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Architecture extérieure, une alternative intéressante aux sordides murs de béton.

Le 26/04/2018

Dans RURALITE, aménagement du territoire.

  Une fois delaissé le nomadisme,  l'homme a cherché à juste titre, entre autre,à cultiver le sol,  pour satisfaire son besoin de nourriture.

  Je ne risque pas de vous faire un cours sur le sujet, pour la simple raison, que je n'en ai pas les compétences...

  Mais devoir s'adapter, surtout, alors à la terre qu'il avait choisie, ou qui lui etait imposée, recherchant généralement, les cours d'eau pour y installer les moulins, afin, de puiser l'energie, pour faire fonctionner les machines,  ce qui a eu pour conséquence que les industries, ensuite, s'y soient installées, était un fait avéré, qui ont eu pour conséquence que de pls en plus que ces zones, présentent   désormais un risque lié à l'inondation, auquel nous devons nous adapter.

 Au delà, de cette nécessité, quand une construction, quelle qu'elle soit, se faisait sur un terrain en pente, y compris les plus modestes, comme une maison d'habitation, il n'était pas rare de voir, qu'on construisait alors, des murs en béton, qui toujours ne donnait qu'une balaffre dans le paysage, comme c'est le cas, aussi, dans un jardin.

  Quoi, de plus laid, ou de plus impersonnel, qu'un mur en béton ?

  Pour ceux qui l'ont deja, qu'ils se rassurent, personne ne vous oblige à le subir, visuellement, et les idées, pour l'habiller, ne manquent pas....

  Si tel etait mon cas, au sein de mon jardin (on ne choisit pas necessaiement, quand on achète une maison déja existante, par exemple), je ne poserai aucun enduit, même si on voit les parpings...

  Je recupèrerai des yaourts périmés,  je les melangerai energiquement, avec  un peu de farine, et d'huile, pour obtenir un liquide un peu épais, et je peindrai, ou je pulveriserai l'ensemble, sur mon mur, de telle sorte que les bacteries, et la mousse viennent le coloniser, de telle sorte qu'il donne un aspect plus intégré visiuellement au jardin.

  C'est ainsi qu'on pratique, quand on installe une statue dans un jardin, et qu'on veut qu'elle donne le sentiment, d'y a voir toujours été.

  En procédant de cette façon, des lychens et bacteries s'y installent, et donnent une allure, que je trouve plus intéressante, que si le béton reste gris.

  Ca ne signifie pas pour autant que vous deviez vous en contenter, d'autant que cet aspect, peut aussi ne pas plaire...

  Je veux dire, simplement, que l'aspect neuf d'un mur de béton,  peut être corrigé de cette façon. Peindre le mur, avec du lait entier, par exemple, peut suffire, quelquefois.

 Si vous vulez sa voir, combien de temps, ça mettra, je serai bien tentée de vous faire le coup, du cnon de fernand raynaud, "un certain temps"... Mais à vrai dire, je dirai que ça dependant beaucoup du degré d'humidité de l'air, donc, plus rapidement, en Nrmandie , bretagne, ou le Nord de la france, que sous le cagnard, dans le midi... mais aussi, seon le degré de pollution, de l'ai que vous respirez, puisque les lichens, sont les meilleurs "délateurs" des polluants atmospheriques... Donc, si l'air que vous respirez dans votre ville, est très pollué, il n'est pas impossible, que cette vie microscopique, mais neammoins présente, sur la surface de votre mur, mette un peu plus de temps que prevu... "c'est plutôt ça que j'dis".

 Si l'environnement de votre jardin, d'autre part, est le plus naturel possible, avec une biodoversité microscopique la plus large possible, vous serez aussi, bien sûr, recompensés d'autant plus rapidement, puisque les insectes viendront s'y poser, et s'y nourrir, d'autant plus vite et souvent..

  Ensuite, il faut savoir que le gris, de façon générale, ne doit pas être observé comme une couleur si triste que ça..

  Oui, bon, d'accord, c'est pas génial, c'est vrai.  

  Mais pour tout dire, quand il s'agit de délimiter un jardin, je préfèrerai encore un mur gris, quelquefois, sur lequel, je vais pouvoir faire grimper des plantes, voir, favoriser à proximité, un micro climat, pour certaines plantes qui l'exigeraient, ou y adosser une serre, ou un chassis, et dont aucun racine ne viendrait faire une concurrence deloyale, vis à vis d'un potager, ou de platebandes, plutôt que de devoir subir, une haie de tuyas,  qui deviendrait contraignante à entretenir,  semer la mort, sur deux mètres de largeur, au bas mot, de chaque côté, et ainsi grignoter de la surface, et empêcher de cultiver par ses racines, venant concurrencer, ce que vous aimeriez voir pousser.

