Moi, je pense que le seul moyen d'y voir clair, de façon objective, consiste à prendre en compte, certains chffres, ou plus precisement, leur évolution.
En ce qui concerne les signalements des familles, relativement à la suspition de radicalisation, et considerant, que les critères retenus, pour les evaluer objectivment, que ces chiffres, soient stables, ou en diminution.
En ce qui concerne les migrants, le nombre d'arrivées en Europe, quelque soit le pays, et leurs témoignages, quand ils racontent.
Il faut une sorte d'observatoire des données, relativement au récits, qui arrivent de leur part. C'est important, aussi,qu'ils racontent, pour eux, aller moins mal, ensuite.
Pour l'état d'urgence, moi, je procederai par phases de trois mois, renouvelables, si le besoin se fait sentir.
Il faut convaincre les femmes, les filles, et les soeurs, de dénoncer leurs frères, maris, etc, s'ils les voient se radicaliser, ou planquer des armes, il en va de leur intérêt aussi. Surtout s'il y a des enfants au foyer.