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Noyeux Joël !

Le 24/12/2015

Dans JUSTICE.

 
 
 Vendredi 25 decembre 2015.
 
L'actualité de 2015 a-t-elle changé notre manière de rire ? Les humoristes ont-ils modifié leur écriture face aux crispations qui occupent le débat public actuellement ? Deux comédiens, humoristes, répondent à Marc Fauvelle.
 

Bonjour à tous.

    En tout cas, une chose est sûre, c'est un joli cadeau pour moi, que de m'offrir un tel sujet, le jour de Noël....

    Le jour de la fête du fils ainé de Thomas Fersen, je veux dire.

   En ce qui me concerne, même si je ne suis hélas pas encore "sortie", officiellement une chose est certaine, c'est que chaque humoriste a dû faire un examen de conscience, et pas uniquement pour savoir de quel côté de la force il se trouvait, parce que ça, je pense que chacun l'avait deja fait, mais plutôt pour, une fois ce bilan fait, y puiser une force et une énergie nouvelle, que ce soit côté inspiration, afin de parvenir à une efficacité plus forte, encore, ou côté ecriture.

 Si je synthetise, je dirai, que chacun s'est dit, "pourquoi, je fais rire, est ce que je suis bien à ma place, et quel objectif, je cherche à ateindre"....

 Question que bien des puissants, seraient bien inspirés de se poser quelquefois.

  Ainsi, la conscience du fait que la dérision, le rire, l'humour, le dessin de presse, soient passés au statut "d'arme de guerre", bien malgré nous, et il en est de même pour toute forme artitique, s'est il imposé à nous....

  Et ça n'est même un choix de notre part, mais juste un reflexe de survie, celui qu'on éprouve quand on se sent menacés au sein même de nos valeurs.

  Je rappelle pour info que le rire, est un comportement reflexe, je dis bien REFLEXE, donc parfaitement naturel.

  Et que pour un artiste, proceder ainsi, est aussi un chemin, qui s'impose, et qu'on ne choisit pas !

    On choisit de l'asumer, ou de ne pas l'assumer, mais ça, c'est autre chose.

  Au moins, ces attentants, ont ils permis à chacun, de faire le menage, sur ce point.

  Car c'est bien pour ça que la culture est ennemi de toute forme de totalitarisme, c'est qu'un être humain qui a été scolarisé, et initié à la tolérance, par toute forme artistique ou de pensée, par l'acces à la connaissance, est moins docile, et plus heureux....

  En somme, plus conscient, de sa capacité à être acteur de sa vie, ce qui ne l'empêche absolument pas, soit dit en passant, d'être en pleine conscience de son appartenance à une nation, ou à un groupe, je précise, parce que ça ne mène pas à un égoïsme forçonné pour autant.

  En ce qui me concerne, si je souffre, moi, d'être encore seule ici en Normandie, s'il est une "arme" sur laquelle je compte, c'est bien le rire, entre autre, pour désamorcer les peurs (à la base des phobies, dont les phobies religieuses, et donc, souvent des guerres) et apprendre la Tolérance....

 J'ai décidé de mettre en forme plusieurs "armes", d'une efficacité redoutable, parmi lesquelles, la rédaction d'un nouveau concept d'émission religieuse, avec Thomas Fersen pour la présenter, j'ai "tout dans la tête", je vais rediger ça dès maintenant, et deposer le concept.

Parmi les autres armes, le développement d'un sport génial, qu'on appelle le paint ball.....Uniquement par kalachnikov'..... Comme quoi, la nuit de Noël est inspirante, même si on n'a pas fait la java, et qu'on l'a passée seule.

 
 
 La solutide des prêtres.
 
 
 François Morel a fait une chronique remarquable, sur le sujet, aujourd'hui, jour de Noël, helas, elle n'est dispob nible nulle part.
 
  La cassolette Francinette.
 

 La Cassolette Francinette.

 

200 g de lardons, en dés.

Un pavé de cabillaud frais par personne.

Un demi verre de riz par personne.

Un kl d'endivettes, ou d'endives, de préférence, de terre.

Grosses crevettes, soit décortiquées, soient entières.

 

Le mieux c'est qu'elles soient crues, pour cuire avec l'ensemble et donc, mieux répandre leur parfum.

 

Epices à paella, ou safran (je dis l'un ou l'autre, selon le budget dont on dispose, le premier étant moins cher que le second).

Deux cuilers à soupe de creme de noix ce coco,  pour emplacer la creme fraiche.

 

Dans une casserole à fond épais,

Faites revenir les lardons.

 

Rajoutez le riz, et les aromates.

 

Si les lardons s'enfuient trop loin, éviter d'envoyer Médor, parce qu'il les mangerait tous.

Et oui, les os de dinde d'hier soir, c'est bien, mais avec des lardons, c'est encore mieux.

L'autre solution, consiste à les attacher avec une petite ficelle à roti,

Pour être sur, que chaque lardon ne se fasse pas la malle.

Inutile de rajouter de l'huile d'olive.

 

Si les crevettes sont crues, c'est le moment de les rajouter.

 

Ensuite, rajoutez vos endives, coupées en tronçons de quelques centimètres,

Et le trogron fendu en quatre,

Comme deux paires de fesses.

Oui, un kl d'endivettes, ça semble beaucoup,

Mais en fait, comme ça réduit, et bien non.

 

Mélangez bien le tout, avec un verre d'eau par personne.

 

Pendant la cuisson, surveillez, et rajoutez un peu d'eau chaude si necessaire.

 

 En fin de cuisson, à l'etouffée, rajoutez les pavés de cabillaud, posés dessus.

 

 Voilà, en principe, quelques minutes, de cuisson, et c'est prêt !

 

 Bon appetit !

 

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