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Lettre à "ma France Agricole".

Le 22/04/2017

Dans RURALITE, aménagement du territoire.

 

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http://sainte-austreberthe76.fr/

   Oui, je sais, "france Agricole", c'est le nom d'un journal, il me semble, et que j'ai jamais pris la peine d'ouvrir.

   Ho, ne m'en veuillez pas,  c'est plus un probleme de temps qu'autre chose, qui en serait la cause.

   S'il est un secteur, où, sous le gouvernement, j'ai tenté de peser, plus que sur n'importe quel autre ministère, c'est bien celui de l'agriculture.

   Alors, certains doivent, se dire, je suppose, "et bien chapeau, on voit ce que ça ait donné".

  "Ne me remerciez pas, vraiment, non, fallait pas".

   Désolée, mais si jamais j'arrive à en rire, franchement, j'aurai du mal, si je regarde mon histoire aussi familiale qu'agricole, à ne pas flurter avec l'autosatisfaction.

   Mais surtout, à prendre conscience, alors, que MON HISTOIRE FAMILIALE sur le sujet, n'est plus si douloureuse que celà.

  Je ne m'étendrai pas sur le sujet d'aventage, ceux de mon terroir, de mon canton, et enfin, de mon village, ainsi que ceux de ma famille, se reconnaitront, et auront alors à coeur, au minimum, de me comprendre, et je l'espère, de me lire, à defaut d'eventuellement "nous suivre".

  Pour ceux qui  seraient tentés de me reprocher, dene pas en a voir fait suffisemment, sur le sujet, je repondrai, que comme pour la pedophilie (oui, je suis désolée, j'ai cumulé les deux, hein, tant qu'à faire......

  Comme pour la pédophilie, avec le temps qui passe, et le travail, therapeutique, que j'ai pu faire, avec mon psy, pendant des années, en ecrivant à Thomas, aussi, beaucoup, "surtout", je dois avouer, l'histoire familiale agricole, ne me fait plus mal, et c'est précisement le fait que je n'en fase plus une obsession, qui est bien la preuve réelle, du fait que j'en sois guerrie.

  Guerrie, ne signifie pas pour autant, que je m'en desinterresse.

  Le problème est en fait, le suivant.

  J'ai depuis des années, un projet, dont je n'ai pas à discuter en ce lieu, et ce projet pour des raisons, liées à la tutelle, que je subis, ne peut encore, avancer.

 c'est un fait, non negligeable, mais ça n'est pas l'essentiel.

   Là, où les politiques, vont au salon, pour taper sur le cul, des vache, ou la faire à la marion, en posant, avec une jolie "petit mogneau", comme disait jamel, pour la photo....

 moi, je suis une besogneuse? désolée, mais c'est comme ça qu'on m'a élevée, et je ne vois pas trop, en quoi, on pourrait le le reprocher.

   Là, où certains ne parlent agriculture, que par opportunisme politique, je parle du front national, et de fillon, les autres, eux, ont il me semble, enfin, non c'est une certitude, une consicence infiniment, plus juste, et surtout, honnête, de la problemmatique, qu'ils prennet de plein fouet.

  Certains rechignent à la politique, alors, que TOUT EST POLITIQUE....

  De la même façon, je dirai que TOUT EST AGRICOLE, quasiment.

  Je veux dire, par là, qu'il ne se trouve pas un secteur de la politique, qui ne croise de façon proche ou plus éloignée l'agriculture.

 amenagement du territoire, santé, desertification, infrastructures, transports, administration.

  Et pendant ce temps là, l'agriculteur, lui est sur sa ferme, et subit de plein fouet,  depuis 80 ans, un modèle agricole, qu'on lui a imposé, c'est à dire, le fait, de faire subir à l'agriculture, un modèle industriel, qui est aussi toxique, pour l'être humain, qu'il est toxique, pour notre terre, et je parle là, autant que la matière, quand on se baisse, sur celle de notre jardin, pour ceux, qui ont cette chance, que de la Terre, celle qui nous porte, et nous nourrit.

  Que je sois l'ennemie jurée de ce type d'agriculture, n'est un secret pour personne.

  Pour autant, je suis assez lucide pour admettre que la transition, d'un modèle industriel, à un modèle plus adapté, est un challenge, particulièrement deliquat à négocier, et si je mets l'accent particulièrement, sur ce point, c'est ptrecisement, pour denoncer, l'incompetance, que certains candidats ont demontré, quand ils parlent agriculture.

  Parce que le simple fait, que ce problème que je qualifierai, de hautement philosophique, n'ait jamais été évoqué, et bien au delà, du bouc émissaire, EUROPE, sur le sujet, en soit, est un vrai symptôme d'incompétance, et pour tout dire, de terrible hypocrisie.

