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Sexualité, prévention "toussa toussa toussa".

Le 25/06/2015

Dans SOCIÉTÉ.

http://www.rfi.fr/science/20150625-royaume-uni-collegiens-preservatifs-couleurs-mst-sexualite/

 Je trouve ça vraiment génial.

 Et puis ça aussi.

 A quoi rêvent les jeunes filles. http://www.france2.fr/emissions/infrarouge

 Je précise que j'ai regardé cette émission avec le plus grand intérêt. Je rédige rapidement.

 

 Vendredi 26 juin 2015.

 Comme vous pouvez le voir "je ne traine pas".

    Cependant, je dois dire que j'ai tendance à me faire "prier", sur le sujet. Et pour cause.

  Je dois bien avouer que je suis particulièrement fatiguée d'avoir le sentiment de n'être "bonne" qu'à torcher le cul de l'Humanité, si je puis m'exprimer ainsi. Je pense qu'il n'est pas necessaire que je détaille mon resenti.

    Quoi qu'il en soit, je dois dire que ce sujet me tiens particulièrement à coeur, pour enormement de raisons, parce que etant moi, une ancienne traumatisée sexuelle (pedophilie) je sais fort bien que mes propos sont suivis bien plus que ceux d'autres personnes qui soit revendiquent une certaine connaissance sur le sujet soit ont cette prétention, pour des motifs, quelquefois peut être parfaitement discuttables.

 Ainsi je pense qu'il n'est superflu de se poser la question "pourquoi moi" plus que quelqu'un d'autre ?".

 Et une fois vu, ce reportage, les réponse saute aux yeux..... "on a besoin de toi, vu la situation".

 BON Soit. j'assume. Difficile une fois vu ce reportage il est vrai de nier l'evidence à sa voir que les jeunes filles d'aujourd'hui sont relativement paumées sur le sujet il m'était deja rrivée d'en parler avec certaines notamment que j'avais rencontrées quand elle montaient dans le train à mante la jolie, ou vernon et jusqu'à Paris et leur attente était bien réelle.

   Certains doivent se dire "mais enfin elle ne les connait pas et comme ça en une demi heure une heure elle parle de sexe avec elles".

   Et bien oui c'est comme ça. On appelle ça "l'empathie".

   Il est vrai, que quand j'arrive quelque part et que je discute avec quelqu'une et que je dis que je suis une ancinne trauma sexuelle (pedophilie) c'est juste absolument halluciant de voir à quel point, systemtiquement TOUT LE MONDE M'ECOUTE.

 je precise cepednant que je reconte pas ça à tout le monde je le ffais m^me rarement, mais quand mon instinct lui m'incite à le faire vis à vis de mon interlocuteru c'est qu'il sait que c'est necessaire.

 Quand je me mets aussi sec neammoins à raconter des conneries pour faire rigoler tout le monde, ça ne fait que les conforter dans le sentiment que decidement ils seraient bien inspiré comme u  on dit chez nous "d'en prendre de la graine";

 Oui, métaphore agricole, une fois encore.

   Pour être franche, alors que j'ai eu cette nuit un sommeil aussi profond que les abysses des océans, au réveil, (h du mat', comme chaque jour, je pensais à elles, toutes ces ados ou jeunes femmes qui attendent apres moi sur ce sujet, et je réfléchissais sur le titre de mon billet.

 Je vous propose ceci:

 

"Tout le monde n'a pas la chance d'avoir une maman qui ait été une trauma sexuelle".

 

    Oui je sais, je suis "provocante" sur le sujet. Mais pour être franche, je ne vois pas trop comment faire autrement, que de proceder différemment qu'avec mes gros sabots pointus, avec à leurs extrêmités et collés à la super glu, pour bien des décennies, un nez de clown, aussi rouge que du sang menstruel, un nez de clown.....

   Nous dirons simplement que "la fin justifie les moyens", et je m'en explique.

   L'humour et la dérision, sont il me semble, des armes des plus redouttables, en toute circonstance, un peu comme une forme de cuirasse qui permet de toujours s'en sortir "la tête haute", pour au minimum, cacher ses souffrances, son désaroi, voir son impuissance, et au mieux, faire naitre des forces insoupççonnées qui initient à la dérision et à l'autodérision.

   Je precise en preambule, que si ça me gonfle un peu de devoir bosser sur ce sujet ça n'est pas pour moi une forme de mepris sur le sujet ou sur ceux qui attendent mon son de cloche mais plutot relativement, que je suis moi depuis pas mal de temps "passée à autre chose" ce qui est bien la preuve du coup que je suis bel et bien guerrie de cette terrible eproeuve qui m'ait été imposée quand j'étais enfant et qui m'a ainsi autant pourri la vie et le coeur, pendant 35 ans environ.

