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Vague après vague, le covid et ses variants, imposent, aux politiques, de se mettre au surf !

Le 23/05/2019

Dans Europe plus sociale et donc plus humaniste, et donc efficace.

31 juillet 2021, nous sommes encore, en plein JO.

   Personne ne sait, si ls politiques ont suivi les compétitions de surf, à l'occasion, mais l'image me semble pertinante, si l'on observe d'autre part, le dérèglement du climat, qui donnent à voir, les extrêmes, de plus en plus. Tiphons, ouragan, pluies diluviennes, canicules et incendies de forêt.

   Faire evoluer, les systemùes de santé, pour qu'ils puissent eux aussi, être adaptés, à cette nouvekle donne, me semble indispensable, aussi, est il regrettable, d'observer, à quel point, encore, les hopitaux, sont toujours, gérés, comme n'importe quelle autre entreprise, c'est à dire, "à l'acte".

   Un article était paru, en avril dernier, avec une pétition qui aborde ce sujet, sous l'angle chirurgical.

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/04/06/nous-chirurgiennes-et-chirurgiens-sommes-egalement-confrontes-a-un-tri-quels-patients-deprogrammer_6075757_3232.html?fbclid=IwAR1vEXRDti_ehkZAuFs6PeVi-2PMKI2BxQuIV5MlE6s37EO2CVuJUCDhG7M

   Il est repris, et demeure en page d'accueil du mouvement, "générations", sur FB, dont voici la page:https://www.facebook.com/groups/445668869167236/?multi_permalinks=1287372611663520%2C1284867181914063&notif_id=1617804104439743&notif_t=group_activity&ref=notif

 Mon commentaire:

Cette situation est décrite, début avril, depuis de l'eau à passé sous les ponts comme on dit, voir, par dessus les ponts, à moins qu'il n'aient été emportés, par les crues diluviennes, comme dans l'est de la France.

La situation qui est ainsi décrite, s'est un minimum stabilisée, mais se profile de nouveau, en même temps que la quatrième vague pour la rentrée.....

Je crains pour ma part, encore autre chose, que certains patients préfèrent rester dans le déni du covid, alors qu'ils présentent des symptômes, parce que matériellement, pour les familles les plus déshéritées, ça pose problème de s'isoler, faire garder les enfants, etc, mais aussi, pour le suivi de prévention, en ce qui concerne les dépistage des cancers.

Il y avait déjà ce problème avant le covid, je veux parler de la grande difficulté, pour obtenir un RV avec un spécialiste, quand ça n'est pas en amont, avec son propre généraliste.

On entends alors des réponses, quand on a la chance, de ne pas tomber sur un répondeur, qui vous donne un autre numéro, qui lui aussi, vous renvoie vers un autre numéro, qui lui vous dit, qu'il ne prend plus de nouveaux patients.

Et je suis en Haute Normandie, département avec une densité de population qui n'est pas dans les plus faible, comparativement à d'autres.

Non, là, je vous parle, de l'hypothèse où vous avez la chance d'avoir quelqu'un au bout du fil, et on vous dit ceci: "ça ne sera pas avant 3 mois, 6 mois", pour certaines spécialités.

Ca n'est peut être pas tant, la peur du covid, qui fait décrocher de son propre suivi médical que simplement, le parcours du combattant, pour simplement, avoir un RV....

Les deux combinés, il n'y a aucun doute sur le fait que le cancer va augmenter de façon significative, les mois et années à venir, pour "retard de diagnostic".

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