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Ma défense pour qu'évolue ma tutelle, puis ma curatelle.

Le 05/12/2014

Dans JUSTICE.

  Il n’y a pas une institution qui ne m’ait d’une certaine façon humiliée, et déconsidérée depuis 5 ans.

  Juridiquement. Puisque ma mise sous tutelle n’a jamais été décidée uniquement que pour raison d’état. Ors.

  Jamais, alors que plusieurs expertises psychiatriques, prétendaient que j’étais érotomane, ne m’a été donnée à la lecture. Je pense que c’est parfaitement illégal.

  Le délai, entre l’appel et la date décidée est trop long. 7 mois en ce qui me concerne ce qui est parfaitement aberrant.

   La juge des tutelles décide elle, du montant mis à disposition, par le tuteur, sur le compte en banque à retirer en liquide uniquement et strictement, à l’exception de toute carte bancaire ou chéquier.

 Ce qui implique donc, impossibilité d’acheter quoi que ce soit, par carte bancaire ou chéquier.

    Certes, j’entends bien que la personne mise sous tutelle, est sensée y être précisément parce qu’elle serait incapable de gérer son argent. Mais dans la réalité des faits  certaines conséquences sont parfaitement ignorées par les juges. Notamment le fait que certains produits ou certains  achats ne peuvent quelquefois se faire  strictement que par carte bancaire désormais, ce qui tend à une sérieuse discrimination de la personne sensée être protégée en temps que consommateur.

    Impossibilité de faire face à des imprévus que n’importe quelle personne parfaitement responsable,  peut assumer, quand elle peut disposer de ses moyens de paiement. Une panne sur une route, pas de portable. A diverses reprises j’ai souhaité acheter un portable, et qu’elle passe chez ORANGE pour changer mon forfait de telle sorte que la consommation soit débitée sur ma facture ORANGE. Impossible. Ainsi, je me suis retrouvée accidentée, sur le périphérique de CAEN, sans avoir la moindre possibilité d’appeler qui que ce soit, via mon portable.

 Des exemples.

60€ par semaine versés chaque jeudi matin. Essence et nourriture.

   Dans la réalité, pour le peu que j’ai eu l’occasion de demander plus, pour avoir une vie un peu plus digne, comme pour aller chez le coiffeur ou bien m’acheter un peu de vêtements, l’argent supplémentaire, lui, est versé et arrive avec un délai des plus fantaisistes, allant de2 jours à 5 jours d’acheminement. Ca ne choque ni ne surprend absolument personne.

   Lundi matin, plus de bouteille de gaz. Un seul radiateur qui fonctionne. Il commence à faire froid. Je suis allée emprunter 30€ à ma petite sœur (c’est au moins la troisième fois, que  je le fais, depuis 5 ans puisque c’est la seule, qui soit suffisamment charitable, dans la famille d’où je viens qui soit sensible à ma détresse).

 Là, il se trouve que ça ne pose pas de problèmes, puisqu’elle est solidaire de moi.

    Mais il est arrivé à de très nombreuses reprises que je me trouve en grande difficultés, financièrement, ou matériellement et que je ne puisse faire autrement, que de me tourner vers ma mère et ce fait à chaque fois, me positionne de façon extrêmement dommageable vis-à-vis de cette dernière qui refuse obstinément que je me mêle de politique, ou que je milite, pour quoi, que ce soit,  de façon bénévole. C’est pour moi extrêmement grave, car cette tutelle pervertit entièrement la relation que j’ai vis-à-vis de mes frères et sœur ainsi que celle que j’ai vis-à-vis de ma mère.

     Je précise que pour les mêmes raisons, la succession familiale est entièrement bloquée et que la seule et unique raison pour laquelle celle-ci reste en plan, n’est due qu’à ma tutelle……

    Pour les mêmes raisons mon divorce, lui, alors, que tout est parfaitement clair depuis des années entre mon ex et moi reste entièrement bloqué, sous un prétexte parfaitement  fallacieux.

    Je précise que pour chacun des points cités ci-dessus, les quelques fois que j’ai reçue, la visite de ma tutrice avec son collègue, ces points ont été évoqués je m’en suis plainte et que systématiquement, elle s’était engagée à ce que le divorce se termine, aucun engagement n’a été tenu.

     La succession de même aucun engagement n’a été tenu.

    Je comprends fort bien que ma situation par sa marginalité ait pu justifier quelques entorses si ce n’est au bon sens au moins à l’attitude de bienveillance qu’un tuteur doit avoir vis-à-vis de la personne qu’il ou elle  est sensée protéger.

   Mais il n’est quasiment jamais arrivé que moi, tenant compte en amont d’un projet de voyage, que j’avais comme pour simplement aller rendre visite à l’une de mes filles,  cette argent n’arrive que plusieurs jours trop tard….

    L’état de pauvreté dans lequel ma tutrice me maintient au quotidien et le sentiment de mépris, le plus absolu dans lequel elle me maintient  m’a incitée depuis bien des mois, àne plus communiquer avec elle quelqu’en soit la raison.

    Je vis aujourd’hui dans une maison vétuste,  mal isolée sans eau  chaude, depuis un mois.  L’installation électrique, est dangereuse et défectueuse. Le sol est jonché de prises de courant alors que j’ai des problèmes aux jambes très sérieux  (éléphantiasis) que je risque de tomber.  Une prise de courant sur deux, ne fonctionne plus.

   Il m’a été signifié qu’il était inenvisageable de faire des travaux, à cause de la succession compte tenu du fait que je ne suis propriétaire que pour un cinquième de la maison et que cela modifierait le montant pour lequel elle a été expertisé. Soit. Mais les simples réparations n’entrent pas en ligne de compte, puisque c’est juste de confort minimum et de sécurité dont il est question ce qui signifie donc que ça n’influencerait en aucune façon  le montant de l’expertise.

   Cette panne lui a été signifiée, il y a plusieurs semaines, ainsi que la panne de télévision, ni pour l’un ni pour l’autre elle n’a daigné lever le petit doigt.

   Ce matin j’ai demandé à ma mère, pour prendre une douche elle a saisi l’opportunité, pour me descendre en flèche…. J’ai donc refusé d’y aller pour ne pas me quereller avec elle, « une fois de plus ».

    Je précise que j’ai fait le nécessaire lui ai laissé une fois de plus un message sur son répondeur, elle ne donne aucun signe de vie.

    J’ai alors décidé d’aller voir l’assistante sociale à Pavilly la semaine dernière qui m’a affirmé qu’une personne sous tutelle, elle ne pouvait rien faire et que c’était elle seule, qui avait pour mission de veiller, à ce que mes problèmes soient résolus.

  Socialement. Les restos du cœur.

    Pour « raison d’état » j’ai été admise à  bénéficier des restos du cœur, la première année, il doit y avoir 4 ans je ne sais plus. Depuis chaque année alors qu’on attend que je cautionne l’association, ainsi que toutes celles, qui sont dans cette démarche solidaires des défavorisés, alors que j’en avais fait la demande auprès de ma mairie conformément à ce qu’on m’avait conseillé de faire,  je n’ai non seulement jamais entendu parler de qui que ce soit, mais en plus on a trouvé parfaitement légitime, de me demander de continuer à cautionner leur association.

    Pour être franche, une fois compris la démarche venant de « mon coach », j’étais juste tellement morte de honte, que jamais je n’aurai sollicité quelqu’aide que ce soit et que plus jamais je ne demanderai d’aide non plus, auprès de qui que ce soit.

 « le 115 du particulier ». Dernièrement. Je les ai sollicités pour savoir si éventuellement ils ne pourraient pas m’envoyer quelqu’un, pour réparer ne serait ce que provisoirement mon installation électrique pour que je puisse retrouver l’eau chaude. Aucune réponse.

 Gendarmerie Nationale.

   Thomas Fersen a porté plainte contre moi. Les raisons n’ont pas être évoquées par qui que ce soit, parce que ça ne regarde que moi.

 J’ai donc stoppé toute correspondance.

    Je lui ai écrit un plis recommandé pour simplement lui faire connaitre ma position sur le plan psychologique lui donnant une date buttoir pour moi me protéger, juridiquement. Il s’agissait d’un pli recommandé et pas d’une lettre recommandée de telle sorte qu’il ne puisse prétendre que l’enveloppe fût vide.

    Il a refusé le recommandé. J’ai des preuves. Cette lettre date de plusieurs années. Je n’ai jamais eu la moindre suite à cette plainte.

    Aux dernières nouvelles, et selon certaines émissions de télévision,  assez anciennes je dois préciser, qu’il a faites depuis plusieurs années, il file le parfait amour, avec sa compagne et ses deux petits enfants….. Dernièrement à un concert une femme accompagnait son petit garçon.

