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Connaissez vous les dispensaires de la SPA ? Message au sujet du véganisme.

Le 03/11/2017

Dans SOCIÉTÉ.

https://www.la-spa.fr/actualites/petit-quevilly/bienvenue-sur-le-site-du-dispensaire-spa-du-petit-quevilly

  Je trouve cette idée vraiment géniale, parce que je connais beaucoup de personne, qui ont des revenus modestes, qui connaissent beaucoup de problèmes de solitude,  et dont leur fidèle compagnon, est quasiment indispensable à leur maintien en équilibre précaire, sur le plan psychologique.

  Le souci réside dans le fait, qu'il y en a trop peu... Et que l'éloignement géographique, rend injuste le fait, que certains ne peuvent pas en bénéficier.

  Pour ce qui concerne le concurrence avec les cabinets vetérinaires, elle n'existe pas, puisque c'est la feuille de déclaration d'impôts, qui justifie si vous pouvez bénéficier de la gratuité, ou pas.

  Peut être qu'une forme de partenariat, pourrait être envisagée.

  Pour ce qui me concerne,  j'accorde un intérêt particulier, au rôle de l'animal, avec l'humain, dans un contexte séparé de la consommation de viande.

  Je ne suis ni vegan, ni végétarienne, je mange peu de viande,  mais dans l'idéal, si je pouvais élever les animaux que je mangerai, ça serait encore mieux.

  J'accord un grand prix, au metier d'éleveur, parce que je suis fille d'agriculteur, et j'ai toujours vu mes parents travailler, sur ce point dans le plus respect de l'animal, Y COMPRIS POUR L'ABATTRE.

  Je repense à mon père, qui quand on était enfant, quelquefois, alors qu'une truie venait de cochonner, raportait dans un seau, deux ou trois petits cochons, "pas bien vézouillants", comme on dit, et rejettés par les autres ou la mère, pour tenter de les rechauffer, dans le compartiment à chaussons, dans le bas du poèle, enveloppés dans des chiffons.

  Je sais que certains vegans, ont du mal à comprendre  qu'on puisse aimer un animal, alors, qu'on le destine à la consommation.

  Moi, ça ne m'a jamais choquée, j'ai toujours été claire avec mes filles, à cette époque de ma vie qui etaient enfants, dès qu'on observait, qu'elle risquaient de s'y attacher, on leur rapelait, et on leur donnait la consigne de ne pas les caresser, et de ne surtout pas leur donner de nom...

  Si tel etait le cas, alors, il ne passaient pas à la casserole, c'était la règle, que je m'étais donnée. c'est arrivé pour notre poule natacha, qui était ma première poule brahma.

  Aucune d'elle n'est vegan, à ma connaissance, mais comme moi, préfère savoir, je crois dans la mesure du possible, que l'animal ait été heureux.

  Je n'ai jamais supporté, par exemple, de voir des poules, l'hiver, pietiner dans la boue, sous pretexte que leur parcours, n'a plus d'herbe.

  Un point important, que les vegan refusent d'observer, réside dans le fait que les éleveurs, ont aussi pour mission, depuis des millenaires, que l'homme a décidé de domestiquer l'animal, est aussi d'entretenir le paysage.

  Une parcelle, qui ne reçoit plus d'animaux,  au bout de quelques années, redevient sauvage, au sens forestier du mot...

   On pourrait me dire, "et alors" ?

   Et bien le souci, c'est que les forêts primaires, ici, en Europe, mais dans baucoup de partie du monde,  aussi, n'existent quasiment, plus,  et que le semis spontanné des essences ou des plantes qui s'y installerait, serait sur le plan écologique, probablement dommageable.

   En effet, n'importe quel forestier, vous expliquera que certaines essences, vont et viennent,  selon certains critères, qui même quelquefois, nous échappent, mais qui objectivement, s'est accelérée dans l'histoire de l'humanité, avec l'importance des découvertes, et des introdictions d'espèces animales, et végétales, SANS QU'ON AIT CONSCIENCE DU DANGER POTENTIEL...