   Quoi qu'il en soit, j'ai parfaitement perçu le désaroi de ces  jeunes femmes,  que j'ai pris effectivement en plein visage.

   Je precise que le constat absolument larmant que j'ai resenti des le depart je le savais deja. je e  veux dire que je n'ai moi absolument jamais été dupe sur le fait que les jeunes femmes aujourd'hui sont bien que "filles de femmes libérées sexuellement", enfin au moins dans la théorie, ne sont absolument pas "libérées" en quoi que ce soit.... Libérée de façon générale et sexuellementen particulier.

   Pour être franche moi qui suis une feministe convaaincue et qui sis la première à eprouver une tlle adiration vis à vis de tant de femmes, qui m'ont precédées cette notion de l"liberation", vis à vis du feminisme m'a toujours semblé, un peu stupide, parce qu'elle implique necessairement, une forme de détachement  relativement à la notion de devoir, d'engagement, de choix tranché, de concessions en somme de tout ce qui concerne la relation que chaque femme ait envers un groupe que ce soit un groupe de copine,, une famille, d'où elle vient une famille, qu'elle ait formé, vis à vis de son patron vis à vis de son collègue de travail vis à vis de son voiisin, vis à vis de la aissière du supermarché vis à vis d'un inconnu qui a tendu la main, à l'insnt sur un trttoir parisen parce qu'il n'a pas mangé depuis deux jours.

  Où est donc la nition de liberation, si ce n'est dans l'interrogation que chaque personne est en droit de se poser dans sa relation aux autres et en ce sens, le terme de liberation ne saurait être un questionnement, que dans la mesure où l'on perçoit l'être humain sur un peid d'egalité entre homme et femme.

 Pourquoi, un homme n'urait il pas la pretention lui aussi, d'être "libéré" ?

 Peut être vit il avec une conne...  Qui sait ?

 Mais pour en revenir à mon titre, quelque peu provoquant.

 Il se trouve que j'ai eu trois filles, que j'ai élevées, comme le font tant de parents. Et je crois pouvoir dire que sexuellement elles sont "au top".

   Oui je sais ça peut sembler pretentieux et ça l'est effectivement; c'est que "être au top" sexuellement pour moi, ne consite en les m^mes choses probalbmenet que pour certains non, que pour n'importe qui.

   Pour moi, être "au top" sexuellement, quelque soit l'age, c'est être "en paix" avec soi même, et vis à vis des autres qu'ils soient hommes ou femmes.

 "Etre en paix" avec soi même, sexuellement, ça signifie,  si vous avez chaud dans le bas ventre et que votre corps, rclame ce qui lui manque être capable, de le satisfaire sans a voir recours pour celà  au fait de prêter son corps à n'importe quel connard, qui serait tenté de vous prendre pour un sex, toys, voir une poupée gonflable.

 Certes je reconnais que d'avoir des relations sexuelles, avec une autre personne, doit être infiniment plus "jouissif".

 On peut effectivement avoir ce type de relation, sans pourautant être amoureux enfin "parait il".

 Je rigole en écrivant celà, pour la simple raison que mon histoitre personnelle m'interdit elle, ce type de comportement. Mais "ça n'engage que moi". J'ASSUME.

    Je sais, certaines revendiquent le fait, de le faire sans l'être. Soit. Je leur souhaite alors, bien du courage pour avoir l'absolue certitude que de prêter leur corps qui est si précieux, à un mec ou une nana qui n'en fvaut pas la peine ne leur joue pas des tours dont certains risqueraient bien de le aisser des emrientes psychologiques, voir traumatisantes pour leur vie entière.

  Je rapelle juste certains points, que personne ne veut voir, et qui pourtant sont absolument essentiels.

   Le corps, lui, pendant la relation sexuelle, et j'ose espérer, avant de passer à l'acte, subit certaines stimulations,  d'ordre emotionnelles, nerveuses, tactiles, sensi orielles, qui sont juste absolument fondamentales, pour que le plaisir, arrive....

   Pour que les choses puissent se passer de façon aussi naturelles et favorables pour les deux partenaires, je  rapelle là encore, qu'il est abslument indispensable qu'il y ait une forme d'abandon, le plus absolu possible, et que cet "abandon", soit bel et bien réel. Ors, pour que cette notion d'abandon soit totale, il est absolument fondamental, que la confiance soit bien réelle.....

  Voilà pour quelle raison je dis moi, que mes filles sont "au top" sur le sujet; ça n'a rien à voir avec la fequence de leurs relation n le nombre de partenaires, ou leurs pratiques c'est juste que j'ai l'absolue certitude qu'lle sont hyper aiguisées sur le fait,, qu'elles sont hyper attentives au fait, de ne pas "prêter leur corps" au premier connard qui passerait. Car c'est ça, qui importe le plus.