  Hier, j'entendais, un couple d'agriculteur, sur france inter un père et sa fille, qui a repris l'exploitation de vaches laitières.

  Moi, je suis à l'origine, du lait equittable.

  J'ai eu cette idée,  au debut du mandat de françois Hollande, et je l'ai soumis.

  J'avais estimé que le commerce equittable garantissait aux artisans, dans des pays à l'autre bout du monde, un salaire minimum, et je ne comprenais pas pourquoi, on ne l'appliquerait pas à nos agriculteurs, ici, en France.

  L'idée fut retenue.

  Je ne sais, qui en plus de Thomas fersen,  il faut remercier, c'est lui, qui s'est chargé des contacts, comme on a coutume de faire, lui, et moi.

 mais les faits sont là, et plusieurs magasins le proposent désormais, y compris certains supermarchés.

  Je ne parle que de lait, là, c'est vrai.

  Enfant, je trayais le vaches, avec ma mère, en exterieur, et à la main, mais surtout, "je surveillais, les vaches", pour ne pas qu'elle s'ecartent, et j'allais les chercher", comme on disait.

  Non non, j'arrête là le côté nostalgique,  je laisse ça aux politiques, non pas Benoit Hamon, qui est le seul, digne de poursuivre, ce qu'a eu le courage de commencer Stephane le Foll, même si c'est imparfait, mais le fait, de manquer de  courage, au point de refuser, d'exposer, les problemes de l'Agriculture, tels qu'ils devraient l'être, en fait, me met, dans une colère noire...

  C'est là, et pas ailleurs, que réside le problème.

  Certes,  ce que propose, benoit hamon, au sujet du RUE, le revenu minimum, ne satisfait pas certains, qui ont le desir, que je peux comprendre,  de vivre d'aventage de leur travail, que de  l'aide de l'etat.

  Je comprends parfaitement cette posture.

  Mais entre ne survivre, que par subventions européennes,  donc, perfusé, avec cette bouée de sauvetage, que serait le RUE, et décider de suivre le front national, qui elle, propose de sortir de l'europe, donc, en se privant des exportations, et sans le RUE, je pense que les comptes sont vite faits.

  Mais pour celà, encore faut il a voir l'humilité, de reconnaitre, qu'il faille se remettre en cause, dans sa façon d'envisager, son metier d'agriculteur...

  Oui, je m'en prends à marine le pen, encore une fois, et je reconnais, que c'est chez moi, un combat, un de ceux qui me sont le plus cher, je dois avouer, parce que j'aime trop mon milieu, le milieu agricole,  celui d'où, je viens et qui m'a vu naitre, pour voir que certains soient assez cons, pour accepter de le voir bercé d'illusions, par une pseudo rurale, qui truande le milieu agricole, tout autant, qu'elle intoxique, l'ensemble de la classe politique française, et les français.

  Quoi qu'il en soit, il me faut être honnête.

  Quand j'ai merde à dire, je n'envoie personne le dire à ma place, le milieu agricole compte le même pourcentage d'imbéciles que de niais, et je ne vois aucune raison, pour qu'il en soit autrement.

  Oui, je sais, je suis dure, mais tellement objective, quelquefois, que je men étonne.

  Benoit Hamon, a dit une chose très importante sur le sujet, voyez plutôt.

  "On n'oblige pas à boire un âne, qui n'a pas soif".

  Je reconnais que jusqu'à ce matin, je ne m'etais pas encore demandé, s'il s'agissait de l'âne normand, "petit gabarit", avec la s  croix de saint André, sur le col, ou bien de l'âne du Berry, ou bien le baudet du Poitou.

  J'aurai pu me satisfaire, d'une monture plus prestigieuse peut être, et faire référence au cheval de trait, ou aux purs sang, qu'on élève en basse Normandie, sur la route de la Bretagne.

  Mais mon côté besogneuse, trouve plus son compte, sur la metaphore de l'âne, peut être aussi, parce qu'elle me ramène, sur le plan litteraire, à la mule du pape, d'Alphonse Daudet.....

  N'est pas digne de parler, et disserter sur l'Agriculture, qui veut. Et plus que dans n'importe quel autre secteur, de l'agriculture française, se rep approprier, la notion du temps,  dans l'hypothèse d'une reconversion, sur son exploitation, agricole, alors, il est indispensable, d'avoir cette sagesse là...

il y a une quinzaine d'années, j'avais dans la toupie, comme on dit, de broder des tabliers de cuisine.

  J'avais un bon metrage de toile blanche, et j'avais conffesctionné, mes tabliers, bien couvrant, version,  "grand chef, aux fourneaux", y'a avait pas la toque, pour aller avec, mais  une grande poche, sur le devant, bavette, etc, enfin, un tablier, qui en imposait par son côté fonctionnel, plus prompt, à cuisiner un pot au feu (mon plat de prédilection, avec la salade de boyaux de cochon), qu'à une cuisine de grand chef, et le contenu, d'un dé à coudre, pour decorer une jolie assiette....

