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Comment Donald Trump, transforme son pays, en Démocrature de la finance.

Le 29/01/2017

Dans POLITIQUE INTERNATIONALE.

    J'ai bien dit "DEMOCRATURE et pas "dictature" de la finance. parce que pretendre à une forme de dictature de la finance,  c'est une posture, extrême qui ejecte d'emblée, la notion de finance, ce qui n'est pas ma posture? je crois, moi, au contraire que les valeurs humanistes, peuvent parfaitement se conjuguer, avec le commerce, et l'entreprise...

   Simplement, cette vision, altruite, du commerce, ça n'est pas franchement la tasse de thé, des financiers,  et plus largement,  de la haute finance internationale.

   Mais comme je dis souvent, "il ne fait pas jeter le bébé avec l'eau du bain, sur tout s'il s'agit des fond batismaux".

   D'ailleurs, en ce dimanche matin, je viens d'apprendre que mon ami le pape François, a fait l'objet d'un livre, qui s'appelle "un pape qui dérange". Dommage que son auteur, n'ait pas rajouté, ensuite, "et françoise qui vous emmerde", au moins, le spectacle eut il été complet.

   Excusez moi, mon nez de clown, non content d'avoir répandu son encre rouge, sur mon site internet, à du fumé la moquette, cette nuit, pendant que je dormais, du sommeil du JUSTE.

  Oui, je reste en rouge, tiens, ça me fait rigoler.

  Oui, je sais,  avoir la prétention de bosser en politique, quand on a une nature de clown, "est ce bien raisonnable"...

  La réponse est sans aucune doute, NON, ABSOLUMENT PAS...

  Mais comme je ne travaille que par Amour, et pas Passion, la raison, je vous propose de vous la coller où vous savez.

   Et puis vous savez ce que l'on dit, "le coeur à  ses raisons, que la raison ne connait pas".

   Et puis nous avons des antécédant celèbres, ici en France, en la personne de Coluche, sur le sujet, il faut pas croire, c'est parce qu'on a une nature comique, qu'on raisonne comme un gland, en politique, hein.

 VOILA.

   Style détendu, story telling aux petits oignons et image 100% maîtrisée... Pendant huit ans, Barack Obama a fait de son style (plus communément appelé "son cool") une arme de communication.

   Oui, c'est vrai que Obama, est  (présent, et pas imparfait, je vous prie), mais ce que l'on ne dit pas, c'est que si Obama, plaisiait tant, et surtout, seduisait tant,  c'était juste que ça n'était pas une posture, mais au contraire, qu'il était nature, et qu'il était vrai, voilà, la tres grand nuance, entre trump, et Obama.

Homme de télévision et businessman, son successeur, Donald Trump, s'illustre d'ores et déjà par des pratiques radicalement différentes. "Comme vous le savez, je suis actuellement en guerre contre les médias.

   Oui, c'est logique, trump n'a jamais vu dans les médias, qu'un moyen soit de gagner de l'argent, soit de se mettre en scène, au détriment, d'une vision altruiste, comme moi, je le promeus, du mieux que je peux, depuis des années, par intermédiaire de France Télévision, notamment, mais aussi, bien au delà.

ls font partie des êtres humains les plus malhonnêtes de la planète", a prévenu le président, samedi 21 janvier, dans les locaux de la CIA. 

   Ha, mais non, il fait une grave erreur, là, il les a toujours utilisés, lui, selon son bon vouloir, pour le servir, lui. Mais une vision altruite des médias, ça consiste à accepter que le milieu des journalistes fassent leur travail, avec le plus d'objectivité possible.

   Bien sûr, je ne suis pas naïve, et je sais bien que par l'intermediaire des groupes de presse, ou des multinationales,  telle chaine ou telle autre, selon celui qui dirige le groupe,  et l'orientation qui ait été donné, en conseil d'administration, je sais fort bien, que certaines consignes soient données.

   Mais enfin, soyons réaliste, je vous prie. Le problème en Democratie, aujourd'hui, est le suivant.

  Comment faire le plus d'argent possible, sans avoir le sentiment, enfin, en tout cas, le moins possible, de vendre son âme au Diable....

  Il ne faut pas reprocher aux chaines, et groupes de presse, de chercher à gagner de l'argent, il faut bien payer les employés, les journalistes, les animateurs, et tous les salariés qui travaillent.

  Je veux dire que les médias, C'EST DU BUSINESS, et pourquoi s'en cacher ?

   Pendant la campagne électorale, le président américain n'a pas supporté que les grands quotidiens et la plupart des chaînes d'information appellent à voter pour son adversaire, Hillary Clinton. En guerre contre la presse et les journalistes, Donald Trump a déjà révolutionné la communication présidentielle. Retour sur une relation tumultueuse.

