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désinhibition

Addictions, prendre le mal à la racine.

Le 19/07/2015

   J'ai pour ambition d'écrire un livre sur le sujet.

   Imposible pour information, de traiter de ce sujet de façon aussi peu efficace qu'un simple article, si bien ficelé soit il, parce que le suvol quelquefois fait plus de mal que de bien, pour aider quelqu'un qui est confronté au problème, que ce soit pour lui même, dans son couple, dans sa famille, ou dans un contexte qui soit autre.

   Némmoins, si je ne vais pas approfondir ici, je vais malgré tout  aborder le sujet qui réside dans le fait qu'au sein d'une famille certains voient ceux qu'ils aiment sombrer malgré l'Amour qu'ils leur portent, et que cet aveu d'impuissance est à lui seul, une veritable torture psychologique.

   Il existe en effet quelques pistes, qui doivent être explorées, pour que la personne qui est malade d'alcoolisme, par exemple, (mais j'aurai pu en dire autant de n'importe quelle autre addiction), prenne véritablement conscience du fait qu'il est malade.

  Ces pistes consitent deja par commencer,  par aborder le sujet "quand il est à jeun".

 C'est à dire le matin au petit dej', pour être vraiment sûr qu'il ait les idées claires et pas deja embuées des vapeurs d'alcool.

  S'il est dans la déni, je vous recommande de lui imposer de s'appliquer lui seul, le fait de passer une semaine sans boire la moindre goutte d'alcool.

   Et puis vous en reparlez avec lui, ou elle.

.  S'il vous raconte et qu'il '  (elle) arrive à admettre qu'il est en souffrance, c'est qu'il est récuperable puisqu'il passe l'épreuve deja de la reconnaissance de sa maladie.

  Généralement, il va vous dire qu'il l'a fait,  et que ça n'a rien révélé de particulier, et que donc il n'est pas alcoolique.

   En fait,  au bout  de quelques jours ou quelques heures il a craqué parce qu'il a été en manque ce qui est cohérent  et vous ment le plus éfrontément du monde, comme le font l'absolue tiotalité des malades mentaux qui souffrent d'addiction.

   C'est assez simple, si c'est quelqu'un que vous aimez, ça fait bien des années que vous savez parfaitement decrypter les moindres signes qui vous démontrent que vous savez VOUS très exactement où il ou elle en est, bouteilles planquées, cuites, en votre absence, souvent, à la maison dans l'espoir que personne ne le sache, avec l'alcool acheté en supermarché, et biture au domicile, salle de dégrisement dans le lit familial, les heures qui suivent.

   Petit à petit, le déni continue, les répercussions sur la santé, sur le travail et sa famille le plus souvent, commencent l'entourage ne sait plus comment faire pour l'aider.

  Quand l'alcoolique lui ou elle, est conscient de son etat, et que donc il accepte d'être aidé, alors, certaines choses peuvent être mises en place.

  Je vous donne des liens.

http://www.france2.fr/emissions/toute-une-histoire/diffusions/02-03-2015_306713

http://www.france2.fr/emissions/toute-une-histoire/diffusions/20-05-2015_329431

http://www.alcool-info-service.fr/Actualites/Alcoolisme-comment-etre-aide-dans-l-emission-Toute-une-histoire#.Vat5kvmOrEg

   Une piste qui n'est pas souvent évoquée est celle de l'hypnose.

  Je précise cependant qu'il faut bien avoir conscience que ce qui importe réside dans le fait que pour une efficacité optimlale, il est souhaitable de traiter le problème de façon plus profonde et en comprendre les raisons aussi. Sinon c'est peine perdue.

  Certes, quand je parle d'hypnose je sais que ça peut vraiment aider dans bien plus de pathologies que l'on ne pense, mais j'y reviendrai.

  Mais pour n'importe quelle forme d'addiction, il faut comprendre que si l'on refuse d'admettre que cette addiction se soit installée pour des raisons précises,  qui doivent donc être comprises, on part dans une démarche thérapeutique qui va à l'encontre du traitement, puisque ça sous entendrait que le malade soit extérieur à sa cure. Ou au fait de se soigner.

   Un peu comme si Tartampion en question disait "Moi je suis alcooloique, ok, mais c'est pas ma faute, j'y suis pour rien, et ça n'a rien à voir avec mon histoire".

    Donc en gros "J'achète un moyen de m'en sortir" (tant que ça n'est pas au bistrot du coin l'honneur est sauf) et voilà, on va faire comme ça".

    C'est très exactement selon ce shémas que fonctionnent les dérives sectaires, par exemple en proposant des  shémas psychologiques qui résoudraient selon eux, le problème auquel vous êtes confrontés. Voilà où reside le danger.

   Alors se faire aider par l'hypnose, ou un autre moyen thérapeutique, moi je dis d'accord, mais il ne faut pas oublier le traitement de fond, qui est un travail plus long qui se fait par la parole, entre autre, qu'elle soit parlée ou écrite, et qui a pour but de soigner le mal à la racine.

    Ensuite, pour les cas de dénis absolus, et la famille est véritablement très inquiète, moi je les comprends fort bien. J'ai connu plusieurs cas aigus, et la mort arrive bien vite, helas.

