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Familles toxiques.

Le 18/12/2014

Dans FAMILLE.

 

 Mercredi 16 septembre 2015.

"On a la famille que l'on mérite".

 Moi même, je reconnais que je l'ai deja pensé. C'est vrai, mais dans la réalité, en faible partie.

     De la même façon qu'il existe des parents qui sont fâchés avec leurs enfants, et qui demeurent incapables d'admettre leurs erreurs, que ce soit des ereurs passées ou actuelles, notre relation aux autres implique necessairement, en famille, comme dans n'importe quel groupe, qu'on fasse ce qui est nécessaire, pour que ça se passe suffisemment bien, pour qu'on puisse envisager de se fréquenter, et y trouver du plaisir.

 De façon générale, "où réside le problème" ?

 Il pourrait pretendre pretentieux de ma part, de donner des leçons. mais enfin, je ne vois pas trop qui serait en mesure n  de nier certaines evidences telles que le fait que soigner la communication netre les differents memebres, me semble juste le minimum syndical.....

 ça va là  je ne suis pas allée trop loin ?

    Envoyer une lettre, écrire à quelqu'un, et en attendre une réponse... Envoyer un mail, à un autre et en attendre une réponse....  Voir qu'on vous a laissé un message sur un répondeur, rappeler, et réaliser que ça ne donne rien, que cette personne ne rappelle pas.

Veiller à systèmtiquement rappeler quelqu'un qui a tenté de vous joindre, et ne pas mettre son téléphone systèmtiquement sur répondeur, pour ne pas être joint (e) alors que précisément on a systêmatiquement son propre portable ouvert considérant que SOI MÊME on trouve normal de joindre n'importe qui, n'importe quand.

   Certes, certains me diront (alors, que je précise que ça n'est pas à moi, précisément que je pense), que de communiquer avec certains peut être nuisible...

 Mais ce qu'il est alors intrressant de se poser, c'est POURQUOI ?

 Une mère qui va mal, et elle nous bassine, à ne faire que se plaindre,  et on n'aassume plus.

  Oui.... Je peux le comprendre.

 Chacun voit midi, à sa porte;

   Moi, je ne réagis pas comme ça. Je rappelle, généralement.  Et si quelqu'un est toxique, qu'il soit de la famille, ou pas, ami, ou pas, je préfère donner mon point de vue, et dire "quand je te parle, je me sens mal ensuite, et donc, je préfère ne pas te fréquenter" au moins cette posture, que je ne me permets qu'avec ceux que j'aime, a t elle au moins le mérite d'être infiniment plus saine.

 Certains diront "mais peut être que c'est toi qui deconne, et qui en fait est toxique vis à vis es autres".

   Oui, je reconnais que ce serait recevable,  mais cette posture n'est acceptable, que dans la mesure ou votre interlocuteur, est capable d'assumer la conversation, et de s'en expliquer veritablement, ce qui n'est jamais le cas.

   Je pense moi, qu'au sein des familles, le silence est infiniment plus toxique, que le fait de se mettre en colère, de s'expliquer ou de s'engueuler.

 C'est Gilbert Becaud qui avait écrit une chanson sur l'indifférence.

 
 
   Je sais, certains me diront "mais enfin tu dois bien y être pour quelquechose".....
 
  "Facile à dire". En fait, au sein des familles, le seul et uniquement problème est le suivant, "qu'est ce qu'on a envie de faire de son exitence et une fois que l'on sait, quand il y a conflit, pourquoi, et comment faire pour que ces conflits, cessent.
 Et là, la communication "à coeur ouvert" est juste indispensable...
 
   Et c'est là, qu'elle fait cruellement défaut, le plus souvent, pour la simple raison que l'on refuse d'admettre que nos enfants (je rappelle que j'ai encore ma mère et que j'ai trois grandes filles)puissent faire des choix de vie qui ne soient pas conformes à nos desirs propres.
 
   C'est pour cette raison, que je tente toujours d'inciter les  enfants quand il sont adultes, tant que possible, à éviter de recevoir de l'argent de leurs parents, surtout s'ils sentent qu'il ne peuvent pas leur parler à coeur ouvert. Parce que de façon inconsciente, quelquefois, ils ne font que vous acheter, et se croient alors autorisés, à s'immicer dans vos vies à vous.... Compliquant de faço considerable vos choix de vie, puisque ensuite, vous vous sentez redevables, vis à vis d'eux. 
 
 Alors, à la question "Est ce que je suis donc aussi péssimiste que celà sur la famille".... Et bien la réponse est NON, justement, absolument pas !
 
  Et la raison, réside précisement dans le fait que j'ai plus conscience que d'autres peut être, de ses dangers.
 
     Quand je vois des parents et enfants, qui bossent ensembles, sur une exploitation agricole, et que ça se passe bien, ou quelque soit le type de travail d'ailleurs, je suis pleine d'admiration, parce que je me dis que pour qu'il en soit ainsi, il est impératif, que la communication soit au top.....  Et ça ça me bluffe complètement.

   J'ai l'intention de bosser en famille, des que ça sera possible... Si c'est possible, j'en serai ravie, si ça ne se peut pas, et bien ça ne me posera aucun problème.... Moi ce que je souhaite vis à vis des gens que j'aime, c'est qu'ils soient heureux....

 Si leurs choix de vie est autre que de bosser avec moi, et bien  je m'y ferai sans aucun problème.