  Pour moi, la seule methode qui vaille en matière de communication, ça s'appelle "la sincerité", et ça ne fait pas necessairement, avec la notion même de commerce.

Trump ou le mépris pour les faits 

    Dès leur premier jour à la Maison Blanche, Donald Trump et son équipe ont suscité l'émoi dans la "Briefing room", cette pièce dans laquelle le porte-parole du gouvernement tient un point quotidien devant les journalistes accrédités. Pour son baptême du feu, samedi 21 janvier, Sean Spicer, tout juste nommé "Press Sec'" ("secrétaire chargé des Relations avec les médias") aborde une question de taille : l'affluence du public, la veille, sur l'Esplanade nationale, à Washington, pour l'investiture du président républicain. 

   Alors que photos et images aériennes montrent une assistance clairsemée, inférieure en nombre à celle qui avait acclamé Barack Obama en 2009, Sean Spicer assure sans sourciller que l'événement a rassemblé "le plus grand public ayant jamais assisté à une investiture, un point c'est tout". 

  Oui, et bien c'est juste ce que moi, j'appelle "un truand", de toute façon, pour bosser pour trump, il n'a pas le choix, je suppose qu'il est grassement payé, pour vendre précisement, son âme au diable de la sorte.

Alors que le "Press Sec" quitte son pupitre sans répondre aux questions des journalistes, le correspondant du New York Times* tweete : "La mâchoire m'en tombe." 

 Et oui, comme je les comprends.

   Le lendemain, c'est au tour de la conseillère de Donald Trump, Kellyanne Conway, de défendre cet étrange décompte, en direct sur NBC. "Pourquoi le président a demandé à un porte-parole de la Maison Blanche de monter sur l'estrade pour la première fois et de mentir ?" interroge le journaliste Chuck Todd, lui aussi décontenancé par les déclarations de la veille. "Ne surdramatisez pas, Chuck. Vous dites des choses fausses", lui répond la conseillère de Trump, qui ajoute que "Sean Spicer a donné des faits alternatifs". Une expression qui semble tout droit sorti de la "novlangue" inventée par George Orwell dans son roman de science-fiction 1984, s'inquiètent les observateurs de la politique américaine. Un roman dont les ventes décollent d'ailleurs ces derniers jours aux Etats-Unis...

 

 


  Avant son investiture, le 11 janvier, le président avait ainsi refusé de répondre au journaliste de CNN présent en conférence de presse, au simple motif qu'il ne cautionne pas le travail de la chaîne.

  Le journaliste souhaitait l'interroger sur de possibles conflits d'intérêts entre la Maison Blanche et l'activité de la Trump Organization, confiée à ses deux fils aînés le temps de la mandature. 

 Bon, je pense qu'il va falloir commencer à distribuer les medailles de la bravoure, alors, non ?

   Pour la première conférence de presse officielle, donnée lundi, Sean Spicer a encore rompu avec la tradition. S'il n'a menacé de chasser personne*, il a choisi de donner la parole à des médias conservateurs (d'habitude, c'est l'agence Associated Press qui ouvre le bal). "Il existe des voix et des enjeux dont les grands médias ne s'emparent pas et c'est important que ces voix-là soient aussi entendues", a justifié le porte-parole sur le plateau de Fox News. Ainsi, il a d'abord répondu à la question du conservateur New York Post, avant de se tourner vers the Christian Broadcasting Network, une chaîne religieuse qui l'a sollicité sur l'avortement. Un choix qui peut permettre en effet une représentation plus démocratique du paysage médiatique, mais qui engendre le risque de créer une presse aux ordres de l'exécutif.

 Ha, mais à ce niveau, ça n'est plus un risque, ON Y EST DEJA.

   "Si vous voulez conserver un accès à la Maison Blanche, vous devrez véhiculer leur propagande", a réagi, sur Twitter*, Judd Legum, du site Think Progress, cité par Le Monde.fr.

Tous ceux dont le métier est de rapporter la réalité ne seront plus dans les bonnes grâces de la Maison Blanche.

Judd Legum

Think Progress

   Donc, c'est bien ce que je disais, on est uniquement, et strictement dans le mensonge, et la manipulation, moi, je propose qu'on repeigne la maison blanche, en gris, ou en noir, non ?

   Jouant tantôt de la flatterie, de la punition et de l'intimidation, le président américain entend garder le contrôle sur les journalistes accrédités à la Maison Blanche. Selon Slate, cette "brillante" stratégie consiste enfin à monter les médias les uns contre les autres, en créant notamment le malaise entre les grands noms de la presse américaine et les petits nouveaux, pure players et autre sites d'information. L'un de ses conseillers avait d'ailleurs créé l'émoi avant l'investiture en évoquant la possibilité de déménager cette "Briefing room" dans un local plus grand (et en dehors de la Maison Blanche), afin de convier davantage de médias, y compris des blogueurs. 