    Je n’ai jamais reçu la moindre explication relative ni à cette plainte, ni au fait qu’il ait refusé de recevoir ce pli recommandé qui avait pourtant pour seule et unique objectif simplement que lui et moi puissions aller chacun de notre côté sans précisément que l’un ou l’autre, puisse garder ombrage, de cette histoire…

     Un jour que j’allais vraiment très mal…. Complètement à bout je décidais d’appeler le SAMU à ROUEN pour qu’ils viennent me chercher, je ne me sentais pas capable, d’aller seule aux urgences et  mon entourage indifférent était incapable de me venir en aide. Ils ont refusé de venir, prétextant je ne sais plus quoi.

 Pour quelle raison cette plainte n’a  t elle jamais été suivie ? 

    Pour quelle raison la gendarmerie n’a-t-elle, elle tout simplement pas pris le temps de le convoquer rapidement afin d’éclaircir la situation ?

 La juge des tutelles.

   A plusieurs reprises je lui ai écrit,  il n’y a  pas si longtemps encore. Non seulement je n’ai jamais reçu la moindre de ses nouvelles, mais lors de notre dernière entrevue elle m’a carrément  laissé entendre que j’étais une pauvre fille, qui lui faisait perdre son temps, par mes lettres trop nombreuses.

    Mais aujourd’hui, 1 Décembre 2014 alors que la première partie de ce texte vient d’être transmise à « mon coach », la tutrice vient de se rappeler à moi.

   Ce coup de fil n’a pour seul et unique objectif, que de me laisser croire, qu’elle va m’envoyer effectivement un électricien.

    Parce que je ne la crois pas, je ne la crois plus depuis bien longtemps.  La preuve ? Elle vient de m’affirmer, là, au téléphone, sans le moindre complexe, qu’elle n’était absolument pas au courant du fait que mon électricité soit en panne.

   Comment pouvez vous imaginer une seule seconde qu’elle soit capable de veiller véritablement sur moi, alors qu’elle est d’une mauvaise fois manifeste ?

 L’allocation adulte handicapé.

 On m’a fait savoir il y a quelques temps que l’on souhaitait mon point de vue sur le sujet.

   J’ai pour ma part toujours été consciente que j’étais pas « normale ». Mais ne pas être « normale » moi ne m’a jamais posé trop de problème, j’irai même jusqu’à dire que j’ai toujours bien assumé malgré mes blessures.

    Je travaillais donc le sujet notamment relativement aux autistes ASPERGER, puisqu’on m’avait laissé croire que je l’étais, dans le seul et unique but que je prenne leur défense…

    Une foi arrivée il y a quelques années à l’HP pour un très court séjour organisé dans le seul et unique but, de me faire voyager dans différents services afin que je voie, certains patients et que j’en tire certaines déductions, l’un des psychiatres finit par m’avouer « mais vous n’êtes absolument pas autiste asperger ».

   La manipulation étant justifiée aux yeux de certains, pour que je nuance et j’apprécie certains critères relatifs au fait que l’on octroie ou pas, l’AAH selon certains critères alors parfaitement ignorés.

 Je travaillais alors le sujet et le transmettais.

Puis la juge des tutelles, décidait que je devais la toucher.

     On m’a laissé croire ensuite, que cette démarche avait pour ambition accompagnant la tutelle, que cette dernière me serait versée sur mon compte afin que je puisse mener une vie plus décente…..

     Grossière erreur, c’était uniquement pour me le faire croire, mais il n’en était rien. Alors que j’avais de toute façon demandé à ne pas la toucher puisque je n’avais aucune raison qu’il en soit ainsi, on persistait absolument pour que je la touche.

   Et vous savez quoi ? Et bien je n’en absolument jamais vue la couleur. Et pour cause c’est la tutrice qui la touchait sur mon compte et moi je n’en jamais rien touché.

 Plus fort que ça.

 Il y a quelques mois, ma tutrice me dit au téléphone ceci.

 « Savez vous que le fait que vous touchiez l’AAH, a pour conséquence que votre mari, a à présent moins d’argent à vous verser »…. En gros elle me disait cela dans le but de détruire peut être pensait elle, la bonne entente, si difficile à trouver avec son ex quand on divorce, à plus forte raison, quand la raison d’état justifie le fait que le divorce non conflictuel traine pendant 5 ans.

   Et tenez vous bien. Alors que je visitais mon mari, il y a quelques jours, je lui en touche un mot, et il m’a certifié et montré ses prélèvements, relatifs à notre séparation.….  La somme qu’il verse à ma tutrice est toujours la même. 500€.

 Dans quel but, la tutrice se comporte elle ainsi ?

Là encore elle a menti.

 Dernièrement, il fût nécessaire de renouveler  la demande d’AAH.

   Pour information je tiens à préciser qu’en théorie le médecin qui détermine si oui, ou non, on perçoit l’AAH doit être habilité pour, et que ce ne doit pas être le médecin traitant, qui en soit chargé , ors, moi c’est toujours elle, qui  en a été chargée.

   Ces derniers temps donc elle me demande de passer parce qu’elle avait reçu de la tutrice un certificat à remplir relativement à la demande de l’AAH.

 Elle me dit, « bon alors on fait comment ? ».

   Je lui dis en rigolant "Mais enfin vous savez fort bien que la seule et unique raison pour laquelle je suis maintenue sous tutelle c’est la raison d’état et rien d’autre et que l’érotomanie n’a fait que servir de prétexte ? »….

    Elle venait d’écrire un truc ? Je ne sais pas quoi, qu’elle a raturé…. Elle réfléchit. Elle réécrit autre chose, elle rature de nouveau…. Elle me regarde de nouveau… réfléchit… réécrit autre chose. Et barre de nouveau. Puis me dit « bon je sais pas quoi mettre moi »…

    Je lui répond « ha ça non, c’est sûr pour vous, c’est pas simple, on vous demande de mentir alors c’est sûr, j’imagine que ça n’est pas simple »…

 Je la regarde et puis je lui dis ceci. « Mettez « présumée érotomane »…

  Elle sourit.

 Interrogative.

  Je lui explique.

 « Et bien c’est bien de ça dont il est question non ? On me fait chier depuis des années parce que je serai atteinte d’érotomanie, alors, que c’est parfaitement faux, alors n’ayez aucun scrupule, puisque  ça n’est que la stricte vérité, alors, mettez « présumée érotomane » et qu’ils arrêtent de nous faire chier ».

 Elle a envoyé le papier rempli de la sorte.

 Et vous savez quoi, le « poulet OGM n’était pas content mais alors « pas content du tout ».

 Elle lui a renvoyé le papier pour qu’elle le corrige.

    Et là quand elle m’a revue la semaine dernière pour une plaie sur le tibia, qui ne parvient pas à guérir elle m’a dit « vous savez quoi, « on va laisser pisser »…

Conclusions.

    Je comprends fort bien que par ma marginalité, qui ait généré, le fait que l’on porte sur moi, une attention plus que précise, et pointue ait pu justifier éventuellement un traitement « spécial » traitement que soit dit en passant jamais aucun être humain n’aurait accepté ici en France y compris pour défendre la veuve et l’orphelin.……

    Les raisons seraient relatives au fait que certaines personnes qui se croient « bien intentionnées», infiniment plus envers autrui, qu’envers moi-même,  estiment que je dois vivre physiquement certaines épreuves pour être la mieux à même,  de prendre la défense de certaines causes….

   Je n’ose imaginer les pires délires que cette théorie pourtant parfaitement à l’origine des mauvais traitements et de la véritable torture psychologique que je subis depuis 5 ans, pire aujourd’hui encore, que jamais, puisse susciter.

   Ce qui en résulte aujourd’hui réside dans le fait que je considère comme une « traumatisée artistique »  entre autre….

   Pour information je tiens juste à vous signifier, que je « serai » selon la dernière expertise psychiatrique, « en rupture de traitement ».

  Alors un jour en temps que "malade mentale" relativement aguerrie, à l’HP je me suis dit « bon OK, moi je ne suis pas une dissidente de la psychiatrie ».

    Il est important d’être docile, en temps que « débile mentale », donc je vais aller aux urgences, pour voir un psychiatre, afin qu’il me délivre mon traitement… Je précise que j’étais parfaitement «   droite dans mes bottes », comme on dit chez nous. Je lisais dans la salle d’attente. Le réceptionniste a refusé de me donner une liasse, et a fait comme si je n’avais rien à faire là bas. Alors, je me suis assise et j’ai lu. Plusieurs heures. 

