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Le synode de la famille, Octobre 2015.

Le 18/10/2015

Dans FAMILLE.

 Je vais commencer par expliquer pourquoi, cet article.

 Je précise que je suis, moi, de culture judéo chrétienne, agnostique, ou plus précisément panthéiste.

 Je précise, agnostique signifie, que l'on croit en un Dieu, qui est une force qui nous est suppérieure, mais que cette croyance, n'a pas à être demontrée, en quoi que ce soit, j'entends, de façon scientifque, notamment.

   Je précise, celà, parce qu'il arrive régiulièrement, qu'on me colle sous le nez des vidéos, que je suis sensée aller regarder, qui serait sensée démontrer, l'existence de Dieu...

 Bon, chacun voit midi à sa porte, comme on dit, et moi, perso, c'est vraiment une démarche, qui me fait marrer.

 Ceci dit, de vous dire celà ce matin, dimanche, "jour du Seigneur", je trouve que c'est plutôt marrant, non ? Enfin, moi, ça me fait rire.

    Et oui, parce que tout ce qui est de croyances, en certaines valeurs, ou dans le sentiment de certaines personnes, par définition, n'ont pas besoin d'être demontrées, de façon scientifique, enfin, c'est juste tellement con, et consternant, de raisonner comme ça, qu'à part m'inspirer un bon sketch, pour être franche, non, décidément....

    Et panthéiste, ça signifie que Dieu est partout.

    Alors, la version poétique, en ce dimanche matin,  c'est de vous dire qu'il est derrière chaque feuille d'Arbre, derrière, le petit courant d'air, en période de chaleur, derrière un tronc d'arbre, juste à droite du petit écureuil, qui tourne autour du tronc en question,  sous vos pas, quand vous marchez en forêt, etc, etc......

    Et puis la version nettement moins poétique, mais au combien contemporaine, c'est celle qui consiste à dire qu'il se chache, dans l'oeil d'un dauphin, qui vient de se faire choper dans un filet de pêche industrielle, dans les intertins d'un oiseau, qui a avalé des matières plastiques, et son corps décomposé, contient, les morceaux de plastique en question....

   Il se trouve aussi, tout en haut des cheminée d'usine, quand ces minuscules particules arriveront dans les poumons d'un jeune enfant, pour lui fabriquer son cancer......

  Oui, je sais, c'est une version moins satisfaisante du panthéisme, nous sommes bien d'accord, mais c'est la version actuelle, alors, si la philosophie ou la spiritualité, doivent servir à quelque chose, il faut bien leurs mettre aux pieds, "les bonnes chaussettes", d'autant plus que la conférence pour le climat, et bien c'est dans quelques semaines.

  Mais je vois que je m'éloigne de mon sujet. Le synode sur la famille.

 Quoi qu'à bien y réfléchir, "pas tant que ça".

 Je précise que j'ai commencé à écrire un livre sur la famille, au sens large.

 J'entends par là, les différents thèmes, relatifs à notre société, où la famille interfère, ce qui bien sûr, est relativement fastidieux.

 J'y reprends, les differents propos que j'ai developpés, depuis plusieurs années, sur internet, et je commente, avec mon regard d'aujourd'hui.

 Je précise, que  ne connaissant pas encore la date de parition de mon livre, qui n'est pas encore terminé, au fur et à mesure, en cas d'urgence, j'écris sur le sujet, sur mon site intenet, celui là même, où vous venez me lire.

  Ainsi, ce matin, par le biais d'un autre article, relatif à la canonisation des deux parents de sainte Thérèse de Lisieux, je tombe en parallèle, sur un autre article, qui émane d'un Evêque africain, dont je vous donne le lien.

http://fr.radiovaticana.va/news/2015/10/17/synode_sur_la_famille__entretien_avec_monseigneur_nicolas_djomo/1180048

 Mon commentaire, est le suivant.

  Que les jeunes couples, ou moins jeunes, soit dit en passant, aient lieu, d'être soutenus, par leurs clans, ou familles respectives, est une vérité, qui n'est pas plus vrai, je pense, en Afrique,  qu'ailleurs....

 Mais cette position n'engage que moi.

   Ensuite, il est bon de ne pas oublier, que si certaines familles, sont tout à fait aptes, à soutenir leurs enfants, dans leur vie de couple, il serait particulièrement mensonger, de nier le fait, qu'elle y soit au moins autant toxique, quelquefois, si elle entrave, ou s'immice, dans le devenir du jeune couple.

   Enfin, pour terminer, je précise que considérant l'actualité géopolitique,  j'aimerai savoir, comment la famille est perçue, par les autorités religieuses, si l'on considère, notamment, que beaucoup de migrants viennent d'Afrique d'aventage sont de sexe masculin, plutôt que feminin, et qu'il arrive souvent, aussi, que ce soit la famille d'origine justement, qui réunit l'argent pour envoyer un jeune homme, en Europe, ou ailleurs, dans l'espoir, qu'il trouve un travail, et puisse envoyer de l'argent à la famille en question.

