serait que pour répondre à ma demande, uniquement afin de servir de période transitoire à la tutelle, et la sortie de la moindre mesure de protection juridique.

  En théorie, en tout cas, plus rien de  ne s'opose, au fai, que je devienne patiente experte....

  Par contre, alors qu'il est prévu aussi, que je postule comme assesseur, auprès d'un tribunal, pour aider les magistrats,  au sujet des crimes sexuels,  j'ai deja fait la demarche les années passées, postulé etc, mais la moindre mesure de protection, donc, aussi, la curatelle, entrave entièrement, la moindre chance que ce soit realisable....

  Ca ne pourra donc se faire, strictement, que quand je serai délivrée de la moindre mesure de protection,  ce qui est aussi le cas, pour que je puisse donner mon sang, soit dit en passant.

 En cours de rédaction.

Compagnes, Muses, Égéries," que d'la merde, moi je vous le dis" !

Le 19/08/2015

 Et bien oui quoi enfin, merde, "on est une bande de potes et on se fend la gueule", je dirai même, "à coup de "hâch"......

 Ces derniers temps, figurez vous, France inter "fidèles serviteurs, de ma modeste personne"  a rediffusé des émissions à mon intention.

 L'une d'elle m'a particulièrement touchée, d'autant que je retrouvais mes pinceaux, ce qui accomapgnait mon adolescence, au sujet de Robert Charlebois, dont voici le lien.

http://www.franceinter.fr/emission-charlebois-par-dela-lindberg

 Et une seconde au sujet de Renaud, qui ne semblait pas être une rediff' ou bien alors, j'aurai raté un truc.

 Le lien est ici :

http://www.franceinter.fr/emission-docteur-renaud-mister-renard

Il me semblait que le titre pourtant, mais non.

 Qu'il y ait toujours une femme ou plus precisement, DES FEMMES derrière chaque homme célèbre, n'a jamais fait aucun doute. Je sais que certaines feministes d'ailleurs ont deja travaillé sur ce sujet, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'y a voir acces plus que celà.

   Mais s'il est un secteur où ce phénomène est plus pregnant encore, c'est bien dans le secteur artistique, pour la simple raison que ces chers petits anges sont souvnet des  porte couilles torturés, qui font que chialer leur race, des qu'un problème existentiel leur tombe dessus, et qu'ils sont bien trouver leur petite MOMAN , ou leurs nanas qu'ils sollicitent pour sécher leurs larmes.

 Alors à la question, "est ce que le milieu artistique est plus machiste que d'autres secteurs je dirai moi, NON....

 Mais entendons nous bien. je parle, moi, de machisme idéologique.

 Ou si vous préférez.

 "Est ce que le milieu artistique considère que les femmes sont des petits êtres sans défense, qui doivent rester à leurs maison, pour torcher le cul des gosses".....

 Non, excusez moi.

   Au fond de la caverne, pour balayer le sol, avec une queue d'un cheval sur lequel son mari à bondi, le couteau entre les dents, pour lui fabriquer un balais "made in caverne" et qui ne sera même pas homologué "SALON DES METIERS D'ARTS", et bien ça dépend de qui l'on a en face de soi.

 Si c'est un artiste, vous pensez bien qu'il n'est pas fou. Lui certainement pas.... Et puis pour l'inspiration et pour le reste on sait tres bien qu'une femme, c'est ma foi, comment dirai je... Fort utile.

 Si c'est un producteur, elle n'a d'égart que pour d'une part tout ce qui est logistique,  bien planquée dans un bureau, à trouver des solutions parce que les portes couilles, qui eux, sont à la tête de maison de production, eux, n'ont pas assez de jugeote, pour trouver les solutions.

 Autre hypothèse c'est l'éventualité qu'elle ait effectivement du talent, alors dans cette hypothèse bien sûr c'est une autre paire de manche parce que ça peut rapporter gros donc...

  L'idéal quand même, c'est qu'elle ait deja eu des mouflets, parce qu'elle ne risque pas d'interrompre sa carrière, dans quelques années pour cause d'éprouver un besoin irrepressible de se reproduire cette petite conne.

 Mais non, "je ne vise personne", bien sûr que non. Pensez donc, franchement, c'est bien mal me connaitre.

 En fait, il reste quand même celles, aussi, qui ont non seulement du talent, mais qui en plus sont infiniment plus talentueuses,  et qui ont une sacrée grande gueule, et qui poussent même le champignon, jusqu'à discuter le bout gras pour se faire arnaquer par le producteur "le moins possible".