   Une bonne flopée de médecins de toutes sortes infirmières etc sont passés auprès de moi, et aucun n’a posé la moindre question, sur ce que je venais faire…. En gros on a refusé de me recevoir.

    Je pense que si j’avais été effectivement une malade mentale en rupture de traitement non seulement on m’aurait délivré effectivement une liasse de soin, mais on m’aurait reçue et délivré mon médicament.

     Le fondement même de mes convictions, elles n’ont jamais bougé d’un poil, mais  ma confiance en qui que ce soit, est entièrement ébranlée au point, que je n’ose plus me fier à qui que ce soit. Ni en aucune des institutions de mon pays,  et encore moins au ministère de la Justice,  dont j’ai pourtant il me semble, inspiré bien des sujets.

    Et que la moindre constitution pour cause de « raison d’etat », soit à l’origine du fait que la seule stratégie, qui me reste à adopter aujourd’hui, s’appelle « le silence »… Et  que dans ce domaine je vous prie de croire, que vous ne soupçonnez absolument pas à quel point  je sais AUSSI être virtuose.

   J’en tiens pour preuve, l’endroit, où se trouvera cachée la livebox dont je serai moi la seule à connaître l’endroit.

   Je précise enfin, que la proposition, que j’ai faite, à la juge lors de la dernière lettre qui consiste à trouver une formule intermédiaire est pour moi parfaitement viable aujourd’hui.

   Ma seule et véritable exigence aujourd’hui consiste en la levée de ma tutelle afin que  personne n’ait le droit, de décider à ma place, de la façon de gérer mon argent.

   Mon problème en fait consiste à ne pouvoir que constater que j’ai été depuis 5 ans méprisée comme peut être aucun français ne l’a jamais été.

   Moi je ne demande qu’une chose, bénéficier au minimum, du respect et de la dignité que chaque  citoyen français est en droit d’attendre.

    Si pour une raison ou une autre, ce qui semble être le cas, il se trouve quelqu’un, en haut lieu, pour estimer que pour raison d’état, il est souhaitable de veiller sur moi, pour des raisons que moi, je ne peux que soupçonner, mais sans vraiment les connaitre, je trouverai alors infiniment plus sain et honnête intellectuellement, de simplement me le dire, et qu’une solution soit trouvée, j’ai été moi préparée à cela depuis plusieurs années et je suis donc parfaitement prête à discuter et étudier différentes hypothèses.

    Je précise enfin que ma stratégie du silence éventuel, ne consiste ni à nier mes convictions ni à nuire en quoi que ce soit à mon pays, mais uniquement et strictement, à me protéger moi psychologiquement de la manipulation mentale que je subis de toute façon au quotidien y compris quand je sors de chez moi.

   De telle sorte qu’ internet étant ma prison et chez moi, mais un chez moi, ou aussi curieux que ça puisse sembler, je n’ai jusqu’à preuve du contraire de compte à rendre à personne.

 5 décembre 2014.

 Convoquée aujourd’hui, au tribunal, pour étudier la levée éventuelle de ma tutelle.

   Je précise que ces derniers temps a été diffusée une émission, sur le sujet, que ma mère a vue. Elle en a été très choquée, tant les abus et détournements sont fréquents.

 Je suis arrivée un bon quart d’heure d’avance.

 Je crois que de façon inconsciente je savais ce qui m’attendait.

 Je précise que j’ai moi « décroché» du Ministère de la Justice, depuis des mois, déjà…

    Ça n’est pas un problème de personne (ChristianeTAUBIRA), ou bien de quelques regrets que ce soit relativement  à certaines reformes ou changements dont j’ai été l’inspiratrice « bien au contraire ».

   Mais bien uniquement et strictement relativement au fait que je sois maintenue sous tutelle, alors que cette dernière n’a absolument pas lieu d’être.

 Ma tutrice elle, n’était pas là c’est son collègue lui qui est venu, pour la représenter.

  Il est vrai que j’avais prévenu, Thomas Fersen, hier, que si elle venait je lui intimerai l’ordre très probablement de se taire, considérant le fait qu’elle ne répond même pas à un dixième de mes coups de fils….Alors elle a refusé l’obstacle.

    Son collègue vient lui, ici me voir, avec elle, ça fait trois fois qu’ils viennent. Ils ont  ainsi le sentiment de faire leur travail alors qu’en fait ils font que se donner bonne conscience considérant qu’ils adoptent au contraire dans la réalité des faits des attitudes rigoureusement aux antipodes de leurs discours.

   Ainsi lors de leur dernière visite, ils m’ont affirmé que ma demande de déménager vers Paris, leur semblait tout à fait favorable et qu’ils étaient parfaitement d’accord, sur le principe et qu’effectivement le fait de ne plus habiter une maison qui appartienne en grande partie (les 4 cinquième au reste de mes frères et sœurs),ça éviterait que ça n’accentue la stigmatisation, au sein de ma famille d’origine.

    Dans les faits la démarche n’avait pour seul et unique but que je remplisse le formulaire pour habiter Paris, à la ville de Paris pour voir ce qui clochait ou pas, notamment au niveau de la notion de handicap pour mes jambes.…Mais jamais, au grand jamais, ils n’ont en vérité, cautionné le fait que je parte d’ici.

   Bien au contraire. Leur démarche tend précisément à ce que je reste dans cette maison parce que le fait que les relations entre ma famille d’origine et moi soient parfaitement perverties, donne le prétexte au juge d’appuyer sur le fait que je ne me sente pas bien psychologiquement que donc, je sois sensée rester sous tutelle.

Nous avons donc lui et moi été reçus.

Avant d’entrer il a commencé par m’expliquer sa position…

  Il m’a dit que conformément à ce qui avait été décidé au sein de l’UDAF, il était souhaitable que je reste sous tutelle.

   J’ai tout fait bien sûr, pour obtenir des explications, mais rien à faire. Nous n’avons pu discuter que quelques minutes puisqu’on nous attendait lui, et moi.

J’ai donc été invitée devant le micro pour que tout le monde entende. Aucun public, je précise.

Encore heureux. Pour la réputation de la Justice.

  Je suis ressortie d’ici complètement brisée et démolie… Je n’ai rien enregistré bien sûr, ni rien noté, je me suis juste expliquée très clairement….

    Alors que je ne faisais qu’énumérer les uns après les autres, les arguments tous plus valables, et démontrables les uns que les autres, le ton commençait à monter (venant de moi et je fus « recadrée ».

    Je me suis battue comme une lionne et je suis extrêmement fière de ma prestation. Je pensais être plus impressionnée plus émotive, mais les humiliations si nombreuses subies si souvent depuis toutes ces années m’ont portée véritablement, une fois de plus vers l’abattoir.

  Juste quelques extraits, qui me reviennent.

  Alors qu’elle voulait savoir si je me souvenais du nom de la psychiatre qui avait  été la cause de mon étiquette « érotomane » constatait que je l’ai oublié je dirai pour être clémente que c’est bien il me semble, la seule chose  positive que je puisse retenir de cette épreuve.

   En effet si j’ai oublié son nom, j’ai oublié aussi, d’une certaine façon ce morceau de mon histoire au moins cela rassure t il tout le monde surtout, dans le milieu des psychiatres, si sots qu’ils peuvent  être à imaginer une chose pareille…

  La psychiatrie responsable de tant de mensonges de calomnies, et d’impostures depuis toutes  ces années à mon sujet, et qu’ils soient  assez  cons  pour  penser  que  j’oublierai, c’est juste « vous en conviendrez « à pisser de rire ».

   Mais puisqu’elle reprenait la théorie selon laquelle j’étais une malade mentale, en rupture de traitement j’ai demandé la parole et donc, lui ai expliqué, comment un certain après midi, j’avais pris la décision de « rentrer dans le rang ».

   Il est vrai que convoquée à cette époque devant le juge avoir  appris une  telle chose m’avait quelque peu surprise….

 Je lui expliquais donc.

 « J’y suis allée par mes propres moyens…Un livre pour passer le temps. Je ne désirais moi, que rencontrer un psychiatre, pour qu’il me donne l’ordonnance de telle sorte que je prenne les petites boules roses, puisqu’on m’accusait, d’être en rupture de traitement.

Quand j’étais arrivé au guichet de l’UNACOR, à l’hôpital de saint Etienne du Rouvray, le receptionniste refusait de me donner la liasse…etc, j’ai raconté ça plus haut deja, j’insistais sur le fait que tout le monde me voyait….

  J’ai attendu ainsi, à lire  plusieurs heures. Il n’y avait  qu’une autre femme, avec moi….Au bout de plusieurs heures, j’en ai eu marre d’attendre…..

