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Qui sont les conseillers de donald trump ?

Le 11/02/2017

Dans POLITIQUE INTERNATIONALE.

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Ancien  directeur du site d’extrême droite  Breitbart News, Stephen Bannon est considéré comme l’éminence grise de Donald Trump. Il a dirigé l’équipe de campagne du candidat républicain à partir du mois d’août 2016. Sur sa « une » du 2 février, le  magazine  « Time » l’a même nommé « le grandmanipulateur  ». Il est la figure la plus connue de cet axe en place au cœur de la Maison Blanche où il occupe les fonctions de conseiller stratégique . Le président, Donald Trump, lui a également offert un siège permanent au Conseil de sécurité nationale , ce qui fait de Stephen Bannon l’un des hommes les plus puissants du pays.

Nommé ministre de la justice (fonction aussi appelée « attorney général » des Etats-Unis), Jeff Sessions, ancien sénateur de l’Alabama, était classé parmi les membres les plus conservateurs du Congrès. Il est hostile à l’avortement et au mariage homosexuel. En 2013, il a participé activement à la lutte contre un projet de réforme de l’immigration et il est partisan de la réduction de l’immigration légale. Apprécié des ultraconservateurs du Tea Party, il avait été le premier sénateur républicain, dès février 2016, à soutenir Donald Trump durant la campagne.
 

Stephen Miller est l’ancien responsable de la communication du sénateur de l’Alabama, Jeff Sessions, lui aussi à la manœuvre auprès de Donald Trump à la Maison Blanche. M. Miller avait rejoint l’équipe de campagne du candidat républicain en janvier 2016. Il occupe désormais la fonction de haut conseiller politique du président, et il est aussi sa « plume ». Stephen Miller a joué un rôle important dans l’élaboration du « décret anti-immigration » qui, entre autres, restreint temporairement l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants ou binationaux de sept pays.
 

On dit de Hope Hicks, 28 ans, qu’elle est la seule femme à « totalement comprendre » Donald Trump. Ancien mannequin, c’est elle qui a fait le relais entre le candidat républicain et la presse nationale durant la campagne. Très discrète, Hope Hicks fuit la scène médiatique. Le président l’a nommée directrice en communication stratégique. A ce titre, elle participe à l’élaboration des communiqués et des tweets présidentiels.


Ancien inspecteur de police à New York, Keith Schiller est engagé auprès de Donald Trump depuis 1999. A 57 ans, l’inamovible garde du corps du président a le titre ronflant de directeur des opérations du bureau Ovale. M. Schiller s’est notamment fait remarquer pendant la campagne lorsqu’en août 2016 il a éjecté physiquement le journaliste Jorge Ramos de la chaîne Univision, lors d’une conférence de presse.


Dan Scavino travaille pour Donald Trump depuis ses 16 ans. A l’époque, il était son caddie de golf. Il est désormais l’incontournable responsable des réseaux sociaux du président. C’est lui qui gère ses comptes Facebook et Instagram et possède un des rares accès au compte Twitter @realdonaldtrump. Il a suscité plusieurs fois la polémique en partageant des liens vers des sites conspirationnistes ou connus pour diffuser de fausses informations. Fervent catholique, « workaholic » (bourreau de travail) assumé, Dan Scavino est aujourd’hui tellement proche du président que son entourage le considère comme un membre de la famille.

Originaire d’Alabama, George Gigicos, a travaillé pour les principaux candidats républicains depuis 2004. Durant la campagne, il a participé à l’organisation des fiévreux meetings de Donald Trump. A la Maison Blanche, il a été nommé directeur de la planification stratégique.
 

Michael Glassner, avec George Gigicos, a participé à l’organisation des meetings du candidat républicain. Il est désormais chargé du comité de campagne de Donald Trump en vue des prochaines élections. Membre de l’American Israel Political Affairs Committee, le puissant lobby pro-israélien, M. Glassner a collecté des fonds pour George W. Bush en 2004 et géré la campagne de Sarah Palin en 2008. C’est lui, selon le site d’information politique The Hill, qui aide l’ancienne gouverneure de l’Alaska à devenir « la voix nationale du mouvement Tea Party, même après sa défaite ».
 

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