 

 La véritable histoire de "la Petite" et de sa famille d'origine.

 

  Aussi loin que Marie Françoise avait entendu parler de cette femme, elle avait entendu que  la grand-mère de cette petite fille avait été une « Marie Couche toi là ».

   Quand elle était petite, elle avait eu l’occasion de la rencontrer, chez elle, elle avait juste entendu dire, que pendant sa vie d’adulte ayant eu quatre enfants, deux filles, et deux garçons, elle partait de bon matin, on disait qu’elle allait rejoindre son amant à Dieppe….. Son mari, lui, on en parlait que pour dire qu’il buvait beaucoup. Pendant la journée les quatre enfants trainaient dans les bois, et allaient de maison en maison pour quémander du pain.

  Quand on passait devant leur maison on la voyait comme abandonnée au point qu’il y avait « des pouks aux fenêtres ».

   Pour son métier, c’était des « qu’en dira t’on »… Peut être était elle « chef d’entreprise » fort lucrative, on ne sait pas. Du plus loin que Marie Françoise s’en souvienne en tout cas, le peu qu’elle ait eu l’occasion de la voir, ou d’y être reçue chez elle, c’était une femme menant sa vie « tambour battant » et souriante. Une femme de tête.

 De ses deux fils, Marie Françoise n’entendait que rarement parler.

 Ses deux filles elles, eurent des destinées bien particulières.

    Début des années 1960. « Marie Maman », qui était la maman de Marie Françoise, était une jeune femme mariée à Marcel .

    Ils étaient agriculteurs, et avaient à cette époque, déjà deux enfants, un garçon qui s’appelaient respectivement Paul et Marie A.

   Mais Marie Maman, elle, avait beaucoup de mal à assurer, puisque comme toutes les femmes qui étaient agricultrices à l’époque, il fallait assurer sur tous les fronts en même temps, la traite des vaches, la maison, et surveiller les enfants, qui étaient en bas âge.

    Travailler au champs pour sarcler à la main,  récolter, etc, demandait un travail considérable, et emmener les jeunes enfants «à la plaine » n’était pas chose facile.

    Alors, un jour, elle avait laissé sa petite fille, Marie A dormir, seule dans son lit.

    Par on ne sait quel hasard, la petite fille bougeant beaucoup, quand elle dormait s’enroulât dans la courtepointe,  et manquât de s‘étouffer.

    Elle ne dût son salut qu’au fait que Marie Maman, qui n’était pourtant pas partie si longtemps revint juste à temps, pour sauver la vie à sa petite, qui était en train de s’étouffer véritablement.

   Marie Maman eut ainsi, véritablement la trouille de sa vie et jura que plus jamais elle ne laisserait ses deux petits sans surveillance, pendant qu’elle irait travailler sur la ferme.

   Sa seconde fille vit le jour, elle s’appelait Marie Françoise.

   Malgré la surcharge de travail, Marie Maman, était contente d’apprendre qu’elle était de nouveau enceinte… Mais quand elle courut à la plaine pour l’annoncer à Marcel, lui, par contre ne l’était pas….

   Peu importe, s’il avait suffi déjà, à l’époque, d’avoir été vraiment désirés pour qu’on ait la certitude de recevoir l’Amour auquel on avait droit, ça se serait su.

  Alors quand naquit Marie Françoise elle prit la décision d’embaucher quelqu’un. Il lui fallait se faire aider.

  Le chômage ne sévissait pas encore à l’époque.

   Elle avait le choix entre deux jeunes filles. L’une qui était épileptique, et l’autre qui était la fille de « Marie couche toi là ».

  Un jour, « on ne sait pas quand »,  l’une des deux filles, qui s’appelait « Marie j’veux la place », était venue pour cueillir du houx, accompagnée de plusieurs copines, et discutaient ensembles, tout près de la maison où vivait  Marie Maman, et Marcel…..

    Marie Maman, avait surpris la jeune fille en train de ricaner à cette occasion, et expliquant à son amie, que Marcel serait bientôt dans son lit.

   Il est bon de préciser que Marcel était franchement bel homme, et qu’il avait beaucoup de charme… Au point que sa voisine de derrière avait avoué un jour, que si elle avait eu 20 ans de moins,  elle  n’aurait eu aucun scrupule….. La voisine du fond, « pas mieux »….

  Seulement voilà. Il se trouve que Marcel n’était pas du genre à « courir la gueuse », enfin pas autant que ces femelles l’aurait bien aimé…. Amoureux de sa femme. Non. Pas d’avantage.

  Il l’aimait bien, c’est vrai. Il  appréciait surtout son intelligence et son courage.  Une mère courage voilà, c’est très exactement ce que Marie Maman était.

   Lui avait eu une enfance malheureuse, dans le milieu agricole. Il était nè bien trop tôt, 9 mois après la mort  de  sa sœur ainée, dont la maman et le papa n’étaient absolument pas remis, il avait porté toute son enfance, la culpabilité d’être l’enfant de remplacement que la maman détestait.

  Son père, lui, avait passé son  temps, à compenser le désamour dont il était victime.

   Comme beaucoup de jeunes gens dans le milieu agricole, à l’époque, les mariages consistaient souvent la seule issue, pour fuir une famille oppressante qui n’avait de cesse, que de charger leurs enfants, de réparer les blessures d’une extrême gravité laissées par les deux guerres.