 En fait c'est là aujourd'hui, que réside véritablement le problème.  Car ce sont celles là, qui sont les plus chiantes bien sûr. Vous ne croyez tout de même pas qu'elle en sont arrivé là, pour ensuite, la fermer manquerait plus que ça !

 Et puis il y a les femmes de l'ombre,  les fan de l'ombre je dirai même..... Moi qui n'ai pas envoyé la moindre lettre à Thomas Fersen depuis bien des années, j'imagine que le secrétariat de Tôt ou Tard doit litteralement crouler sous le poids de ces lettres enamourées.

 Mais le pire, c'est que ça doit être pareil dans toutes les maisons de production, au point qu'ils ont tous décidé de faire comme à l'Elysée, embaucher 80 personnes rien que pour  le traitement du courrier.

 D'ailleurs, chez Tôt ou Tard, c'est assez simple, ils ont carrement ouvert une rubrique "comlombophilie" pour que le courrier, arrive par pigeon interplanétaire, de telle sorte que dans l'hypothèse d'une grève "ino  pinnée" (ce qui n'a rien de graveleux, je le précise) leurs chers petits chanteurs, n'aient surtout pas le fil rompu, avec leurs fans c'est vous dire.

  Parce que personne n'est au courant, mais la sonde Rosetta c'est entre autre pour ça qu'elle a été crée il y a quelques années et l'ensemble de la NASA oeuvre aussi, en ce sens.

  Et la fiente des pigeons en question, est prévue, pour servir de capaplasme, pour traiter la calvitie, devinez de qui ?

 Bon "ça c'est fait".

 Ensuite, je precise que pour moi, c'est un peu delicat, de ne parler que de l'un (Charlebois),, et ensuite de l'autre (Renaud) justement parce que chaque cas est bien particulier.

 J'avais écrit à Renaud moi il y a quelques années, à la main.

 Bref. Je ne sais pas si ça lui a apporté quelquechose, je n'en sais rien.  je n'ai jamais eu deses nouvelles autrement que par manipulation, comme chacun à l'habitude de le faire, avec la complicité de Thomas Fersen.

  Je l'ai fait, comme je l'aurai fait pour n'importe qui.  Ca n'a donc aucune importance.

   J'avais pointé du doigt à l'époque le concernant, le fait que son frère, qui n'est au chanteur que l'ombre de ce dernier,  jouait un rôle dans le mal être de renaud, ce qui moi, me semblait une evidence.

   Pour cette même raison, d'ailleurs, on écoute dans cette émission sa maman. Mais nulle part, absolumnt on entend parler, de son paternel....

    Je ne sais pas, il ne vit peut être plus, mais même par le passé, de toute évidence, cette "parait il" culpabilité, relative au fait de gagner beaucoup d'argent, soit je peux le comprendre, avec un père pasteur.

  Mais enfin, un père pasteur, n'en reste pas moins un père. Et sur ce point, de toute évidence Renaud, a toujours eu un problème véritable.

   Je pense moi que son frère qui se dit si bien intentionné vis à vis de son frère Renaud sechan, est une forme de parasite, veritable,  qui mine de rien, prend toujours pla parole, ecrit des libvres plusieurs, sur lui....

    Et que s'il s'en écartait véritablement, ET QU'IL CESSE DE GAGNER DE L'ARGENT RELATIVEMENT AUS SOUFFRANCES DES SON FRERE QUI LUI A DU TALENT, il est tout à fait probable que renaud irait mieux de façon plus constante en tout cas.

 Que j'ai tenu ce discours deja, qui n'est pas nouveau, alors que je suis la seule, remonte à plusieurs années.

  Là, pour l'émission, on a recommencé à lui demander son point de  vue.

 Je cite "quand Dominique et lui ont decidé de se séparer, il y avait un appart au dessus de la closeraie des Lilas"...

 Soit. Si Renaud choisissait de vivre au dessus de son lieu de perdition, c'était son choix;

 Mais làoù l'on voit bien que le frangin y trouvait veritablemet son compte ainsi que sa copine soit dit en passant, c'es qu'il sont venus crechaer avec lui chez lui !