   Le problème aujourd'hui, consiste à tenter de trouver des parades relativement au fait que  le porno soit anormalement accessible, sur internet.

  Les demouiselles en question ont expliqué que le fait de l'interdire,, n'est pas la bonne solution? et sur ce point je les rejoins parfaitement.

   L'ideal, pour moi, serait de parvenir, à ce qu'elle n'aient plus envie d'y aller.

   Je sais, parce qu'elles l'ont expliqué, que ces jeunes filles, font un travail absolument génial, parce que, mine de rien, par les commentaires qu'elles reçoivent, que ce soit de la part des garçons ou de la part des filles,  elle glanent des infos extrêmement précieuses,  qui me permettent à moi, ou à des professionnels comme des sexologues, de prendre le pouls véritable de la situation.

    Les propos qu'elle tiennent, sur la jeunesse, aujourd'hui, qui est confrontée au porno, peuvent être par exemple croisées avec des chiffres relatifs au viol(quand il est declaré), à l'inceste (quand il est declaré) relatif  aux statistiques des ados qui arrivent en psychiatrie, relatifs au chiffres pour décrochage scolaire, ou bien relatifs à la phobie scolaire, ou au harcelement.

    Je les trouve moi d'un courage absolument extraordinaire et je les remercie moi de leur collaboration. 

    Pour ce qui concerne la notion d'abandon dont je parle pendant l'acte sexuel, cette une notion qui n'est absolument jamais abordée, ce que je trouve vraiment grave. il n'ya guère que les sec xologues qui en parlent et encore " si peu".

   Je précise que cette notion d'abandon est fondamentale, mais que de façon générale, on ne peut y prétendre, génralement, que quand on a une relative exerience sexuelle.

   La raison pour laquelle c'est important, réside dans le fait qu'on accepte alors de laisser parler la part animale qui est en nous, ce qui n'exclue pas le contrôle, je précise, que ce soit de la part de l'un ou de l'autre.

   Pour ce qui concerne les première experiences sexuelles, dont la première fois est la plus importante à mes yeux, je suis profondément inquiète, relativement au fait que de plus plus, les jeunes filles pratiquent la fellation, et que bientôt selon leur dire, elles pratiqueront la sodomie.

 pourquoi je suis inquiete ?

 Et bien parce que la seule et unique raion pour laquelle il en est ainsi, ne reside uniquement et strictement dans un desir dese conformer, à la norme, qui est imposée, par le porno. Et ça, je trouve ça effectivement progfonfdement inquietant.

 Certains sexologues, et psychologues,  il y a quelques années, expliaient deja les risques de l'envahissement du prono, relatifs aux comportements sexuels des ados.

 Je suis moi entièrement d'accord avec cette théorie.

    Puis certains sexologues et psychologues ont eux, avancé la théorie selon laquelle, ce problème n'existait pas, parce que les ados prenaient à la base une certaine distance vis à vis de la pornographie, qu'ils la jugeaient et que par conséquent les risques n'étaient pas si véritables que celà.

   Je m'inscris moi en faux véritablement avec cette théorie et je m'en explique.

    Bien sûr que c'est vrai, pour un ado ou une ado qui vit dans un environnement sain, ou sexuellement elle sent les adultes qui veillent sur lui ou sur elle, bien dans leur corps, bien dans leur peau, et qu'ils perçoivent une image du couple, ou de la relation homme femme, véritablement respectueuse.

    Alors, dans cette hyptohèse, effectivement, ce sont les référents affectifs "dans le vraie vie" qui ont l'ascendent sur l'image vehiculée par la pornographie.

    Imaginez ensuite, une ado, ou un ado qui voit les adultes référents autour de lui ou bien autour d'elle lire "50 nuances de gris", sachant que quand son père en a un gros coup dans la gueule, comme on dit vulgairement, il frappe sa femme, que cette femme est malheurse et que par consequent elle "subit" l'acte sexuel, sans u y trouver le moindre plaisir,  et que quand elle va sur internet bizarrement, vient se conjuguer à cet exemple déplorable, l'image de la pornographie.

 Voilà où se trouve véritablement le danger. Et reconnaissez objectivement que le second exepmle helas est bien plus courant qu'on ne le pense, ou en tout cas qu'on le voudrait.

 Alors que faire  ?

   Les nanas dans le reportage ont raison.  Il ne faut pas l'interdire. la seule repercussion qu'auraient l'interdiction,serait au contraire de stimuler le fait d'y aller voir, pour le plir de braver l'interdit ce qui serait donc encore pire. Mais ça ne signifie pas u'on ne puisse pas agir sur la pornographie malgré tout je dois y réfléchir.

  Mais il faut armer nos jeunes, pour "déconstruire" en amont, les éventuels dégats qui peuvent apparaitre, ensuite.

