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J'inspire, Shakespeare.

Le 19/10/2014

Dans MOI..... EMOI.... Et MOI.

 J’INSPIRE ,  SHAKESPEARE.

    Et oui que voulez vous, c’est quand même pas ma faute si musicalement ça tombe sous le sens ce jeu de mot, et oui c’est moi « la coupable », et les ??

 Et oui Shakespeare depuis le temps qu’on me tanne pour franchir la  manche alors que moi, c’est bien connu je ne porte que des marcels, franchement, fallait pas s’etonner que je prenne autant de temp, d’autant qu’à la nage, puisque le train est trop cher le moins qu’on puisse dire c’est qu’en octobre, on se caille les miches…

 Shakespeare, donc mais si vous savez bien celui qui disait « my kindom for a Horse »…

 Mais oui bien sûr c’est ça, « joue les bravaches » comme quoi, les dramaturges façon Molière et Shakespeare sous le coup de plume, ils avaient les ambitions bien haut placé,  je dirai même  qu’ils pétaient plus haut que leur cul, comme on dit chez nous , parce que sauf votre respect pour peu qu’il ait expliqué le dilemme à sa bourgeoise Shakespeare, elle qui  tenait les cordons de la bourses, autrement plus serrés que ceux de ses testicules, soit dit en passant  ne vous tracassez pas, elle y aurait vu plus clair que lui, je vous fais la scène….

 Mais non monsieur, je suis normande c’est vrai mais non je ne vais pas vous faire la  Seine le fleuve je vais vous mimer la scène, où Shakespeare demande à sa bourgeoise…

 « Donc « my kindom for a horse »….

 Attendez mais quel con.

 « Qu’est ce que tu en penses » qu’il aurait dit…

 Elle les deux mains plongées dans la cuvette de  vaisselle, lui aurait dit m »ais attends  t’es vraiment con ou quoi ????

    Mais dis donc,  moi je garde le royaume et ton canasson tu te le colles quelque part non mais tu rigoles, ou quoi ?

   Bon je vois bien que mon texte là aura du mal à passer la manche vu que les anglais parlent relativement mal le françaises alors, je sens que je dois impérativement   me lancer dans une traduction  dont je n’ai aucun doute sur le fait, qu’elle sera à la hauteur, du cheval blanc d’HENRI IV.

 Listen to me… OK ? LISTEN TO ME I SAY.

 This the story about your c famous scribe Shakespeare was just a little silly… OK ?

  What a stupid man You know ???

 Yes yes very famous, OK,  « ça suffit, on le sait qu’il était « famous », ok.

    But the problèm is that when He was writting this story, ans this phrase là he was not very very responsable financièrement je suis désolée.

 Yes, I know amny persons in France we put sous tutelle, more quikly than you think, my dear…

 Yes, franchement entre un chevl et un proyaume faut vraiment être con et irrsponsable pour sacrifier sin royaume pour un canasson enfin,

 Mais vous êtes cons ou quoi ?

 Et le covoiturage alors Non ?

  Hein pour quoi pas, le covoiture…

 Et le « cochevalage », alors, non jamais, vous n’y avez pensé ?

 Et oui et oui….  En tout cas, une chose est sûre c’est que votre Shakespeare il  a avait pas inventé le fil à couper le beurre, hein, qu’il soit normand, ou breton,  et puis bon par les temps qui courent  couper le beurre, ça fait un peu décapitation faut dire alors je suis pas sûre que ce soit top.

 Oui alors j’en étais donc à « j’expire.

   En fait actuellement j’en suis au fait que j’ai inspiré tellement de trucs de bouquins de toute sorte et dans tous les domaines, que j’en arrive à ne plus trouver gout d’en parler… d’autant que je ne peux pas plus en jouir véritablement considérant ma situation….

    En fait quand je dis « j’expire », c’est un peu comme une forme de terrifiant soupir, mêlé d’une certaine exaspération vue, ma situation tellement étrange psychologiquement et financièrement et donc psychologiquement que le seul échappatoire qu’il me reste, consiste à noircir le trait, pour l’exagérer et en rire, à gorge déployée.

