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Banlieues qui s'enflamment, "si l'on m'avait écoutée".

Le 13/02/2017

Dans POLITIQUE INTÉRIEURE.

Mais il n'est jamais trop tard.

Banlieues qui s’enflamment ? Si l’on m’avait écoutée….

   Le problème des banlieues, est un sujet qui m’intéresse, et si jamais personne ne m’a sollicitée sur le sujet, de façon officielle, personne ne s’est jamais privé de le faire, de façon officieuse,  et j’ai toujours répondu « présente ».

  Je lisais ce matin, sur les réseaux sociaux, que les politiques ne se souciaient des banlieues, qu’au moment des élections, parce que ça représente un vivier de voix, non négligeable, et ça n’est que la stricte vérité.

   Maintenait, force est de constater,  que pour les présidentielle, jusqu’à preuve di u contraire, il ne se trouve aucun parti, sur la totalité de l’éventail politique français, qui n’ait pris les banlieusards, pour des quiches, en leur promettant monts et merveilles, en dehors du front national, qui comme chacun sait, ne voit, dans les banlieues, qu’une occasion supplémentaire, de brandir le spectre du communautarisme, et de l’islam, comme péril national, sous forme de kalachnikov b verbale, d’une main, et son programme de merde, de l’autre main, qui ne saura jamais proposer autre chose, que le tout sécuritaire.    Maintenant, moi, j’observe les choses, de l’extérieur, il est vrai, et certains ne manqueront pas de me le faire savoir, j’imagine, et je peux le comprendre.

   Jamais, bien évidemment, je ne cautionnerai la moindre forme de violence, qu’elle vienne des habitants, ou qu’elle vienne des policiers, parce que malheureusement, si l’on considère d’une part, la plus que m négligence, dont ait preuve l’ UMP, à l’époque, en réduisant les effectifs de police, et le fait, que le gouvernement, ait du d’une part, rattraper, ce manque d’effectif, mais parallèlement, faire face aux attentats, et à leurs conséquences, il est bien évident, qu’il est logique, que la situation, sur place, est plus que tendue, aujourd’hui.

    Pour commencer, plusieurs points me hérissent.

    Depuis des années, j’entends des politiques mépriser, pour ne pas die, trainer dans la boue, le communautarisme.

    On parle même du « risque communautaire », comme si le fait de se retrouver, avec pour prétexte le fait d’appartenir, à une même culture, était d’office, un problème en soit.

   Certes je ne suis pas naïve, je sais fort bien qu’il arrive que ce communautarisme, pose problème, quand on considère, que sous ce prétexte, on se croit autorisé à faire régner la loi, qu’on y estime légitime, parce que c’est la nôtre.

    Je pense que beaucoup plus souvent, le comportement communautaire,  est non seulement, parfaitement acceptable, mais aussi, source d’enrichissement.

    Encore une fois, pour le cas où certains immigrés, qu’ils soient franchement arrivés, ou qu’il soient arrivés plus anciennement, seraient tentés de me voir, comme une espèce de « bénnie Oui oui », (du verbe bénir), à qui l’on ferait avaler, pas mal de couleuvres, soyez sans crainte, quand je dis que je vais m’atteler, aux écoles clandestines, par exemple ou bien au voile intégral, je ne suis pas dans le fantasme, moi, d’accord ?

    Et je sais fort bien qu’au sein d’association prétendues culturelles,  se cachent d’autres activités, et qu’il va bien falloir, faire un vrai ménage .

     Encore une fois, ce qui me semble grave, réside dans le fait, de diaboliser le communautarisme, parce que c’est juste complètement stupide, des français qui émigrent, eux, à l’étranger, vont aussi avoir une reflexe communautaire, et d’autant plus qu’ils arrivent dans une culture, qui n’est pas la leur, c'est-à-dire, judéo chrétienne.

