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Loi sur l'alimentation, 1er février 2019.

Le 31/01/2019

Dans Un regard planétaire sur l'Agriculture et la Pêche, parce qu'on n'a pas le choix.

  Bonjour, ma manipulation...

  Aujourd'hui, les grandes surfaces, se font comme depuis le debut, une guerre absolument acharnée, les uns vis à vis des autres...

  Pour commencer, la totalité de ces grands groupes, sont cottés en bourse...

  Je le rappelle, parce que pour un peu, à entendre Edouard leclerc, c'est limite, sil ne fait pas dans l'humanitaire, au pauvres petits paysans... Alors, il faut juste recadrer.

  Bientôt, là, rapidement, on va recommencer, à entendre parler des agriculteurs, et plus particulièrement,  du salon de l'agriculture, qui sert de tramplin, et c'est bien normal,  au monde rural...

  Ils sont les premier à crier au scandale, et c'est bien normal, relativement au fait que la loi, jusqu'ici, permettait à n'importe quelle grande surface, de vendre certains aliments, issus de l'agriculture, en temps que produits transformés, "à perte", offrant, ainsi, le pitoyable spectacle, d'une concurrence parfaitement deloyale, entre les  groupes de supermarchés...

  Par l'intermédiaire de cette loi, qui effecivement, va interdire que cette pratique de "non marge", soit pratiquée les grandes surface, n'auront plus aucun pretexte, pour justifier, que concernant les prix, les agriculteurs, soient pris, en quelque sorte, entre le marteau et l'enclume, ou si vous préférez, "les derniers servis".

  Qu'il se trouve des  militants, pour prétendre, que c'est là, encore, une preuve de baisse du pouvoir d'achat, sans chercher à en comprendre les motivations, me deconcerte, réellement.

 Ce sont les m^mes, qui sait  ?

 Qui au salon de l'agriculture, viendront discuter, avec femme et enfant, et dire aux agriculteurs, "comme je vous plainds"...

 On ne peut pas a oir, le beurre, et l'argent, du beurre.

 Soit on accepte,  eventuellement, devoir, certains prix augmenter, avec les chances, de voir que ça puisse moraliser, un temps soit peu, la relation, deja relativement assez perverse, entre les supermarchés, et le milieu agricole, soit on râle, parce que ça augmente, alors, que ces produits, ne sont, qui plus est, symboliquement, que des produits, qui ne sont pas de première necessité,  et on ne veut plus savoir, d'où viennent ces produits, et si ceux qui en sont à l'origine, mangent à leur faim, et sont correctement, remunérés, pour le trvail, qu'ils fournissent.

 Je rappelle, si vous observez bien, qu'aucun de ces produits, ne sont de première necessité, pire, ils symbolisent, à  eux seuls, la malbouffe, alors, modifiez votre façon de cosommer, faite vous violence, un peu, et arrêtez de foncer droit devant, dans le chiffon rouge, que Macron s'evertue, à manipuler, devant vous.

 Et que Edouard Leclerc, sache bien, surtout, à quel point je l'emmerde.

 Un article, sur les pratiques, pour le moins interpellantes, des hyper marchés, au sujet des denrées, qui ne sont plus presentables, et recupérées, par les associations...

 Voyez plutot, à qui l'on a affaire...

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/comment-les-supermarches-se-font-rembourser-leurs-invendus-par-l-etat.html

Alors, je sais, certains me diront, mais enfin, on ne voit pas tres bien, comment, de leur interdire, de pratiquer cette concurrence deloyale, profiterait, aux agriculteurs? et sr ce point, je trouve assez coherent, de poser la question.

 Pour commencer, ça remet, un chouillat de moralité, dans le systême...

 Désolée, mais vendre un profduit, sans bénéfice, uniquement, pour torpiller la concurrence, C'EST IMMORAL....

 Ensuite, une fois ce postulat posé, et selon les conséquences, qui seront observées, "ou pas", le gouvernement, pourrait alors, je suppose, mettre à profit, cette forme de moralité, entre les concurrents, je parle des hypermarchés, dans le but d'installer, certains protocoles juridiques, ou certaines lois, pour que l'éleveur ou le producteur agricole, soit mieux protégé...

 Enfin, moi, c'est ainsi, que je perçois cette loi... Maintenant, si la grande distribution, etait si morale que ça, "ça se saurait"... Mais en tout cas, interdire, de telles pratiques, je pense, ne peut que moraliser un peu un systême, ou la perversion, n'a que trop durer... OK, c'est juste même pas un dixième du chemin à parcourrir, mais c'est deja ça.

 
 

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