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Adoption, et pourquoi pas adopter un enfant plus grand ?

Le 06/01/2016

Dans SOCIÉTÉ.

   Le problème réside, dans le fait, qu’il est souhaitable, de comprendre que plus que jamais, il faut mettre en pratique, le but à atteindre, qui consiste à élever et aimer cet enfant à venir, pour lui, d’abord, et pas pour soi.

   Dans l’idéal, bien sûr, s’il pouvait suivre une voie qu’on lui ait conseillé, on n serait pas fâché, c’est un fait.

  N’importe quels parents, ont des désirs, relativement à leur enfant, qui ne sont que l’expression des fantasmes, dont j’ai parlé plus haut.

   Que ces désirs soient là,  qu’on en ait conscience, et qu’ils soient formulés, est souhaitable, il faut juste qu’ils ne soient que ressentis, verbalisé, et puis rangés, dans une boite à chaussure, que vous aurez placé, tout en haut de l’armoire normande, ou pas !

   Car la seule chose, qui va importer, alors, ne sera que d’aider cet enfant, quia déjà une histoire, à devenir lui, même.

   Plus encore, que quand l’enfant à adopter, est bébé, je pense qu’il est alors, souhaitable, que les parents, se rendent à l’orphelinat, en question, et vivent à proximité, et que les choses, se passent naturellement.

   J’ai vu, dans un reportage, que les enfants, étaient désignés,  (je ne sais pas par qui, ni selon quel critère), pour être accordé, à tel couple, ou telle personne, je ne sais pas qui, et selon quel critère, non plus.

   Aux USA, nous assistons ainsi, à un tragique de phénomène, qui réside, dans le fait, que  des couples ayant adopté,  n’étant pas satisfaits, de leur enfant, le « refilent », par l’intermédiaire d’un site….

   Pour paraphraser la botanique, je dirai que « la greffe n’ayant pas pris », c’est l’échec, et donc, ils se débarrassent, de l’enfant.

   Les autorités, n’interviennent pas, ce qui est logique, puisque visiblement, ce sont eux, les coupables, qui en amont, ont des méthodes, d’attribution, qui sont mal adaptées.

   Il n’est pas question d’argent, je le précise, il ne s’agit pas de trafic d’enfants, mais de parents,  qui ont été mal accompagnés, dans leur démarche d’adoption, et qui pour résoudre, la mauvaise cohabitation, entre l’enfant adopté, et eux, tentent de trouver une solution.

 Pour moi, c’est clair, ça n’est pas comme ça, qu’il faut procéder.

 Je crois, moi, au coup de foudre.

Quand deux personnes s’aiment,  que ce soit entre adultes, qu’il s’agisse, d’amitié, d’Amour, ou d’amour parental,  il existe des raisons  qui sont parfaitement inconscientes, et très puissantes.

 Pour que ces connexions invisibles, apparaissent, et finissent par moindre, il faut d’une part, que les parents adoptants, soient bien psychologiquement, et donc, si possible, le plus écarté possible, de la culpabilité dont j’ai parlé plus haut.

 Et qu’ils travaillent de façon bénévole, auprès d’un groupe d’enfants.

 Pour moi, c’est la seule façon viable, et sécure, affectivement, pour qu’un enfant déjà grand puisse être adopté, dans de bonnes conditions.

   De la part des  enfants, progressivement, ainsi que de la part des parents  qui souhaitent adopter, il se passe alors, certaines choses, qui sont ressenties.

   Ces liens  invisibles, se tissent, et les choses, alors se font de la façon la plus naturelle, qui soient.

 

 Samedi 27 février 2016.

 Je viens de retomber sur un sketch, qui avait été fait par Jeremy Ferrari et Guillaume Bats,  sur le sujet.

 
J'avais trouvé ce sketch, bouleversant l'intelligence, et je sais, qu'aujourd'hui encore, il est d'une redoutable efficacité.
 
 Je rappelle le livre dont il est question, "l'adoption sur les nuls".
 
 
 Sinon, sur le sujet, il y a un film, qui vient de sortir, qui s'appelle "Les chevaliers blancs", avec Vincent lindon, quia reçu le cesar du meilleurs acteur, hier soir, que je vais aller voir.
 
 
 En cours de rédaction.
 
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