 Mais puisque l’on parle inspiration je vis juste preciser une chose…

    Il se trouve bon nombre d’acteurs au sens large, pour ne pas dire « tous » enfin j’en sais rien après tout qui depuis des années -, è _, ç, &à ans je n’en sais rien qui ont vu, leur carrière s’envoler veritablement parce que u jour j’ai dit d’eux « tu sais, une telle ou bien untel, dans tel film il était vraiment incroyable de vérité et c’est quelqu’un quia un talent incroyable et qui n’est pas traité et reconnu € comme il le devrait…

    Ce discours, là, j’ai du le tenir au bas mot 150 fois, je vous dis 150, comme j’aurai pu le dire de 987654 fois, peu importe).

   Je me garderai bien de vus énumérer ces personnes, pour la simple raison, que d’une part j’en oublierai les trois quarts, mais aussi et surtout peut être eux, ne désirent pas nécessairement que moi j’en parle…

    Mais remettons bien vite, les choses à leur place les points sur les I, et les barres sur les T…

    Si moi je n’avais pas été la muse de Thomas Fersen, il y a10 ans et par son intermédiaire devenue ainsi, l’inspiratrice d’autant de monde que ce soit sur le plan politique ou sur le plan artistique, je pense que la situation dans laquelle nous sommes, que ce soit sur le plan artistique, ou politique, aurait été sensiblement les mêmes….. Chaque chose serait alors arrivé, de la même façon mais probablement moins vite…

   Je veux dire par là que quand je pose moi, l’index sur quelque chose, que je montre ou bien que je braque le projecteur sur un fait de société, et que parce que c’est moi qui le dit et qui le développe on y prête plus attention et je dirai même une véritable attention….

    Mais ce que personne ne sait, ou bien ne veut voir  et prendre en considération c’est que des gens  comme moi,  il en existe plus que l’on croit, et que simplement personne ne leur prête attention…

    D’autre part je sais, moi qu’il existe une forme d’inconscient collectif, qui relie les hommes, les femmes et les enfants, qui relève de l’inconscient et qui fait que par exemple certains artistes flairent certaines idées quasiment au même moment….. Ainsi une fois que le projet avance et si chacun est de bonne foi bien malin qui pourra dire, duquel des deux, l’idée est venue en premier…..

    Je sais, par exemple et je le sais parce que j’ai rencontré ce monsieur lors d’une première d’un film,  il y a quelques années que j’avais moi l’absolue certitude que ce film avait été non seulement inspiré par moi mais les acteurs, choisis ….Pour avoir discuté avec lui à la fin de la projection  et j’avais eu, moi l’absolue certitude qu’il ne me mentait pas,  j’ai appris de sa bouche qu’il n’en était absolument rien….

    Comme quoi les caractères similaires, génèrent des gouts similaires et donc des choix artistiques, similaires, et que ça par définition c’est quelque chose que le conscient lui, ne maitrise absolument pas…..

    Si je vous  précise en plus que l’actrice à l’époque moi je l’avais repérée dans un téléfilm, et qu’elle n’était à l’époque, quasiment pas connue…. Je dois dire que j’étais rentrée chez moi extrêmement perplexe…. Je ne savais qu’une chose que j ‘en avais parlé à Thomas…..

   Ce que je veux dire c’est que l’inspiration est une chose, extrêmement volatile et précieuse…Un article dans la presse sur un sujet quelconque vous le faite lire à 10 scénaristes qui sont « inspirés », pour s’y coller et vous  obtiendrez des trucs qui n’ont rien à voir, avec même peut être des sujets développés qui n’auront rien à voir  avec ce que vous auriez attendu…

 Je crois savoir d’ailleurs que l’expérience avait été menée, il y a quelques années.

   Toujours est il, que pour moi la situation est un peu délicate n’avoir rien inspiré est stupide alors j’ai choisi d’avoir tout inspiré, comme ça au moins les choses sont claires. J’ai inspiré les hiéroglyphes, sur les pyramide, (la preuve l’arrangeur du prix  Georges Moustaki s’appelle Champollion, alors, c’est vous dire si ça ça n’est pas une preuve…. Les blagues carambar c’est moi, aussi… et aussi l’almanach Vermot…

   En fait, j’ai décidé aussi de m'attribuer une maitrise en blagues de merde, pour le cas où quelqu’un se le soit octroyé à l’insu de mon plein gré.