   Je précise que ma démarche, ne tend pas à poser l'index sur une quelconque responsabilité d'ordre morale de la religion actuellement, vis à vis de ces problèmes,et pas d'aventage, des familles, en question, je le précise bien au contraire, quand le desespoir frappe, chacun se bat du mieux qu'il peut, et la mère que je suis en comprends, parfaitement les raisons....

   Mais uniquement dans le fait que l'article fait référence bien plus à une idéalisation de la famille, et notamment du poids de l'Egise catholique africaine au sein du Vatican, plutôt que de l'image REELLE de la famille, aujourd'hui en Afrique ce qui, je dois le préciser, me consterne quelque peu...... Voilà, quel est mon sentiment.

 

 Mercredi 28 octobre 2015.

http://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Synode-sur-la-famille-posez-vos-questions-a-Mgr-Jean-Luc-Brunin-2015-10-14-1368542?xtor=EPR-9-[1300894051]

    Je précise que je n'ai pas trouvé le temps de commenter quoi que ce soit, sur le synode, mais ça ne mempêche pas d'y être tres attentive.

   Ce que j'ai entendu, relativement aux divorcé, m'a semblé parfaitement louable.

 Sauf qu'on a parlé du fait, qu'ils ne soient plus exclus du culte, entendant par là, "autorisés à communier".

   Je tiens juste à préciser, sauf erreur de ma part, les divorcés qui vont à la messe, communient, s'ils le désirent, et j'ai du mal à imaginer qu'un prêtre puisse prétendre le leur interdire.

   Non, quand les divorcés se sentent rejettés de la communauté des chrétiens, c'est relativement au fait qu'ils peuvent éventuellement souhaiter se remarier à l'Eglise, voilà, ce que moi, j'appellerai, un signal véritablement fort. C'est ça, qu'ils attendent et pas autre chose.

 11h 17.

Je pose en copié collé, la totalité du chat, en question, techniquement ça a tres bien marché, c'est deja pas mal.

 Bon, moi, j'ai participé, mais mes interventions, sont restées "secrètes"... Juste reçu un message, à chaque fois, pour me dire, que mes interventions avaient bien été enregistrées.

La Croix.com > Bonjour à tous,

Nous remercions Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre et président du conseil Famille et société de la Conférence des évêques de France, de retour de Rome, d'être avec nous, ce matin, pour répondre à vos nombreuses questions. Il ne pourra bien sûr pas répondre à tous, mais il va pouvoir nous éclairer sur les suites à donner à ces trois semaines de discussions sur la famille.
 
saskia > j'ai épousé un divorcé qui n'a pas obtenu l'annulation de son précédent mariage. Est-ce que l'Eglise va continuer à nous pousser vers une séparation ou du moins vers sa forme la plus hypocrite, c'est_à_dire une vie commune non conjugale ? est-ce que je dois dire à mes nombreux filleuls que je ne suis plus leur marraine sauf si je n'ai plus de vie conjugale avec mon mari ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > L'Eglise souhaite respecter l'histoire personnelle de chacun. Elle veut le faire dans la vérité et la justice. Le synode a souligné qu'il était essentiel de chercher les voies d'une meilleure intégration dans la communauté ecclésiale. Il a élargi les possibilités d'insertion et d'engagement dans la communauté. Cette recherche doit pouvoir être accompagnée par les pasteurs. Vous restez pleinement membre de la communauté des disciples du Christ.
 
Donc l'interprétation que moi, j'en fais c'est que quiconque souhaite se remarier à l'Eglise se voit conseillé, de demander l'annulation du mariage précédent. c'est alors le prêtre qui prend la décision.
 
phred > Que pensez-vous de la méthodologie de travail révisée par le Pape François ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Un Synode qui prend son temps pour une question vitale : l'avenir de la famille, sa vocation et sa mission dans l'Église et dans la société. C'est la première fois qu'un Synode implique avec autant de détermination le peuple de Dieu dans son ensemble. C'est la première fois qu'un Synode suscite tant d'engouement dans les communautés chrétiennes et dans l'opinion publique. Il suffit de voir la large couverture médiatique de ce temps que nous venons de vivre. Dans mon diocèse, la démarche synodale a mobilisé bon nombre de chrétiens. Les communautés paroissiales ont mieux perçu leur responsabilité à l'égard des familles. Les fruits de cette méthode synodale voulue et conduite par le pape François sont déjà au rendez-vous... et la récolte n'est pas finie !
 