   Ha mais moi, perso, en temps que franf gine si j'avais eu une soeur alcoolique et qu'il soit envisagé  qu'elle deménage la dernière des choses que j'aurai faite aurait té d'aller habiter precisement, au dessus d'un bistraot ! franchement. Drôle de conception de l'entraide familiale si j'ose dire, franchement.

   Le coup de la copine qui lui lave son tee shirt, qu'il n'a pas changé depuis trois semaines, c'est limite qs'il n'a pas precisé qu'elle a bien fait attention de ne pas le reveiller, de son sommeil version "viande froide" je dois dire que je me suis retennue de verser une petite larmes, devant cette belle soeur si bien intentionnée non vraimnt je vou jure.

 Putain de bordel de merde, "les charognes".

 Voilà, à quoi, on a affaire.

   Mais attendez là, où franchement ça devient risible, c'est quand il explique, au sujet de la dualité, qui existe entre "mister renard" et "mister renaud" il dit textuellement la chose suivante. Vous pouvez vérifier.

  Je pense moi, que pour être franc (j'ose à peine imaginer ce que ce doit être quand il triche ou qu'il ment), les deux personnages, dont il est question, et que revendique Renaud par l'une de ses chansons,  sont en fait intimenent liées et extrêmement complices, la frontière entre les deux personnages etant particulièrement floues".

 Bon OK, je ne suis pas allée réécouter ce ne sont peut être pas ces mots précisement qu'il a dit, mais c'est ce qu'il m'a semblé vouloir exprimer...

 Et d'enchainer tenez vous bien, au sujet de Dominique, la mère de Lolita celle là m^ême qui est la femme de sa vie et la maman de Lolita, que je le cite: "je me demande même si dans son esprit, le flou artitique qui existait entre les deux personnages ne faisait pas son affaire".....

 Bon alors là, mesdames et messieurs, on applaudit bien fort, devant une telle langue de bois, parce que franchement comme on dit, "ça force le respect".

 Je lui conseille de se lancer dans la politique, version, "je nage en eau trouble", en principe l'adaptation, devrait se faire relativement facilement.

 Ce que je trouve absolument incroyable, moi c'est que ce discours, qui me révolte au plus haut point, tend à faire croire qu'il soit necessaire d'être dépravé pour être créatif, ce qui est abslument faux....

 

Samedi 28 octobre 2016.

   Ces jours derniers, on apprenait que certains hummoristes, refusaient de venir en France, ou de collaborer, avec les humoristes canadiens, parce que certains plagient certains de leurs humoristes.

   Et oui, et bien, moi, qu'est ce que je dirai, alors.....

   Il ne se trouve pas un humoriste français, mais aussi canadien ou américain, qui ne soit venu depuis toutes ces années bouffer à mon râtelier, côté inspiration, je serai tentée de préciser, "si ça n'était que celà"....

   Non, infiniment plus inquiétant, psychologiquement en temps que plagia, carrément sur des jeux de mots, bien précis,  DONT J’ÉTAIS L'AUTEUR et avec l'entière complicité de mon coach, qui les leur transmettait et leur transmet encore....

   Comment je vis, ça ?

   J'ai toujours vécu ça, extrêmement mal, et je le vis toujours extrêmement mal, avec un sentiment de viol intellectuel permanent, dans l’indifférence générale.

   Et pou ceux qui se demandent pourquoi et à quel titre, je n'ai jamais pris la peine de monter sur scène, et d'être humoriste moi même, je répondrai que la raison d’état semble bien justifier  aux yeux de mon coach que ce sentiment de viol permanent, qu'il trouve lui légitime, ne semble pas lui poser le moindre problème de conscience, pas plus qu'il n'en pose, d'ailleurs aux humoristes, ou aux artistes qui en jouissent.... 
 
   Et comble de l'ironie,  ce connard "porte couilles", au Canada, qui  dirigeait ce festival de l'humour, JUSTE POUR RIRE....

  Soyez sans crainte, ça n'est pas demain la veille, que je risque d'en rire, moi, parce que jusqu'à preuve du contraire, et je l'ai encore appris à mes dépends, la semaine dernière, une muse jamais n'existe autrement, que par la reconnaissance, de l'artiste ou des artistes, qu'elle ait inspirés, ou qu'elle inspire,  encore aujourd'hui, quand à ma nature profonde,  celle d'humoriste et d'artiste, tout le monde dans le milieu médiatique, et le milieu artistique a tellement chié dessus, que j'ai le sentiment, que jamais je ne m'en relèverai.