   Ainsi, quand il avait épousé Marie Maman,  il  avait fait pour lui, qui n’aimait pas véritablement l’agriculture, le bon choix.  Celui d’une femme responsable, aimante, respectable, et travailleuse comme personne.

   Il partageait avec elle, des valeurs nobles, comme le fait qu’un enfant a droit à l’éducation, au respect, et à l’amour quelque soit sa condition ou ses origines.

    Aussi quand ils étaient jeunes mariés, il était arrivé à plusieurs reprises,  alors qu’ils  n’étaient pas encore arrivés à la ferme, que de leur petite maison, Marie Maman entendant la bande de copains qui partaient en ballade à vélo, elle surprit son mari les regardant envieux de les voir, eux libres de toutes contraintes, et les regrets qu’elle percevait alors, dans son regard en disaient long.

 Lui aurait pu faire de longues études.

   Enfant il avait été gravement blessé, à l’œil, on n’en connut jamais les raisons véritables. On eut dit, pendant toute l’enfance de Marie Françoise, que c’est sous un pommier, qu’il perdit son œil, avec une pomme à cidre, qui lui tombât sur l’œil, alors, qu’il regardait en l’air.

  Il était fâché avec son frère second… Une autre version, dit un jour, ensuite, qui aurait mis à jour, le fait que cet accident aurait été lié au fait qu’ils demeurèrent fâchés jusqu’à la mort.

  Cet « accident » pourrait sembler anodin, mais c’est à cause de cet accident que ses parents trouvèrent alors parfaitement légitime de ne pas l’envoyer à l’école, et de le garder pour travailler à la ferme.

 Ce qui en découlât, fût, qu’adulte il ne savait quasiment ni lire ni écrire.

    Pendant son enfance, un couple qui venait de Rouen chez ses parents pour le ravitaillement, voulut l’adopter. On ne sait pas si la proposition était sujette à paiement ou pas. Mais le père refusât.

    Toujours est il que Marcel aurait aimé je crois avoir une autre vie, et une autre carrière. Mais Marcel « coureur », non vraiment pas, ça n’était pas son genre.

 Ainsi donc à la naissance de Marie Françoise « Marie j’veux la place »,  entrât en fonction.

 Elle avait pour travail, d’aider à la maison, comme bonne et nourrice.

 Elle n’aimait pas les deux enfants ainés, Paul et Marie A qui la détestaient cordialement.

 Il en était ainsi je crois, parce qu’ils percevaient avec leur cœur d’enfant, un danger véritable.

   Comme cette dernière âgée de 18 ans à l’époque, n’avais jamais eu le moindre exemple positif concernant la tenue d’une maison, Marie Maman elle eut à cœur de lui apprendre les rudiments pour tenir une maison, et prendre soin si ce n’était des jeunes enfants au minimum, du bébé Marie Françoise.

   Ainsi des qu’elle tentait d’avoir le moindre ascendant sur les deux ainés ces derniers la faisaient littéralement tourner en bourrique,  marie A l’insultant carrément et la bonne  les coursant avec des poignées d’orties.

   Il n’y a guère que Marie Françoise avec laquelle elle pût réellement tenter de tisser quelque chose, enfin le crût elle.

   Un jour, alors que Marie Françoise âgée de quelques années descendit l’escalier pour prendre d’assaut ses parents, et déjeuner avec eux, sans avoir les grands dans les jambes, elle surprit une scène de ménage terrifiante, entre ses deux parents.

    Il faut dire qu’il arrivait souvent que la bonne, recevant des leçons de morale, venant de Marie Maman, cette dernière ne trouvait rien de mieux que de lui expliquer, comment on faisait, pour faire « sauter » les bébés, quand on se retrouvait enceinte, et qu’elle savait fort bien comment procéder, qu’elle trouvait ça normal, et qu’elle l’avait déjà fait.

    Marie Françoise n’a jamais su si ces propos, qui n’avaient pour objectifs que de blesser de façon intentionnelle, Mary Maman, elle qui était catholique pratiquante, à ce moment précis ou bien ensuite…. Mais ces paroles avaient été perçues ensuite, de façon tellement graves qu’elle restèrent marquées à vie.

   Toujours est il que du haut de ses 4 ans et demi, la petite Marie Françoise comprit elle, la gravité de la situation, et pensât qu’il était plus prudent de remonter se coucher, et ne faire que comme si elle n’avait rien vu ni rien entendu.

 La bonne était mystérieusement absente ces jours là.

 Mary maman, avait appris qu’elle était enceinte. Elle voulait savoir qui était le père, etc, et demandait des comptes. Elle prétendit toujours, par la suite, et sa vie entière, qu’elle ne savait rien de la liaison, pourtant criante, qui existait entre Marcel, et la bonne.

  Marie Françoise, elle avait compris… Jamais de toute sa petite existence, elle n’avait vu sa mère dans un tel état. Elle avait d’ores et déjà compris, que la bonne qui pourtant s’occupait si bien d’elle, était dangereuse pour toute sa famille et pour sa maman, surtout.

   Quand cette dernière réapparût quelques jours plus tard, elle voulut la prendre dans ses bras…. Elle  voulut la forcer, et Marie Françoise, dans ses bras, la repoussât le plus violemment possible, pour bien lui faire comprendre qu’elle serait désormais du côté de sa maman et pas de son côté à elle.

 Elle ne se souvient plus de grand-chose, sur  les mois qui ont suivi.