Je suis divorcé et n'ai donc plus le droit de comm > Je suis catholique pratiquant depuis mon mariage. Malheureusement divorcé malgré mon souhait, je n'ai donc plus le droit ni de communier ni de me confesser. Comment puis je retrouver le droit d'exister totalement en tant que chrétien croyant et toujours pratiquant ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > L'ouverture que le Synode a envisagée pour les personnes qui vivent votre situation offre une perspective d'ouverture et de cheminement. Je vous invite à rencontrer un prêtre en qui vous avez confiance et chercher avec lui comment vous pouvez progresser dans votre désir de vivre pleinement en « disciple-missionnaire » du Christ. Le Synode a redit que votre situation ne peut pas être une impasse, qu'un chemin existe et qu'il vous faut le trouver pour vous y engager (Relazione finale n° 84). Vous avez votre place dans l'Église, vous êtes appelé à prendre part à la vie de la communauté chrétienne et à participer à sa mission d'annoncer l'Évangile.
 
 Oui c'est donc bien ce que je disais il faut que vous preniez contact avec le pêtre de votre paroisse. c'est ce que moi je vais faire également.
 
mimi69 > Je me réjouis tellement de tout ce qui s'est passé et de tout ce qui se passe dans notre Église depuis le merveilleux concile Vatican II ! Mais comme il nous aura fallu du temps pour que tout se qui était dit dans ce Concile passe... dans le peuple de Dieu, croyants et incroyants compris... Maintenant j'aimerais bien que nous les Chrétiens nous nous emparions plus de cette valeur qu'est la liberté de conscience qui à mon avis est à la source de toutes nos conversions nécessaires et indispensable pour être le plus fidèle à notre vocation d'enfant de Dieu. Qu'en pensez-vous ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > La vie chrétienne n'est pas d'abord la soumission à des règles et des lois, mais la suite du Christ consentie librement. Une des questions importantes du synode fut celle de l'articulation entre la loi objective et la conscience éclairée. Le Concile Vatican II a souligné l'importance de la décision personnelle prise en conscience. Celle-ci est éclairée par la Parole de Dieu et l'Esprit Saint. Comme Paul, nous pouvons dire que si le Christ nous a libérés, c'est pour que nous soyons vraiment libres. Cette liberté ne consiste pas à accomplir ce que nous voulons mais elle nous libère pour chercher la volonté de Dieu et l'accomplir. Dans nos communautés, nous devons retrouver le sens de la liberté chrétienne.
 
Chantal > Un de mes followers sur Twitter, un dominicain, disait à la fin du Synode que l'Eglise catholique devenait protestante. Pourquoi à votre avis ?
Mgr Jean-Luc Brunin > Je ne connais pas la motivation de cette remarque. Cependant, il me semble que les réflexions du Synode se situent pleinement dans la tradition catholique. Je prendrai un seul exemple : vous avez pu remarquer qu'il n'était plus fait mention de la communion spirituelle offerte comme une alternative à la communion eucharistique. Les Pères synodaux se sont interrogés sur la signification d'un parcours de vie chrétienne "désacramentalisé". Cet exemple suffit pour contester cette appréciation.
 
   Pour ce qui concerne le rapprochement avec le protestantisme, il n'est pas exclu qu'il soit perçu comme tel,  parce que le pape François souhaiterait voir plus de femmes occuper des postes plus importants, au sein de l'Eglise Catholique.
 
   Chez les protestants, une femme a le droit d'être pasteur ne l'oublions pas, et le mariage des pasteurs est autorisé ce qui fait des envieux chez les catholiques.
 
    Mais Chantal, la façon dont vous apportez votre remarque me hérisse quelque peu, parce que vous donnez le sentiment de défendre "une chapelle"... Est ce donc véritablement si inquietant que celà, de voir qu'il serait envisageable de voir que la religion catholique se rapprocherait à ce point du protestantisme ?
 
    Le pensez vous vraiment ?.... Que fait donc ici, ce qui ressemble à s'y méprendre à une "querelle de clocher" si vous me permettez cette expression, qui pour le coup me donne l'occasion d'en sourire !
 
   Est ce là, pour vous l'essentiel, "the etiquet" ?????
 
Est-il envisageable d'ordonner prêtres des pères d > Est-il envisageable d'ordonner prêtre des hommes mariés, au seuil de leur retraite, lorsque leurs enfants ne sont plus à charge ?
 
 Je ne sais pas si c'est faisable mais moi je ne vois aucun inconveniant à ce que ça se fasse. Bien au contraire. Au moins,  il y a bien des sujets sur lesquels son experience serait fort utile pou aider les croyants.
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Votre question est double. Il y a le fait de savoir s'il est envisageable d'ordonner des hommes mariés. Dans l'Eglise catholique latine, ce n'est pas envisagé. L'autre versant de votre question que je devine, est davantage utilitaire. Je m'interroge cependant s'il n'y aurait pas une réduction du ministère presbytéral. Serait-ce une activité qu'on pourrait assurer lorsque nous aurions du temps libéré par la retraite professionnelle ou lorsque les enfants ne sont plus en charge ? Ça me semble un peu réducteur comme perspective. Devenir pasteur, c'est une vocation qui donne sens à toute une existence et qui l'unifie dans un service total de la communauté des disciples du Christ. Cette suggestion est souvent faite devant le manque de prêtres. Mais comment alors ne pas donner l'impression que l'exercice du ministère ordonné est un engagement pour des gens qui voient se ralentir le rythme de leurs activités ou le poids de leur responsabilité parentale ?
 
