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Anti douleurs, et risque addictif.

Le 25/02/2019

Dans Europe plus sociale et donc plus humaniste, et donc efficace.

  J'avais deja pris connaissance, de ce problème extrêmement grave, qui concerne le risque d'addiction, entrainé par les anti douleur, prescrit par les medecins.

  Un documentaire, à "Envoyé spécial" y a été consacré, et montre l'ampleur du désastre.

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/video-mort-sur-ordonnance-aux-etats-unis-les-medicaments-antidouleur-tuent-plus-que-les-armes-a-feu_3195941.html

 Aujourd'hui, c'est officiel, cette crise commence à atteindre l'Europe, c'est specifié dans le reportage.

 Depuis des mois, j'ai travaillé, sur le sujet des addiction, mon livre va s'appeler, "addictions, prendre le mal à la racine".

 Depuis la diffuson de  ce reportage, j'ai inclu ce phenomene, qui finit par croiser, le problème des drogues, quand le patient, par manque, finit par prendre contact avec des dealers, pour a voir sa dose.

 Mais plus tot, en amont, il importe, pour la société, d'observer ce phenomène,  que j'ai personnellement transcrit, selon les differents acteurs...

 D'une part, de la part, vu par le malade, ensuite, vu par le medecin, et enfin, vu par le politique, qui induit, l'obsevation de ce risque,  qui devrait, en théorie, inspirer la politique de santé publique.

 Pour l'heure, et dans l'urgence,  j'ai trouvé un site internet, qui repertorie, clairement, les differents types de médicaments antidouleurs, les citants, afin que le patient puisse prendre conscience, du risque qu'il prend, avec le medicament, que peut êre, un medecin, lui aurait prescrit.

 Dans l'hypothèse, de la seconde ou troisième categoire, il faut absolument prendre contact, avec votre médecin, pour qu'il vous fasse un courrier, pour consulter un addictogue. 

http://www.psychomedia.qc.ca/douleur/dossier/quelles-sont-les-categories-de-medicaments-antidouleurs-antalgiques-analgesiques

Mon travail, sur le sujet.

Addiction médicamenteuses, par opioïdes prescrits.

 On sait à présent, que ces addictions, d’une extrême gravité, font des ravages, aux USA, plus nombreux encore,  que par les armes à feu .

 On sait à présent, que  ce phénomène arrive aussi  en Europe, et donc, en France.

 Je pense qu’il est souhaitable d’observer ce phénomène  sous trois angles différents.

 D’une part, sous l‘angle du patient, ensuite, sous l’angle du médecin, et enfin, sous l’angle politique, c'est-à-dire, en matière de santé publique .

. Sous l’angle du patient

 Ces médicaments, sont des antidouleur.

 Il faut différencier, le fait, qu’un patient soit addict à un médicament, d’un patient, qui le serait  devenu, de façon intentionnelle, je veux dire, « conscient, qu’il jouait avec sa santé, quand il a commencé, à s’y adonner ».

 Je sais, je sais, je suppose, que sur le plan sociétal, et notamment, du coté psy, ou du côté médical, certains, ne seront peut être pas tout à fait d’accord…Mais je pense que pour la première catégorie, la nuance est importante, et ça l’est d’autant plus qu’ils ont des enfants, quelquefois., et pour eux, plus encore, il importe que cette nuance soit connue.

 Mais ça n’est que mon sentiment.

  Que le danger, sur le moyen terme et le long terme, de ces médicaments aient été entièrement sous estimé, est une évidence, qu’il est difficile de nier.

  Encore, avons-nous la chance, ici, en France, de ne pas avoir subi les campagnes publicitaires destinées aux patients, comme  ce fût le cas, aux USA, cette incroyable tapis rouge, déroulé devant la firme( ????), dont l’impunité totale, devant les lobys pharmaceutiques, , offrait et offre encore, je le suppose, un véritable boulevard médiatique, aux truands de la pire espèce, que sont ces laboratoires.

