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Coach à la Bartoli, coach de merde.

Le 13/06/2019

Dans Psychologie, psychiatrie et développement personnel.

Depuis toutes ces années, considérant, les aléas, qu’un coaching toxique, m’est imposé, j’ai du, depuis bien longtemps, travailler sur ce sujet.

   Je l’ai fait, je dois avouer, bien plus encore, par instinct de survie, pour sauver ma peau, comme d’habitude,  que par nécessité.

   Le coaching étant, il faut le savoir, une branche professionnelle, où sévit, les plus de pervers manipulateurs, mais surtout  d’escrocs en tout genre.

   Depuis toutes ces années, donc, à moins que je n’ai pas bien cherché, sur mon disque externe, peut être, l’ensemble de ce travail, a bizarrement disparu de mes ordinateurs successifs.

   Probable que certains, trouvent, ça drôle, ou amusant, de voir, qu’on prenne des coups, de toute sorte, avec pour objectif, quelque soit le prix à en payer, on finisse toujours, par relever le nez.

  Aussi, quand je vis sortir, le livre de Marion Bartoli, sur son père, qui fût son coach, j’étais dans un état de révolte, absolument sidérant….

 Son livre s’appelle RENAITRE.

 Personnellement, avec tous les coups, que j’ai pu prendre, depuis ces neuf années, où on m’a collée sous protection, au prétexte d’une expertise psychiatrique mensongère, j’avais peint, à une époque, un calligramme qui s’appelait renaissance, et j’ai décidé de m’en défaire, tellement, le concept même de renaissance, me met mal à l’aise…

 Car en effet, on parle toujours, de renaissance, une fois qu’on est remonté, sur la crête de la vague,  et qu’extérieurement, tout va bien….

 Parce que surtout, il faut faire bonne figure, n’est ce pas, et soigner, les apparences, surtout, c’est hyper important, on est tous des winner, à la Macron, ça va sans dire….

 Comment vous dire…

 Parce que le concept de renaissance, je n’ai rien contre, hein, que les choses soient bien caires ?  pas plus, que contre le  concept de résilience, qui en est une amie, ou une variante, pour ne pas dire, un synonyme.

 Parce qu’il existe un moyen, absolument génial, en fait, pour que les personnes, aillent bien, et n’aient pas à se transformer en guerrière, là, où précisément,  c’est ma broderie ou l’aquarelle, qu’elle préfèrent manier, plutôt, que lebazouka verbal…

 C’EST JUSTE DE STOPPER DE NOUS DONNER DES COUPS….Mais surtout, d’arrêter de nous faire chier….

 C’est pourtant, simple, non ?

 Mais revenons en, au « coach de merde », qu’on appelle aussi, coach à la Bartoli.

 Une psychologue, dernièrement, affirmait, la chose suivante.

 Ce qui différence, un coaching, d’une psychothérapie, réside dans le fait, que le coach, ne travaille que sur le présent, là, où la psychothérapie, travaille sur l’histoire du patient.

 Sur le principe, je suis plutôt d’accord…

 Je dis plutôt, parce qu’elle oublie  juste  différents points, qui sont d’une importance capitale, et qui sont les suivants.

 Le coaching, ne jouit d’aucune législation, pour protéger le citoyen, de la moindre derive.

 Parmi ces dérives, se trouvent, notamment, le dérives sectaires.

   Ensuite, comme la loi l’autorise, et alors, qu’il existe des écoles de coaching, n’importe quel couillon,  ou truand qui a un minimum de baratin, (moi, par exemple), peut prétendre, être le coach, de n’importe qui, et lui soutirer de façon, parfaitement légale, des séances qu’il se fait payer,  sans que le ou la « cliente », ait le moindre recours, puisque c’est parfaitement légal.

  Ensuite, cette belle formule, oublie simplement que le coaching arrose, un spectre d’activité très large qui, chacun d’eux, on en trouve dans le sport, la remise en forme, l’amaigrissent, l’alimentation, ou que sais je, encore, trouvent toujours de bons pretextes, ou de bonnes strategie, pour justifier, qu'ils se considèrent comme coach.