Mamidile > Êtes vous heureux, fatigué, renouvelé, en rentrant de ce Synode? Qu'allez vous changer dans votre manière d'être et dans vos relations avec les familles?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Participer au synode a demandé un investissement personnel conséquent : il fallait discerner entre évêques vivant dans des contextes différents, faire effort pour comprendre ce qu'ils disaient à partir de leur expérience pastorale. Il fallait aussi mettre en forme les propositions avancées. Mais ce fut une riche expérience de discernement ecclésial au niveau de l?Église universelle. Cela m'encourage à poursuivre dans cette dynamique, étant attentif aux situations concrètes des familles. Comme nous l'a dit le Saint-Père, nous ne pouvons mettre notre tête dans le sable mais accueillir la réalité vécue par les familles et cheminer avec elles.
 
Votre question a été transmise à l'invité
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jmlucienspda > Pour les divorcés remariés n'y a-t-il pas un risque de voir des situations semblables ou proches traitées différemment suivant l'interprétation de l'évêque du diocèse ? Problème que l'on connaissait déjà avant le synode...
 
Mgr Jean-Luc Brunin > L'arbitraire que vous craignez me semble conjuré par le fait que ce n'est pas l'évêque qui détermine le chemin de discernement. Celui-ci s'accomplit dans l'écoute de la Parole de Dieu et la docilité à l'Esprit Saint qui éclaire la conscience personnelle. L'évêque ne fait qu'authentifier le chemin parcouru dans la liberté qui est la condition de tout disciple de Jésus.
 
 Oui ce risque existe effectivement, et il est inevittable il me semble, il doit être assumé par le prêtre.
 
 On ne peut pas prétendre assouplir le comportement de l'Eglise, pour qu'elle soit plus ouverte aux cas particuliers et éviter ce fait.
 
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NAVARRA1 > Pourquoi tant de discussion sur la possibilité de communier pour les divorcés remariés, alors que tant d'entre eux communient sans culpabilité aucune, et ne se préoccupent pas de savoir quelle est la position de l'Église à ce sujet ?
 Et bien precisement parce que il est evident qu'au sein d'une même communauté de chretiens , certains ont besoin d'une forme de "reconnaissance" de leu statut de chretien, vis à vis de la ierarchie, qui la gouverne.
 
   Ainsi moi, je connais certains chretiens, divorcés qui une fois divorcés n'ont plus jamais remis les pieds dans une Eglise parce qu'ils  s'en sentent exclus.
 
   D'autres continuent à aller à la messe ce qui est mon cas, parmi ceux là certains vont aller jusqu'à communier ce qui est mon cas d'autres n'oseront pas C'est une affaire de sensibilité personnelle, et je dirai même, intime,  qui mérite le plus grand respect.
 
   Pour ces divorcés, il est absolument évident que l'Eglise doit prévoir une forme de protocole qui encadre , d'une certaine façon la relation qui existe veritablement entre l'Eglise d'aujourd'hui et ces divorcés. 
 
Jamais les menaces de damnation éternelle n'auront de prise sur eux, cela ne fonctionne plus aujourd'hui.
   
    Et bien voilà enfin une excellente nouvelle !
 
   Ces hstoire de damnation, ont été  LE PERE FOUETARD de la religion catholique depuis plus de 2000 maintenant, et je propose de faire peter une roteuse pour fêter l'evênement !
 
    Laissons leur conscience travailler, et arrêtons de perdre du temps et de faire voyager des prélats à grands frais pour discuter interminablement de ce petit sujet.
 
  Pour commencer "leur conscience" doit être mis au pluriel et pas au singulier.
 
  Et oui "la conscience" ou en tous une.... Je reconnais que selon les individus il arrive souvent que l'on puisse soupçonner qu'elle soit partie sur Mars, voir dans une autre galaxie, ou tout simplement, partie se faire voir chez plumeau, pour rester dans les clous, côté mataphore, et ça je vous l'accorde.
 
  Je soupçonne dans cette phrase quelques tendances, à considérer les divorcés, comme un sujet de bas étage, qui somme toute, nmeriteraient pas vraiment que l'on s'y attarde,  cequi ne denotte rien de moins qu'une veritable forme de mepris.
 
 Je soupçonne là quelque discours "bien pensant" d'une partie intégriste de la grande famille des catholiques.
 
   Probablement père de famille etc etc...
 
