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Christine and the Devil.

Le 30/06/2015

Dans Europe plus sociale et donc plus humaniste, et donc efficace.


J’avais d’abord titré « Merckel à la botte des armateurs grecs ».


Oui je reconnais que mon titre est quelque peu provocateur, et j’assume.


Depuis plusieurs années, on fait le maximum pour tenter de donner de l’Europe, l’image d’une partie du monde, la nôtre, où l’être humain serait mieux respecté que dans n’importe quelle autre partie du monde.


Ce qui est vrai, puisque les migrants certains diront « helas » plutôt que de mourir, choisissent d’y entrer par tous les moyens.


Il est tout à fait certains, d’ailleurs, que pendant la seconde guerre mondiale, il se trouvait de « bons petits français » pour dire de façon particulièrement consensuelle, que les rafles, pour arrêter et exterminer les juifs, pendant la seconde guerre mondiale, étaient « regrettable ». Et puis continuaient mine de rien à « faire leurs petites affaires ».
Et bien là, ce qui qu’on nous donne à voir de l’Europe, c’est exactement pareil…


Ça me fait penser çà un excellent sketch de Guy Bedos, qui parlait de la faim dans le monde, alors qu’il était au restaurant… « Vraiment, ça m’insupporte comme vous n’avez pas idée, toute cette misère à l’heure des infos, la faim dans le monde, etc, c’est vraiment dégueulasse du coup, du coup j’ai repris trois fois de la tête de veau ».
Et bien là, c’est exactement pareil.


On nous emmerde comme c’est pas permis, avec des chiffres, des pourcentages, des barêmes, pendant ce temps là, Angela Merckel et Christine la garde qui sur une photo était montrée en compagnie de monsieur Xipras et elle regardait ailleurs… Ha ça, c’est sûr, pour être « éloquent » c’était éloquent.


  Ça me rappelle une photo extraordinaire, où l’on voyait le chef Raoni, qui avait été reçu, par je ne sais plus qui, un grand décisionnaire, avec les écolos etc, et on voyait ce pauvre homme, juste absolument digne et admirable, être « royalement ignoré » et mis à l’écart, regardant le plafond le pauvre…. Les écolos, regardant l’objectif ravis de voir le photographe qui avait saisi l’opportunité.


  Devant les photographes, c’est sûr, soyez sans crainte « on vous soutient », mais une fois la pause photo terminée, les photographe eux ont la dent dure, et je les en remercie.


Le terrible dilemme aujourd’hui repose sur la conception que l’on a de l’Europe.

   Est-ce que cette dernière continue à n’avoir pour seul et unique critère, en tout premier lieu, des données purement économiques, ou bien est ce que l’Europe en son sein recèle des valeurs humanistes, ou la notion fondamentale de solidarité a véritablement un sens.


Nous avons réussi, moi, entre autre à obtenir de l’Europe, un compromis relativement satisfaisant sur le problème des migrants ces derniers jours.


Je rappelle qu’aux dernières nouvelles, la notion de quota par pays, a été abandonnée, mais que chacun s’est engagé malgré tout à faire face, et je les en remercie.


Ce matin « l’opinion », le journal, faisait un article relativement au fait que le mot « démagogie », avait une racine grecque.


  Que la langue grecque ait une importance fondamentale dans le langue française ne fait aucun doute, je comprends bien que ce soit une perche qui me soit tendue pour que je travaille sur l’étymologie de façon générale, et l’enseignement des langues « dites mortes »….


  Mais enfin en dehors cette perche tendue je tien juste à rappelle que de rappeler l’étymologie d’un mot n’a à être rappelée précisément preuves à l’appui, que par nos origines linguistiques précisément la preuve est faite que nous devrons précisément avoir un souci tout particulier des pays, en question dont on pourrait parfaitement parler aussi je le précise de l’Italie avec le le latin.


  Et que le mot incriminé doit surtout faire l’objet d’une certaine attention pour savoir qui, l’utilise et pour transmettre quel message.

   On pourrait ainsi, de façon tout aussi partiale, parler de l’étymologie du mot « Humanité » « Compassion», « attention », « soins », ou « bienveillance ». Ou plus précisément « solidarité ».

   Je veux dire par là qu’un mot n’est qu’un mot, et qu’il ne prend un sens véritable qu’utilisé pour faire une phrase.

 

 Vendredi 3 juillet 2015.

 

 Samedi 4 juillet 2015.

 

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