   Certes, on était bien contents de les avoir, pour créer de superbes parcs et jardins, mais certaines, aussi, se sont échappée, pour retourner à l'etat sauvage et sont devenues invasives...

   Ce qui signifie donc, qu'aujourd'hui, par le phénomène de mondialisation, nous avons, un peu plus de recul, les inventaires, faune et flore, eux aussi, notamment, grâce à internet, sont mieux connus, et on sait que certaines espèces végétales ont été invasives, et le sont de plus en plus, je pense à la renouée du japon, bien sûr, dont on ne parvient pas à se debarrasser, entre autre, mais il y en a bien d'autres.

 septembre 2018.

Petite rectification. je n'ai pas suffisemment de competance, en biologie, et flore, notamment, pour pouvoir en juger; Non, je ne suis pas en train de botter en touche, je pretends, juste avoir conscience, des limites de mes connaisances sur le sujet, ce qui est different.

 Si j'emets des réserves, sur le sujet des invasives, c'est que j'ai entendu Gilles Clément, sur France inter, il y a quelques jours, qui tenait, sur ce sujet, des propos beaucoup moins alarmistes.

 Si on fait de la fiction, je dirai que dans l'hypothèse qui n'arrivera pas, où l'elevage disparaitrait complètement, nous aurions alors, très probablement, une invasion d'espèce à bois tendre, qui se developpe tres vite, et qui présenterait probablement, en plus l'énorme inconvenient, de ne même pas pouvoir être exploités, dans l'industrie, ou dans l'ameublement.

  Je veux dire, par là, que le reflexe de survie, que les vegans, prétendraient voir tenu par la nature elle même, serait bien loin de satisfaire, qui que ce soit, et pas d'aventage, les vegan qui sont plus, dans un fantasme de la relation à la nature, relativement éloignée de toute réalité naturelle, précisément.

  Je précise que ma posture, ne tend pas  blesser qui que ce soit, mais uniquement, à mettre en avant le fait que la fiction du tout vegan, et de la disparition, de toute forme d'élevage, démontre une méconnaissance absolue de la notion de paysage, de la foresterie, et de toute l'activité humaine, qui gravite autour.

  D'autre part, je précise, que je connais pas mal l'aviculture, ainsi que d'autres espèces elevées par l'homme, et dont la totalité ou disons, 99,99 %, n'existent plus, à l'état sauvage.

  Si vous croisez un auroch, ce week end, ou une poule de bankiva, n'hésitez pas à convoquer le COURRIER CAUCHOIS, il se feront un plaisir de venir, faire quelques reportages, sur le phénomène.

  Mais surtout, vous, saisissez bien votre smartphone, pour faire le buz !

  Dernière chose, enfin, si l'on observe comment évolue la faune et la flore, relativement, au changement climatique, qui se produit actuellement,   qui necessite une adaptabilité des professions qui en dépendent, il convient aussi de ne surtout pas oublier que dans une telle hypothèse, les incendies de forêts, qui sevissent partout dans le monde, doivent faire observer, avec la plus grande vigilence, le risque incendie, au point, qu'il devient nécessaire, de créer une structure européenne, des incendie de forêt, afin de venir en aide, au pays du sud, qui la compose, parce qu'on est bien contents d'y aller en vacances, mais UNIQUEMENT QUAND CA NOUS ARRANGE.

http://www.futura-sciences.com/planete/definitions/developpement-durable-espece-envahissante-5453/

 Vendredi 10 novembre 2017.

Lettre ouverte aux Vegans.

  Que ce soit devenu une nécessité absolue désormais de manger moins de viande, ou au minimum, d’exiger que les animaux consommés, aient été traités avec suffisamment de respect, est une évidence.

  Je pourrai arguer, du fait que de manger de la viande, au delà du fait que l’homme soit omnivore, et donc, consomme en partie de la viande, ce qui est vrai, ou prétendre que ça serait renier notre culture, ce qui est également vrai.

  Mais, je considère que par définition, la culture est d’abord un concept abstrait, mais surtout qui se caractérise, par sa capacité constante à être en perpétuelle renaissance, comme un bouillonnement intellectuel, dont souvent, nous ne maîtrisons pas toujours les évolutions, et que même si ce qu’on appelle « les traditions », sont sensées depuis le début de l’humanité en être les garants, elle apparaissent, enfin, ça n’engage que moi, bien plus comme étant un frein, qu’un soutien aux défis des évolutions sociétales, qui nous incombent.