    Alors, monsieur, osez  donc affirmer, devant nous que vous avez la certitude que votre épouse, ou votre mari si vous êtes une femme, est vraiment heureux (se) et épanoui(e) à vos côté,  sans qu'il n'y ait le moindre doute, encore qu'il faille bien considérer que le bonheur, par définition ne soit pas une denrée mesurable physiquement comme on prendrait la temperautre d'un couple, qui serait souffrant car en mauvaise posture.
 
    Je vous recommande donc, cher monsieur, le numéro, de "Toute une histoire" hier sur les couples, qui sont en thérapie.
 
 
 Certes je crains fort qu'à vos yeux, ça ne vale pas une neuvène, mais soyez sans crainte, cette méthode sur ce point, n'en reste pas mois infiniment plus efficace.
 
Et pour ce qui concerne votre mepris monsieur sachez juste que les cathiliques divorcés et moi même ON VOUS EMMERDE.
 
Laissons un peu plus d'autonomie au pape.
 
 Et oui, là je suis parfaitemet d'accord effectivement le PapeFrançois est libre de s'inspirer de qui il désire, et là pour le coup "nous sommes bien d'accord".
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Pensez-vous vraiment qu'il s'agisse d'un « petit sujet » ? Peut-être que des personnes divorcées et engagées dans une seconde union civile témoignent, comme vous l'affirmez, d'une attitude désinvolte à l'égard de la communion eucharistique. Il n'en demeure pas moins vrai que des personnes ayant vécu un échec conjugal, cherchant à se reconstruire dans un nouvel engagement et portant le souci de sauvegarder un équilibre familial pour leurs enfants, vivent une expérience souvent douloureuse et exigeante. Quand, en plus, ils souhaitent poursuivre leur parcours de vie avec le Christ, ils attendent de l'Église - dont ils font toujours partie (Familiaris consortio n° 84) - qu'elle puisse les accueillir, être attentive à leur situation et les accompagner sur le chemin à la suite du Christ.
 
 Bon et bien là, "voilà qui est bien envoyé", si je puis me permettre, c'est exactement ça.
 
  Mais moi je pousse le bouchon, beaucoup plus loin encore. (Et oui c'est pour là que je suis là figurez vous).
 
 Dans le cas, de personne pratiquantes, qui donc souffrent bien plus encore de ce rejet, le fait que l'Eglise aujourd'hui, prenne soin de ces hommes ou de ces femmes,  blessés au plus profond de leur être, par ce couple, qui s'est rompu, dans certains cas de violences conjugales, par exemple ou d'autres actes juridiquemeent extrêmement graves, pourraient trouver au sein de leur religion un soutien juste fondamental, qui serait alors un materiau PRECIEUX qui serait une partie intégrante, de leur reconstruction...  Voilà, ce que moi je pense sincèrement.
 
 Et ça n'est pas par cette forme de mépris, que ce processus risque de prendre forme. 
 
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hari > Le synode renforce la formation catéchétique des futurs époux. N'y a-t-il pas à craindre une trop longue formation qui pourrait détourner les couples du mariage chrétien ? Ne peut-on tenir compte d'une Validation des acquis de l'instruction religieuse et de l'expérience ? Merci Mgr
 
   Je vois recommande "harry un ami qui vou veut du bien" et vous verrez qu'on peut aussi être bienveillant et responsable vis à vis de sa famille, sans pour autant être catholique.
 
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Je suis un peu mal à l'aise avec la perspective de validation des acquis de l'instruction religieuse. Lorsque des fiancés s'adressent à l'Eglise pour qu'elle les accompagne dans un projet de vie de couple, ils attendent d'être accompagnés. Il est important de leur permettre de relire leur expérience. Ils veulent fonder une famille mais leur projet est lié avec leur propre expérience de vie familiale. Il est important alors que la relecture de leur propre histoire, les contours de leur projet de couple, soient mis en rapport avec la Parole de Dieu. C'est elle qui les aidera à percevoir les exigences de l'engagement qu'ils préparent.
 
 Je ne sais pas comment sont préparés les jeunes couples aujourd'hhui; mais moi pour le souvenir que j'en ai (1980), je ne vois pas trop ce qui pourrait être amélioré.
 Pour information j'avais moi beaucoup apprecié, qu'on nous propose un certains nombre de textes sacrés, parmi les quels nous deveons en choisir.
 
 Je ne sais pas si l'on peut en choisir d'autres, pourquoi pas ?
 
    Peut être serait il souhaitable d'en proposer d'autres pour que l'évantail proposé soit plus large, ce qui serait aussi un bon moyen de parler de son projet  de couple, sachant que le fait de choisir tel texte plutôt que tel autre, est une bonne base pour aborder certains sujets qui ne le seraient pas necessairement.
 
