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Feux de saint Jean, fêtes du villages, et kermesses.

Le 27/06/2015

Dans RURALITE, aménagement du territoire.

A la croisée de certaines religion dont l'islam et la chrétienté,  existent certaines similitudes relatives aux calendriers notamment.

   Je me garderai bien d'aller chercher plus que celà dans le détail, je pense juste que par leur bon sens, dans l'histoire de l'Humanité, il est deja souvent arrivé que des religions qui étaient soeurs, et qui le sont plus que jamais encore aujourd'hui, je dirai même "soeurs comme cochonnes", progressent, dans le temps, un peu comme des amantes parallèles, ou en natation synchronisées, éc volunt, dans toutes mers confondues .

  Je ne resiste pas, vous m'excuserez, au plaisir de partager avec vous une chanson que nous avons inspirée Thomas fersen et moi, sur le sujet. 

   J'ai de gros doutes sur le fait que Vincent Delerm, ait envisagé sa chanson sous un angle religieux, en l'ecrivant. Mais les chansons appartiennent une fois chantées, à ceux qui la perçoivent, et en font leurs "choux gras émotionnels alors, "pourquoi pas".

 De tous temps, les religions ont aussi, fait partie intégrante des fêtes qui rytmaient la vie à la campagne.

 Ces rites, fêtaient les moissons, les vendanges, ou quelque produit que ce soient selon le terroir, à une époque, où la survie dépendait de la capacité de l'homme à se contenter de nourir son prochain apres lui mmême et sa petite famille, bien plus que d'enrichir les banques par le biais de l'endettement, et l'agriculture intensive.

Quoi, qu'il en soit, j'ai en memoire un reportage que j'avais vu à "faut pas rêver", qui montrait dans un groupe de cueilleurs, une tribu autochtone, le patriarche qui faisait de la balançoire, dans des vêtements muticolores en amerique du sud,  sur une roue géante, cette roue était montée chaque année pour faire une fête, en l'honneur de la Nature.

  Ils la remerciaient ainsi. J'avais trouvé ça bouleversant d'intelligence, et tellement plus sensé, à mon avis, que bien des religions qui ont été imposées à l'homme de par le monde, et le sont encore.

  Ces fêtes généralemenet sont organisées à l'occasion du solstice d'été. C'est le cas chez nous, ici, en Normandie, du feu de la Saisnt Jean.

 Je pose un lien qui s'y rapporte.

 Je copie colle le texte pour ne pas voir la pub.

On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean
marquaient autrefois le début de l’été. Mais d'où vient réellement cette tradition?

Le 21 ou le 24 juin ?

On dit souvent aujourd’hui que les traditionnels feux de la Saint-Jean marquaient autrefois le début de l’été. En fait, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les lieux, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été.
S’ils ont toujours été peu fréquents dans le Maine, la Bourgogne, la Franche-Comté, la Champagne et les Ardennes, ces feux de joie étaient réalisés chaque été dans la plupart des communes du reste de la France. Ils se sont maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, parfois jusqu’à la Seconde, qui leur a donné un coup d’arrêt définitif.

Un grand feu à voir de loin !

Dans certaines régions, chaque ferme faisait son petit feu. Mais la règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible. Dans les plus humbles villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des fagots de brindilles, des branches mortes, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans la gaieté générale.
Parfois, on entassait tous ces matériaux autour d’un grand arbre coupé et fiché là depuis quelques semaines. Le sommet en était alors souvent décoré de fleurs en bouquet, en couronne ou en croix.

Qui allumait le feu ?

L’Eglise a toujours eu une regard mitigé sur ces feux qui datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en sert pour organiser des processions et christianiser cette fête populaire à travers le culte de Jean le Baptiste, tantôt elle tente d’interdire les feux de la Saint-Jean comme “entachés de superstitions”. Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille (les familles se battaient parfois pour que leur fille ait cet honneur), ou bien encore les derniers mariés de la commune…

Que faisait-on autour du feu ?

Des danses bien sûr, car cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions. Dans l’Oise, les mamans tournaient trois fois autour avec leur nouveau-né dans les bras pour lui porter chance. En Bresse, quatorze fois “pour être assuré de ne jamais avoir mal aux reins”. Dans la Creuse, on en faisait le tour neuf fois si on voulait trouver femme ou mari. “Aussitôt que les flammes pétillaient, tous les assistants, jeunes et vieux, se prenaient par la main et se mettaient à danser des rondes autour de la jônée. Les jeunes filles surtout se livraient à cet exercice avec beaucoup d’entrain, car elles savaient qu’en dansant ainsi neuf fois autour des feux de la Saint-Jean, elles se marieraient infailliblement dans l’année.

