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Faut il vraiment pardonner ?

Le 25/02/2016

Dans Psychologie, psychiatrie et développement personnel.

   Il m'est deja arrivé d'aborder ce sujet, depuis des années, relativement à ce qu'on me fait subir, depuis six ans, c'est vrai, mais aussi, relativement à bien des choses, que j'ai subies, depuis que je suis toute petite.

   Loin de moi, la volonté de faire la CAUSETTE, mais c'est precisement, parce que j'ai cette histoire si particulière,  qu'on se croit recevable, de me faire comprendre que "ha, tiens, oui, tel probleme, t'inquiete pas Françoise, elle a deja vu, alors on lui colle le bébé, et elle va s'en debrouiller".

  Je ne tiens pas ces propos, dans le but de régler des comptes personnels, mais uniquement, dans le but d'informer certains que si je me trouve dans certaines postures quelquefois,  comme celle de choisir de rester muette,  quelques heures, c'est parce que j'ai la pudeur facile, et que terrée chez soi, sans être joignable, par qui que ce soit, est bien le seul mode de resistance, qu'on m'autorise, et que par définition, nul n'est en droit de me priver.

 Quoiqu'ilen soit,  commepour n'importe quel obstacle, ou n'importe quelle epine, dans ma charantaise, il est toujours bon de saisir ce qu'on peut en tirer,  m^me si c'est par ce raisonnement intellctuel, helas, qu'on persiste à m'en faire voir.

  Le pardon, pour moi, est une posture altruite, c'est vrai, mais une posture d'affiche, si je pui m'exprimer ainsi.

 Quand je prétends celà, je pense notamment, à Jean Paul II, qui avait pardonné à son agresseur, celui là même qui avait tenté de l'assassiner.

 Quand je parle de posture d'affiche, je precise ma pensée. loin de moi,  l'idée de prétendre, que jean Paul II était plus soucieux d'annoncer qu'il lui pardonnait, que de le resentir réllement au plus profond  de son âme.....

 Mais ceque je prétends, moi, enfin, ma conviction, ce fût que c'était plus le papae, en temps que prelât, qui pardonnait, alors, que ce mot, est par essence, à connotation religieuse,  bien plus que l'homme.

 Je précise, ma pensée.....

 Imaginons, que Jean Paul II n'ait pas été Pape,  qu'il soit demeuré, un croyant lambda,  et que le hasard fût qu'il lui arrivât la même mésaventure.....

 Croyez vous, qu'il aurait pardonné, à son agresseur ?

Oui, tres probablement.

 Aurait il utilisé ce mot, particulièrement ?

   Oui, je pense, pour la simple raison, que ce mot, avec sa connotation religieuse, a largement débordé de ce concept, et est utilisé,  pour n'importe que reproche,  qu'un individu, ait à reprocher, à un autre.

Qui en aurait alors parlé ? Personne, rigoureusement personne.

 Pour ma part, en dehors, de toute considération personnelle, j'ai connu énormement de personnes, qui ont cru atteindre le Pardon, et dont je remarquais, moi, ensuite, par leur attitude, qu'à mes yeux, c'était bien loin d'être enviable, que je me refuse ainsi à utiliser pour un oui, pour un non, ce mot, PARDON.

 Car en somme, où se trouve le challenge ?

 Trouver un cheminement intellectuel, qui puisse offrir l'opportunité, d'une part, d'obliger l'autre à vous respecter, et d'autre part, parvenir par ce cheminement, à le plus le haïr, à defaut de l'aimer.

 Aimer ses ennemis, oui, j'ai deja entendu ça, c'est vrai.

 Mais pour parvenir à aimer ses ennemis, l'etape que j'ai ennoncé auparavent, est indispensable.

 Ce cheminement, pour moi, reside, surtout, essentielement, en feux phases , la première, SE PROTEGER PHYSIQUEMENT, pour interdire à l'ennemi, de continuer à vous aneantir, et ainsi, à vous tuer.

 Je pense aux torturés, femmes ou enfants battues, violées, etc.....

