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Quand la montagne "sa fesse", et qu'on parle "glissement de terrain", la grivoisie montagnarde n'est pas loin.

Le 28/07/2015

Dans RURALITE, aménagement du territoire.

http://www.francetvinfo.fr/france/rhone-alpes/isere/lac-du-chambon/au-dessus-du-lac-du-chambon-le-glissement-de-terrain-s-accelere_1016113.html

 Bon "j'y viens".

 Moi je pense qu'il est necessaire à présent, de provoquer l'éboulement qui menace.

   Pour ça, il disposerai,  à une certaine profondeur,  des explosifs, non pas sur le milieu du versant, qui menace de tomber, mais je suppose que pour de raisons de sécurité ça serait de toute façon impossible, mais de chaque côté pour que de façon synchronisée,  l'eboulement redouté se produise.

   Il faut bien sûr, en amont, prévoir, le cas échéant, le fait que l'éboulement s'avère plus important que prévu, avec les retombées relatives  au niveau du lac, qui est en bas dans la vallée, ainsi que sur la route qu'on voit, sur le photo.

 Mais "on n'a pas le choix".

   Une fois le micro tremblement de terre provoqué, et le glissement terminé, je pense qu'il sera alors plus facile de faire le necessaire pour dégager la route, et agir en conséquence.

 Oui je sais, "ça va coûter cher".

 Mais au moins serons nous certains que le danger n'existera plus, à cet endroit là en particulier.

   Les montagnes jeunes "poussent toujours".  C'est pas d'hier qu'on est au courant, il me semble. Et pour information, je rappelle juste que c'est aux humains de s'adapter à la montagne, et pas l'inverse. Surtout quand c'est de ce type de danger dont il est question.

   Et pour ceux qui auraient tendance à se demander si la petite ville en vaut bien le coup, je tiens juste à préciser que quand il s'agit de creuser des tunnels pour faire passer des voies de chemin de fer, des voies rapides, ou bien des autoroutes, on se fiche généralement pas mal, de ce que pensent ceux qui habitent ces petites villes aux alentours.

   Et pour ceux qui se demandent pourquoi je m'y colle, et bien je repondrai, que j'aime beaucoup l'expression, "une montagen qui accouche d'une souris" qui m'a toujours fait rire.

29 septembre 2019.

 Depuis que le réchauffement climatique s'est accéleré, on observe dans les massifs les plus jeunes, et donc, les plus élevés, partout dans le monde, la fonte des glaciers.

 C'est ce qui avait commencé à m'alerter, personnellement, il y a plus d'une trentaine d'années, quand les seules mesures des langues des glaciers, étaient mesurables, et mesurées, deja, et que les scientifiques à l'époque, avaient commencé à donner l'alerte, mais que personne, encore, n'avait daigné les écouter.

  La conséquence, aujourd'hui, réside dans le fait que la montagne devient de plus en plus dangereuse, parce que non seulement, certaines neiges éternelles, en altitude, fondent et modifient considérablement, non seulement les données qu'on croyait assimilées,  notamment, au sujet des prévisions, mais aussi, et c'est aussi inquietant, la perception qu'en ont, non seulement, des décideurs locaux, mais aussi, les aguerris de la montagne, je veux parler des guides, dont je ne saurai remettre en cause, ni la bonne volonté, l'integrité, ou leurs compétences.

 Aujourd'hui, dans les domaines skiables, le problème est philosophique, aussi.

 Parce que là, où certains domaines sont suffisemment élevés, en altitude, statistiquement, pour pouvoir revendiquer un pourcentage d'enneigement suffisemment correct, les prspectives de remplissage des hebergements, liés à l'activité du ski, l'hiver, sont relativement assurées.

 Par contre, dès qu'on commence à descendre en altitude, et que cet enneigement, est  et devient   de plus en plus aléatoire, les municipalités utilisent, de plus en plus des canons à eau....Pour faire leur neige artificielle.

 Les écologistes, sont généralement contre ces pratiques,  et je cautionne leurs postures, parce que c'est là, une abberations totale, je veux parler notamment, et c'est leur argument principal, de l'énergie fossile, utilisée, pour fabriquer cette neige, qui revient fort cher, aux municipalités.

 On me dira, "mais enfin, il faut bien maintenir l'activité économique"....

 Aujourd'hui, avec le rechauffement climatique, justement, de plus en plus de toursistes, choisissent la montagne, l'été, parce qu'en altitude, la cacicule est moins pénible, à supporter.

 D'autre part, le fait de pouvoir proposer des sport d'été, via les vélo cross électriques,  offrent des perspectives de développement l'été, tout à fait attirantes, et qui ne cessent de croitre, chaque année...

  L'abbération dont je vous parle,  est démontrée en Autriche, chaque année, au sujet d'un glacier qui fond, comme tous les autres, et qu'on mutile, pour développer d'aventage encore le ski alpin.

https://www.montagnes-magazine.com/actus-en-autriche-glacier-pitztal-detruit-etendre-domaine-skiable?fbclid=IwAR3SMJjC_CL2M0-

IGqOgfAuODHpvNyn_zPa8GRmpqMGES3K_Zes7h4Q81fw

 Comme les écologistes, je suis contre ces pratiques.

 Mais j'ai  un argument supplementaire, que les écologistes, peut être ?  n'exploitent pas suffisemment.

 On sait que les montagnes jeunes, comme les Pyrenées ou les Alpes, continuent à pousser en altitude...

 Mais sous l'effet du rechauffement climatique, je sais, parce que les montagnards, et les scientifiques sont formels, sur ce point, que la conjugaison des deux phénomènes, interagissent, l'un par rapport à l'autre, au point que certains enrocchements, qu'on croyait  reltivement stabilisés, en certains endroits, en réalité, menancent de s'effondrer, là, où on ne l'aurait absolument pas soupçonné...

 En ce sens voiloir à tout prix, maintenir l'activité de ski alpin, de plus en plus haut, quelqu'en soit le prix, me semble, sur le plan de la sécurité, entièrement irresponsable.

 Pour moi, la montagne, c'est comme la mer, c'est que j'appelle, "des grandes dames"... On dit, LA mer, et on dit, UNE montagne.... Elles sont sensées apprendre l'humilité, là, où la mer, est sensée nous apprendre, l'humidité... Visiblement, certains décideurs étaient derrière la porte, le jour de la distribution.

réchauffement climatique

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