  Un jour, son père lui proposât d’aller en voiture quelque part. Marie Françoise ne savait pas où, ni pourquoi. Elle montât dans la voiture sans broncher. Ils passèrent, pour récupérer au passage, « Marie couche toi là ».

   Mari Françoise ne comprenait toujours pas…. On montât un escalier. Devant elle, à gauche, « Marie couche toi là », et puis à droite, son père Marcel.

    Ils venaient chercher la bonne, et un bébé.

 Marie Françoise ne le comprit qu’au retour dans la voiture.

   Elle garde en mémoire, depuis ce jour, le regard d’un homme absolument raide dingue amoureux, de cette gamine, qu’elle percevait, depuis la scène de ménage qu’elle avait surprise,  comme le Diable en personne, le Mal, et surtout la cause véritable, qui expliquait les larmes incessantes, de sa mère pendant bien des années.

   Depuis ce jour, le bébé en question, qui s’appelait « Mariej’aipad’mandéàv’niraumonde », avait été épargnée des avortements consécutifs, par « Mariequivoulaitlaplace » que dans le seul et unique objectif, de détrôner la maitresse des lieux, c'est-à-dire Mamy Maman.

 En effet tous les stratagèmes étaient bons pour faire fuir l’épouse….

   Mamy Maman, avait réussi à lui trouver un autre travail, loin de sa maison, à l’autre bout du département où elle se rendit. Il  avait été convenu de façon officielle, qu’elle partirait de la maison, pour travailler ailleurs, et qu’elle reviendrait rechercher son bébé.

   C’était des paroles en l’air, qui n’avaient eu pour seule conséquence que de voir rappliquer le Diable, quasiment la journée même, en soirée.

   Mamy Maman, elle prétendit toujours, qu’à cette époque elle ignorait parfaitement que le père fût son époux… Ce qui Marie Françoise elle ne crut jamais, et pour cause.

   Ce bébé, il fallut le baptiser. Ors,  pour baptiser un bébé en dehors du prénom, il lui fallait une marraine et c’est en toute logique, que Marcel et Mamy Maman décidèrent que ce serait elle…

   Quand mamy Maman le harcelait pour exiger son départ à elle, il lui répliquait aussi sec « elle partira, quand moi, je l’aurai décidé et personne d’autre ».

    Personne ne sait, si c’était avant la naissance de la petite instrumentalisée pour détruire leur couple, ou si c’était après la naissance, mais Marcel avait tout prévu pour que son épouse, puisse rester à travailler sur la ferme, quand lui serait parti vivre avec la maitresse après le divorce, le pensait elle… Il avait ainsi mis en herbage la totalité de ses cultures….

    Avec la naissance du bébé cette fois, c’était sûr, elle les tenait, soit  il romprait, et elle l’aurait pour elle toute seule, arrivant ainsi à occuper socialement le poste respectable qu’elle convoitait, soit elle les ferait cracher pour détournement de mineur, puisque la majorité était à 21 ans à l’époque.

    Il arrivât souvent ensuite, que Mamy Maman et celle qui était sa rivale, eurent des conversations terrifiantes, de femme humiliée et terriblement amoureuse de son mari,  pour une, qui lui pourrit la totalité des son existence, et de perverse sadique, pour l’autre qui usait du moindre stratagème, pour torturer la première.

   La première en sanglotant, encore en fin de vie, racontait, « je lui disait « jamais je ne divorcerai Jamais. Plutôt élever la petite, et assumer. Elle n’a rien fait, elle, Elle n’est pas responsable ».

   Et quand le torchon brûlait, entre son mari et elle, il lui disait parlant de sa maitresse « elle est incapable d’en élever une et toi tu es capable d’en élever dix ».

  Il aurait aimé avoir moins d’enfants, et reprochait à sa femme,  d’aimer un peu trop la maternité… Alors il n’avait pas eu l’occasion de jouer à ça trop souvent…

    Elle lui avait rétorqué « jusqu’à preuve du contraire, s’il n’y avait eu que moi, nous n’aurions eu que trois enfants. Et si nous en avons quatre c’est parce que tu es allé le faire ailleurs ».

    De leur côté, eux, les enfants s’ étaient vus imposé ce bébé, que  Marie Françoise avait toujours su, être la fille véritable de son père, alors que sa maman Mamy Maman, avait toujours prétendu, qu’elle ne l’avait appris qu’au bout d’un an et demi.

    Mamy maman,  prétend aujourd’hui, qu’à cette époque elle était vraiment persuadée que sa maman véritable viendrait la récupérer. Pour elle, c’était inconcevable qu’une mère puisse abandonner son enfant de la sorte.

 Tant qu’ils étaient amants la petite restait chez mamy Maman.

 Au bout de quelques années, la rupture se produisit.

    Marie « quivoulaitprendrelaplace », voyant qu’elle n’avait aucune chance, de détrôner sa rivale, décidât, qu’il valait mieux battre en retraite, tenter par un procès, de soutirer le plus d’argent possible, à son ancien amant, par un procès, relatif à la garde de l’enfant, et aller sévir dans d’autres couples, avec le même stratagème,  ce  qu’elle fit.

    Elle n’allât pas jusqu’à se faire faire un enfant les fois suivantes, cependant. Mais les couples concernés, finirent par venir rendre visite à Mamy Maman pour comprendre le cheminement psychologique de cette femme, à la perception pour le moins particulière qu’elle adoptait, pour se hisser socialement.