 Il n'y a qu'une fois isolées physiquement de leur bourreau, qu'elle peuvent avec le temps, sortir la tête de l'eau, et entamer le cheminement, qui est la seconde etape, COMPRENDRE.

 Oui, je sais, certains sont furieux, quand je parle de raisonnement intellectuel,  alors, qu'on se trouve face à un criminel, tortionnaire, violeur, violent, je vous fis grâce des détails.

 Mais la Justice elle, celle du pays où l'onvit, a son devoir, à faire.  Et por celà, il faut porter plainte... Et pour porter plainte, il faut s'en sentir capable, et pour s'en sentir capable, il faut qu'intellectuellement, on soit parvenu,  au minimum, à prendre de la distance, avec desregards exterieurs, et aussi, COMPRENDRE.

 Comprendre est d'autant plus important, que pour information, parmi les raisons qui expliquent pour quelle raison, une femme soit tombée amoureuse d'un homme, reside, quelquefois, dans le fait, que son inconscient, ait perçu, chez lui, l'eventuelle possibilité qu'il la batte un jour, pour reproduire, un schemas, qu'elle ait subi, ou vu, chez ses parents, à elle, le plus souvent, ou dans son entourage.

 Mais pour comprendre celà, il faut qu'elle trouve la possibilité de se mettre à l'abri, pour reprendre espoir.

 Et pour ceux, qui seraient en doute reltivement à celà, je precise, qu'ilest tre frquent, de voir des femmes, rompre, parce qu'elles ont pris des coups, et puis au bout de quelques temps, retomber amoureuse, d'un autre homme, avec qui tout se passe bien, les premières années, et qui va à son tour, lui aussi, reproduire, ce même schemas.

 Pour ce qui concerne, les pousuites judiciaires,  comme pour les viols,  le jugement, et la peine encourrues, en aucune façon, ne sauraient suffire, pour pretendre être guerries, en temps que victimes....

 Passer par le satut devictimes, est souhaitable,  j'y suis passée, moi aussi, un brefpassage,avant de passer à la suite. mais une fois le jugement passé, a  en aucun cas, ça  ne vaut reparation totale, sur la psychologie de la personne.

 J'en tiens pour preuve, le cas d'un jeune homme victime, lui, d'un pédophile. Il avait porté pleinte, avec ses parents, le pedophile avait été jugé, et condamné.

Il avait ensuite rencontré quelqu'un, s'était marié, même,  et avait eu un enfant.  il était devenu pedophile, à son tour, et avait été jugé.... C'est bien la preuve qu'en aucune façon,  quelque soit la dureté de la sentance le jugement, et le statut de victime, ne sauraient suffire.

 J'ai entendu, aux infos, ce matin,  le cas, de patrick Henri.

 Les faits sont expliqués, dans cet article :

http://www.nordeclair.fr/info-locale/la-demande-de-liberation-conditionnelle-de-patrick-henry-jna60b0n1042276

 Qu'ilait purgé sa peine, je comprends? je ne pense pas qu'il soit necessaire, ou souhaitable, qu'il demeure en prison, à present, MAIS.

 Moi, j'avais proposé il y a plusieurs années, que soient subi, un test, emotionnel, afin de verifier, son comportement, face à des images, de petits garçon....

 Oui, je sais, je suis très chiante, EXCUSEZ MOI.......

  Je ne vois pas trop, en quoi, le fait, qu'il ait cet age puisse revêtir, la moindre f garantie, quand au risque de recidive....

 Si vraiment, il ne présente plus aucun risque pour qui que ce soit, je ne vois pas vraiment qui, serait en mesure de s'y opposer. Et certainement pas lui, en tout cas. Ou bien alors, c'est qu'il n'est pas si sûr, ddu fait, qu'il soit effectivement devenu innofenssif.

 Et pour en revenir au pardon, de façon plus générale, je préfère moi, chercher à ne plus nuire en represaille... Un peu comme si on remettait les compteurs à zero. C'est peut être moins altruite, c'est vrai, mais ça me semble plus réaliste.

 Ensuite, libre à chacun, de reconquerrir ou pas.... Comme avec n'importe qui d'autre.

 

 

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