    Et là, l’une des juges me regarde et dit »considérant le fait que vous êtes dans la négation de votre  pathologie etc….. « no comment ».

  Elle insistât aussi sur le fait que les psychiatres chargés de ces expertises, qui « parait il »me condamnent, sont « assermentés »….Oui, vous avez bien lus « ASSERMENTES »…Je n’ose imaginer ce qu’ils auraient prétendus, s’ils ne l’avaient pas été.

 J’ai pour ma  part, enoncé tout ce que je pouvais, pour me défendre.

  Différents points en fait, attisent mon attention.

   D’une part, je soupçonne très fortement l’UDAF d’avoir tout intérêt à ce que la tutelle soit maintenue….Je sais qu’ils sont surbookés qu’ils ont  pour certains plusieurs dizaines de personnes, et que donc, ils sont submergés de travail…

  Alors pourquoi, et comment se fai t il, qu’ils prétendent dans mon cas qu’il est souhaitable, que je reste sous tutelle, alors qu’il ne disposent de rigoureusement aucun élément qui soit susceptible d’etayer le fait que ce soit effectivement souhaitable.

Je l’ai dit au juge d’ailleurs…

 « Je vous mets au défit, de me trouver un seul argument qui soit susceptible de tendre vers le fait , que je ne sache pas gérer mon argent ».Elle ne savait pas quoi dire.

   En fait elles se sont refugiées toutes les trois, derrière les expertises psychiatriques que je n’ai, moi jamais vues.

    Mais il est vrai, que j’ai le droit, d’en prendre connaissance, et que je n’ai jamais entamé la démarche je vais faire le nécessaire par le biais d’un avocat.

   Pour en revenir à l’UDAF, il est parfaitement envisageable, que pour des raisons de rentabilité il existe un contrat entre les juges et l’UDAF… En tout cas c’est mon sentiment.

 J’ai argumenté  ma demande bien sûr, notamment relativement à certains projets professionnels.

J’ai des projets professionnels et je dois donc ne plus être sous tutelle, parce que sous tutelle, je n’ai pas la crédibilité nécessaire….Tout a été noté.

Mais avec le recul je vois qu’il y a un truc qui moi me choque de façon extrêmement grave…

 Et si ma situation est pour le moins marginale, pour le coup, je pense moi que toute personne qui est mise sous tutelle, se retrouve dans cette situation si elle fait appel…

   C’est que le fait, de retrouver comme ça, à demander à ce que la tutelle soit levée, leur semble à tous, absolument étonnant et carrément inhabituel…

   C'est-à-dire, que cet après midi, j’étais sur le banc des accusés parce que je remettais en doute, une décision de Justice. Je n’étais pas « coupable uniquement d’être une malade mentale, en rupture de traitement », mais bien plus encore « coupable de vouloir remettre en cause l’autorité d’un juge » et de prétendre revendiquer le droit à la dignité ».

    J’ai aussi beaucoup insisté sur le fait que ma tutelle, avait une influence extrêmement grave sur les relations entre ma mère mes frères et sœurs et moi….Ainsi que sur le fait que mon ex était lui, aussi, pris en otage.

  Au sortir du tribunal le tuteur de l’UDAF me rappelât à mon bon souvenir que j’avais commandé une petite voiture rouge électrique…Et que  «pour ça», il n’y avait aucun souci » ……

  Je l’ai envoyé chier manu militari, et c’est sous les  insultes, que je l’ai accompagné vers la sortie de la cour  du tribunal… Aux derniers pas ensembles non loin de la cathédrale, ce sont les superlatifs de « connard » qui lui ont servi de bonsoir.

  Verdict le 16 janvier 2015.

 Je sais "c'est pour mieux prendre la defense de ceux qui sont sous tutelle"...

 Et puis la prochaine fois, on m'enverra aussi quelqu'un me planter un couteau dans le dos "pour mieux que je prenne la défense de ceux à qui c'est arrivé".

 

 Mardi 31 mars 2015.

 

 

 

Expertise   psychiatrique, tutelle, et maladie mentale.

 

 Je viens d’apprendre ce matin, que la   psychiatre qui me suivait il y a quelques années et que j’ai décidé moi de ne   plus aller voir, puisque je n’avais plus confiance en elle, était   contrairement à son discours, non seulement parfaitement habilitée à me faire   passer une expertise psychiatrique, mais qu’en plus, elle était   officiellement reconnue par le tribunal de ROUEN pour travailler sur certains   cas, donc éventuellement sur le mien.

 

   Je pourrai vous parler de la notion de   mensonge, de vérité de crédibilité, ou bien de façon à élever le débat de la   notion de confiance, qui devrait être de mise, entre le patient que ce soit   en psychiatrie, ou ailleurs et son médecin.

 

 Entendons nous bien. J’ai admis depuis   longtemps, que la notion de manipulation mentale dont je fais les frais,   depuis toutes ces années, manipulation mentale POSITIVE, je le précise,   m’était imposées, et que les travers particulièrement pervers qui en   découlent, telle la notion de confiance, envers les manipulateurs causaient   des dommages extrêmement dommageables…

  

    SOIT, je n’avais pas le pas le choix. Et je   ne l’ai toujours pas, hélas.

 

     Mais il y a une notion dont je n’ai encore   jamais parlé, au sujet de ma tutelle, qui réside dans le fait que menant tous   ces combats, tout en étant maintenue sous tutelle, est sensé figurez vous,   démontrer par A+B, je dirai plutôt « par l’exemple » puisque je suis le   cobaye, qu’on peut parfaitement mener à bien les projets les plus ambitieux intellectuellement,   j’entends, et être considérée comme « malade mentale » par les psychiatres…

 

     Oui, j’en vois qui en sont encore à  l’érotomanie, alors pour ceux là, je serai tentée de vous dire « tenez vous   au courant » il y a déjà plusieurs années que la dernière expertise   psychiatrique, n’a plus osé me coller cette étiquette.

 

    Mais là où je suis vraiment révoltée, c’est   que ce raisonnement est parfaitement irrecevable précisément parce que tout   le monde sait pertinemment que non seulement je ne suis pas malade mentale,   mais que j’ai plutôt comme avait dit Jean Michel Ribbes quand il était venu   au Havre, « la tête plutôt bien faite »….

 

   Ainsi, quand je vais quelque part où je suis   plutôt attendue, chacun sait pertinemment qui je suis, ce que je représente,   les valeurs que je plante, surtout, et sait parfaitement que non seulement je   ne suis absolument pas malade mentale, mais que je suis au contraire plutôt   équilibrée.

 

     Alors moi, ce qui me révolte aujourd’hui,   c’est qu’on voudrait me laisser croire que mon cas une fois médiatisé, et que   je serai sortie du placard, comme par enchantement, le regard sur la maladie   mentale d’un seul coup, va s’en trouver changé….. Et que cette théorie je   dois avouer je n’y crois que dans une très faible proportion… Voilà pourquoi   je suis extrêmement en colère ce matin.

 

 

 

 

Samedi 9 janvier 2015.

   Je viens d'avoir aujourd'hui, un courrier fort important, qui relate le travail, fait sur mon cas, en la personne du conseiller rapporteur, madame GARGOUILLAUD, en vue du passage en cassation.

  Je vous pose, la totalité du document.

Bon, le seveur redeconne, c'est pas grave, je poserai plus tard.

 Je vous la fais courte.

  J'ai moi, "en temps qu'accusée" (désolée, mais quand on a besoin d'un avocat, c'est difficile de voir les choses, autrement), fait appele, de cette decision de Justice, pour retrouver  la dignité, à lquelle n'importe quel être humain, ait droit.

 L'objectif, pour le conseiller rapporteur, est donc, d'attaquer la decision de justice, par laquelle ma tutelle, ait été prolongée, ou si vous preferez, que  ma demande de levée, ait été refoulée.

 S'en suit donc, la liste, de tous les manquements, qui ont constatés, et que j'avais moi, signalés.

   Parmi ces manquements, le fait, qu'il ne m'ait jamais été signalé, de quelque façon que ce soit, que mon dossier, était consultable, ce qui est une faute grave, de la part des juges (toutes des femmes), qui avaient prise, cette decision.

   La totalité des quatres pages qui suivent mettent en avant la totalité des manquements, qui ont été constatés, au fil des années, et qui devraient donc, rendre cette decision de justice, caduque, en evoquant, d'une part, la necessité, d'une jurisse pridence, dans ce cas, et secondement, une mise en avant, flagrante, d'une attaque à ma dignité, face aux droits de l'homme, les plus fondamentaux.

  Je serai tentée de rajouter, "jusque là, tout va bien".