    Et encore, je ne rajoute la chose, la plus criante, qui réside dans le fait que les français qui émigrent, eux, généralement, ne le font que bardés de diplômes, pour trouver un job,  enfin, aux antipodes, en tout cas, d’une situation de détresse financière, ou sociale, comme sont arrivés les parents d’immigrés, dont il est question, le plus souvent, dans les banlieues.

    Pour aider les forces de police, dans les banlieues, j’avais proposé, quelque chose il y a quelques années, qui n’a pas été suivi, ou bien alors, ça ne m’est pas venu aux oreilles.

   Cette idée, n’est pas l’une des propositions, c’est LA SOLUTION, la seule qui vaille, pour tout dire.

    Imaginerait on, au sein d’une famille, des parents, qui n’auraient au sujet de la loi, qu’une attitude répressive, au détriment de toute autre forme d’éducation ?

 Non, certainement pas.

     Des parents, qui ne sont capables, que de punir, courent droit à l’échec, quelque soit l’angle sous lequel on observe la relation « parents enfants ».

 Et bien une police municipale, au sein d’une ville, c’est exactement pareil.

    D’ailleurs, ça a été clairement révélé, par eux même dans un reportage, pas plus tard qu’hier.

    Moi, je préconise que la police, qu’elle soit générale, ou qu’elle soit municipale,  toutes les forces de l’ordre, qui sont sous pression, de façon constantes, en dehors du fait qu’il faille  augmenter les effectifs, doivent se voir proposés, dans le cadre de leur travail, de façon régulière, mais aussi, à chaque fois que nécessaire,  de façon préventive, un travail, au sein d’une association,  soit sportive, soit culturelle, et ça n’est pas la richesse de notre tissus associatif, qui risque de pêcher, quand à sa diversité.

 Pour moi, c’est la seule méthode qui vaille .

     D’une part  le policier, a de lui-même une image beaucoup plus valorisante, parce que non exclusivement répressive, mais aussi,  cette dernière, individuellement, se trouve modifiée par la population, elle-même.

     Un exemple, un ado, en a ras la casquette, de se faire contrôler, le fameux contrôle au faciès, franchement, moi, à leur place, je ressentirai la même chose, et quand vous combinez ça au fait, que la frangine, qui a fait des études, ne trouve pas de travail, à cause de la discrimination à l’embauche, franchement, il faut se mettre à leur place, aussi.

 Cet ado, donc, qui se fait contrôler, apprend que tel flic,  vient de telle heure à telle heure, par participer aux rythmes scolaires, pour animer une activité.

 L’image qu’il en a, se trouve alors modifiée.                      

    Pour que ça fonctionne, il faut bien sûr que les policiers, s’investissent vraiment, je veux dire que s’il existe certains d’entre eux, qui considèrent, que leur métier, ne doit en aucune façon être autre que répressive, là, je rends mon tablier, je vous le dis carrément.

   Au sein d’une famille, la loi, en principe, doit toujours être expliquée, oui, je sais, certains ne se posent même pas la question, la loi, c’est la loi,  on l’applique, et si ça colle pas, et bien on gronde, et si ça ne suffit pas on sévit, et si ça ne suffit pas on cogne .

  Moi, je n’ai absolument jamais éduqué mes enfants, avec la carotte et le baton, et ça n’est pas demain que ça va commencer.

   Oui, je suis un peu caricaturale, mais enfin, je ne crois pas être si loin de la vérité, je n  le crains.

   Pour moi, il n’existe absolument aucune règle, que l’on impose à un enfant, de suivre, qui ne puisse être vraiment expliquée.

    Oui, je sais, certains doivent rigoler, et bien je vous mets au défit, de me le proposer des colles, sur le sujet, et ça sera peut être l’objet d’un livre, tiens.

   Je vous préviens juste que j’imagine, alors le pire, comme suggestions, et j’ai déjà la réponse. MDR,

 

MORTE DE RIRE.

@fillonlepenout, @tamarinequineserajamaisnationale, @benoithamon2017,

 
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