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Autiste asperger, moi ?

Le 18/04/2016

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=syndrome-asperger

 Bon, je trouve ça très interessant.

 Pour le témoignage en dessous, en vidéo, de Julie Dachez,  je me souviens avoir entendu son témoignage, à l'émission "toute une histoire".

 Alors, à laquestion que tout le monde se pose, "est ce que je le suis, moi, la reponse est "je ne sais pas".

  On m'a fait croire que oui, à une époque, et puis lors d'un court séjour en HP, il y a quelques années un jeune psychiatre m'a révélé avec un sourire radieux, que "et bien non, moi, je vous dis que non".

 Alors, en fait, je n'en sais rien.

 Pour être franche, j'ai toujours eu conscience, moi, d'être différente, des mon plus jeune age, mais j'ai toujours mis ça, sur une hyper sensibilité, quia elle seule, est insuffisante, pour justifier, un tel diagnostic, je pense.

 Il est vrai, qu'une de mes filles, me disait souvent en riant, "oui, mais toi, maman, c'est pas pareil, tu sais bien que tu es autre".... je me suis toujours bien entendue, avec mes filles,  et j'ai souvent pensé que le sentiment de me sentir autre, était bien plus du aux epreuves que j'ai subuies, des l'age de 5 ans (ren à voir avecla pedophilie), et puis ensuite, la pédophilie.

 Ce qu'elle dit, au sujet du fait, de jouer un rôle, me parle pas mal, je dois avouer,  et je ne parle pas de ma vie maritale anterieure, mais de façon générale,  me retrouver quelque part, et realisr, que je n'ai rien à y faire, alors, que j'y venais de bon coeur, et realisr, que ce dont j'aurai envie de parler, tout le monde s'en fout, donc, je me taisais, ça m'est arrivé souvent.

 Peut on considérer que ce soit un symptôme d'asperger, pourautant, moi, je n'en sais rien.

 Le signe d'une communication difficile est étrange aussi, puisque cette femme est comme moi, plutôt hyper communicante.

   Enfin, que je sois ou pas, m'importe peu je dois dire, et si je le suis, être diagnostiquée, ou pas, m'importe peu aussi, si on me demande de passer des examens, ou des tests, je le ferai, si ça peur rendre service à d'autres qui soient "Autres".

   Un truc, par contre l'interpelle, je me souviens que lors d'une émission, qui leur avait été consacrée, l'une d'elle avait expliqué, que quand elle voyait un reflet, sur la carosserie d'une voiture, (elle voulait parler du soleil, peut être), elle voyait des choses indescriptibles, ou difficilement descriptibles, que ça lui faisait du bien, et qu'elle avait conscience que c'était rare.

  Elle riait, en racontant ça, et moi, j'étais morte de rire, je dois dire, parce que je reconnais que je parlais son langage. En fait, la vérité, c'est que tous les asperger, je crois, sont hypersensibles, mais cette sensibilité,selon la personnalité, peut être plu accentuée, sur unsens que sur un autre.

  Moi, je sais, que je le suis anorlamement, sur la perception de l'espace, et le visuel.

  Si je regarde un tableau, et que je me sens suffisemment, disponible (ce qui n'est pas si courant, parce que y'a toujours un sujet politique avec lequel on m'a fait chier des rondelles de chapeau, deux heures avant, et que ça urge, et qu'on veut connaitre mon point de vue), et bien la perception que j'en ai, est beaucoup plus multiple, que si c'est quelqu'un d'autre, qui le regarde.

  C'est pour ça que je tanne souvent, pour avoir un siège devant les tableaux, le plus possible, parce que regarder un tableau, dans l'idéal, ça prend du temps, enfin, pour moi.

   De façon générale, si le mot "autisme" est aussi proche du mot "artiste" je suis persuadée que ça n'est pas un hasard, et parmis les austistes non diagnostiqués encore, je suis persiadée que beaucoup sont dans le milieu artistique.

   En fait, mes filles ont toujours su, elles, que j'étais "autre",  non seulement au grand jamais, pour elles, ça n'a jamais posé le moindre problème, mais en plus, comme des leur plus jeune age, j'ai toujous prêté attenton au fait, de leur apprendre qu'elles devaient apprendre à s'aimer elles, telles qu'elles étaient, entendre de la bouche de ses enfants, "Maman, tu es autres", alors, que c'était d'une incroyable tendresse et bienveillance, je crois que c'est le plus bel hommage, que mes filles, ne m'aient jamai rendu.

  Bon, ensuite, je ne sais pas comment elles, elle me perçoivent, en temps que mère, mais je crois m'en être tirée pas trop mal, compte tenu des valoches que je trimballais.

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