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"Toute une histoire".

Le 10/04/2015

Dans Medias, communication, INTERNET.... "Elle n'a jamais menti".

 Bon il me semblait a voir consacré deka ja c  des articles sur ce site au sujet de cette émission mais je n eles retrouve pas c'est pas grave.

 Pour voir en quoi je puisse avoir à voir avec elle, voyez sur les autres sites ou forum.

 Je vais plutôt donner quelques précisions.

 Pour commencer, l'émission VIVEMENT DIMANCHE, qui lui était consacrée m'a "piqué un peu", comme on dit, au début, je n'ai pas à developper, il me semble, mais bien vite, j'ai trouvé toute l'émission fort interressante. merci à l'équipe de Michel Drucker.

   Il arrive assez souvent que je regarde, et ue je ne commente pas parce que noamment je manque de temps. c'est comme ça... C'est bien pire encore pour bien sd'autres émissions soit dit en passant.

   J'ai regardé notamment celle d'hier ou avant hier je ne sais plus, sur les familles dont les filles ont été enlevées puis assassinées, et qui ont fait les grands titres des journeaux. Je compatis à leur souffrance bien sûr.

 J'ai entendu un jour quelqu'un qui disait que jamais, on ne parvenait à se relever entièrement d'avoir un jour perdu un enfant.  Si la formule peut paraitre quelque peu exagérée, par son absolu ce qui est vrai, il n'en reste pas moins, que c'est tres proche de la réalité.

  L'objectif à attiendre consiste alors à aprendre à porter ce fardeau, et maitriser les conséquences pshychologiques, sans bruler les etapes, et parvenir à transformer du mieux que l'on peut  cette souffrance là, pour fortifier les épaules et pouvoir porter ce fardeau...

  Quelque soit la souffrance qu'un être hamain ait subi, c'est toujours, de cette façon qu'on parvient le mieux à  s'en sortir véritablement.

   Je precise cependant, qu'il importe de ne jamais perdre de vue, qu'il n'est pas question de se jetter corps et âme dans un projet, comme les cas que l'on a vu sur le plateau dans l'immediateté  comme pour vouloir taire sa souffrance ce qui equivaiudrait à la nier.; c'est important de  garder cette notion à l'esprit,, puisque nier cette souffrance absolument terrifiante serait un cadeau empoisonné qu'on se ferait à soit même et qui  n'aurait de toute façon pas d'autre consequence que de resugir à la moindre occasion.

 Non, ce qui importe au contraire c'est de faire condfiance à son ressenti et surtout à son instinct qui veille....  l'aide d'un psy est fortement alors recommandé parce que devant un psy, on peut dire des choses inabvouables qu'aucun proche ne peut ni entendre ni ecouter. Et donc, pas necessairement tolerer.

 Ca n'est qu'au bout de quelques mois pour les cas les moins graves, quelques années, ou decennis selon la gravité de la souffrance, qu'on peut vraiment prétendre entreprendre uelque chose de concret qui fasse a office de transformation positive.

   Il est bon de noter que pendant le travail thérapeutique, devant un psy, il est fort courant de resentir, le besoin d'écrire, et de raconter son histoire et ses douleurs. C'est un besoin qui doit être impérativement satisfait, quelqu'un en soit les conséquences.

   Je rappelle sur ce plan, que d'écrire un livre n'est pas un travail thérapeutique à proprement parler, puisque considérant qu'on souhaite être édité, et donc lu, on se censure.. Il faut au contraire n'ecrire qu'à une personne de confiance, dont on a l'absolue certitude, qu'elle le gardera préciseusement. Ca n'est qu'au bout de bien des années alors, une fois le travail thérapeutique terminé qu'éventuellement ces écrits, peuvent être exploités, avec votre accord, comme le serait n'importe quel autre livre issu de la litterature ancienne ou contemporaine...

 Au sujet du profiler qui était present sur le plateau j'ai été bien sûr tres attentif à sa démarche absolument passionnante. En fouillant sur le net j'ai trouvé ce lien, qui traite "de l'expérience à l'expertise" et qui est le titre s  de son ouvrage je suppose.

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00639543/

http://www.france2.fr/emissions/toute-une-histoire

  Qu'avoir été au coeur d'un tel traumatisme comme moi je l'ai été en temps que victime d'un pédophile, enfant, éclaire l'expérience sous un angle infiniment plus précieux que le savoir conventionnel, ne fait pour moi absolument aucun doute tout autant que le fait u'il soit applicable, dans bien d'autres secteurs comme pour le sport dans cet article.

 J'ai en mémoire des conversations passionnantes sur le sujet avec ma psy (la seconde). Et je suis moi, aussi interressée, par le fait d'envisager de travailler en collaboration avec des psychiatres, au sujet des delinquents sexuels, et de leur psychlogie, pour trouver des méthodes qui soient suscetibles de les détecter avant  éventuellement, (je parle par exemple, de professions à risques) ou ensuite helas au moment où ils tombent sous le coup de la loi.

 Mais je dois avouer cependant que contrairement  à Stephane Bourgoin j'ai pris moi une certaine distance vis à vis de cette periode de mon histoire, et que j'ai d'autres projets plus artitiques et qu'il est pour moi absolument ors de question que j'axe mon avenir exclusivement sous cet angle.

 

 LES TRIPLETTES DE BELLEVILLE.

 c'était aujourrd'hui. oui, je sais, je donne la priorité aux femme alors qu'il y avait deux autres trios qui étaient des hommes.

 Et c'est ce que l'on nomme "la solidarité fémininne".

   J'ai énormement ri... Et disant à Thomas, sur le chat "tu parles de pipelettes"... Et bien c'est que moi, je suis celle qui a inspiré Benabar dans la chanson "monospace"..

 "Un concentré de femme idéale,
En la diluant dans l'eau
On pourrait faire dix filles normales".

   Bon pour de vrai, "j'en sais rien" mais je trouve la formule juste merveilleuse, comme quoi, un home amoureux, c'et difficilement compatible avec une bonne vision. Tout au plus il devnt en concurrence totale avec notre Jauni national OPTQUE 2000.... !

   Et puis tout ce que ça m'inspire, c'est qu'en temps que chieuse à plein temps, ça me donne l'opportunité de l'être dix fois plus que n'importe qui ! Et oui. Il faut toujours voir le bon côté des choses. je suis comme jacque Dutronc, OPPORTUNISTE mis strictement et uniquement artitiquement je le précise et pas politiquement "faut quand même pas exagérer".

   Enfin quoi, ça depend sous quel angle on se parle. je dirai que je sais apres quoi je cours et si je suis capable de faire des consessions et bien c'est comme en Amour, ou en Humour comme disait Desprohges "pas avec n'importe qui".

  Jai été très touchée, relativement à leur façon de parler des vies maritales, qu'elles ont eu avant individuellement, et le respects qu'elles ont montré chacun pour leur ancien compagnon.

   La façon dont leur vie s'artiticule en trio, s'harmonisait telle qu'elles l'entendaient.

   Il est vrai que c'est un sujet qui moi, m'interpelle, parce que un mari ou un compagnon, qui n'est pas artiste ne peut pas comprendre, qu'on se relève en pleine nuit, qu'on ait besoin de partir comme ça quelques jours,  parce que une idée géniale nous vient, ou que l'imperatif pour que l'inspiration porte ses fruits exige une forme d'isolement.

   Il n'y a qu'un artiste lui même, ou quelu'un ui vous aime assez et qui vous fait confiance, qui peut le comprendre et donc l'accepter.

 Pour ce qui est de leur attente, j'ai fort bien compris, j'ai ce que leur faut.

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