  Pour ce qui concerne le patient, ou la patiente, un problème énorme se pose alors, qui met à mal de façon extrêmement grave, la confiance, vis-à-vis du corps médical, comme ça peut se produire aussi, vis-à-vis d’autres traitements, comme en psychiatrie, par  exemple.

 Sous l’angle du médecin.

 Je comprends les patients, qui incriminent, aujourd’hui, le corps médical.

 Mais il semble évident, pourtant, que même si le lobby des laboratoires pharmaceutiques, des la première année de médecine, se comportent en véritables pervers manipulateurs, selon le principe de la pub le pratique depuis toujours, on est bien loin, cependant, des pratiques  qui ont lieux, sous d’autres cieux, comme aux USA.

 Néanmoins, cette pratique existe encore, et je sais que les dernières générations de médecins, cherchent à prendre leurs distances, sur ce point.

 Un autre problème se pose, de la part, du médecin, qui réside, dans le fait, que certains patients, et c’est vrai, pour n’importe quel autre médicament, « demandent », tel médicament, persuadés, que c’est le seul, qui leur convienne,  là, où le médecin, lui, préférait peut être, en prescrire un autre.

 C’est particulièrement vrai, au sujet pour les antibiotiques, et je suppose, que ça doit l’être plus encore, dans la famille des anti douleur,  ce qui, hélas, je suppose, doit poser, un véritable problème de conscience, chez le médecin

 Devant un patient qui souffre,   il est effectivement difficile, de reprocher au médecin, e chercher à soulage  la douleur.

 Ce pendant, sur ce point, je suis au regret, d’informer, le cops médical, que dans certaines pathologies, qui sont énoncées, envisager la solution, sous un autre angle, devrait, être envisagé, ce qui n’est pas fait….

 Pour commencer, insister, auprès du patient, pour déterminer la cause, du mal, ce qui n’est pas toujours fait.

 Il existe des cas, comme le mal de dos, notamment, pour ne citer que celui là, ou n’importe quelle autre douleur squelettique, qui ont une origine somatique.

 C'est-à-dire, que c’est un problème psychologique, qui est à l’origine d’une douleur physique.

 Depuis des années, je milite, pour que dans la formation de médecine, il soit imposé, des les première années, du cursus, une formation, de naturopathe, de telle sorte, que l’approche médicale, face au patient, soit orientée, de telle sorte,  que le patient, soit impliqué, de façon plus appuyée, dans son processus de guérison.

 En procédant de la sorte, le médecin, à plus forte raison, depuis que le médecin référent, est imposé, peut proposer en amont des médecines douces et alternatives,  avant d’avoir recours, au médicaments.

 En procédant de cette façon, le patient, est plus à même de se voir expliqué, en quoi, lui-même, en premier lieu, serait capable, de se guérir lui-même,  par son alimentation, et serait donc, plus impliqué, dans son processus de guérison, les molécules médicamenteuses, ne venant qu’ensuite, quand les méthodes naturelles, n’auraient pas suffi, ou qu’il jugerait que  le patient, ne peut être traité autrement.

 Sous l’angle politique.

 Nous vivons aujourd’hui, plus que jamais, sous le coup de dépenses de santé, qui deviennent de plus en plus lourdes, avec une pyramide des âges,  qui montrent, un vieillissement de la population, qui entrainent des coûts considérables, et dont une part importante, concerne les prix des médicaments,  là, où quelquefois, ils pourraient être évités.

 Le fait, d’autre part, de devoir observer que la santé, au-delà, du type de gestion des hôpitaux, est considérée, par le gouvernement  comme une branche économique, « comme une autre », pour moi, relève  du mépris de l’individu, qui se trouve d’autre part, confirmé par le fait, que les lois qui encadrent le travail, génère un certain nombre de pathologies, qui fragilisent le citoyen, le rendant plus susceptible alors, de traduire ce mal être,  par des pathologies chroniques, ce qu’on observe déjà, et qui, par le phénomène de somatisation, peut amener le médecin à prescrire des molécules médicamenteuses, dont des anti douleur ne sont qu’une partie, la seconde étant des anti dépresseurs.

 Les alternatives, aux anti douleurs.

 En cours de redaction.

 

 

santé émancipation

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