 BREF....

 Tous ceux que j'aime, autour de moi, avaient eu droit à la question.

 "Alors, le proverbe, dis moi ?... quel proverbe, je brode, sur ton tablier".

  Ma mère, ne me donnant aucune proposition, je artais à la recherche, du proverbe, et je trouvais ceci:

 "Ce ne sont pas les vaches qui beuglent le plus, qui donnent le plus de lait".

 Parfaite métaphore, pour "décorer", marine le pen, et je dois dire, que nous étions, ma mère et moi, super contente de la trouvaille.

 Les tabliers fûrent brodés, et offerts. Et celui ci, tout autant.

 L'idée de Benoit Hamon, d'appliquer au monde agricole, cette idée de RUE, là, est, je pense sincerement, une excellente idée, justement, pour cette raison, elle va permettre à tout à chacun, d'avoir un vrai ballon d'oxygène, pour prendre le temps, d'opérer une reconversion, dans son mode d'exploitation, et pour moi, c'est tres précieux.

  Ensuite, pour ceux qui ne choisissent uniquement, que de se plaindre, et uniquement, de ceci, je ne force personne, et surtout, je n'oblige personne à nous suivre.

 Pour ceux, qui sont tentés de voir en l'Europe, le bouc emissaire parfait, je rappelle juste que ma vision des choses, en ce qui concerne l'europe, consiste au contraire, à m'appuyer dessus, pour obtenir des autres pays d'Europe, justement, de s'aligner, sur certaines normes, sociales, et sanitaires, notamment, pour ne plus subir, ou subir de façon moindre la concurrence deloyale, que subissent les producteurs français et je pense que sur ce point, notre posture, est infiniment plus sérieuse, et raisonnable que les théories de marine le pen. 

Un compte rendu d'un concert de Thomas évite de se trouver dans l'embarras !

 Je veux parler du vote de demain, pour les présidentielles, bien sûr.

https://thomasfersen.forumactif.com/t2932-concert-au-theatre-theo-argence-de-saint-priest-69800#84724

Le bonheur est à Saint-Priest.


 (clin d'oeil à l'hommage rendu à prevert, auquel Thomas a participé).


Le bonheur est-il dans le pré ?
En tout cas il était hier soir à Saint-Priest, dans l'Est lyonnais.
En effet, pour notre plus grande chance,
Thomas Fersen se produisait au théâtre Théo Argence.

Ce mardi 4 avril 2017,

 (jour de "monniverser").


Notre chanteur préféré est venu dans cette très belle salle
Accompagné d'un excellent quintet.
La réunion de ces six artistes donna lieu à un véritable festival.

Deux heures durant à l'unisson
Le public s'est régalé 
En écoutant tant de bonnes chansons
Et de textes récités.

Creusant son fameux sillon
Avec gourmandise et dextérité,
Thomas exploite ce bon filon
Jusqu'à satisfaire notre satiété.

(Piqué de jardin ? le Fersen ? il semble bien).

Chansons de son nouvel opus,
Standards de son répertoire,
Le public en redemandait toujours plus
Il voulait rester dans le noir...

 (comme la chauve souris, alors ?)

Sur scène, Thomas Fersen a le champ libre.

 (Encore ? mais que n'eût pas satisfait son désir de devenir agriculteur ?)


Au ukulélé ou au piano
Il donne le tempo.
C'était une belle soirée à vivre.

À sa droite, Pierre Sangra et les quatre autres interprètes
Ont su jouer sur leurs cordes sensibles
Pour participer pleinement à la fête.
Avec eux, tout devient vraiment possible !
Banjo, guitare, mandoline, violons et violoncelles :
Tous les sons de ces instruments nous ont conduits au septième ciel.

 (Non mais dis donc, iguanodon, l'Evêque de Rouen, a dit, je cite "Le Paradis, c'est avant la mort, et sur le plancher des vaches,

enfin, dans la vie réelle, je veux dire, et pas après.

PRENDS EN NOTE, IGUANODON, non mais dis donc !

 Et que je ne t'y reprenne pas !)

La salle était pleine comme un oeuf

 (Et bien voilà l'aviculture qui s'invite à présent, tu sais ce qu'elle te dit, la poule de Pavilly ?)


Six cents personnes étaient prêtes à faire un “boeuf”

 (Et bien oui, bien sûr, VIANDE BOVINE FRANCAISE, suis je bête !)


Sur La chauve-souris ou Diane de Poitiers

 (Ha, et bien quand même !)


Pas question de faire les choses à moitié... 

