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Les disparues de l'Yonne.

Le 26/05/2015

Dans JUSTICE.

http://www.affaires-criminelles.com/dossier_7-1.php

 pour memoire il s'agissait d'un etablessement où residait des jeunes filles, handicapées mentales. Au fil des années il était arivé à plusieurs reprises que certaines d'entre elles, aient disparu, et personne ne parvenait alors à en trouver la cause.

 Effectivement qu'on n'ait pas remué ciel et terre à l'époque avait de quoi choquer. Mais sans aller jusqu'à incriminer qui que ce soit, sur ce dossier enfin, "pas encore", il ne faut pas omettre plusieurs paramètres, qui sont les suivants.

 D'une part le viol, la pédophilie, et les crimes sexuels, de façon générale, suivis ou non d'homicides,  étaient à l'époque, bien moins considèrés comme etant des crimes véritables, que ça n'est le cas aujourd'hui.

   Certes on sait tous qu'aujourd'hui ça n'est probablement pas parfait. Et ce possible que ça le soit un jour ?

   Non . Pour la simple raison que la perfection en matière de Justice est impossible. Elle se doit d'être la plus juste possible, mais il existera toujours des facteurs qui plaireront helas contre la Justice, en ce domaine, comme le travail en amont, comme la prévention au sein des familles, et par l'intermédiaire des ecoles et établissements scolaires,  qui est plus difficile qu'on ne le pense, ou bien le fait que les victimes veritablement assassinées persistent helas trop souvent, dans un premier temps à renoncer à déposer plainte (je connais fort bien ce fait, puisque c'est ce que j'avais fait, enfant) rendant ainsi, le travail de la Justice, infiniment plus difficile au fur et à mesure que les mois et les années s'ecoulent.

   Le second facteur dont absolument personne ne parle,  consiste dans le fait qu'il se soit agi de handicapées mentales.

   Car il est interpellant pour information de tenter d'imaginer quelle aurait été le parcours de Emile Louis, s'il avait travaillé dans un etablissement où les jeunes filles aient été "de bonne famille", version "boite privée", où qu'il n'ait été que simple chauffeur de car dans une compagnie de transport quelconque. Aurait il été tout autant violeur et criminel  on ne sait pas. On ne le saura jamais.

 Mais je vais vous raconter quelque chose.

 Quand j'étais enfant, l'homme qui m'avait violée, ensuite, une quinzaine d'années plus tard, mon père l'ayant renvoyé avait cherché du travail ailleurs.

 Il avait bossé alors pour une compagnie de transport de produit chimique, des derivés du petrole, dans la banlieu sud de Rouen. il était tombé gravement malde sur le plan pulmonaire.

 Son renvoi par mes parents n'avait rien à voir avec ce qu'il m'avait fait, puisque moi je n'avais à ce moment rien révélé à qui que ce soit.

 mon père d'une certaine façon avait toujours gardé l contact avec lui puisqu'ils se connaissaient depuis l'enfance.

 Ainsi quand il fût hospitalisé, j'entendis mon père expliquer, à table peut être, je ne sais plus, pendant le repas, peut être ? que cette société à l'époque, n'embauchait pour faire ce travail que de pauvres types dont ils s'assuraient alors sytémtiquement, qu'ils n'avaient abslument aucune famille au moment de l'embauche.

 Que je vous explique.

 Ce travail consistait à nettoyer l'interieur des cuves, qui transportaient ces produits chimiques. Donc connaissant l'extrême dangerosité des substences inhalées le travailleur n'ayant aucun famille, ils s'assuraient ainsi,  de ne craindre aucunement d'être poursuivis pour conditions de travail desastreuses et mise en danger du personnel. mon père avait expliqué alors, qu'ilavait appris que d'autres messieurs s'etaient retrouvés dans la même problématique, avec les mêmes symptômes.

 Et vous pensez donc "quelle relation avec les dispareues de l'Yonne".

 Et bien c'est le même proessus.

 Si ces jeunes filles n'avaient pas été handicapées mentales il est tout à fait probable que coupables, ne se seraient pas senties non pas autorisés, mais disons "non suspectés" d'avoir été coupables, de tels actes.

 Aujourd'hui, en 2015... Statistiquement, un enfant "ors norme",  pour quelque raison que ce soit est plus vulnérable, qu'un autre précisement encore et toujours, pour les mêmes raisons.

 D'une part un violeur potentiel, se dit "il ou elle ne dira rien puisqu'elle ne sait pas s'exprimer", ou bien "s'il ou elle dit quoi que ce soit on dira de lui ou d'elle qu'il ou elle afabule. Ou bien il s'en convainc en disant qu'il ne sera pas cru.