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DomCharp > La Croix indiquait le 18/10 (dans son article "Le pape veut redynamiser le synode") qu'une alchimie se dessinait entre les Cardinaux Kasper et Müller. J'y vois là un grand motif d'espérance quant à l'issue des travaux du synode. Peut-on nous en dire davantage ? Ce qui en ressortira sera-t-il audible par nos contemporains tout en étant profondeur et sens ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Ce qui ressort d'essentiel et qui a recueilli le consensus de l'immense majorité des pères synodaux, c'est l'idée de pédagogie divine. Même dans les situations complexes et irrégulières, le Seigneur est à l'oeuvre. Accompagner ces personnes et ces familles est une nécessité pour l?Église. Elle est appelée à fonder sa pratique pastorale sur la certitude que la grâce de Dieu accompagne tout homme et toute femme pour que devienne possible la réponse à la vocation à l'amour qui concerne chacun. C'est bien l'oeuvre de la grâce divine de porter à l'achèvement ce qui est inachevé ; de porter à la plénitude ce qui est incomplet ; de porter à la perfection ce qui est imparfait. D'où l'idée d'un cheminement, d'une progression et d'une croissance qui nécessite une pastorale d'accompagnement. Je crois que ce sera audible mais surtout que cet intérêt et ce compagnonnage de l'Église servira la crédibilité de l'annonce de l'Évangile.
 
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FrancoisB > Il est fréquent de rencontrer des catéchumènes adultes qui se sont mariés avec un catholique divorcé avant leur conversion. Ces personnes, sans aucune faute de leur part, ne sont pas baptisables. Avez-vous abordé cette question ?
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Vous trouvez la prise en compte de cette situation dans le numéro 75 dans le texte de la Relazione finale. Vous le constaterez, il ne peut s'agir d'une décision automatique. Cette décision d'appeler au baptême nécessite un chemin de discernement effectué par le catéchumène et ses accompagnateurs, et qui doit être validé par l'évêque diocésain.
 
chris21 > Après l'exercice admirable à de nombreux égards du synode , peut -on attendre, et si oui à quelle échéance un texte du pape (magistériel ?) sur la famille ? Dans un tel texte est-il envisageable d'enfin concrétiser par le biais d'une décentralisation "aculturée" le déverrouillage de l'accès aux sacrements de réconciliation et d'eucharistie pour des membres de couples en situation "irrégulières"(après bien sûr un parcours pénitentiel et une évaluation de la situation individuelle sous la responsabilité de l'évêque diocésain) ? En effet, quoiqu'on puisse dire , ce point est essentiel en Europe pour "rapprocher" le "peuple" de notre église.
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Nous ne connaissons pas les intentions du Saint-Père sur les délais de la publication d'un texte magistériel sur la famille. Par rapport à la question que vous posez, il me semble difficile d'annoncer simplement la possibilité pour toute personne séparée et engagée dans une nouvelle union d'accéder aux sacrements de réconciliation et d'eucharistie. Une telle banalisation de la démarche serait inacceptable au regard de la tradition de l'Eglise. Le synode a privilégié la perspective d'un chemin de discernement pour clarifier le désir d'intégrer davantage la communauté chrétienne et de vivre en fidélité au Christ. Le résultat d'un tel chemin de discernement n'est pas le droit de communier mais la décision de répondre à ce que le Christ appelle à vivre.
 
diogène > Je fais de la préparation au mariage depuis 15 ans. Beaucoup des jeunes fiancés sont éloignés de la foi et n'en ont quelques réminiscences, de sorte que deux thèses s'affrontent : saisir l'opportunité de prendre les gens où ils en sont et de les accompagner progressivement, leur donner du lait car se sont des nourrissons dans la foi chrétienne.
 
   Merci pour la comparaison avec la maternité, mais enfin il serait bon de faire preuve d'un peu de modestie je vous prie et d'envisager aussi, que certains peuvent s'être émoignés de l'Eglise, pour certaines raisons jamais evoquées par les papaes successsifs.
 
   La liste serait longue, aussi, je vais tenter d'en faire une énumération la plus juste possible.
 Le sentiment que l'Eglise depuis toujours marche à côté de ses pompes, en ne cherchant qu'à representr une forme d'idela, de spiritualité,, alor que par nature, certains chretiens, qui ont toujours cru en Dieu ne se reconnaissaient pas necessairement dans le culte qu'on leur a imposé depuis leur naissance.
 
  En gros, j'irai m^me jusqu'à pretendre que l'Eglise n'a jamais fait grand effort, pour mettre en avant le fait que chaque individu existe bel et bien en temps que tel, et que d'appendre à s'aimer, soit m^me est la première vertu, necessaire pour pouvoir aimer son semblable de la façon la plus sereine et surtout la plus ssolide qui soit.
 ne nous a t ton pas appris au catherchisme la chose suivante :
 
 "Charité bien ordoonnée commence par soit même......
 