  J’entends par là, que l’argument culturel, surtout s’il est emprunt, de traditions sclérosantes qui nous enchainent, pèsent bien peu, quand on observe, ce que le productivisme croisé avec une absence totale d’éthique, ait pu donner, dan le milieu agricole notamment, à qui on a voulu faire croire, qu’ils étaient des industriels comme les autres.

  J’entends ma mère, dire souvent, « comment qu’on faisait, dans le temps » ????

  Ce qui est vrai…

  Non, ne soyez pas inquiets, je ne risque pas de vous faire le coup, du « c’était mieux avant ». ha, ça non.

« Dans le temps », et après la seconde guerre mondiale, le défit consistait à reconstruire, ce que la guerre avait détruit.

  Aujourd’hui, nous ne somme pas en période « post guerre », la société à évolué de façon considérable, quelque soit le prisme sous lequel on le scrute, et les réponses n’auraient rien à voir, à plus forte raison, si l’on considère les incroyables révolutions technologiques qu’on ait connus, depuis plusieurs décennies.

  Pour rien au monde, je ne reviendrai en arrière, voilà, ce que je veux dire.

  Il n’en demeure pas moins, que d’intégrer le fait qu’une culture, n’a d’intérêt, que si elle accepte les mutations qui nous incombe, nier que par son histoire, elle forge notre identité, me semblerait aussi irresponsable que vain.

  Si je prétends cela, c’est que les animaux domestiques, au-delà, de la consommation de viande ou de leurs produits, font effectivement partie de notre culture, et que je n’imagine pas une seule seconde, que nos campagnes, puissent exister, sans que les animaux de la ferme, n’existent eux aussi, dans le paysage.

  Alors, vous me direz, « et bien vous ne devez pas regarder si souvent, le paysage que vous évoquez »…

  Ho, que si, je le regarde.

  Et en temps que normande, moi, qui ai vu, toute mon enfance, tant de cours de ferme, entourées de hêtraies, et intérieurement, alignés, tant de pommiers, souvent parasités par le gui, sous lesquels les vaches laitières, mangeaient l’herbe, et se grattaient le dos, avec les branches les plus basses….

  Elle laissaient la grande renoncule, qu’on appelle « bouton d’or », parce qu’elle est toxique, et je revoie les incessants coups de queue de vache, de droite à gauche, pour chasser les mouches à merde, qui pullulaient, à proximité des bouses.

  Les hêtraies normandes avaient pour fonction de protéger, les cours de ferme, ou les bâtiments en torchis et colombages, pour les plus modestes, ou en briques, pour les plus cossues, au fur et à mesure que le fermier s’était enrichi, quand des l’automne, les vents d’ouest soufflaient en rafales.

  Certes, nous sommes bien loin, d’observer dans une mode strictement végan, le centième des ravages, que l’industrialisation de l’agriculture, après la seconde guerre mondiale, ait provoqués, ça ne fait aucun doute.

  Et quand j’observe, que pour qu’un enfant apprenne d’où vient la viande qu’il mange, l’œuf, qu’il mange à la coque, ou les légumes, que ses parents achètent tous préparés, on en soit rendu, à leur faire visiter des fermes pédagogiques, comme si l’agriculteur était une bête de foire, que l’on visite, comme on visite un zoo, oui, comme disait Rému, « ça me fend le cœur »……

  Mon objectif, ne tend pas à m’en prendre à ceux, qui exploitent ce filon, pour eux, y vivre… Je le précise….

  Mais intellectuellement, n’importe quel enfant d’agriculteur, ne peut qu’observer cette évolution, l’air songeur, pour peu qu’on ait un minimum de conscience, conscience politique, j’entends.

  Aussi, imaginer, une seule seconde les paysages, sans ces animaux qui sont les descendants de ceux, que nos aïeux, il y a fort longtemps, avaient domestiqués, pour le coup, me semble juste parfaitement inconcevable.