 Shakespeare suite.

    En fait « shakespearerai vraiment », si je puis dire quand j’aurai trouvé le moyen de mettre en forme de façon suffisamment élaborée, quoi, que ce soit qui puisse être exploité en temps qu’auteur que ce soit sketches, ou autre…

    Pour information j’ai déjà commencé mais comme je me  fais distraire, par un certain petit camarade qui ne fait rien de tirer sur mes couettes et bien c’est sûr…

 « Ma petite amoureuse me tordait le poignet » mais enfin quel imbécile je vous jure moi, je lui aurai pété la gueule, moi à cette conne non mais oui « le  playboy des bacs à sable » c’était pas lui, ha ça non, c’est sûr, lui, « le pauvre » il se faisait torturer discrètement par des vilaines  qui ne faisaient rien de  l’embêter et bien c’est sûr, au point qu’il était tout triste, et faisait tout le temps son boudin…

 Apres c’est sûr, si vous y regardez de plus prés, c’est pas étonnant, qu’il ait éprouvé le besoin d’écrire DUGENOU…

    Oui enfin bon  de toute façon les idées ça va ça vient  et ce qui importe c’est quand même bien que ceux qui sont touchés, puisque c’est quand même ça à la base d’inspirer c’est que ceux là donc parviennent à mener à bien, leurs projets…

    Pour information je tiens juste à rappeler que de s  dire à son pote « tu sais untel,  avec ce qu’il a fait sur tel truc, même si en l’occurrence quelquefois le truc en question semblait éventuellement soit nul à chier soit laissait dubitatif si moi je le repérais et que ça fait « tilt » chez moi,  par l’intermédiaire de Thomas allez houst, d’un seul coup, tout se mettait en place…

    Dans la série comme ça, ils sont fort nombreux et si moi je n’avais pas provoqué l’étincelle et bien… N’importe qui d’autre s’en serait chargé un ou deux mois plus tard….

   Oui, certains vont se dire « enfin elle joue ou elle fait la modeste » mais en fait non… c’est effectivement ce qui se serait passé, j’ai juste « poussé un peu «  le processus voilà, c’est tout uniquement.

    Et dans ce domaine il y a notamment Laurent Baffie qui a son émission à Vivement Dimanche qui sera diffusée dimanche26 octobre 2014.

    Moi c’est un mec que j’ai toujours adoré à cette époque son côté extrêmement caustique en dérageait beaucoup alors que moi « je voyais clair dans son petit jeu », comme on dit c'est-à-dire un caractère qui n’est  outrancier pour servir d’armure…

    Et puis bon c’est un « très tendre », au moins autant que  les croissants du petit déjeuner devant un bol de thé … Et c’est infiniment plus facile à assumer si l’on est corrosif.

    Ce que j’adore aussi chez lui c’est sa façon de jouer avec la musicalité des mots comme moi je le fais aussi, ou bien Stéphane de Groodt (voyage en absurdie)que j’ai harponné aussi, il y a quelques années.…

    En fait, je réalise, que c’est assez difficile, de décrire pourquoi et comment on aime tel ou tel artiste parce que c’est tellement subtile et complexe, c’est un peu comme si on empruntait tous des souterrains de la langue française, avec comme point commun enfin, pour ces deux là en tout cas, mais pas uniquement, d’accorder une importance considérable  à la musicalité des mots…. Ce que je fais moi aussi, et qui donne l’opportunité  de tout se permettre avec les jeux de mots les plus vaseux et déconcertants qui soient.

   Je précise que si je n’ai pas encore parlé d’eux deux ça n’est pas parce que je ne voulais pas mais juste que je n’ai pas les moyens d’acheter leurs livres ni de voir quoi que ce soit qu’ils fassent comme pour le reste alors avec la frustration à gérer …… Enfin c’est juste cohérent.

http://www.billetreduc.com/115024/evt.htm?gclid=CP-Pldu2vsECFSsXwwodfpMALA

http://www.images-chapitre.com/ima1/original/454/59523454_11234694.jpg

 

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