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vaccin

Les alternatives aux antibiotiques chimiques.

Le 27/07/2018

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 Je ne suis pas naturopathe, c'est vrai, mais certaines règles de bon sens, peuvent néammoins, être observées.

  Pour a voir une bonne defense immunitaire,  il est necessaire que l'organisme ne soit pas encassé, par tout un tas de molecules chimiques, qui sont utilisées, dans l'industrie alimentaire.

 "Le BIO, y'a que ça de vrai"... oui, je sais, ça en emmerde plus d'un, qu'on le rappelle, il n'empêche que ça reste vrai, et m^me si certains produits BIO, qui viennet de l'etranger, et donc, repondent à des normes, qui sont moins severes que les notres,  il n'en demeure pas moins, que ça reste vrai.

  Sur le plan ethique, il importe aussi, dans cette m^me logique, de veiller, à ce que certaines denrées n'aient pas traversé les oceans, pour venir satisfaire votre envie de manger BIO.

   Il arrive quelquefois, qu'il soit plus judicieux, d'acheter à un petit producteur local, qui n'est pas necessairement bio, mais dont vous connaissez les pratiques, ou qui est transition BIO, plutôt que de pratiquer une forme d'intégrisme, aussi déplacé que dénué de bon sens....

  Alors, certains me diront, "mais elle parle d'antibiotiques, et elle arrive sur le BIO"...

  Et oui, mais c'est que d'observer le problème des antibiotiques, sans parler des deéenses immunitaires, et de la capacité que devrait avoir chaque organisme, à s'autoguerrir, et juste impossible.

  Et pour s'autoguerrir, il faut un minimum respecter son corps, suffisemment, en tout cas, pour en prendre soin, et notamment, le nourrir convenablement.

  Je sais que sur le BIO, certains s'ingenuent, à faire courir certains à prioris, qui souvent, emanent, de ceux, qui travaillent, dans l'agriculture non BIO, et donc, intensive.

  Depuis qu'on a fait croire aux agriculteurs éleveurs, que l'agriculture, etait une industrie "comme une autre", oubliant, par ce fait, qu'ils travaillent tous, avec le patrimoine de l'humanité, j'ai nomme "le paysage", "le terroir", "la culture locale", "le climat", pour ne citer que celà, on les a dupés et manipulés, à grand renfort de siubventions, pour leur laisser croire, qu'avec le remembrement,  comme ici, chez nous, en Normandie, en faisant tomber les hêtraies, les talus, les clos masure, et les cours de pommiers, pour les remplacer par de haut et vastes bâtiments, ors de prix, ainsi que des tracteurs, qu'on dirait venus de je ne sais quelle planète, et qui pssent à peine, dans les routes de campagne, qui les endetteraient à vie, ils gagneraient mieux leur croûte en oubliant, simplement de leur préciser, que le revers de la médaille, serait qu'ils seraient confrontés, à une concurrence parfaitement deloyale, là, où l'Europe, qui a le dos large, ne risque pas d'avoir l'exclusivité.

  Mais revenons au BIO si j'ai bien compris, on s'en va vers un BIO, à deux vitesses, l'un, français, plus exigent, et integre, et un autre, européen (je parle des labels), qui le serait un peu moins.

  Je pense que c'est une bonne alternative, si l'on considère, qu'il vaut mieux progresser  de façon moins exigente mais plus surement, plutot que d'exiger, des critères trp difficiles à attenidre,  et que pour cette raison, auraient pu sembler, difficile à exiger des agricultures des autres pays européens;

  Apres tout, individuellement, il ne serait pas stupide, d'observer  que certains des autres pays européens, nous suive, prochainement, sur cette exigence, un peu plus marquée.

   Les mentalités évoluent, par le biais d'internet, notamment, je dirai, pour faire court, que '  "tout se  sait".... Et quand on observe comment la santé des citoyens évoluent, négativement, je veux dire,  c'est à dire qu'elle regresse, et que la recherche démontre de jour en jour, à quel point les subtances chimiques, employées par l'agriculture intensive nous empoisonne, la prise de conscience, qui s'en suit, joue en faveur du BIO,  et je suis absolument persuadée, que cette tendance, ira en croissant, de plus en plus.

  Pour être franche, pas besoin d'être "devine", pour s'en rendre compte. Même si ce son  de cloche, ça fait bientôt 18 ans, maintenant, que je le donne.

  Pour ce qui concerne le BIO, certaines idées reçues, perdurent.

 Ou pour être plus "synthetique", je dirai, que de se pencer sur le BIO, induit,  de se sentir capable, philosophiquement, d'accepter d'evoluer, et de changer, certaines, de nos pratiques.

 Avoir conscience, que le fait de se s nourrir, est un facteur important, pour son bien être, est fondamental.....

 Je sais, je suis un peu chiante, sur ce point.

 Mais la relation, qu'on entretient avec la nourriture, induit notre façon de cuisiner, par exemple.

  Là, où certains, vont faire leurs courses en grandes surface,  chaque semaine, même s'ils veillent, le plus possible, à se nourir le plus naturellement du monde (en tout cas, le croient ils) induit, necessairement, qu'entrant avec un caddie,  ils subissent les pub visuelles, les tentations de toute sorte, sensées leur donner bonne conscience, une fois l'achat fait,  à grand coup de terroir, et posé, dans le caddie.

  Résultat des courses, vous retouvez avec une multuitude d'emballages, recyclables, desormais, ce qui est vrai, mais où la logique, en verité, devrait être plutot, qu'ils ne soient pas produits....

  J'ai fait le choix, par curiosité, il y a quelques mois, de faire mes courses, dans un magasin BIO... une chaine, de magasins BIO, qui s'appelle "la Vie Claire", pour être precise.

  Bien loin, d'être une vulgaire opportunité de marketting, cette chaine de magasin, date des années 70, autant dire, que ça remonte à 50 ans.... belle experience, en tout cas.... je consomme différemment, je fais plus attention à ma façon de consommer, et j'estime être gagnante, financièrement, et psychologiquement.

  J'ai l'opportunité, surtout, ce qui me semble précieux, de jouir de plein de conseils de leur part et de pouvoir tester plein de produits, que je ne connais pas encore.

 En cours de redaction.