  Une autre notion me semble fondamentale, et absolument pas réfléchie, qui consiste à admettre, que ces animaux, quand ils sont élevés dans des conditions naturelles, et donc, à l’extérieur, jouent un rôle considérable, dans l‘entretien du paysage.

  Compte tenu du réchauffement climatique, le risque incendie, chaque années, s’accentue de plus en plus, et ne plus avoir disposition, en certains endroits les troupeaux, accentuerait de façon rigoureusement catastrophique, le risque incendie.

  Les bergers, entre autre, mais aussi, tous les ruraux, qui vivent de leurs métiers, d’éleveurs, de producteurs laitiers, que ce soit moutons, chèvres, ou vaches, habitent aussi, dans des zones, ou l’agriculture intensive, à cause du relief, n’a pas pu leur être imposée.

  Remettre en question, ces formes d’élevage aurait sur la flore et la faune, des conséquences dramatiques, si l’on observe que la faune d’origine, dans beaucoup de secteurs, pour certaines espèces, qui participaient à cet équilibre, ont purement et simplement disparu, à l’état sauvage. Pour ce qui concerne la flore, elle aussi, notamment, par l’intermédiaire des espèces invasives, qui ont, par erreur, ou par accident, envahi certaines zones, y compris dans le domaine forestier, ce qui aurait probablement pour effet, d’appauvrir la biodiversité.

  Sur ce point, cependant, il semble que le point de vue de Gilles Clément, (éloge des vagabondes)soit plus nuancé.

  C’est surtout sous l’angle lié au risque incendie, il me semble, que le problème serait le plus grave.

  Je veux dire par là, que si l’homme est effectivement à l’origine de ce déséquilibre, en aucune façon, supprimer toute forme d’élevage, et passant, entièrement au végan, n’aurait pour conséquence, de retrouver cet équilibre perdu.

  Quand à l’argument, qui consiste à revendiquer le fait, que la faune sauvage, redeviendrait, ce qu’elle était, elle est stupide et illusoire ? parce que les espèces originelles, qui avaient été domestiquées, il y a des milliers d’années, n’existe plus, à 99, 99 %, sur les zones, terrestres concernées .

  En dehors du yack, en Mongolie, peut être, et de la pintade, sinon, je ne vois pas.

  Pour ce qui concerne le fait de refuser de porter du cuir, il en va tout autant.

  La seule alternative, aujourd’hui au cuir ce sont les matières synthétiques.

  Ors ces dernières sont issues de la pétrochimie, et donc, des énergies fossiles.

  Autant dire, un non sens le plus total, en matière de sauvegarde de la biodiversité.

  Des chercheurs travaillent à mettre au point, certains textiles, ou certaines matières, qui seraient sensées remplacer avantageusement, le cuir.

  Mais jusqu’à preuve du contraire, encore, pour l’instant, à de rares exceptions prés, je pense à l’écorce d’ananas, qui pour rappel, pousse sous les tropiques, et uniquement là bas, donc, devant être importées, de tres loin, et donc, chère en CO2, les seules solutions qui soient proposées actuellement, mettent en œuvre, en partie, certains éléments, purement d’origine synthétiques.

  Dans l’hypothèse, cependant, où effectivement des chercheurs, mettraient au point, un moyen efficace, d’éviter l’utilisation du cuir, la nécessité d’avoir recours à une forme de monoculture, pour répondre à une demande sur dimensionnées, rendrait la démarche parfaitement vaine, puisque même dans une culture BIO, et durable, comme on le connait aujourd’hui, avec l’huile de palme, toute forme de monoculture y compris BIO, est rigoureusement et intrinsèquement, contre la biodiversité…..

  Pour ce qui concerne d’autre part, l’aspect purement diététique, avoir la prétention de remplacer les protéines animale, par des protéines exclusivement végétales, est effectivement réalisable, notamment, en sollicitant d’avantage, la famille des légumineuses, et aux fruits secs.

  Si j’ai parfaitement Foi en cette théorie, sur le pan diététique, je ne peux que constater, que dans la pratique, beaucoup passent au végan, pour des raisons philosophiques, ce dont je me réjouis.