   Dans cette hypothèse, il ne faut pas avoir de scupules et employer la méthode forte, et le faire hospitaliser en HP.

   En HP on peut être hospitalisé soit de son propre chef (mais ils ne sont généralement pas d'accord) soit sous la décision d'un tiers.

   Ce tiers peut parfaitement être "plusieurs" de telle sorte que les reproches éventuels seraient "dilués". REPROCHES oui, j'ai bien dit REPROCHES; Et puis alors. pourquoi pas ?

   Il faut bien appeler "un chat", "un chat". Aussi étrange que ça puisse paraitre, faire hospitaliser en HP quelqu'un qu'on aime, est précisement une véritable preuve d'Amour, plus souvent qu'on ne le pense.

  Pourquoi faire ?

   Et bien justement, le deni dont il est conscient lui, d'un seul coup, va se retrouver être l'objet d'interrogations de la part des médecins qui sont habitués à ces problèmes de dépendance.

  Ensuite les médecins psychologues et psychiatres selon qu'ils auront réussi ou pas à aider à la prise de conscience, seront à même de décider si oui, ou non il est envisageable de pouvoir tenter un travail therapeutique de la maladie et un traitement psy, si le pateint est partant.

 Mais je vous préviens simplement,  qu'il arrive que cette hiospitalisation ne parvienne pas à provoquer, le soubressaut attendu ou si vous préférez le formidable coup de pied au cul, qui doit être donné.

 Il en est aisi pour n'importe quel problème psy.

   Moi je connais un homme qui a été violé quand il était enfant, qui a déconné dans sa vie d'adulte, comme pas possible, alcoolisme, aussi, "bien sûr, helas", comme ça arrive souvent.

   Hospitalisé en HP, à Saint Etienne du Rouvray à plusieurs reprises, il n'a absolument jamais voulu en quoi que ce soit, admettre ni son alccolisme, ni vouloir comprendre son cheminement et comment il en etait arrivé là.

   Mais au moins, pour l'entourage, absolument personne ne pourra prétendre que ces derniers n'aient pas fait le necessaire en employant la manière forte, pour l'en sortir.

   Ensuite, un malade qui ne veut pas guerrir, il importe de savoir garder ses distances, et de s'en protéger, surtout au sein d'une famille.

  Car l'alcoolisme détruit énormement de familles, et d'enfants.

  Enfin voilà. COURAGE pour ceux dans les familles, qui y sont confrontés. Et n'oubliez surtout pas qu'on ne peut pas guérir d'addictions, quelqu'un qui ne veut en aucun cas en guerrir, c'est pourquoi il importe d'envoyer les bons signaux et d'avoir le courage de faire ce qu'il faut, et ensuite se protéger.

 

 Mercredi 16 septembre 2015.

Le tabagisme.

   Je n'ai pas encore parlé de ce sujet, parce que je n'ai pas eu le temps. Il s'agit du paquet neutre.

https://webmail1e.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=20618&check=&SORTBY=1

   Moi je suis pour le paquet neutre, et je m'en explique.

   Chacun sait pertinamment qu'on commence à fumer dans une demarche inconsciente qui est liée notamment au rite initiatique.

   En gros, pour avoir le sentiment, d'accéder au statut d'adulte, on adopte une conduite à risque, je vous grâce de l'évantail du problème, et l'accès à la cigarette,  en fait partie.

   Les enfants qui ont des parents fumeurs s'ils ne fument pas sytemtiquement, sont plus prédisposés à fumer. C'est logique, puisqu'ils copient le modèle, je n'ai jamais encore entendu de statistiques sur le sujet. 9a n'est pas systematique pourtant moi je n'ai jamais fumé, mon ex si et une de mes filles, fule mais tres peu je crois.

   Mais si lon considére que l'apparence du paquet joue un rôle important ce  qui ne peut pas être nié, alors je pense oui que de lui interdire d'existersur le plan esthetique peut être interressant.

   Pour ce qui concerne les debit de tabac, qui sont en desaccord, relativement à cette mesire je leur conseille de diversifier leur activité au delà du cercle des dependances...

   Je veux dire qu'un bureau de tabac, qui ne vit que des dependances, qui relevent de pathologie,  (addictions aux jeux à l'alcool, et à la cigarette) devraient se diversifier. vendre des journeaux par exemple, ou autre chose.

 J'ai fait une proposition sur ce sujet qui s'appelle "le cabaret des oiseaux".

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/culture/la-loi-cabaret-des-oiseaux.html

 

 Jeudi 12 novembre 2015.

http://www.levif.be/actualite/belgique/le-consumerisme-est-le-nouvel-opium-du-peuple/article-normal-433405.html

 Ha bon ? Et.... C'est nouveau ? ça ? Vraiment ?

 En cours de rédaction.

Jeudi 21 janvier 2016.

  Je précise que les CHU, proposent différentes possibilités d'aide aux familles et adolescents qui sont demandeurs, car il est possible que le problème soit pris en considération, en amont, avant que ça ne soit plus grave.

http://www.ch-lerouvray.fr/Centre_hospitalier/presentation.html

 1001 vies, sur les addictions.

https://brouettenielaubine.wordpress.com/2017/01/18/1001-vies-les-addictions-2/