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Pourquoi si peu de femmes, dans le milieu de la recherche ?

Le 31/03/2017

Dans FEMINISMES.

 J'ai redigé un commentaire, à l'instant, sur le sujet, sous un article relatif à la Fondation l'oreal, qui financent et recompense des femmes, chercheuses, c'est ici:

http://www.europe1.fr/societe/portraits-decouvrez-les-5-laureates-du-prix-loreal-unesco-2017

Voici mon commentaire.

Bonjour.
 Et oui, c'est un fait, les femmes là encore sont sous représentées. par contre ce qui est assez étrange, c'est que d'une certaine façon, en dehors du fait que les filles culturellement subissent le conditionnement culturel, et donc, se privent de ces opportunités de réussite,  le profil du chercheur, qui consiste à travailler dans l'ombre assez souvent, devrait correspondre plutôt, au choix de vie, que certaines espèrent.

 Je ne prétends pas que ce soit souhaitable, bien au contraire...

 Je prétends juste que souvent, les femmes font passer l'efficacité de leur travail, avant la satisfaction de leurs égos, constatation qui explique d'ailleurs, qu'elles rechignent tant à souhaiter avoir le pouvoir, et principe dont il est bien regrettable d’observer que les hommes devraient plus souvent s'en inspirer.

On s'en prend à Najat Vallaud Belkacem.......

 Je donne le lien, pour les commentaires, en dessous.

https://www.youtube.com/watch?v=hqfb4SFeU4w&lc=z13kxznzuz2fshrf423uwzdghrfft3zot04

Je cite un commentaire, tout à l'heure.

cegaladelabasil y a 57 secondesCommentaire sélectionné

"Psychologue de mon cul ! Cegaladelabas ! Tu te prend pour qui ! Putain , je comprend pas comment ce type à pu faire ! Heureusement qu'on a pas foutu ce gars là ! Ferme ta gueule Cegaladelabas ! Putain de ta race !"

 Voici ma réponse.

   "Psychologue de mon cul", dis moi, est ce que par hasard, ça ne serait pas la nouvelle appellation, pour dire "sexologue", non ?

    Je soupçonne fortement, que considérant ton potentiel intellectuel, que je situerai au ras de la moquette synthétique, tu ne connaisses absolument pas ce vocable, destiné pourtant à accroître les connaissances, du piètre porte couilles, que tu semble vouloir persister à demeurer.

    Pauvre de toi, n'être capable que se s'en prendre à une pauvre petite brebis égarée de mon espèce, je te trouve véritablement, très très très très méchant, sache le."

 

 

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