  Pour résoudre le problème de la couleur,  vous disposez de différents moyens, dont celui de faire grimper des plantes.

  Pour se faire, vous devez veiller, à ce que ce moyen, présente l'aventage,  de ne pas nuire physiquement au mur, dans l'hypothèse où il est mitoyen.... Y tendre des fils, pour pouvoir y faire grimper des plantes, de couleur claire et tres vives, pour répondre au gris, me semble souhaitable, veiller à n'y planter que ce qui correspond à l'exposition, et tâchez d'echelonner les floraisons. Les feuillages panachés presentent l'aventage, d'ê^tre lumineux sur la totalité de la saison, là, où les floraisons, si spectaculaires soient elles, ne le sont que le temps des floraisons.

  Pensez aux annuelles, pour boucher les trous des floraisons, et ne lésinez pas sur le blanc, qui ne souffre jamais d'un faire trop.

  Pour ce qui concerne les murs de soutennenement, qu'on ne peut pas toujours éviter, puisque d'avoir certaines parties pentues,  est quelquefois inevittable,  depuis quelques années on voit "fleurir", généralement, pour des chantiers d'aménagement au niveau des projets plus importants, dans les municpalités, des murs qui sont constitués de cages d'acier, qui enferment des cailloux...

  Sur le plan esthétique, c'est une méthode que je trouve extrêmement interessante, à differents points de vue.

  Pour commencer, visuellement, ça présente un côté infiniment plus naturel, qu'un mur en béton, auquel on faisait appel, auparavent.

  Je craignais que ça ne soit limité, quand à son efficacité, quand il est necessaire, d'agir sur un hauteur, plus importante. Il semble, que dans cette hypothèse, ce soit la largeur du mur, qui soit modifiée, pour avoir la certitude que par le poids, ce soit physiquement cohérent.

  Pour ceux, qui habitent mon coin, (Pavilly), il y a une réalisation édifiante ( c'est le cas de le dire), à proximité du nouveau collège de Pavilly, et on peut voir, que sur la hauteur, ça donne quelque chose, de tout à fait satisfaisant.

  Sur le plan écologique, j'y vois moi, un autre aventage.

  Contrairement à un mur d'agloos, le ruisellement des eaux de pluie, venant des terres qui sont sur la pente suppérieure, ne pose aucun problème à l'interieur de la structure, parmi les pierres....

  Une fois  sec, ensuite, j'y vois, la possibilité d'une accumulation, de chaleur, plus naturelle, là encore, qui doit permettre éventuellement, une petite faune sauvage, avec le temps, qui doit pouvoir s'y installer, ou trouver des niches.

   En somme "tout à gagner".

  Sur le long terme, contrairement à un bardage en bois, périssable, avec le temps,  y compris dans l'hypothèse d'installations de gros diamètres, le pourrissement est inévittable, comme il ne finit par l'être tout autant, dans le cas d'un mur de béton,  souvent, pour peu que la terre soit accollée au mur, subissant une pression d'autant plus forte, que des trous d'aménagement, n'aient pas été percés, pour prévoir l'écoulement des eaux.

  Je ne sais pas encore, si cette technique est envisagée, à l'utilisation pour le privé dans son jardin,  pour résoudre certaines pentes, qui posent problème, mais si ça n'est pas le cas, je le recommande, pour les raisons évoquées plus haut.

  De façon générale, je recommande l'utilisation,de la pierre naturelle, bien plus que tout autre matériaux, au jardin, parce que c'est celle qui vit le mieux, l'outrage des ans qui passent.

  Je sais qu'on vous propose aussi du bois, mais quand il ne s'agit pas  de bois issus de forêt gérée, écologiquement, vous participez à la déforestation de forêts primaires, qui sont le poumon de notre Humanité, écologiquement, pour moi, c'est irrecevable.

http://www.greenpeace.org/switzerland/Global/switzerland/fr/publications/forets/2009_Forets__Brochure_GuideBois.pdf

 Félicitations à GREENPEACE pour leur travail, sur le bois, où on vous explique, tout... (je vais y revenir).

 Pour ce qui concerne le materiaux, composites qu'on vous propose, desormais, c'est à dire, particules de bois, melangées à des particules plastic, moi, je n'y crois pas. 0 l'acaht, oui, ça semble bien, enfin, esthetiquement. A l'usure du temps, je n'y crois pas.... Et pour le recyclge, MYSTERE....

 Le 19 Juin 2018.

 Aux dernières nouvelles, on appelle ça "un gabion".

 

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