    La rupture fût brutale.  Marie Françoise était en vacances chez sa tante. Et Marie A lui dit « papa et mariequiveutlaplace ont rompu ».

 

 Vendredi 29 mai 2015.

  Marie Françoise fût très surprise. En fait elle n’aurait jamais soupçonné que ça puisse arriver. Elle s’en souvient encore.

    Dés lors « la guerre était déclarée ».

    "la Petite", comme l'appelait Marcel, faisait partie de la famille à part entière, comme dans n’importe quelle autre famille.

   "Mary maman" elle, avait toujours voulu avoir quatre enfants, et bien ils étaient là.

   Marcel, lui, était dévasté par la rupture, au point qu’il avait  emmené ses deux ainés au cinéma…

  Ils passaient « un génie, deux associés, une cloche » avec Robert Charlebois.

    Marie Françoise observait tout cela. Fâchée de ne pas avoir été présente, quand la nouvelle  était tombée, comme si elle n’avait pas à être concernée, fâchée de se voir écartée, aussi, pour les sorties avec leur père puisque « elle était paraissait il trop petite pour sortir ».

      Tout ce qui se passait dans cette maison, elle le prenait de plein fouet.

     Elle passait tout son temps à essayer de comprendre pour quelle raison Mammy Maman, passait autant de temps à pleurer, en travaillant.

   Marcel son père, avait sangloté sans la moindre retenue pendant plusieurs jours, et les sorties avec ses deux ainés, qui n’avaient pour seule justification, que de revivre des soirées qu’il l’avaient touché aux bras de sa maitresse, quelques années plus tôt, je suppose, au bout de quelques semaines, finirent par lasser très vite Mamy Maman, qui elle, toujours à l’œuvre, ne faisait qu’assurer le maximum qu’elle pouvait, ravaler son terrible chagrin, et porter du mieux qu’elle pouvait la culpabilité de ne pas être celle que son Marcel avait tant aimée.

 « Pas assez portée sur la chose », probablement, son éducation judéo chrétienne l’avait ainsi façonnée…. Lui de son côté, ne connaissait pas la fameuse expression « il y a celles que l’on épouse et puis celle que l’on baise ». Et puis quand bien même…. Elle ne savait « les faire passer » elle comme « l’autre » savait si bien le faire.

    Il était pourtant parait il, parfaitement opposé par principe à l’avortement. Enfin, c’est le discours qu’il laissait paraitre bien des années après.…..

    Certains pensent avec leur queue. Au point d’envoyer valser pour leur propre compte,  l’application de leurs belles théories.

   Quarante années après, il s’est trouvé un homme qui dit de la maman de Marie Françoise, qu’elle avait toujours été ce qu’il appelait, « une femme de devoir »….. Et que ça ne lui inspirait qu’un immense respect.

    A partir de ce moment, une fois séché ses larmes, et la vie reprenant son droit, « la Petite » vivait toujours sous leur toit.

   Personne n’a jamais su quels souvenirs, cette petite eut sur ce passage, dans sa vie.

 Quand les deux amants partaient en escapade, il arrivait qu’ils emmènent "la Petite".

 « Chaud dans le bas du ventre » en pleine nature, il était  arrivé alors, qu’ils laissent la petite, toute seule dans la voiture, et disparaissaient dans un champs de blé.

   C’est "la Petite" qui très proche de sa maman véritable, lui avait raconté. Elle avait eu très peur ce jour là, parce que ne comprenant pas ce qu’ils faisaient, elle avait cru que Marcel avait fait du mal à sa mère.

    Certains réveillons, où il laissait son épouse avec ses trois ainés, il leur arrivait de s’encombrer de la Petite.

  "La Petite", elle avait toujours été extrêmement proche de celle qui ne fût rien de moins que son modèle, puisqu’elle avait été la seule Maman à l’aimer véritablement.

   Certains pensaient peut être, que son Amour, fût quelque peu perverti, par l’origine de "la Petite".

 Il est possible que ça le fût,  mais de façon inconsciente….

    Mais Marie Françoise elle, qui les observait souvent avait vu à quel leu attachement était véritable, la petite l’avait détrônée de son statut de « petite » .

 C’était elle avant qui quand son père mettait ses deux pieds dans le four du poèle pour regarder la télévision, montait sur ses genoux. Elle avait elle même détrôné sa sœur ainée selon toute logique.

   Il est possible, qu’elle aussi vit les sentiments qu’elles avaient l’une pour l’autre, de façon quelque peu tronquée, ce qui est cohérent.

    En fait, non seulement "la Petite" ne s’était absolument jamais vu recevoir le moindre reproche, mais peut être bien pire, elle avait été couvée, comme aucun des autres enfants, ne l’avaient jamais été.

   Marcel, lui portait sur ses épaules, la véritable culpabilité d’avoir non seulement trompé sa femme, mais surtout trahi d’une certaine façon, chacun de ses trois ainés….. Puisqu’étant  perçu par eux, comme « coupable », non pas d’avoir aimé une autre femme, ou de lui avoir fait un enfant avec les suites qu’ils savaient tous, il avait surtout terriblement perverti,  la relation que tout père doit avoir envers la mère de ses enfants.

 Ainsi pendant toute l’enfance des trois ainés, il n’eut quasiment jamais le moindre courage d’être ferme, et autoritaire, vis-à-vis de chacun d’eux, craignant  comme la foudre de recevoir en plein visage, « crois tu vraiment que tu puisses te permettre, de nous dire comment nous comporter ».