À tour de rôle, les histoires de Fersen nous ont transportés
Dans son univers si singulier
Rempli d'animaux et de personnages bizarres.

(Bizarre, bizarre, comme c'est bizarre, je vous assure, cher iguanodon, que vous avez dit "bizarre"....) ? 

 Bon, je ramasse les copies dans deux heures,

et ça  a plutôt intérêt, d'être, du bon, parce que ça pourrait bien chier deux minutes !)


Était-ce du lard ou du cochon ?

 (avec les salutations distinguées de la confreries des fabriquants de saucisses, et autres cochonnailles...)


Je dirais plutôt que c'était du grand art.

 (Oui, alors, sur ce point, j'ai en mémoire, une certaines photo, où Thomas Fersen, avec la complicité de Modiano,

avait posé avec un chapelet de saucisses, justement,

Oui, oui, moi, et ma ligue de vertu, je dénonce monsieur, je ventile !)


Délicieux comme une terrine de chez Fauchon.

Après avoir semé tant de graines de bonheur.

 (Bon, là, je demandes des droits de hauteur, relativement, au dernier couplet d'une chanson, dont je suis l'auteur,

et qui s'appelle "Latréaumont".

OUI C'EST une VALLS.....

Et alors, est ce que par hasard, la veille du premier tour des présidentielles,

il se trouveraient un socialiste, pour trouver à redire ????


Fersen eût droit à sa juste récompense.
Des gradins de Théo Argence
Est descendue une folle clameur.

 FOLLE TU DIS ? Vraiment ?

L'heure fût donc à la récolte
Des applaudissements mérités à la pelle.

 (Comment, ça, à"la pelle"... Celle de Dupontel ? Tu veux dire ?

 Ho, putain, alors, là, attention, c'est du lourd....)

Après un énième rappel, c'est pourtant sans révolte
Que les spectateurs ont vu l'artiste se faire la belle…

(Sans vouloir jouer les jalouses mal embouchées,

Je me pose quelques questions, quand à cette dernière expression,

IGUANODON..... J'attends quelques explications).

Une hirondelle fait-elle le printemps ?

 (Et bien écoute, j'en sais rien, mais en plus du film, hier, l'une d'elles est rentrée ici, dans ma maison.

 Elle s'est cognée au carreau, alors je l'ai attrapée, et je lui ai expliqué, qu'ici il n'y avait encore, à ma connaissance,

encore aucune pancarte d'agent immobilier,

et que pour y faire son nid,  elle serait bien inspirée, d'aller remplir un imprimé n°:1961, st AUS, alinéa 3, paragraphe 76.

 Je trouve d'autant plus interpellant, que cette hirondelle, soit venue tirer le chevillette, à tire d'aile, que la porte était ouverte,

et que le maire de mon village, monsoeur Gressent (oui, je denonce, ce matin)ici,

participe au comptage des hirondelles, qui sont en voie de disparition, et ce, depuis plusieurs années).


Ce n'est plus si sûr avec ce dérèglement climatique…

 (Et bien oui, justement, c'est KESKEJ'DIS !)


Mais tant que des artistes comme Fersen ou Séverin, un peu plus tôt, nous donneront ainsi du bon temps
Notre existence restera magique…

Ah la vache que ça fait du bien,
De cueillir de si beaux fruits dans ses yeux et ses oreilles,

 (Et oui, Ecoute au lieu d'entendre.

Regarde, au lieu de voir).


Subtiles jeux de lumière, excellents musiciens
Voilà une recette qui fait toujours des merveilles…

 (De quoi, ma salade aux chaudins de porc, tu veux dire , T'EN VEUEUEUEUEUX ?)

 ou bien alors, c'est le pot au feu.


De quoi repartir chez soi avec dans sa musette

(c'est moi, la Musette, non, "l'amusette" !)


Pleins de bons souvenirs de cette formidable fête.

Tandis que, tel un épouvantail,

 (Celui, de mon jardin, déguisé en BOBO, il y a 15 ans, et fleurs à la boutonnière, s'il vou plait !)
Approche bientôt un sombre scrutin,

 (Nons mais dis donc, IGUANODON ? T'en veux une ???

 VRAIMENT ?

 Tu veux que je fasse le déplacement, à Lyon, peut être ?

 Méfie toi, la dernière fois que j'ai dit ça à Thomas, ça  a donné "né dans une rose", alors,  sait on jamais !

 OK, c'était pour lui tailler les oreilles en pointe, mais bon).


Nous revoici gonflés à bloc pour livrer une nouvelle bataille
Pour défendre la Culture et de meilleurs lendemains…



Il n'y a pas d'mal à s'faire du bien
Merci Thomas Fersen, merci Séverin et à leurs musiciens

© Bruno Tachon

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