    Si je sais qu'il y a certains Evêques aujourd'hui qui adulent tellement cette formule, qu'ils ont tendance à en abuser, au point de s'accaparer l'argent des pauvres pour des logements luxueux, aussi je vois prie d'excuser mon nez de clown qui encore "ho le gredin" de bondir de ma poche ! 
 
   Il n'est pas question dans mes propos de faire une quelconque apologie de l'egoïsme, ou du "tout pour soi" mais uniquement de cultiver ce que l'on appelle en psychologie, l'estime de soi" de telle sorte que mentalement bien campé sur ses deux pieds, on puisse accomplir du mieux que l'on peut se que l'on souhaite faire de sa vie.
   Rien de plus. Et croyez moi ce que l'on nomme en psychologie "l'estime de soi" n'a rigoureusement rien à voir, avec la notion d'argent j'ai même la prétention d'affirmer haut et fort que ça en soit plutot éloigné.
 
    Un autre aspect qui ait justifié aussi le fait que certains se soient éloignés de l'Eglise, depuis je ne sais combien de décennies, repose sur le fait que l'Eglise ait voulu, et certains en sont encore là, ne concevoir la famille que sous l'angle d'une forme d'idéalisation....
 
   Ors, la famille idéale n'a jamais existé, et n'existera jamais !
 
    Ceux qui sont assez honnêtes pour le reconnaitre, savent de quoi je parle.
 
    Je ne suis pas en train de "descendre", la valeur "Famille", pour information, je suis juste en train de prétendre que d'en donner une image éloignée à ce point, des réalités de la vie, sentiment qui est parfaitement conforté par le celibat des prêtres, n'ont fait qu'inciter les croyants à s'éloigner de l'Eglise n'en déplaise aux conservateurs......
 
Vous voulez des exemples ?
 
    Une jeune femme dans les années 75 ou 80 tombe amoureux d'un algerien ici en Normandie.....
 
   Elle sait que c'est très mal vu par sa famille, ici, en pays de Caux.....
 
   Elle va se mettre en ménage avec lui, ne sera pas heureuse.Rompra, puis reviendra. Ils n'auront pas d'enfants.
 
   Elle vit celibataire depuis bien des années. Pourquoi, s'est elle un jour écartée de sa religion, à  votre avis ?
 
   Une autre, vit en couple, avec un africain, qu'elle persiste à ne pas présenter à ses parents, alors que ça fait des années et des années qu'elle vit heureuse à ses côtés, mais persiste à ne surtout pas le leur présenter.
 
   Rien ne permet d'affirmer, pourtant qu'il serait mal reçu !  Et pourtant.
 
   Une autre jeune, est tombée amoureuse, de quelqu'un "qui n'est pas de l'Eglise", comme dit ma maman...... (ce qui me fait hurler de rire, à chaque fois, comme s'il suffisait "d'en être" comme on dirait "être à voile et à vapeur" pour être recommanble).
 
   Non, mais les parents des fois, je vous jure "j'ai envie de la taper"....
 
   Bon ça va je plaisante !
 
    En gros, si le shématise, à chaque fois que dans son parcours personnel un être humain a besoin de se sentir soutenu psychologiquement, l'Eglise a toujours un truc à faire, généralement, le non dit c'est "je peux pas j'ai piscine".....
 
   Oui j'aurai pu évoquer les fonds baptismaux, mais je l'ai deja faite, et en temps qu'artiste, je dois éviter les redites !
 
    Et ensuite vous vous demadez pour quelle raison ils ne vont plus à l'Eglise, et bien démerdez vous pour que quand ils ont besoin de se sentir soutenus ils aient au minimum, la tentation de venir vous parler ! ça sera deja un grand pas !
 
   Mais là non, c'est bien pire que ça, ils ne vous en parlent même pas,  parce qu'ils savent qu'ils sont condamnés, avant même d'avoir eu l'occasion de venir vous raconter leurs inquietudes !
 
  Ou bien, seconde thèse, saisir cette occasion pour les former a une catéchèse plus approfondie, plus longue, quitte à marier moins mais "bien" . Qu'en pense l'Église ?
 
   Et en quoi, consisterait je vous prie, le critère "MARIER BIEN" en dehors de tout contexte comique, je veux dire ? Attendez je vais vois aider parce que je vois que ça patine dans la choucroute comme c'est pas possible.
 
  Selon le discours etabli pr la sainte Eglise catholique"marier bien" serait donc se marier de façon conforme...  BIEN, et les critères de conformité je vous prie ??????????
 