   La riposte médiatique va devir s'organiser, elle, mais avec internet, je doute fort que les grosse boite de l'informatique, dont les USA sont détenteurs, persistent à soutenir un homme politique aussi sale, tout president des USA qu'il soit.

 

Le porte-parole de la présidence, Sean Spicer, lors d\'une conférence de presse à la Maison Blanche, à Washington, mardi 24 janvier 2017.

 

   Le porte-parole de la présidence, Sean Spicer, lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche, à Washington, mardi 24 janvier 2017. (CHERISS MAY / NURPHOTO / AFP)

 

Mesures exceptionnelles pour président différent

    En moins d'une semaine, la présidence de Donald Trump a déjà modifié le travail des journalistes politiques américains. Dès la première conférence de presse, CNN a pris la décision de ne pas la diffuser en intégralité. A la place, la chaîne sélectionne des extraits que ses journalistes et commentateurs remettent en perspective, dévoilant du contexte et, le cas échéant, du "fact-checking" (de la vérification factuelle). Du côté de la presse écrite, en grande difficulté outre-Atlantique, les rédactions ont étoffé leurs services chargés de couvrir la Maison Blanche. Le Wall Street Journal a même créé une nouvelle équipe dont le travail consistera exclusivement à enquêter sur de possibles conflits d'intérêts au sein du camp Trump, explique laColumbia Journalism Review*.

Et bien voilà, une tres bonne nouvelle.

  La notion de "conflit d'intérêt", est absolument fondamentale, et doit être mise en évidence. Elle consiste à mettre en avant, le fait qu'un politque, ait des intérêts financiers, dans une entreprise, alors que parallèllement, il dispoe par son mandat du pouvoir de lui accorder un marché, ou pas, il devient alors, difficile ou délicat de déterminer, si le politique, a fait passer ses intérêts financiers, avant les intérêts du peuple, au service duquel il avait été élu.

  Je ne comprenais pas que cet aspect fondamental, en politique, n'ait jamais été pris en considération, jusqu'à maintenant, aux USA.

  Face à une salle de presse de moins en moins accueillante, les journalistes s'enthousiasment même parfois de renouer avec le cœur du métier : l'enquête et la construction de relations de confiance avec de bonnes sources, détaille un ancien du Boston Globe, dans un édito publié par le New York Times*. Un avis qui correspond à l'attente des lecteurs qui ont souscrit un abonnement à ces titres en réponse à l'élection de Donald Trump (contrairement à ce que déclare le président sur Twitter, le New York Times a récemment gagné des abonnés).

     Un autre suggère d'envoyer les journalistes stagiaires à la Maison Blanche, afin d'envoyer les professionnels les plus aguerris sur le terrain ou dans les couloirs du Congrès et des administrations à la recherche d'éventuels lanceurs d'alerte.

 Ha, le statut de lanceurs d'alertes, voilà, quelque chose, qui me parle, particulièrement. 

 

La salle de presse de la Maison Blanche, à Washington, mercredi 25 janvier 2017. 
La salle de presse de la Maison Blanche, à Washington, mercredi 25 janvier 2017.  (BRENDAN SMIALOWSKI / AFP)

    D'autres médias ont adopté une attitude plus prudente à l'égard des tweets du président, lesquels étaient systématiquement relayés pendant la campagne. Enfin, des journalistes engagés demandent à ce que les membres de l'administration Trump pris en flagrant délit de mensonge soient boycottés. Soit autant de stratégies qui promettent quatre années riches en polémiques, mais aussi, sans doute, en révélations.

   Et oui, je vois, moi, je pense que le président, doit continuer à twitter, je le dis sans humour, et sans sarcasme,  ça lui servira un peu d'exhutoire, et ça n'est pas les psys, qui me contrediront, je pense.

*Tous les liens de médias signalés par une astérisque sont en anglais.

https://secure.avaaz.org/campaign/fr/president_trump_letter_loc/?cmgXjgb

 2 novembre 2019.

DESTITUTION DE DONALD TRUMP, l'ETAU SE RESSERRE.

https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/1089807-c-dans-l-air.html

 Il faut absolument aller revoir cette émission, où l'on apprend vraiment beaucoup de choses.

 6 janvier 2020.

 Le verdict est tombé hier soir, heure française.

 Donald Trump est acquitté...

 Et pour cause, là bas, la séparation entre Justice et pouvoir n'existe absolument pas, ce qui explique que ce proces, n'est rien de moins, qu'une véritable imposture....

