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Comment réalité virtuelle et intelligence artificielle vont révolutionner la pédagogie.

Le 15/07/2017

Dans ENSEIGNEMENT.

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   Bon, Ok, je comprends, je sais bien que le progrès, c'est le progrès, et que personne ne peut empêcher que ce dernier, si on ne s'y adapte pas, on risque de ne le subir, et pire, ne le subir que par le négatif.

  Mais soyez sans crainte, comme Simone n'est plus là, Françoise Veil, autant dire que pour vous montrer où se trouve les dangers, je ne risque pas de la fermer.

  Deja, pour ce qui est d'abandonner l'écriture cursive, je persiste et je signe...  Parce que je refuse qu'un enfant, ou qu'un adulte soit incapable de communiquer, sans technologie, dont il est devenu dépendant.

  Au passage, l'une de mes filles, m'a écrit à la main, il y a une quinzaine de jours, et vous ne soupçonnez pas à quel point, ça fait plus plaisir, qu'un mail, ou qu'un SMS !

  Pour la calculatrice, même topo.

  Qui aujourd'hui, est capable de faire une addition, ou une soustraction, une division, ou une multiplication, sans avoir la calculatrice en main  ?

  Je ne dis pas qu'il ne faut pas utiliser une calculatrice, je dis juste qu'il faut être raisonnable, et réaliser, que l'on est dépendants de certaines machines, et que ces dépendances, créent une forme d'atrophie, de zones du cerveau qui avec ces appareils, ne fonctionnent plus.

  Moi, quand on m'a fait subir une expertise psychiatrique, il y a quelques années, c'est ce qu'on m'avait demandé,  et à quatre chiffres, s'il vous plait.

  Ca peut sembler anecdotique, mais pour information, vous êtes quelque part, dans un endroit, un peu isolé, vous n'avez plus de portable (ho, mon Dieu mais quelle horreur, ma vie est fichée, pour ne pas dire, foulard !).

   Au fait, ce matin, j'ai pissé par terre et je me suis roulé dedans parce que je demande depuis des années, des portables, avec une simple petite manivelle intégrée, de telle sorte qu'en cas de pépin, et que votre portable soit déchargé, vous ayez moins l'air d'un con, ou d'une connasse, pour pouvoir appeler au secours, je sais qu'il existe mais je ne sais où on le vend, et qui le vend...

   Oui, il existe, il faut, pour avoir la preuve revoir, la totalité de toute les saisons, de la série, "fais pas ci, fais pas ça" !

  OUI, L'IDEE VIENT DE MOI , ET ALORS ?

   Mais revenons  à nos moutons, enfin, pour ceux qui ont survécu à Pâques,  et aux flageolets qui l'accompagnent sur la table de la salle à manger.

   Il est vrai, que cette notion de réalité virtuelle, à la base, est un truc, qui m'emmerde, je dois le reconnaitre, pour plein de raisons.

  J'y vois une entrave au pouvoir de l'imagination, puisque par définition, quand on lit un texte qui décrit une scène, en littérature, par exemple, les différentes zones du cerveau qui doivent être sollicitées, ne le seraient plus.

  J'y vois, une occasion supplémentaire, de la part des géants de l'informatique, de nous imposer leur lobbing, avec la clé,  une discrimination qui serait inevittable entre les écoles de riches, et les écoles de pauvres, et ce, y compris, ici, en France, mais comme dans n'importe quel pays que l'on dit civilisé...

 Comment vous dites ?

 J 'exagère ?

  Non, avec la diminution du nombre d'enfants par foyer, là, au moment où je vous parle, la notation des établissements scolaires modifie la cote de popularité de ces derniers, qui ont alors, pour conséquence, que les parents déménagent, pour que leur enfant, soit scolarisé, là où les écoles, sont les mieux cotées, au point que le prix du mètre carré de l'habitat s'en trouve modifié.

 Alors, quoi ?

 Vous combinez ça, avec cette histoire de haute technologie, et ça fait la rue Michel.

 Mais je précise ma pensée.

  Je ne voudrai pas que ma posture, si altruite (mouarfff !), soit interprétée comme une position de vieille conne, alors, ça, non, JAMAIS DE LA VIE...

  Oui, la réalité virtuelle, je vais vous dire, me fiche une peur bleu, comme vous ne le soupçonnez même pas, parce que je vois mieux que personne, ce que dans les mains de certains, ce que ça pourrait donner, et que ça me glace le sang.

  Bon, comme on dit vulgairement, "ça c'est fait".

  Mais je garde la tête froide, comme on dit.

  Et je vais ne me cantonner au côté éducatif.