 Quand on considère d'une part, à quel point il doit arriver  q'un enfant ou qu'un ado, peine à voir sa parole respectée et entendue imaginez une seule seconde ce que deposer plainte peut representer pour la même personne souffrant d'un handicap.....

 Et puis il est probable que ces violeurs alors aient eu de toute façon, le sentiment que ces personnes étant à leurs yeux "inférieures", ça ne pose aucun problème particulier. Et pour l'affaire dont il était question que de toute façon, c'etait: "bon débarras", et que statistiquement les familles, éventuellement ne porteraient pas plainte.

Quand la recherche de la Vérité force le respect, en la personne de Christian Jambert.

 Je précise pour information que je suis moi, toute cette affaire, depuis bien des années.

 Je la suis pour diverses raissons.

   Pour commencer, parce que je suis moi, une ancienne victime de pédophilie... Ensuite, parce que le handicap sous toutes ses formes, m'intepelle pour plein de raisons assez diverses, dont la plus importante qui consiste à m'interresser à l'être humain dans sa diversité, et sa marginalité vis à vis de toute forme de norme preétablie.

 Mais il existe une autre raison qui explique que je m'y intrresse qui est la suivante.

 Un jour, je venais de pêter les plombs, "GRAVE" comme disent les enfants, enfin ceux d'il y a dix ans peut être ? Mais peu importe.

   J'avais une amie, une de mes meilleures amies, dois je le préciser, qui avait été une collègue à moi, quand j'avais été éducatrice stagiaire, quand je travaillais aux Nids, à Pavilly, c'était dans les années 1982. Si ma mémoire est bonne.

 Discutant avec elle un dimanche alors que nous nous promenions d  en forêt non loin de chez elle, je lui parlais de mon traumatisme, la pedopjhilie etc.... Elle m'avait suggéré qu'i  on aille le trouver pour lui demonter la guele... dans la maison de retraite,, oùil sejournait à l'epoque...il faut diire que Annnette Bargeon, puisque tel était son nom, etait petite et menue.....

 Et si ce jour là, j'avais particulièremnt apprécié son sens  de la repartie, version "kung fu", à côté duquel quelques années après "la boxe à l'anglosaxonne" de Thomas Fersen m'incite vraiment à rigoler, en me disant que décidement, il ne ferait pas bon s'en prendre à mon petit corps......

 Il faut s  dire que le pedophile en question avait pour point commun avec Annette qu'ils étaient l'un comme l'autre, petits et plutot menus en gros "epais comme des carrelets de six semaines" c'est vous dire. Imaginez donc la scène, difficile rétrospectivement de ne pas trouver ça rigolo.

 Quoi qu'il en soit une fois expliqué que "Merci Annette, mais ça ne changera rien au problème", on rentrait chez elle.

   Je ne me souviens plus si ce fût ce jour particulirement, ou bien un autre, que nous discutions crimes sexuels, et pédophilie, en particulier...Mais je me souviens avoir été particulièrement été marquée, par une révélation qu'elle me fit, elle, au sujet de l'affaire des diparues de l'Yonne.

  L'affaire était en train d'éclater dans la presse.

 Elle était je dois dire "complétement retournée". Et pour cause.

 Elle avait commencé sa carrière,, en travaillant dans le milieu de la mode à paris quand elle était jeune fille.  Elle adirait la couture et son petit gabarit faisait d'elle un modèle qui était bien utile m^me si elle était bien loin du mannequinat.... Elle en avait gardé un goût véritable, pour la couture,  ainsi que pour les "petites  mains" qu'elle avait cotoyées à l'epoque.

 Aussi sur ce terrain là, nous nous entendions à merveille, comme pour le jardin, soit dit en passant.

 Ce jour là, elle était, je dois dire "complètement retournée".

 "Françoise... J'ai bossé là bas".

 3comment ça, t'as bossé  là bas... qu'est ce que tu racontes de quoi parles tu ?

 "Les disparues de l'Yonne", Françoise, je te dis que j'ai bossé là bas.  Je connais très bien cet établissement j'y ai été stagiaire".

 Elle était completement retournée, je dois dire, en me racontant celà.

 Elle s'explique.

 J'étais en formation. (je précise que l'Yonne était sa région d'origine).

 "Un jour, en bossant avec les jeunes filles, (elle ne m'avait pas précisé l'age des jeunes filles, était ce des enfants, ou bien des ados, je ne sais absolument pas), je remarquais que jouant à la poupée, ces dernières reproduisaient avec beaucoup d'insistance, l'acte sexuel, mais de façon vraiment exagérée. En fait c'était les seules choses qu'elle faisaient, avec les poupées".