Mgr Jean-Luc Brunin > S'agit-il vraiment d'une alternative ? Il ne peut être question de faire le catéchisme aux jeunes qui se présentent à la communauté chrétienne pour être accompagnés vers le mariage sacramentel. Il importe qu'ils réalisent, à-travers les personnes de l'équipe de préparation au mariage, que c'est bien une communauté croyante qui les accueille et les accompagne. C'est un chemin de mûrissement de leur projet éclairé par la foi qui doit leur être proposé. Je vous invite à découvrir dans le texte final du Synode (n° 57 et 58) ce qui a été présenté comme proposition d'un itinéraire de préparation au mariage. Il inclut une démarche de type catéchuménal.
Mjs > Sur quelle base théologique, autre que la loi de reproduction via l'exercice de la sexualité, l'Eglise limite-t-elle le mariage aux couples hétérosexuels ?
 
 Excellente remarque balle au centre.
 pendant que j'y pense j'avais deja soulevé ce probleme il  y a plusieurs années.
 un jeune couple,qui souhaitait se marier religeisueemnt lors de la preparation au mariageavait révélé qu'ils ne souhaitaient pas a voir d'enfants. pour cette raison le prêtre avait refusé de les marier. quelle est la position de l'eglise aujourd'hui reltivement à ce sujet ?
 
   Est ce qu 'on est vraiment assez stupide aujourd'hui, au sein de l'Eglise catholique, pour imaginer une seule seconde, que le fait de souhaiter avoir des enfants, soit une notion strictement indispensable, pour forger un couple ?
 
   Je donne cette précision dans ma question, parce que d'une part un jeune couple, par  son parcours individuel, en temps qu'enfant peut parfaitement avoir généré, le fait de souhaiter ne pas avoir d'enfant....
 
  Et qu'ensuite, je considére qu'il existe au sein d'un couple, bien d'autres choses à faire, comme des combats à mener ou d'autres projets, conjointement, qui vallent bien largement le fait d'avoir des enfants, l'un n'étant pas une entrave à l'autre, je le précise.
 
  Cette remarque vaut notamment aussi, pour les couples recomposés, éventuellement, dont le matériel génital et reproducteur et nemammoins méritant, est rangé au grenier, pour cause d'upsolescence criante et irréversible !
 
  Inutile que je developpe, il me semble.
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Le synode a réaffirmé que l'union entre deux personnes de même sexe ne pouvait être assimilée au mariage. Celui-ci repose sur l'union d'un homme et d'une femme qui décident de former un couple ouvert à la vie et fondateur d'une vie familiale. Ceci ne signifie pas qu'il n'y a aucune valeur vécue dans la relation entre deux personnes du même sexe (amitié, confiance, soutien...). Nous sommes dans un autre registre que celui de la conjugalité qui est fondatrice d'une famille.
 
  C'est celà, Monseigeur, comme la pince...( Et dans le petit pot de beurre, une pince monseigneur ).
Une pince-monseigneur
 
 J'aime
Tu aimes,
Il aime.
 
Nous aimons
Vous aimez
Ils  aiment.
 
 Ho et bien dites donc, je suis en train de conjuguer, et poutant je suis absolument certaines qu'il y a  bien des personnes du même  sexe que moi, qui viennent de me lire et qui conjuguent.....
 
  INCROYABLE.
 
   Ainsi, chacun est donc capable de conjuguer, avec des personnes du même  sexe... Alors là, LES BRAS M'EN TOMBENT.
 
Mike > Monseigneur,

Je suis divorcé depuis 20 ans et remarié et je suis concerné par le résultat du Synode. Je suis déçu du résultat qui est incompréhensif. Que veut dire que l'examen sera au cas par cas ? J'estime que le Pape après un an d'attente devait prendre une décision définitive. Merci de votre réponse
 
Mgr Jean-Luc Brunin > Vous semblez déçu du fait que la perspective ouverte est celle d'un cheminement et d'une prise en compte de la situation personnelle de la personne dans la situation que vous décrivez. Pourtant, l'appel de Jésus et la rencontre avec lui, c'est toujours personnel... c'est du cas par cas. Jésus n'a jamais "enrôlé" des disciples à partir d'un format unique, il a appelé chacun d'entre eux et ceux-ci se sont mis en route avec leur tempérament, leur histoire personnelle. Soucieux de contempler la manière de faire de Jésus, le synode a souligné qu'il était essentiel de porter attention à chaque parcours de vie, aux situations concrètes, au contexte particulier. Je vous engage à rencontrer quelqu'un qui pourra vous accompagner sur un chemin de discernement pour découvrir à quoi le Seigneur vous appelle, comment il vous invite à mieux intégrer la communauté de ses disciples.
 
   Oui, alors là je dois dire "monseignaeur" que je suis sur le cul, pour prétendre à une réponse aussi bien vue...
 
   Mais ce  qui est interpellant chez ce monsieur, c'est précisement la volonté, de voir une forme de carcan de régles, dans lesquelles chaque situation rentrerait, ou ne rentrerait pas... C'est en ce sens que c'est interpelant.
 
   Pour ma part, le fait de renvoyer la prise de position ou decision vers les prêtres, me semble au contraire, particulièrement "modeste" de la part de notre pape François,  mais surtout parfaitement réali
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