 Cette phrase terrible, il la prit en plein visage, quand à leur adolescence, il s’aventurât à jouer pour une fois à être papa.

 Ce fût Marie A, qui s’en chargeât.

 Marie Françoise elle, depuis son plus jeune âge décidât qu’il n’était pas digne d’être son père, et fit tout ce qui était en son pouvoir, pour lui dire mentalement, « dégage ».

 Ce que Marcel fit, de façon involontaire, en mettant ses trois ainés en pension.

   Marie Maman, qui avait un instinct maternel fort puissant avait toujours dit le peu qu’elle en parlait, que la petite n’avait pas à subir en quoi que ce soit, les répercussions de la situation, puisque par définition, un enfant ne peut jamais être coupable à plus forte raison, de son origine.

   Quand elle avait été baptisée, c’est le plus naturellement du monde que Marcel, lui avait demandé, d’en être la marraine.

   Ceci impliquait nécessairement qu’en cas de faillite de  la mère véritable de l’enfant, ça serait elle qui assumerait.

    Soit, elle avait failli des le retour de la maternité, Marie Maman assumerait donc.

   Une fois passé la période de deuil de Marcel, il n’eut donc qu’une seule et unique obsession qui était  de tout faire pour continuer à avoir la garde de la petite.

 A cette époque une loi venait de passer (1971), qui lui permettait de reconnaitre son enfant.

 Jusqu’à cette date un père n’avait pas le droit de reconnaitre un enfant ors mariage.

    Ils furent donc lui et « La Petite», peut être pas les premiers, mais dans les premiers à bénéficier de cette loi .

   On n’a pas su comment les deux ainés avaient pu percevoir cet événement là. Mais pour Marie Françoise, d’avoir du se retrouver au Palais de Justice, de Rouen, avec une dame qui lui avait suggéré que peut être Nathalie, partirait de sa maison, lui parût profondément choquant.

   En effet, elle n’avait qu’une petite sœur, et elle se demandait bien qui aurait pu avoir le culot de la lui retirer…  « Et pour aller vivre où ? et avec qui ? Enfin c’était complètement stupide ».

   Marie Françoise ne se souvient plus exactement comment elle avait répondu quels mots elle avait dit… Elle ne se souvient que d’une chose. C’est que cette dame lui avait semblé vraiment très gentille et qu’elle était très souriante ».

   Elle avait su mais elle ne sait plus comment, que dans l’intérêt de la petite, il fallait absolument qu’elle reste avec  eux. Elle entendit « elle est bien intégrée » mais elle ne sait plus comment elle l'avait su….

   Peut être que c’est sa maman, qui lisait la lettre du tribunal,  un jour, elle ne savait plus.

   Son père avait raconté, ce qui semble vrai, que la juge l’avait félicité pour avoir eu le courage de reconnaitre son enfant. Elle avait même rajouté « si tous les pères étaient comme ça… ça serait vraiment bien ».

   L’objectif de "Marie qui  voulait prendre la place", était désormais, de récupérer le plus d’argent possible . Il est possible que prétendant qu’elle voulait la récupérer véritablement, ses intentions aient été sincères.  Marie Françoise ne le sut jamais.

 Marcel, alors, fit jouer son sens de la diplomatie.

   Il proposât alors, à son ancienne maitresse, un arrangement amiable…. "la Petite", vivrait chez eux, puisque la Justice en avait décidé ainsi, et « l’autre » viendrait la récupérer chaque samedi après midi pour le week end.

   A partir du moment où cet arrangement fût accepté, par celle qui l’avait mise au monde, ce dernier fût respecté.

   Ainsi chaque samedi après midi, Marie Françoise voyait sa petite sœur faire la comédie, des crises de larmes incroyables « pour ne pas y aller »….

   Et chaque samedi, la petite montait finalement dans la voiture par la force, et à contre cœur.

    Chaque dimanche soir « la Petite» revenait avec des vêtements neufs et un gros sachet de bonbons comme font la majorité de parents qui sont écrasés par une quelconque culpabilité relativement aux soins qu’il ne donnent pas ou donnent mal à leurs enfants.

    Quand elle rentrait,  « la Petite », était désagréable.

  La seule maman qui l’aimait, avait beau lui parler, elle avait été entièrement lessivée, ils le supposaient, de phrases telles que « ça n’est pas ta mère, tu n’as pas à lui obéir, ne te laisse pas faire ».

   Nous ne savions jamais, de quelle nature était son discours, et quelle phrases elle devait lui dire, en boucle, pour tenter de saper du mieux qu’elle pouvait, l’Amour pourtant véritable, entre Marie Maman » et "la Petite"».

   Mais souvent  nous voyons Marie Maman, parfaitement sereine sur ce point là, en tout cas, qui voyant la Petite fort désagréable, les regardait leur dire, à Marie Françoise, en particulier et elle commentait :

 « On en a jusqu’à ce soir, c’est comme ça chaque lundi. Demain matin tout sera rentré dans l’ordre ».

   Résultat des courses, « La Petite » eut une enfance non pas dorée, mais fût comme on dit en pays de Caux, littéralement « pourrie gâtée »….

   Chacun des deux parents percevant parfaitement qu’elle devait porter une véritable souffrance pensant alors que la pourrissant ainsi, comme le font beaucoup de parents, ça compenserait.