 Et pour ceux qui douteraient de l'etat mental, de donald trump, allez donc lire cet article, qui bien loin d'être dans le vague, ou l'interprétation, remet précisément l'église, au milieu du village, en révélant, la lecture que fait trump, de ses comportements, et surtout, des délires mégalomaniaques, dont il s'est rendu coupable, et dont il est toujours responsable, autant que son impulsivité, qui represente à mes yeux, une raison prépondérante de laisser, un tel péril, gérer un des pays, les plus puissants du monde....

 Aujourd'hui, en France, comme dans beaucoup de pays, et on doit s'en rejouir, la prise de conscience, sur les violences faites aux femmes ou sur les enfants, progresse, d'autant plus facilement, qu'internet, pour le pire, (trump ?) et pour le meilleurs, a aussi, pour conséquence, qu'on peut obserbver, alors politiquement, les avancées, les reculs, les lâchetés, et les manques des politiques mises en oeuvre, pour parvenir, à rendre Justice, et soutenir les victimes.

 On observe, qu'aux portes de l'Europe, par exemple, une victime de viol, se voit proposé, comme réparation, par le gouvernement turc,  d'autoriser le violeur, à épouser sa victime...

 Vous avez bien lu...  j'ai bien dit, AUX PORTES DE L'EUROPE....

 Aux USA,  la chasse aux sorcières, dont donald  trump, prétend, ce matin être victime, face à ses accusateurs, il l'a lui même orchestrée, des son arrivée au pouvoir, en destituant, et remplaçant, tous les postes clés, de son gouvernement, et en tout premier lieu, au sein du ministère de la Justice, dans le but, que  de façon legale,  cette justice, en aucun cas, ne puisse le condamner...

 Alors, oui, depuis qu'il est au pouvoir, cette chase aux sorcières,  a bien eu lieu, il en a été l'artisan, bien au delà, de ce que n'importe quel démocrate au monde, jamais,  ne l'aurait suspecté.....

 Votre acquittement, monsieur trump.... C'EST DE LA MERDE, et votre Justice, tout autant que votre Constitution, par son fonctionnement, et par ses carences, qui ne sont que des aggragats upsolètes, au service du pouvoir, de l'argent, des lobys, et au détriment du citoyen américain...

 il parle de sa reussite economique , parlons en.

 Savez vous que lees USA, sont un des rares pays qu'on di civilisé, ou l'esperance de vie, decroit ?

 Reussite economique , mais de quoi, parle t 'on,  quand on sait, que cette derniere, ne sert que les pouvoirs de l'argent, a detriment, du citoyen,  au point, qu'à la retraite, beaucoup, sont contraints de continuer à trimer, et dorment dans leur voiture, avec une accumulation, de petits boulots, pour survivre  ?

 Par la négation du réchauffement climatique,  et sa soumission aux lobbys pharmaceutiques, il peaufine la destruction de la civilisation americaine, fabrique, en sous main, les cancers de demain, et prepare une aggravation en nombre, et en intensité, les maladies degeneratives, qui apparaissent partout, dans le monde, liées, aux pertub rbateurs andi ocriniens, et à la pollution....

 il est vrai, qu'avec un age mental, d'environ 11 ans, il est un peu superflu, d'attendre de lui, qu'il soit visionnaire...

 En effet, à l'age venerable de ses arteres, tout espoir, de le voir devenir adulte, est vain...

 je n'espere qu'une chose, en verité, qui residerait dans le fait, que les americains, enfin, ouvrent les yeux, et aillent, voir, au delà, des frasques et  des masques de respectabilité, qui s'octroie.

 Avec le dossier psychiatrique, qui est le sien, la constitution, le laisse  au pouvoir...

 Aujourd'hui, aux USA, avec les procès lié, à  L'affaire Harvey Weinstein, on observe à quel point, cette justice n'est en réalité,  qu'un  simulacre, tellement, les pouvoirs de l'argent, en sous main, ont tout fait, je dis bien, tout fait, pour intimider les victimes, y compris, une fois les plaintes déposées, sans que personne  ne trouvent à y redire, des enquêtes de moralité, sont diligentées, pour avoir la certitude, que les vicitimes sont "dignes de moralité"...

 Et quand bien même, une femme, collectionnant les conquêtes, devraient  elles, meriter moins, d'être defendues, qu'une oie blanche ?

ICI, LA au moment, où je vous parle, aux USA, ces intimidations, ont lieu... Au point, que certaines victimes, se sont rétractées, par peur des represailles. 

 Vous m'entendez bien ?

 France Télévision (par France 5)  a enquêté de façon remarquable sur le sujet, et je dois avouer, que je n'en croyais pas mes yeux,  sur ce sujet...

 Alors, trump, acquitté, franchement... Il aurait violé une petite, fille, que leur Justice, aurait trouvé le moyen de l'acquitter tout autant !

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