  Si ce n'était la conclusion, pour le moins inquietante, qui evoque, le certificat médical, emanant de mon acienne généraliste, qui me disait apte à gerer mes affaires, auquel il est opposé, les expetises psychiatrique, tronquées, qui ont précédé.

  En gros, si je shématise, je dirai qu'on me fait comprendre que le certificat de ma généraliste, ne pèse pas bien lourd, face aux expertises psychiatriques, qui m'ont si je puis m'exprimer ainsi, "foutée dans la merde", et aux accusations de ma tutrice.

 Je tiens juste à rappeler moi, à la cour de cassation, que la tutelle, qui elle, m'accuse, est bien loin d'être irreprochable.

 J'en tiens pour preuve, un nouveau courrier, reçu, ce matin, émanant, de la Dirrection Générale des finances publiques, au sujet d'une contravention, non reglée, contravention, qui date de je ne sais plus quand, pour être franche...

 En effet, à chaque fois que je reçois ce type de rappel, je scanne, et j'envoie ces courriers à ma tutrice, par mail, qui est sensée, elle, les régler.

  Depuis 6 ans, ça doit faire environ, 10 ou 20 courriers, (je donne ce chiffre de façon aproximative),  que je reçois de cet ordre, j'ai dû leur écrire, deja, il me semble, pour leur expliquer, que c'était ma tutrice, qui devait les honorer, que moi, je n'en avais pas les moyens, mais non...  Avec les majorations, j'en suis à 370€, et moi, je n'ai droit qu'à 80e, par semaine, essence comprises.....

  Je ne sais pas vous, comment vous reagissez, quand vous avez une facture à payer, ou une amende à regler, moi, personnellement, je règle, et j'essaie de faire attention, à ce que ça ne se reproduise pas.

  Elle, non, peut être, un jour, je vais voir debouler un huissier, qui me dira, "votre tutrice n'a pas réglé, tel truc, ou tel autre"..

 Peut être, devrai veiller, à lui apprendre la comptabilité, et le respect des lois.

   Moi, personnellement, cette attitude, j'appelle ça, du harcèlement, harcelement, émanant de ma tutrice, à mon eagard, voilà, la réalité crue de la situation.

 La situation est donc la suivante.

 On m'explique donc, que ce qui pose problème, réside, dans le fait, que  les expertises psychiatriques, qui sont responsables de ma mise sous tutelle, et que le jugement, de ma généraliste, à l'époque, peserait bien moins lourd, que les expertises, et contre expertises, que j'ai du subir, il y a plusieurs années.

  Je rappelle pour information, que en ce qui concerne, les traitement, que je serai parait, sensée prendre, les psychiatres, eux, refusent de me recevoir en consultation, pour mes les prescrire.....

  J'y ai consacré une demi journée, pour information (lire plus haut).

 A un autre moment, mon avocate, François Fabiani, m'a elle,  expliqué, que je devrai, passer de nouveau, une expertise.... SOIT.

   Franchement, entre la première, la seule valable, passée, par Monsieur, Lemoine, expertise, qu'on m'a toujours, interdite de voir, pour information, et qui n'était pas valable juridiquement, parce que l'il n'est pas habilité, par la cour de Justice de Rouen, et les deux autres, qui ont suivi,  j'avais vraiment du mal, à m'imaginer, en train d'en passer une nouvelle, à moins que ça ne soit une nouvelles version du KOMOULOX.

 Et oui, que voulez vous.

   Quand lors d'une expertise psychiatrique, on vous fait faire, à la main, une operation à quatre chiffres,  que vous savez fort bien, que vous l'avez reussie, que vous vous sentez bien, que vous pensez que l'expertise, s'est super bien passé, et que cette superbe operation, ait généré chez le psychiatre, une absolue certitude, que vous êtes incapable de gerer votre argent, moi, JE NE VOIS QUE LE CAMOULOX.

 Désolée, mon nez de clown, vient de surgir.

BREF, je me suis dit,"OK, bon, allez, "on y retourne".

   J'ai donc, repris contact, avecla psychiatrie, dans le but, de refaire un nouveau sketch... Heu, excusez moi, de refaire une nouvelle expertise, et par un psychitre, qui n'ait pas d'arosoir, sur la tête, si possible.

  Manque de bol. Après plusieurs heures au téléphone, l'absolue totalité, dses psychiatres que j'ai contactés, sur la liste, qui m'avait été donnée, par le trin bunal de Rouen, refusaient de me recevoir, et pour le dernier, après un long soupir de la pauvre petite secrétaire, une fois que je lui avais expliqué ma situation, a fini par me dire... "mais enfin, il faut retourner voir ceux qui vous ont mis dans la panade, et qu'il vous reçoivent de nouveau, pour repasser une expertise.....

 Ha ha ha ha ha.... Si si, vous avez bien lu ! INCROYABLE.

 Bon, là, on va tout de suite être claire, hein, parce que franchement, j'ai appelé le service Antonn Artaud, le service où moi, j'avais été hospitalisée, à plusieurs reprises, de celà, parce que je connaissais les infirmières.

 Et là, on m'expliquat le plus simplement, du monde, que tout le monde était parti en retraite, et que en gros, "Fallait pas deconner non plus, ils ont bien droit, àune bonne retraite,  on va pas aller les déranger".

 J'ai donc, répondu "et bien je fais comment, alors, moi ?......

 Et bien je sais, pas, moi, vous comprenez.

 Remarquez, si je dois arriver à la prochaine expertise psychiatrique, avec une armure, va juste falloir mettre en veilleuse, les detecturs de métaux.....

 Enfin, voilà, quelle est ma situation, aujourd'hui.

 Alors, que faire ?

   Et bien des que j'en ai les moyens, je vais juste envoyer un pli recommandé, au directeur de l'hôpital, de Saint Etienne du Rouvray, et puis lui balancer le bébé, qu'il aura j'ose espérer l'intelligence de ne pas jeter avec l'eau du bain baptismal.

   Moi, de mon côté, s'il accepte de m'envoyer de nouveau, pour une expertise psychiatrique, je m'y soumettrai.... Mais je suis parfaitement incapable, de vous dire, comment, je m'y comporterai, vu les circonstances.

   S'il refuse, de rcevoir la lettre, et bien moi, j'aurai la preuve irrefuttable alors, que mon cas, n'a pas çêtre considéré sous l'angle de la psychiatrie, puisque c'est là, et uniquement, là, que se trouve le problème.

   Enfin, pour conclure, je précise que si d'aventure, le plan consiste à m'en faire chier des rondelles de chapeau (un peu comme celui de Mittérand), au point d'aller de voir chercher Justice, aupres de la Cour Européenne des Droits de l'Homme, je tiens à mettre en avant le fait, que ça serait incohérent, puisque le conseiller rapporteur, a tenu elle, à présenter les choses, de telle sort que ce soit les juges français, qui aient mal fait leur travail, ce qui n'est que la stricte vérité, ors, moi, qui ai toujours été une européenne convaincue,  je trouverai contre productif, de la part de la Justice française, à mon égard, que ce soit la Justice européenne, qui vienne remonter les bretelle, de la Justice de notre pays.

   Non, je n'ai pas systèmatiquement, l'humour en bandoullière, pour vous demander la couleur des bretelles, je suis vraiment plus que fatiguée, d'un tel cirque judiciaire, mais à un point, que tout le monde sous estime, de toute évidence.

 

Lundi 18 janvier 2016.

   Ce matin, nouveauté,  mon "coach", n'a rien trouvé de mieux, que de me faire envoyer une mise en demeure de payer cette amende,  "dernier avis avant saisie"sous peine de venir me saisir mes meubles, ici, chez moi.

 Bon, alors, vous aurez remarqué, que le document est à l'envers.

 C'est une ruse pour voir, si ceux qui s'interressent à mon problème, vont a voir le courage de tourner le document.

    Non, je plaisante, bien sûr, j'ai juste un coach, particulièrement pervers, qui s'amusait à mon intention, ces dernieres 5 mn, à contrecarrer techniquement, le fait, que je ruse pour contourner l'obsctacle technique, et que vous ayez le document à l'endroit.

 Je serai tentée de rajouter "y'en a vraiment qui n'ont que ça à foutre".

BREF les plus motivés, donc, ont tout le loisir d'aller faire pivoter le document, une fois enregistré, pour le lire dans le bon sens.

 J'ai appelé le numéro d'urgence, donc,  pour leur expliquer ma situation.

   Il est vrai que d'envisager de me délester de certains meubles, me passe souvent à l'esprit, dont certains relatifs aux oiseaux, feraient les choux gras, de bon nombre d'antiquaires, precisant que leur symbolique n'a lus vraiment lieux d'être, quelque soit l'angle sous lequel j'observe le meuble en question.