Les rites magiques autour des feux de Saint-Jean

Des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et de les placer dans les champs de raves : plus grosses étaient les pierres, plus grosses seraient les raves ! En Touraine, en Limousin ou dans le Haut-Poitou, on y jetait des pierres marquées d’une croix pour que “la bonne Vierge vienne s’asseoir sur la plus jolie des ces pierres, de sorte que le lendemain on y voit de ses beaux cheveux d’or”. A Metz, on faisait brûler des bouquets d’armoise pour éviter les maux de reins des moissons. Pour obtenir le même résultat, on pouvait dans certaines régions se faire balancer au-dessus du feu. Dans les Charentes, balancer son petit enfant au-dessus du feu neuf fois, c’était lui assurer une croissance rapide. En Gironde, celui qui voulait avoir de l’argent toute l’année devait tourner autour du feu de la Saint-Jean en y jetant une pièce, qu’il lui fallait retrouver dans les cendres une fois le feu éteint et conserver précieusement. En Bretagne, pays où les morts sont toujours plus présents qu’ailleurs, des sièges étaient posés autour du feu pour que les ombres des défunts viennent s’y placer, écouter les chants et contempler les danses.

Le saut par-dessus le brasier

Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des
rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise !
On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année.

Et après ?

Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire ou placé près du lit des parents, conservé jusqu’à la Saint-Jean prochaine, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait
aussi en placer un morceau dans son champ pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi (disait-on) des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie, cendres auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.
Quant à l’origine de ces feux de Saint-Jean elle-même, elle reste aussi inconnue que les propriétés magiques de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère demeure.

Texte : Marie-Odile Mergnac
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 Pour cequi concerne l'explication j'ai quelques pistes. ce ne sont que des hypothèses bien sûr mais parfaitement valables je le pense.

   Le feu symbolise à la fois la survie, un minimum de confort, relativement à la température l'hiver, depuis qu'il est maitrisé par l'homme. Ainsi le "mettreenscene" signifie de façon inconsciente "on t'aime, on te respecte" tout en offrant la possibilité, dans la petite communuté d'un village, e demontrer à cile ouvert, qu'on peut le faire aussi grand qu'on le souhaite puisque c'est bien loin des habitations.

  Il est partement logique aussi de lui rendre hommage ainsi, si l'on considère aussi la parfaite conscience de chacun à admettre, que s'ila toutes ces qualités chacun dans un village du pays de Caux comme ici, par l'ecartement qui exitait entre chaque bâtiment agriciole, on limitait ainsi, le risque de contamination d'un incendie, qui serait survenu.

   Ainsi, d'une certaine façon, on le regarde un peu comme un monstre bienfaisant, tres beau à regarder, à tout point de vue, et une fois dans l'année, on le laisse s'exprimer "comme bon lui semble" sans le moindre danger puisque c'est en plein air et loin des maisons.

 Sur un plan purement materiel je pense que les paysans en prfitaient probablement aussi pour brûler des pices de bois, inexploitables, et donc encombrantes, comme des souches d'arbre.

   Sur le plan symbolique, j'y vois moi aussi, de façon inconsciente, l'occasion par ce rite d'imaginer que voyant le feu ainsi brûler, de façon aussi magistrale, on n'y voie des haines, des rancoeurs,  ou de simples soucis, chacun étant parfaitement libre d'y incorporer, ce que bon lui semble. J'aime beaucoup observer les gens autour d'un feu de bois, en général, et autour d'un feu de saint Jean, en particulier, parce que chacun est comme recueilli, comme si cette forme de "parenthèse bienveillante" ou le feu lave par sa symbolique, je pense bien plus que ce que l'on pense.

   On observe quasiment systématiquement autour d'un feu de saint Jean, du recueillement en tout cas, du silence, ou seul les crépitements du bois qui craque se laisse écouter, envoyant jaser en faible altitude des myriades d'étincelles qui sont autant de poussières de soucis, ainsi volatilisées, et qui n'en restent pas moins les mamans, des feux d'artifice qu'on nous impose aujourd'hui, comme étant autant de gouffres financiers pour les villes, qui ne savent pas s'en passer.

   J'en profite pour "enfoncer le clou" sur le sujet.

   J'ai toujours été contre les feux d'artifice, parce que ce sont les mêmes entreprises qui fabriquent les mines antipersonnelles, qui rendent infimes et emputés un nombre incalculable d'enfants.

 J'en profite pour vous donner les coordonnées de "Handicap International".

https://don.handicap-international.fr/?gclid=CLnUv-WrsMYCFc7HtAodbXoDNA

http://www.handicap-international.fr/mines-et-violence-armee?gclid=CMyOsJOssMYCFSvItAodXHAIWQ

 

 

 en cours de redaction.

 

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