  Mais hélas, l’inconscient, lui, veille.

  Et si certains, ne le font, dans l’optique d’appliquer effectivement, cette conception philosophique, pour d’autres, je pense aux jeunes filles, notamment, la « mode végan », n’est que l’expression d’un problème psychique ou psychologique, qui sert d’expression, à un trouble alimentaire similaire, ou menant, vers une forme d’anorexie.

  Je ne prétends pas, que ce soit toujours le cas, bien sûr.

  Mais je sais, que ça existe, parce que ce sont les médecins, et plus particulièrement, les diététiciens, les nutritionnistes, et les psychiatres, qui me l‘ont fait savoir.

  J’ai eu, il y a quelques années, d’autre part, ce même sentiment, moi aussi, quand j’avais intégré certains groupes végans, sur les réseaux sociaux.

  Pour terminer, sur ce sujet, je voudrai, d’autre part, signaler, que revendiquer, intellectuellement, le fait, d’être végan, et de ne plus consommer, ce qui vient de l’animal, aurait, pour origine, aussi, enfin, c’est ainsi, que je l’observe, et que je le comprends, que ce soit, dans une démarche purement écologique, que ce concept, soit admis.

  Ors, ce concept, induit, à mes yeux, le locavore, qui consiste à veiller, à ce que les denrées consommées, sous nos latitudes, et donc, n’aient pas nécessité de grande consommations relativement, à leur transport.

  Je suis bien la première à revendiquer, cette donnée, alors, que je ne suis pas végan.

  Il me semble alors, interpellant, d’observer que le vaginisme, induise en partie, pour des raisons d’équilibre alimentaire, la consommation, de denrées ayant au contraire, beaucoup voyagé.

  Je ne suis pas stupide, au point de croire, ou de considérer que tout véganisme, ne peut être que du locavore, extrémiste.

  Je prétends simplement, que de faire cohabiter véganisme, et locavore, devrait être, je crois, plus souvent appliqué, parce que philosophiquement, ça me semblerait, plus cohérent.

  Si l’on observe, par exemple, la façon dont se nourrissaient nos aïeux, on sait, à présent, qu’ils souffraient, de certaines carences, ce qui explique d’ailleurs, qu’ils étaient plus petits, moins lourds, et que l’espérance de vie, était moindre, qu’aujourd’hui, ce qui tend à démontrer alors, que le locavore, « extrême », serait incompatible avec le véganisme.

  Une donnée, par contre, va faire évoluer les choses, par contre, et qui réside dans le fait, que par le réchauffement climatique, l’éventail de cultures, produites, dans une zone géographique donnée, sera modifiée, et qu’à ce titre, l’éventail des choix culturaux, se trouvera élargi, que les producteurs s’en saisiront, et que les consommateurs, végans, ou pas, pourront les consommer.

  Un dernier point, me semble devoir être soulevé.

  Je sais, qu’au moment, où je vous parle, certaines entreprises, sont en procès, pour abus de langage, au sujet du mot STEAK…

  Loin de moi, l’idée de cautionner de façon outrancière, les lobbies de la viande.

  Mais je trouve intellectuellement incohérent, de défendre le consommateur, contre les lobbies, en dénonçant la manipulation, qui s’exerce, dans le domaine de la publicité, et parallèlement, user eux aussi, de cette méthode de manipulation, par ce vocabulaire, Y COMPRIS POUR LA BONNE CAUSE.

  Il en va de même, pour ce qui concerne, l’appellation LAIT.

  Pour moi, le mot LAIT, invoque un liquide issu de la traite d’une mammifère, quelle qu’elle soit, et strictement.

  L’appellation de « lait végétal », induit, d’autre part, que ce LAIT ? pourrait parfaitement remplacer, le lait de vache notamment, ce qui est bien loin, d’être admis, que ce soit par les vegans, ou que ce soit, par les non vegan.

  Nous ne sommes pas là, dans le jugement de valeurs, et dans la philosophie, mais bien uniquement, dans une forme d’honnêteté intellectuelle, qui consiste à nommer les choses par leur nom, simplement, afin, d’aider le consommateur, à a voir une perception plus saine, et sans détournement, de ce qu’on lui propose de consommer.