 Quoi qu'il en soit, il me semble, vu le harcelement, dont on me gratifie, que les choses sont ainsi bien définies, pour ceux qui seraient en doute, sur le poids que je pèse, politiquement, j'entends, c'est que si j'étais si "précieuse" que ça, à defaut d'être ridicule, je pense qu'il se trouverait quelques personnes, suffisemment sensées, pour considérer ma situation, avec bien plus de bienveillance, que ça n'est le cas aujourd'hui.

Encore une chose, cependant, je devais passer ce matin à la gendarmerie, pour "une broutille".

   Je suis allée voire ma jauge à essence, et je vois que je roule sur la réserve, alors, ça devra attendre que j'ai de quoi mettre de l'essence. J'en profiterai pour les gratifier, de quelques objets, dont je tiens absolument à me debarrasser.

 

Mardi 22 mars 2016.

 Ce matin, je reçois un courrier, relativf à un mail, envoyé hier, à ma tutrice. je rappelle que je n'obtiens de reponse de sa part, qu'environ une fois sur dix Et encore, je suis optimiste.

 Je pose un copié collé, du mail, dont il était question.

Bonjour, madame.

  Serait il possible, je vous prie, de régler, cette note, dont ça doit faire au bas mot, 20 qu'on m'en envoie la copie, et que je vous la fais suivre.

  Si langue de Molière, vous est devenue incomprehensible, à ce point, peut être devriez vous envisager, une reconversion, de préférence, dans un contrée lointaine, où l'on parle l'esreranto, et n'oubliez pas de ne vous habiller en vert, couleur de l'espoir ! MOUARFFFFFF !

   Désolée, si mon humour ce matin, est un peu faiblard, c'est juste que j'ai l'esprit préoccupé par des choses helas plus graves.

 En somme, mon nez de clown, n'a eu droit à cette sortie, que le temps de boire un thé, "pauvre de lui".

 Je vous recontacte rapidement, pour des projets, que j'ai, dans la semaine.

 Cordialement.

 Françoise Niel Aubin.

 J'ai donc, reçu cette lettre, ce matin:

 Bon, alors, vous connaissez la procedure, n'est ce pas ?

 Alors, apres ma surrprise, j'ai denouveau ecrit une lettre à "ces gens là", preine d'esprit, bien sûr, commeil se doit.

 Et puis me ravisant, j'ai repensé à la fameuse formule de Desproges, qui disait qu'on ne pouvait rire de tout, mais "pas pas avec n'importe qui"....

   Aussi j'ai bien vite déchiré ma lettre, pour a visite à venir, je ne sais trop comment gérer, une bonne s  dose, de neuroleptique, peut être, faudrait que j'en parle à ma psychiatre, de telle sorte, que le moindre humour, ou le moindre trait d'esprit, ne vienne pas polluer le plaisir sadique de mes tuteurs.

    Enfin, pour conclure, je vais donc faire dans le plus consensuel possible, je présente donc, à  ces deux pseudos tuteurs, mes plus plates excuses.

    Pour la visite, je pense qu'il serait souhaitable, de ne plus l'envisager, jamais, serait l'idéal, parce que je considère que quitte à subir les torutures psychologiques de tuteurs, aussi pitoyables, je pense que ce serait souhaitable qu'on ne se rencontre plus, et que ces tortures, ne se fassent que par courriers, ou décisions de Justice interposées.

6 Mai 2017.

 Nous sommes la veille du second tour des presidentielles.

 Plus aucune prise de parti, ne doit en théorie, être autorisée, par les medias, et si de façon officielle, je ne devrai pas me sentir vidée juridiquement, je pense souhaitable que moi, aussi, d'une certaine façon, j'en fasse de même.

  Au sujet du vote blanc, j'ai rédigé un article ce matin, mais d'inciter à voter ou d'argumenter en ce sens, ne devrait, il me semble ne peut être considéré comme prenant parti pour un candidat, ou pour un autre, enfin, tel que je l'ai fait.

 Bon, sinon, côté TUTELLE.

26 Mars 2019.

La lecture de mon silence,  n’est as celle que vous croyez.

 Alors que j’exposais, il y a quelques semaines, au colombier, à Pavilly, il me fût donné de rédiger, pour la lire à haute voix, mon CV artistique.

 J’y expliquais, que quand je me taisais, la lecture qu’il fallait en faire, résidait dans le fait qu’il était le plus bel écrin,  de la parole qui suivrait.

 Objectivement, c’est toujours vrai, enfin, il me semble…

Je suis coincée, dans un processus de destruction psychologique de ma personne, dans une forme de machine à broyer les âmes, les êtres, où les différentes institutions, officielles et officieuses, n’ont pour seul et unique objectif, que de me faire plonger, de nouveau, dans les abysses…..

 Et pour mieux y parvenir, rien ne vaut la complicité, d’une experte psychiatre, conventionnée, par le tribunal de grande instance de Rouen,  et qui plus est, amie, et recommandée, par ma psychiatre, elle-même.

 A la demande de la juge des tutelles, qui avait pris la décision de faire passer ma tutelle, en curatelle renforcée, et pour me conformer, à la loi, et être fidele à mes engagements, j’avais accepté de passer, une quatrième expertise psychiatrique.

 « Quatrième » je ne sais plus, pour dire vrai, vu le nombre, qu’on m’ait fait passer, depuis toutes ces années…

 Je ne sais pas, à partir de quel nombre, on gagne une partie gratuite, ou un séjour, en HP ?

 Le savez vous , surtout, si vous avez l’info, dite le moi…

 Et surtout, on partagera, et on aura l’air moins con.

Cette ultime expertise psychiatrique, donc…

 Le ton  semblait bienveillant, au point que je l’avais crue sincère….. Incroyable, non ? De voir, à quel point, le ressenti, MON RESSENTI, ait pu être trompé….

 Comparativement aux expertises psychiatriques passées, les années antérieures, je me réjouissais, de voir que les critères étaient infiniment plus objectifs….

 Elle avait procédé, de façon grossière, à une forme de simulation du genre, « vous touchez telle somme, chaque mois,  vous devez payer, telle somme en électricité, telle somme en eau, telle, somme en je ne sais plus quoi….

 Vous souhaitez faire un crédit, à la consommation, qui correspond, à telle somme, jugez vous que vous puissiez le faire ?

 J’avais donc pris une feuille, fait le calcul, additionné, les sommes, relatives aux charges, et en avais déduit que non, je ne pouvais pas  me le permettre…

 Puis nous avons discuté, de choses et d’autres, pour être franche, je ne me souviens plus très bien….

 En conclusion, elle m’avait dit, que j’étais un peu dispersée….Propos, auquel j’avais répondu, « oui, c’est vrai, c’est que beaucoup de sujets m’intéressent,  alors, quand je travaille sur un sujet, une fois que j’ai rédigé un article, je suis capable de passer à un sujet autre, assez facilement ».

 Ayant quand même, une certaine habitude, des expertises psychiatriques, qui se retournent décidément, toujours contre moi, je lui avais alors dit ceci :

  Pensez vous, véritablement, que le fait, d’avoir l’esprit, quelque peu dispersé, serait un argument, suffisant, pour justifier de mettre quelqu’un, sous curatelle » ?

 Elle ne répondit pas….

 Quand je lui ai demandé, le compte rendu de mon expertise, conformément à ce qu’elle m’avait dit,  elle trouvât un prétexte, pour ne pas me le donner.

 Hier, donc, j’avais RV devant la juge des tutelles, une nouvelle fraichement nommée.

Et ça s’est très mal passé….

 Nous sommes revenus très exactement, à l’époque, au début de ma mise sous tutelle, où ayant fait appel de la décision, la juge des tutelle, une autre, encore, il y a environ 9 ans, avait cru bon de me faire passer, devant quatre autre s magistrates, femmes, pour m’enfoncer encore plus.

 E là, hier, ce fût  exactement le sentiment, qui fût le mien.

 La curatrice, qui avait commencé par prétendre, l’avant dernière fois, que nous nous étions rencontrées, par me dire, que devant le juge, elle  ne donnerait, absolument aucune consigne, sur le ressenti, en ce qui me concerne….

 La fois suivante, décidât, de m’inciter à accepter, « une curatelle simple »….

Bon, j’en avais pris mon parti.