   Parmi, ceux-ci, un grand nombre sont serieux, je précise,  et sont diplômés, mais quiconque revendique de l’être, peut exercer parfaitement légalement, sans que quiconque, jusqu’à preuve du contraire, ne trouve à y redire.

   Si je donne cette précision, c’est que ce sont eux justement, qui m’ont demandé d’y faire un peu le ménage, parce qu’ils voient en certains, une concurrence déloyale, ce qui est parfaitement justifié de leur part.

 Mais revenons en, à la formulation, de cette psychologue, sur cette comparaison, entre psychothérapie, et coaching.

 Je pense qu’un coach, qui n’a pas un minimum de notion de psychologie, ne peut être un bon coach, parce que pour identifier ce qui entrave la progression d’un enfant,  d’un ado, ou d’un adulte, quelque soit le cercle de ses compétences, il n’a pas d’autre alternative que d’inciter celui ou celle qu’il coache, à se poser les bonnes questions.

  Je ne suis pas en train de prétendre, que  ce soit sa préoccupation première, mais une fois identifié le problème, et qu’il observe que l’entrave peut vraiment s’avérer coriace à négocier, il peut toujours orienter la personne vers un psychologue, qui sera plus compétent, que lui.

  D‘ailleurs, si à un tres haut niveau, ce sont les psys, qui prennent le relai, ça n’est certes pas un hasard.

 Mai revenons au cas Bartoli.

Pour commencer,  en dehors  des premières années, éventuellement, et encore,  que ce soit un parent qui coach l’enfant, personnellement, je déconseille.

 Pourquoi ?

 Parce qu’il y a tout simplement, confusion des rôles, et que c’est vraiment problématique, pour le bon équilibre psychologique d’un enfant, y compris plus tard.

 Dans son cas si particulier, je suis vraiment désolée, mais pour moi, il y a véritablement, souffrances psychologiques de l’enfant, et qui plus est, prescrite par son père…

 La question alors, qu’il faut se poser, serait de parvenir à déterminer, si elle aurait eu d’aussi bons résultats, coachée, par quelqu’un d’autre…

 La réponse, pour moi, c’est « on n’en sait strictement rien ».

 Une chose est certaine cependant, c’est que ce soit au sein d’un couple, ou que ce soit au sein d’un duo, "parent enfants", le lien affectif prédispose, au pires exagérations, et aux pires abus, qu’on puisse donner à voir….

 Rien, ni personne aujourd’hui, ne peut affirmer qu’elle n’aurait pas obtenu de si bon résultats, coachée par quelqu’un d’autre….

 Pour moi, ça n’est rien de moins, qu’un forme d’esclavage moderne qui me révolte au plus haut point.

Pour ceux, qui l’ignoreraient, le pourcentage, des sportifs de haut niveau, qui tombent en dépression après leur carrière sportive, doit être aux alentours de 90%....

 Ceci, démontre bien justement, à quel point le coaching sportif conventionnel, pose problème sur le long terme.

 Je ne suis pas spécialiste en ma matière, mais d’avoir vu qu’elle présentait son père, encore aujourd’hui comme un héro, à qui elle devait tout quasiment, alors qu’après sa carrière, justement, ce dysfonctionnement a eu pour conséquence, qu’elle soit tombée amoureuse d’un homme qui était un pervers manipulateur qui a tenté de la détruire, démontre bien justement, à quel point, cette façon parfaitement tronquée, et déformée, d’avoir été coachée par son père, ait pu la détruire et la déstabiliser, au point de la faire devenir anorexique.

 Alors, certains, diront, « mais enfin, elle s’en est sortie »…

 Oui, effectivement, elle s’en est sotie, elle aurait pu aussi, comme beaucoup d’entre eux, je parle des sportifs de haut niveau, ne pas en revenir….Voilà, pourquoi ça me choque véritablement.

 Que ce coaching là,  soit mis en avant et que personne, quand il est sorti ne soit monté au créneau pour le dénoncer personnellement, m’a vraiment mise mal à l’aise, et posé problème.

Je viens de relire, corriger, et actualiser cet article sur le coaching. Il y a quelques jours, j'ai écrit, au procureur de la république, pour coaching abusif sur ma personne.

 
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