  Parce que ce que ça induit, ne réside pas moins, que dans le fait, que d’acheter un steak, végétal, induit, de façon inconsciente, dans un acte d’achat, une forme de fidélité culturelle, à son identité de carnassier !

  Ce qui, pour quelqu’un, qui se revendique végan, est pour le moins incohérent.

  Voilà, mon sentiment.

  Je veux dire, que quand on a la prétention, de devenir végan, et de renier, son origine culturelle de carnassier, tenant ses propos, personnellement, je ne suis ni dans le mépris, ni dans la manipulation, je prétends juste, qu’il me semblerait plus cohérent, et plus honnête, envers soi même, et la famille que l’on nourrit, de l’assumer, au point de renoncer à vampiriser un vocabulaire, qui n’a pas lieu d’être.

  Pour ce qui concerne le fait, d'aller taguer des vitrines, de bouchers, ou autres marchands de viande, à present, et l'expression "extrémiste", du mouvement.

  Je recommande d'aller réécouter l'émission "le téléphone sonne" sur le sujet, en suivant ce lien:

https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne

   Je voudrai enfin, revenir, sur le problème soulevé, par la nourriture animale. Ainsi, et moi, l première, qui ai un chat, doitacheter à manger, à ce dernier.

   Une auditrice appelle à un moment, pour pointer du doigt, qu'elle avait renoncé à a voir un chat, parce qu'elle ne supportait pas d'avoir un aimal domestique, qui soit carnassier.

   Loin d'avoir, je le precise, une posture agressive, ou intolerante, au contraire, elle reconnaissait elle même,  que sur le plan philosophique, elle se trouvait un peu, en contradiction, realisant, qu'elle imposait, alors,  le veganisme à un potentiel animal de compagnie, et allant jusqu'à renoncer à tel animal, pour cette raison.

   Sans vouloir faire de l'antropomorphisme mal venu, j'en arrive à me demander, si certains de renonceraient pas  à a voir des voisins, au pretexte qu'ils ne sont pas vegans, ou, comme ça doit arriver plus souvent qu'on le croit, renoncer à un amour, ou à une aventure sentimentale, au seul pretexte, que l'autre n'est pas vegan.

   Oui, je vais un peu loin, c'est vrai, mais si l'on considère, que beaucoup ont un animal parce qu'un autre humain, ça comporte trop de risque, sur le plan de la conversation, on est en droit de se poser des questions.

   Encore une fois, je ne cherche pas à blesser, mais enfin, si la solitude est un problème pour beaucoup, la combler, avec un animal de compagnie, presente surtout, un enorme aventage, c'est qu'il ne risque pas de vous remettre en cuse, sur quoi que ce soit...

   S'il fait "wouaf wouaf", c'est clair, qu'il vous appartient, d'en faire la traduction qui vous arrange, et si c'est un chat, qui fait "miaou" il en va tout autant.

  Le parallèle, entre l'animal de compagnie (qu'on ne vous propose pas de manger en brochettes, qu'on se rassure), peut surprendre. Et pourtant....

  Ne pas supporter, qu'un chat ou un chien de compagnie, mange de la viande..... Et aller,  jusqu'à lui taguer, je ne sais quoi, que le dos, et aller, taguer la vitrine d'un boucher, non, décidément, le parallèle me semble au contraire, simplement cohérent, l'un comme l'autre ne sont que des formes d'intolérances.

  Juste pour rappel, à chaque fois qu'un commerçant se fait taguer sa devanture, son chiffre d'affaire augmente, ça devrait donner à reflechir, non ?

  Pour moi, le militantisme vegan, est legitime, et pourquoi pas , mais  en aucune façon, il ne doit s'exprimer, de façon violente, ou agressive, bien au contraire. Plus il est axé sur l'argumentaire, l'art, ou l'humour, pourquoi pas, plus au contraire, il acquiert, ses lettres de noblesse.

Espagne FBI Européen réchauffement climatique négationnisme du réchauffement climatique Droit à l'information

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