   Je précise pour information, que d'avoir un tel comportement, pour des enfants, avec des poupées, ne constitue absolument pas un symptôme en soit. Mais c'est uniquement, quand ce comportement devient soit systèmatique, soit exclusif, et particulièrement répétitif, qu'il constitue véritablement, un signe qui doit alerter et qui n'est qu'un signe et aucunement une preuve de quoi que ce soit.

 "Et alors" ????? Tu as fait quoi ?".

  Elle me repondit. "Ecoute moi, j'etais toute jeunette, je n'y connaissais rien,  j'étais en stage, j'aprenais mon travail, j'avais tout à paprendre, alors je m'en suis remise à ma référente de stage, et je lui ai expliqué.....".

 En fait, elle a été formelle. ET m'a dit ceci: "Tu vas faire tes valises, et quitter cet établessement, le plus rapidement possible".

   Je ne sais pas si ce que Annette m'a dit, a été consigné dans son rapport de stage, et si ce document existe.... Ou si elle a raconté  ce qu'elle avait noté et fait par de son inquietude veritable, uniquement par voie orale.

   Je sais juste moi, que je ne donne pas mon amitié à n'importe qui, à plus forte raison dans le domaine relatif à l'éducation des enfants, et au souffrances dont helas Annette, enfant, avait elle aussi, été victime, ce qui nous faisait à elle et moi, un point commun supplémentaire. Mais de toute évidence, pour moi, qu'il existe une trace ecrite ou pas relatifs à ce témoignage, son recit compte tenu, de l'eat psychologique,, dans lequel elle setrouvait quand elle me l'a  raconté,  est non seulement indiscuttable mais ne saurait en aucune façon, être susceptible d'être remis en cause.

   Je précise que si je tiens, moi, à revenir sur cette histoire, c'est pour une autre raison, qui vient me conforter, dans  le fait que la Justice, ne saurait elle,  être sousestimée, voire, méprisée, par la suite, de certains évènements, qui viennent croiser ce temoignage, dont Annette Bargeon, qui n'est plus de ce monde, m'ait fait l'honneur d'être la recipiandaire.

 Je veux parler de la mort, plus que suspecte du gendarme Christian Jambert, qui lui sut, et fit preuve d'une incroyable perceverance relativement à cette enquête.

 Dernièrement un reportage sur son soit disant suicide aremisle dossier "susceptible, d'être rouvert".

 Pour moi cet homme ne s'est absolument pas suicidé, mais "a été suicidé" ce qui est bien différent.

   Il est possible qu'aux yeux de certains,  le fait de revenir sur cette histoire ne semble pas si important que celà, ce que je trouve moi bien triste, si je considère que la notion de suicide, laisse dans l'inconscient d'une famille, des traces absolument terrifiantes, sur plusieurs générations....

   Ensuite cet homme a été un heros des temps modernes, chose qui n'a jamais été dite, ni je dirai même proclamée.

   Enfin pour finir, il est necessaire qu'une enquête soit réouverte, pour comprendre qui a commis ce crime, et pour couvrir qui ?

   Peut être que certains se demandent pour quelle raison, cette référente de stage n'a pas donné l'alerte.

   Pour moi, il est tout à fait probable que cette femme (selon les dires d'Annette, c'était une femme) ait su quelquechose, et qu'elle savait qu'Annette serait alors en danger, si elle parlait, alors il lui fallait la protéger, c'est vraiment le sentiment que j'ai eu, moi suite à son recit.

  Il s'est trouvé au sein de la gendarmerie "peut être ?" ou bien, au sein d'une quelconque iérarchie, à l'époque, quelqu'un qui ait donné l'ordre, de tuer cet homme, pour ne plus qu'il y ait d'investigations sur cette affaire.

   Je précise, que ma démarche, n'a pas pour ambition, de ternir en quoi que ce soit, la gendarmerie, à l'époque, ou bien des personnages importants, au sein du ministère de la Justice.... Mais comprenez bien qu'il m'est à moi, simplement intolérable d'envisager une seule seconde, qu'il puisse y avoir quelque part, ici sur le sol français, un retraité, des retraités, qui aient à cette epoque, veritablement cautionné le fait, que dans cet établessement on violait et assassinait des jeunes filles avoir pour seul et unique justification, que de toute façon "c'était des débiles mentales, qui ne porteront jamis plainte", et pour moi c'est juste quelquechose qui  à mes yeux est insupportable.

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