 Vu de l’extérieur, tout le canton connaissant la véritable histoire familiale,  et la petite hélas n’ayant pas porté le « bon nom », jusqu’à ce qu’elle soit reconnue par son père, et adoptée juridiquement par sa mère, elle fût stigmatisée des son entrée à l’école par les instituteurs.

 Marie Françoise elle veillait sur elle comme  Marie Maman  le lui avait  demandé.

Mais cette dernière y voyait clair, elle, et ne pouvais pas faire grand-chose.

 Celle qui avait voulu prendre la place alors prit la décision de la changer d’école, et de la mettre en école privée. Ce fut pire encore.

  Certes rétrospectivement, on est en droit de se demander pour quelle raison,  il en fût ainsi.

   La vérité réside que Marcel lui, aimait cet enfant bien plus que ses trois premiers. Elle était elle, l’enfant de l’Amour, alors que les trois premiers n’étaient que ceux  de la raison.

    Cette petite à ses yeux, était bien plus sa fille que ne l’était les autres et l’Amour qu’il lui portait bien plus fort, que pour les autres.

   Des son plus jeune âge, elle eut droit, à des attentions dont pourtant cette petite n’abusât jamais.

   Ce qu’il importe de comprendre réside dans le fait qu’en pays de Caux, comme dans n’importe quelle autres région de France, les parents quand ils sont adultes trainent malgré eux, des histoires individuelles, qui sont très lourdes comme tout à chacun…

   Certes, ces histoires personnelles n’excusent pas tout. Mais d’avoir été privé d’Amour enfant d’avoir subi les guerres, les deuils, et tant de pertes et de souffrances, faisaient comme à chaque fois des adultes parents subissant qui plus est, le pression parentale, omniprésente qui conditionnaient et  malmenaient de la pire des façon les relations qu’ils avaient avec leurs propres enfants.

    Et les deux parents qui restaient ensembles bien plus par raison que par Amour, n’échappaient pas à la règle.

    Marcel, lui, né neuf mois après la mort de sa sœur ainée, avait toujours été rejetée par sa mère, qui le détestait encore adulte, et qui nous détestait, nous aussi….  Comme elle aurait très probablement détesté tout autant "la Petite" si elle n’était pas morte trop tôt pour cela.

   Toujours est il qu’il est probable que Marcel, par l’Amour qui l’unissait de la façon la plus forte à cette petite fille, qui par sa reconnaissance avait fait de lui un père effectivement particulièrement courageux, était pour elle véritablement « un vrai père » contrairement à ce qu’il avait été avec ses autres enfants, face auxquels, seule la mère faisait office de la moindre autorité.

    Le clivage entre les trois ainés, je le précise et « la Petite »  comme il aimait l’appelait,, avec une voix particulièrement stridente n’était absolument pas généré par « la Petite », la fille et l’adolescente qu’elle était devenue au fil des ans.

    Non c’était lui, et son épouse, qui ayant de plus mis les trois ainés en pension, des la sixième, au lycée, alors qu’elle n’y fut jamais mise, faisait de« la Petite" leur fille spirituelle bien plus que ne l’ont jamais été chacun des trois ainés Marie Françoise y compris.

  Dans n’importe quelle famille, les relations entre enfants et parents sont quelquefois compliquées, ce qui est légitime.

    Pendant toute son enfance « la Petite » eut à cœur de satisfaire ses parents au-delà du raisonnable, c'est-à-dire, de leur rendre ce qu’elle avait reçu comme Amour au centuple.

    Ainsi, alors que les trois premiers n’étaient quasiment jamais photographiés, et pour cause, pour cela il eut été au minimum nécessaire qu’ils habitent avec eux. Ors, toute leur adolescence, ils ne rentraient que les week end…

    Ainsi beaucoup moins photographiés que ne l’avait jamais été « la Petite », cette dernière mettait un point d’honneur à jouer la comédie, et par un sourire plus que forcé, à être à la hauteur et donner l’illusion d’une petite fille heureuse.

    Pour être sûr qu’on l’aime véritablement, elle avait « épousé » le modèle maternel, au-delà de toutes les espérances de  Marie Maman.

   Passionnée par la ferme, l’agriculture, et plus encore, la chasse, loisir dont Marcel était un fervent adepte, et qui restait ainsi, « une sorte de chasse gardée » entre "la Petite" et son père, loin des trois ainés et de sa Marie Maman.

   Il y a quelques jours, alors que Marie Françoise  discutait avec Marie Maman, alors que "la Petite" hélas, n’est plus de ce monde, depuis quelques semaines, elle avait retrouvé dans des vieilles lettres, dans une boite à chaussures, une carte postale.

   "La Petite" étant la seule à être allée en pèlerinage à Lourdes, avec Marie Maman, elle avait envoyé une carte postale à Marie Françoise pour lui donner les recommandations, pour prendre soin des lapins qui étaient dans les clapiers.

  Objectivement à l’adolescence, si l’est une description, qui aurait parfaitement collé  au profil de "la Petite", c’était ce que l’on nomme, « une Oie Blanche » pure, et d’une extrême gentillesse.

   Elle aurait pu être capricieuse, elle ne l’était pas. Parfaitement conforme par contre, à  celle qui fût son unique modèle. Mamy Maman.