 En ayant discuté avec ma psychiatre, la dernière fois, il était apparu, que ça serait un bon compromis, puisque cette formule, me rendait  ma liberté en grande partie, pour ce qui concernait, l’envie de dire des textes, sur une petite scène,  mais surtout, me permettait de créer une association tel était mon désir, considérant, que j’ai plusieurs projets, en ce sens, et que je trépigne, à cause de cet empêchement, strictement juridique…. Sachant que par cette mesure, je retrouverais la possibilité de gérer mon argent, en très grande partie, mais surtout, je pourrai enfin,  avoir accès à une forme de délivrance, pour  entamer mes projets .

 Hier, donc, changement de son de cloche.

 L’expertise psychiatrique, ne m’avait pas été montrée, parce qu’en vérité, elle avait décidé, de m’enfoncer de nouveau.

 J’étais tellement en état de choc, devant la juge, hier, que je n’étais pas en mesure, d’en prendre connaissance, moi-même.

 La juge, me la lit donc.

 « Françoise Niel aubin,  a une intelligence au dessus  de la moyenne, mais considérant le fait qu’elle ressent le besoin d’être suivie en psychiatrie, il est souhaitable de la maintenir sous curatelle renforcée.»…

  Je suis alors entrée, dans une colère noire, lui expliquant, que si j’étais suivie en psychiatrie, ça n’était que pour respecter mon engagement, vis-à-vis de la juge précédente, mais spécialement, parce que j’en ressentais le besoin.

 Je vais aller chercher une copie de cette expertise, tellement je suis choquée, de voir à quel point, ce système me broie.

 Car il faut bien que je me défende.

Donc, je vous la fais courte.

   La juge des tutelles précédente, qui a allégé ma tutelle, pour la passer en curatelle renforcée, m’avais demandé à ce que je sois suivie par ma psychiatre, je m’y suis donc conformée….

   Et là, on me dit, qu’on préconise, de ne pas persévérer à alléger ma mesure de protection (qui n’est qu’une forme de torture psychologique, à mes yeux), au prétexte, que j’éprouve le besoin, d’être suivie, par ma psychiatre.

  Ce qui est absolument incroyable, dans le système juridique, tel qu’il est conçu,  au sujet de la tutelle, ou la curatelle, c’est qu’entamer une procédure, pour faire lever sa mesure de protection, fait de vous, une anormale…

  C'est-à-dire, qu’on vous enferme, dans un statut juridique, fort lucratif, pour les organismes de gestion, soit dit en passant,  et que si jamais vous raisonnez, et que vous démontrez, que cette mesure n’a pas lieu d’être, on vous stigmatise, en vous faisant comprendre, que tout compte fait, « vous n’êtes pas si mal que cela ».

 Hier, on a discuté entre autre, des éditeurs….

 Chaque éditeur, a qui j’ai envoyé mon travail, personne n’y répond, jamais….

 J’en déduis donc, je suppose, que mon travail d’écriture, n’aurait donc aucune valeur, à leurs yeux.

 Je ne prétends pas, que ce soit le cas, je lui ai expliqué, simplement, que la curatrice, selon ses propres propos, ne se sent aucune compétences, pour pouvoir juger, du bien fondé, de m’éditer, à compte d’auteur, comme chez EDILIVRE (pour ne citer, qu’eux).

 La curatrice,  elle reconnait, qu’elle n’a aucune compétence, sur ce sujet.

 Et bien vous savez, quelle réflexion, la juge des tutelles, m’a fait, hier ?

 Alors, que je lui expliquais, que rien que sur la famille, j’avais aux alentours de 50 articles différents, qui cherchaient un éditeur…

 Regardant la curatrice, elle me dit, « puisque éventuellement, il semble, qu’aux yeux de madame, ça soit éventuellement important de l’être (édité) ».

 Je veux dire, par là, que pour elle, l’humiliation, de la prsonne, qui son sort entr ses mains, visiblement, ne lui pose, absolument aucun problème.

 Et bien non, suis-je bête, une personne qu’on met sous tutelle, hein, ça ne peut être qu’une pauvre conne, pas vrai ?

 Mais qu’est ce qu’elle nous fait chier, à nous emmerder, avec ses histoires de dignité, franchement…

 C'est-à-dire, que pour un peu, considérant que je suis sous curatelle, le fait d’écrire, déjà, pour elle, n’est pas normal… Mais si en plus, je cherche à être éditée, pour prétendre vivre de ma plume, alors, là, franchement, j’exagère largement, visiblement, selon ses critères….

 En vérité, je vais vous dire…

 Je ne sais plus quoi dire, je ne sais plus quoi faire…..Je me suis battue, devant elle, hier, comme une lionne.

La totalité des projets associatifs,  que j’avais tombent complètement à l’eau….

 Et la totalité du moindre des projets professionnels, côté artitique, tout autant, puisque pour celà, il faut ne pas subir de mesure de protection, position, qu'a fort bien admis, ma psychiatre., que j’avais, est complètement remis en question.

 Rien qu’hier, j’ai été trahie, par absolument toutes les personnes, qui sont sensées veiller sur moi.

 Alors, quand je me tais, de  grâce, essayez de comprendre, avant de juger.

 Je sais, que certains pensent, que je suis la seule, peut être ?  a pouvoir lever certains levier, sur le plan politique,  y compris, sur des dossiers, quitouchent à l'international.

 J'en suis tres consciente, et je le suis, depuis longtemps, parcequ'on me l'a fort habilement, fait comprendre...

  Mais là, où precisement, le problème, est alors, considérable, reside, dans le fait, que justement,  j'ai pour habitude, d'y consacrer, de façon systemtique, toutes ms matinées, quasiment, parce que je sais, que c'est important...

 Je n'ai pas le sentiment, d'être sacrifiée, pur cette raison, puisque eventuellement, j'y trouve aussi, mon pliaisr, et je ne fais de politique, uniquement, et strictement, que par devoir.

 A partir de midi, par contre, pour veiller à mon equilibre personnel, je m'éforce d'être plus egoïste, et de veiller à  ne bosser, que sur ce qui me plait le plus, quelque soit le moyen, et donc, il arrive que ce soit aussi, de l politique,dont il serait question....

 Alors, quoi , où reside le problème, aujourd'hui ? Avec cette curatelle ? Qui, aujourd'hui, à intérêt, à me briser les reins, comme on tente de le faire ? Je suis dans l'incomprehension, la plus totale.

14 Mai 2019.

 J'aurai bien des choses à dire, sur le sujet, mais pour être franche, je n'en ai ni l'envie, ni le loisir.

 Les européennes approchent, et quand je ne travaille pas à défendre les causes, qui me sont chères, j'opte pour que ce qui m'apporte le plus, c'est  dire, la peinture ou l'ecriture, mais surtout, VOIR DES GENS, sur des sujets plus légers, ou des livres en cours, et qui me tiennent à coeur.

Maise dois tenir des propos, sur ce sujet, malgré tout, qui me semblent urents, à mon sujet, sur ce point.

 La juge des tutelle,s'est reunie avec lesdifferents protaginistes, pour decider,si oui, ou non, ma curatelle, devait êtreprolongée, en l'etat, (renforcée), ou bien bien, "simplifiée", ce que j'ai demandé.

 C'était le 26 avril, et nous sommes le 14 mai, je n'ai encore,aucune nouvelle, ni aucune decision, qui m'ait été rendue. 

  Je suis en colère, contre la psychiatrie, aujurd'hui, parce quela juge des tutelle, avait argué, du fait, que l'expertise psychiatrque,  (que je paie de ma poche, et que je paie cher, à mo goût),   aurait declaré,  la chose suivante: "Francoise Niel Aubin, est plus intelligente que la moyene, par conséquent, elle dot être maintenue, sous curatelle renforcée".

 Je vais aller prendre connaissance, de cette expertise psychiatriue, parce que c'est mon droit, et que j'aurai du le faire plus tôt, voilà, ce ue c'est que de faire confiance, plus que de raison.

 Parmi les points, qui me révoltent, je note.

  Que la psychiatre, trouve parfaitement legitime, de ridiculiser, à la fois, elle même, et sa profession, en tenant des propos, aussi ridicules, et infondés...

 Et tout ça, pour quelle raison, tenez vous bien ?

 POUR QUE J'EN FASSE UN SKETCH....

 C'est drôle, ça, non ?

 Ainsi, il se trouverait ds personnes, assez stupide, pour envisager, qu'on puisse rire, de la psychiatrie, et des psychiatres, alor, qu'ils sont encre, en train de vous enfoncer la tête sous l'eau... 

  Ha, mais ce ne sont pas les psychiatres, là, qui sont risibles, mais bien uniquement, ceux qui sont assez cons, pour le croire, une seule seconde...

  Mais là, vous voyez, ce que je viens d'ecrire, c'est ben le maximum, que vous obtiendrez de moi, pour rire de l psychiatrie.