  Je rappelle que je n'ai que le brevet des collèges, et que je n'ai pas eu mon BAC parce qu'il courrait trop vite, alors, j'ai laissé tomber.

  Je suis en droit de me demander, si par hasard, une telle techonologie, m'aurait aidée.

  Pour moi, NON.

 Mais moi, c'est moi, et je n'ai pas la prétention, d'être représentative, de l'ensemble des échecs scolaires.

  J'ai bien saisi, à la fin de l'article, que  l'individualité des enfants, et donc, de la relation, enseignant enfant, permettrait, que par cette individualité, les résultats soient meilleurs. Mais c'est juste oublier, que ce qui implique une interaction individuelle entre l'enseignant et son éleve, exigerait du temps disponible,  ce qui manque précisément, cruellement....

  C'est un peu, beaucoup, même, le syndrôme cameras de surveillance.

  Certaines villes, ou certains lieux, sont truffés de caméras, et des murs entiers, sont couverts de vidéos diffusée, et il n'y a pas assez de personnel pour les regarder, ça n'est qu'une fois, le délit commis, qu'on va regarder les vidéos.

  Et bien là, c'est pareil.

  Sauf, que c'est pire !

  Parce que l'élève, lui, se retrouverait, alors, utilisant cette machine, et "en stand bye", le temps que l'enseignant soit disponible !

PIRE....

  Là, où la présence de l'enseignant, doit effectivement combler le vide relationnel que connait l'enfant, dans son processus d'apprentissage,  (oui, souvent, c'est plus encore un problème psychologique qu'autre chose, même si ça n'est pas toujours le cas)la méthode de fonctionnement inhérente à la machine, le laisserait en plan...

  Ou bien alors, "automatiser" (yes, un peu plus de machines, et d'ordinateur, mdr), de telle sorte, que son enseignement soit encore plus deshumanisé....

  Et oui, enseigner, c'est d'abord, et avant tout une histoire d'affect, savoir donner envie,  c'est là, et pas ailleurs, que se trouve les clés véritables de tout apprentissage, et plus on met d'appareils, entre celui qui enseigne, et celui à qui l'on doit enseigner, et moins les résultats sont acquis.

  Cette théorie, vaut tout autant, entre adultes, pour information, ENSEIGNER C'EST AIMER  !

  Mais je précise ce que je dénonce, là, est parfaitement survolé, je le concède.

  Mais franchement, devant un enfant, qui est en échec scolaire, instinctivement c'est bien la dernière des idées, qui me viendrait à l'esprit.

  Je ne dis pas que pour certains profils, ou pour certains enseignements, tres spécifiques, ça ne puisse pas être à étudier, mais franchement, j'en doute fortement.

  C'est moi, qui ai été à l'origine des rythmes scolaires,  qui ont été mis sur pied, pour répondre au décrochage scolaire, et à l'echec scolaire, dès le primaire, l'objectif a consisté à entendre ce que se sont toujours accordés à admettre tous les pédagogues, et pédopsychiatres, qui ont travaillé sur le sujet, et qui consiste à admettre, que certaines heures sont plus propices à certaines matières, et d'autres tranches horaires, l'apres midi, à d'autres activités.

  Aujourd'hui, on trouve légitime de faire passer le bienfait des parents, avant celui des enfants.

  Car enfin, quoi  ?

  Que reproche t on, aux rythmes scolaires, qui bizarrement, ont miraculeusement, chang d'appelation, pour s'appeler, "la semaine de quatre jours"...

 Que nos enfants, se lèvent trop tôt, le mercredi matin...

 Ha, la belle affaire.

   Et statitiquement, que fait un enfant, quand il s'est levé, à l'heure qu'il a choisie, le mercredi matin ?

 Il glande devant la télévision !! Alors, "laissez moi rire".

  Oui, oui, je suis, sur ce sujet, remontée, mais alors, à un point, que vous ne soupçonnez pas, et là, où certains parents, trouvent ces revendications, parfaitement légitimes, et pretextant, cette histoire de mercredi matin, c'est en réalité, leur propre calendrier, ainsi que celui de leurs vacances scolaires, qui les préoccupe, infiniment plus que l'intérêt de leur enfant.... 

  Voilà, la vérité qui dérange.

  Et si leur enfant, se trouve en situation, d'échec scolaire, ou de décrochage, ils iront ensuite accabler les enseignants, alors, que la pratique des rythmes scolaires, a été mise sur pied, précisément, pour préparer chaque enfant, à mieux gérer sa situation d'échec, et mieux la surmonter, grâce à la pratique, de certaines activités.

 
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