 Que « la Petite » ait souffert en son fort intérieur, pour Marie Françoise était d’une terrible évidence…. Cette dernière voyait des choses quelquefois que d’autres ne voyaient pas.

   Il arrivait que « la Petite » s’isole, derrière le poêle. Elle était la seule étant la plus jeune, à pouvoir s’y faufiler.

    Elle prenait alors son chien dans ses bras, et sanglotait toute seule. Marie Françoise ne la surprit ainsi dans cet etat qu’une seule fois. Elle ne se confiait jamais, enfin, selon les dires de Marie Françoise. Peut être un jour, s'était elle confiée à d'autres, elle ne le sût jamais. Peut être avait elle été grondée.

    Non, elle ne l’avait pas été, enfin probablement pas, elle ne l’était quasiment jamais, et de plus n’était pas ce que l’on nomme quelquefois « une petite fille difficile, ou bien rebelle ».

    Peut être que ça arrivait plus souvent. Mais Marie Françoise ne pouvait pas le savoir, puisque pensionnaire, elle n’était pas là pour le voir.

   Elle  savait fort bien déjà, à l’époque, que ces pleurs n’avaient aucun justification, qui soient de nature à rendre coupable, qui que ce soit. Ni son père, ni sa mère, et rigoureusement personne….

   Elle ne souffrait de n’être, que la preuve vivante de l’Amour que son père eut porté un jour à l’ennemi jurée, de la femme qui l’avait aimée, et élevée, comme sa propre fille, et cette culpabilité là était un caillou de souffrance, encré dans son cœur, depuis sa naissance,  et qui pourriraient, la totalité des choses qu’elle vivra, entreprendra, et fera, sa vie entière.

 

Mercredi 30 Août 2017.

 Apres touts ces années, à m'être battue comme un brave petit soldat, ce matin, alors, que ma mère me reveille à 7h, pat téléphone, sans sa voir pourquoi, elle me reveille....

 BREF.

 On éprouve le besoin de me remettre sous le nez, une vidéo, où j'avais fait une mise au point, sur la famille toxique.

 

Après avoir lavé son linge sale par vidéo, il faut le repasser, et le ranger.

 

 Je commence par donner le lien dirrect, parce qu'il y a sous la video, des commentaires, tout à fait touchants, et auxquels je réponds.

https://www.youtube.com/watch?v=qMO_hA_oj_k&lc=z133flsx3q2bfbyub23pwnzyiuqlztfop04.1504053776386746

 Il y a donc environ trois ans que je tournais cette video.

  Pour ce qui concerne les frères et soeurs, ils sont dans l'indifférence, à mon egars dans la mesure où nous ne nous fréquentons pas, ou accidentellement.

   Ca n'est pas d'hostilité dont il est question, ni vis à vis de moi, ni vis à vis de mes activités, qu'elles soient politiques, ou qu'elles soient autres.

   Il est notoire que dans n'importe quelle famille, si frequenttable soit elle, et compte tenu de la situation si particulière qui est la mienne, à tous points e vue, la situation est assez delicate à gérer, et sur ce point, je n'ai aucune rancoeur, les concernant.

  Se taire, ou ne pas se fréquenter,  ne signifie pas hostilité.  Le sens à y donner, est plus la traduction d'un certains embarras, qu'autre chose.

  Depuis  quelques temps, ma petite soeur n'est plus de ce monde.

  Elle me manque autant, que mon frère ainé, et ma soeur ainée.

  Sauf qu'elle, par définition, c'est irrevercible.

  Ma mère, elle,  a de plus en plus souvent "le coeur à l'endroit", ce qui me fait des  vacances.... Il arrive encore quelquefois, épisodiquement, qu'allant la voir, je doive cacher, que je vais bien, et  de blaguer, de rire, ou de chanter, pour ne pas m'attirer ses foudres, mais comme elle sait qu'en pareille circonstance, je tourne les talons aussi sec,  elle ne s'y risque plus.

  Quand elle me parle d'un sujet d'actualité, et que je lui donne mon point de vue, et que je conclue ou lui reponds "et bien tiens, justement, j'ai bossé dessus ce matin, ou à l'instant", et n'a plus de commentaires, desoblogeant....POURVU QUE CA DURE.

  Bon, sinon, on s'engueule régulièrement, pour des divergeances de points de vue, mais ça, c'est normal, et parfaitement anecdotique.

Mardi 19 Décembre 2017.

 Je viens de trouver un commentaire sous une vidéo que j'ai posée ici, il y a quelques années auquel répondu.

 Vous pouvez le consulter en suivant ce lien.

https://www.youtube.com/watch?v=qMO_hA_oj_k&lc=z220t1yx0ny4s5dmsacdp431zoc0db24f2jy24s4falw03c010c

   Pour ce qui concerne ma situation personnelle à ce jour.

   Les choses évouent favorablement.

   Par certaine qu'il y ait rassemblement plus qu'avec ma mère, et mes seules filles qui elles, arrivent dans quelques jours, pour les fêtes de fin d'années, mais pour moi, ça n'est pas là, que réside l'essentiel.

  Le plus important au sein d'une famille, ne se trouve pas dans les démontrations  qu'on veille à mettre en avant pour les fêtes de fin d'année, et encore moins, dans les cadeaux qui l'accompagnent, mais bel et bien, dans une forme de bienveillance, "au long court",  je veux dire, tout au long de l'année,  le reste, moi, je m'en tape.ça n'est que du symbole.

 

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