  Parce que personnellement, en ce qui me concerne, la dernière des chses, que cette histoire provoque, chez moi, c'est bien le fait, d'voir envie d'en rire.

  Alors, de grâce, ma dame ma psychiatre, et madame la juge des tutelle, soyez assez resptueux, vis à vis de moi, pour depeurer, dans le cercle de vos competances, et  laissez les autres, dans le leurs.

  Un jour, alors, que ma tutrice, qui s'appelle madame POULET, (et qui n'es plus celle que j'ai actuellement), ha, oui, vos pouvez en rire, quand on sait que j'ai écrit un livre sur l'aviculture, qui s'appelle "des cocottes, et puis des coincoins",   à force de m'en faire voir des rondelles de chapeau, comme c'est pas possible,  et de prêcher dans le désert, depuis des mois et des mois, il m'était venu l'idée, figurez vous, de leur écrire, et d'oser faire de l'humour....

 Mon Dieu, sacrilège, au pays de la tutelle et curatelle.

 Le directeur de l'UDAF, alors,  m'avait envoyé un lettre, pour me signifier, que le ton de ma lettre, etait pour le moins déplacé,  et  que je serai "bien inspirée", justement, de ne pas m'adresser à eux de cette façon....

 Alors, comment vous dire........

 De voir, là, qu'on me prenne pour une conne, sous cet angle, là, à présent, en insinuant que la psychiatre elle, considère, que je peux me permettre de les railler,  et de me moquer d'eux, alors que par cette expertise, ils me broient, sans le moindre complexe, je crois que jamais, en vérité, depuis toutes ces années, jamais encore, je ne me suis sentie aussi insultée, dans ce que je suis au plus profond de moi...

 Parce que vous voyez.....

   Il y a quelques jours encore, quand j'entrais dans ma banque, pour y retirer l'ensemble de mon argent, sur mon compte, conformement à ce qui est prévu, et qui plus est, noté, sur l'écran de l'ordinateur...

   Le regard purement suspicieux, que moi j'ai parfaitement senti,  comme si j'étais en train de braquer le CREDIT AGRICOLE en demandant, simplement,  à récuprer, mes 200€...  Ce regard là, comme si j'étais suspecte, de ne je ne sais quoi. Moi, ça fait 9 ans, quasient,  que je me prends dans la gueule, à chaque fois, quasiment.

  Et si jamais, je me permets, la moindre ironie, ou le moindre humour, vis à vis du guichetier, et bien la banque elle même, veille à changer le guchetier, afin, que surtout, la moindre ironie,  ne me permette pas de sourire, ou de rire,  de la situation, pour le moins  ubuesque de ma situation.... 

 Mais ça, bien sûr, personne ne le voit,  ni surtout, n'a le courage de le regarder en face...

 Alors, excusez moi, décidément, si je ne suis pas capable, d'en faire un sketch, ou un one man show, non, vraiment. 

 3 avril 2020.

 Demain, c'est mon anniversaire, vous allez pouvoir voir, à quel point, on a pris soin, de mettre les petits plats dans les grands, à mon sujet.

Copie du mail, envoyé ce matin à mon avocate, et copie faite, à ma curatelle, ainsi qu'à Edouard Philippe,  Premier Ministre.

Madame je vous envoie copie, d'un mail, que je viens d'envoyer, à ma curatrice, madame EKPOT? curatrice, à l'UDAF, de seine maritime.

 Bonjour.

 Pourriez vous, s'il vous plait, transmettre à madame EKPOT, rapidement,  je vous en remercie.

  Madame, je viens vers vous pour vous informer, de mon extrême inquiétude, vis à vis  de ma mesure de protection.

  Vous m'avez dit, au téléphone,  vous vous êtes bien gardée, de le faire par courrier, ou par mal, il y a quelques jours que je n'avais pas à m'inquiéter, particulièrement, du fait que ma mesure de protection, aille en cassation....

 Ors, mystérieusement, absolument le moindre interlocuteur, que je cherche à joindre, ce matin, ou ces jours derniers,  n'est en mesure, de me dire, pour quelle raison, le TGI, de Rouen, et la juge des tutelles, n'a pas donné suite, à mon courrier.

  Je comprends fort bien, que considérant le travail, des tribunaux,   avec le covid 19, ce soit difficile, pour tout le monde.

  Mais cette lettre est arrivée dans leur service, remise, par moi même, il y a bien des semaines, bien avant que la menace de la pandémie, ne soit réelle...

  D'autre part, je suis profondément, choquée, de voir, que mon avocate, à paris, sensée prendre ma défense, ne trouve rien de mieux, à me proposer, que de me menacer, de ne pas me pouvoir en cassation, au prétexte, que je n'ai pas versé l'agent... Alors, que c'est vous, qui devez, vous y soumettre, et je ne vois   D'ailleurs aucune raison, que vous prétextiez qu'il soit nécessaire d'avoir l'aval de la juge,  pour que ce soit effectif, puisque c'est la loi, qui me permet.

  Je vous informe, d'autre part, que j'ai un certain nombre de projets, qui n'attendent que la curatelle évolue en curatelle simple, pour qu'ils soient envisageables, et que considérant, d'une part, que je ne dispose, d'aucun élément, qui me dise, que vous ayez réglé la facture de l'éditeur,  (les éditions, Sidney Laurent, je vous le rappelle,  au sujet de mon livre, "addictions, prendre le mal, par la racine"),  et que d'autre part, je ne dispose, d'absolument personne, ni qui que ce soit, concrètement, qui puisse m'appuyer, pour un éventuel projet, sur paris, en tout état de cause, je vous informe donc,  que je renonce,  à déménager, dans la région de Vernon, comme je vous l'avais suggéré,  tant que cette histoire de curatelle, n'aura pas évolué, tel que la loi de mon pays, m'autorise à le faire.

 Je vous informe d'autre part, que la pose, d portail, ainsi que la pose, de l'installation, du lave linge, sont terminés, et que je suis satisfaite, du travail, des artisans.

  Enfin, pour terminer, je vous informe, que je vais de ce pas, faire une copie de ce mail, d'une part, à mon avocate, qui ternit, sa profession, toute entière, ainsi qu'au ministère de la justice,  via le site, de l'Elysée.

 Cordialement, 

 Francoise Niel Aubin.

 Même jour,  16h30, à destination, du TGI, absolument injoignable au téléphone, ce matin.

Bonjour.

 Je viens vers vous, parce que je suis très inquiète.

 En effet, il y a plusieurs semaines, je vais ai écrit, et j'ai même pris la peine de me déplacer, pour porter moi même la lettre, afin de vous informer  du fait, que ma demande en cassation, ne parvenait pas à aboutir, parce que la curatelle, faisait obstacle, à ce qu'elle puisse se dérouler, bloquant le processus juridique, en refusant de payer, la somme demandée, 3000€,  au prétexte, que la juge des tutelles,  c'est à dire, VOUS,  n'en avait pas donné, la consigne...

  Je comprends, que considérant la pandémie, mon cas, puisse sembler secondaire, comparativement à d'autres.

  L'avocate, la curatelle, puis vous, soit par votre mutisme, soit en vous renvoyant la balle, à plusieurs reprises,  me donnez le sentiment, que je ne peux plus faire confiance en la Justice de mon pays, et je demeure dans l’incompréhension la plus totale...

 Sous curatelle protégée, comme je le suis, impossible d'envisager d'avoir la moindre activité professionnelle, le lâcher prises absolument indispensable, ne pouvant se faire,  qu'en état de confiance...

  Confiance, que vous m'interdisez, visiblement, et qui a pour conséquence, à plus forte raison, par le confinement, que je souffre psychologiquement, dans l’indifférence la plus totale.

  Impossible, d'être artiste peintre, impossible,  de simplement, même, vendre des reproductions de mes tableaux sur internet,  et surtout, impossible d'avoir un ton objectif, et détaché, pour être moi mêmes, politiquement, ou artistiquement, moi même, devant tenter de soigner mes blessures, là, où je devrai, plutôt, me tourner vers les autres, même si ça n'est que par internet, PUISQUE JE N'EN AI PAS LE CHOIX.

 En somme, la question, que je me pose est la suivante:

  Qu'est c que je vous ai fait, pour que vous m'interdisiez, d'avoir le minimum d'attention de votre part,  pour que vous donniez la consigne, à la curatelle, de payer, l'avocate, d'une part, mais aussi, de lâcher la bride, pour que je sois éditée ? 

 J'attends, un minimum d'explication....

 Cordialement.

 Francoise Niel Aubin.

 

 

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