  Pour ce qui concerne "50 nuances de gris" je précise que la relation entre le SM, et les violences conjugales, bien réelles, est juste une absolue évidence qu'aucun psychiatre, ne saurait démentir.

  Je le sais d'autant plus, que lors d'une de mes courtes hospitalisations, ces dernières années "un heureux hasard" avait fait que je m'étais trouvée avec une patiente dans ce cas. Et qu'elle me l'avait confiée. ce livre lui avait été offert mpar sa mère qui elle m^me était battue. je dirai "repetition du shemas maternel," helas un grand classique.

http://www.franceinter.fr/emission-le-debat-de-midi-le-plaisir-solitaire-est-il-le-dernier-tabou-de-la-sexualite

 

 Le viagra pour femme est arrivé. Youpie ?

http://www.francetvinfo.fr/monde/ameriques/pourquoi-il-a-fallu-dix-sept-ans-pour-commercialiser-le-viagra-feminin_1047675.html

.http://www.francetvinfo.fr/sante/sexo/cinq-idees-recues-sur-le-desir_990723.html

 P,our celles qui restent persuadées que le plaisir feminin, est au moins aussi physiologique que chez l'homme, bon, soit, moi je veux bien.

   Mais moi, ça n'est pas ce que je pense. Je pense qu'il est plus sain  d'accepter le fait, de ne pas avoir envie, ou d'avoir moins envie, que de se dopper avec un médicament pour avoir le sentiment de se sentir "normale".

 Comme si la sexualité s'accomodait du mot "normal", ce que moi je recuse.

   Je pense que la "normalité" est antinomique avec le mot sexualité, parce qu'elle implique que celui ou celle qui ne serait pas conforme à la règle établie, par les magasines ou le discours ambiant, serait marginalisé.

 Je pense moi, que chacun devrait ne jamais perdre de vue, plusieurs éléments.

    D'une part, le fait que le plaisir sexuel est un plaisir parmi d'autres. Oui, c'est clair que quand on prend son pied, comme on dit vulgairement ça fait du bien au corps, et donc au moral, on est bien d'accord.

   Mais il existe plein d'autres formes de plaisirs, qui sont au moins aussi importants et qui pourtant  ne font que rarement l'objet de tant d'attentions comme celui de manger quelque chos de bon, ou d'appétissant, de boire un bon vin, de fabriquer quelque chose de ses mains, et d'être hyper emballé(e) d'y ête parvenu(e).....

   Autant de plaisir dont bon nombre de couples, se soucient quelquefois peu, et dont personne ne parle jamais. Alors que précisément, quand l'usure du couple arrive, il peut arriver que ce soit précisément ces plaisirs là, qui sauveront le reste. Regarder dans la même dirrection, notamment, fait partie de ces plaisirs là.

   Je reconnais que mon passé de traumatisée sexuelle y est pour beaucoup, dans ce que je prétends là, je le reconnais, et je l'assume, mais il n'en reste pas moins que ce soit là la stricte vérité.

   Ensuite, un autre point dans un couple, moi me semble extrêmement important, qui est qu'il va vraiment falloir apprendre à différencier la notion de fantasme de la notion de désir véritable.

   J'en tiens pour preuve certains connards, qui se sont deja permis de prétendre que le viol, serait en fait, le fantasme de beaucoup de femmes..... C'est envisageable effectivement, sauf que le fantasme dont il est question, chez ceux là, est interprété comme un désir véritable, ce qui, reconnaissez le, pose un énorme problème, notamment de société.

   Prendre comme fondamental, de saisir la véritable nuance qu'il faille faire, entre les deux est absolument fondamental, parce que précisement, au sein du couple, à plus forte raison, quand il est vraiment amoureux, permet dans le cadre d'une veritable confiance de partager ces FANTASMES qui ne sont pas necessairement des désirs véritables...

   Et devenir alors, une source quasiment inépuisable de renouveau dans l'activité sexuelle.... Alors que si cette nuance n'est pas saisie, et donc pas assimilée, par le partenaire, l'un ou l'aute n'ose absolument pas le partager, pensant que l'autre va considérer qu'il s'agit d'un désir réel, alors qu'il n'est qu'un fantasme.....

 Thomas Fersen a fait une chanson sur un miroir qu'ila a chté sur un vide grenier à plousemabre dont je vus donne le lien.

   Bon, avec cette chanson, soyons clairs, il a toutes les chances comme il le dit si bien, d'aller se faire griller les poils du cul en enfer, "Mais oui mesdames", mais enfin.... (mdr).

   En fait, quand on en parle, lui et moi, ça nous fait rigoler tous les deux, alors c'est vous dire le niveau de l'un et de l'autre.....

 Mais à la question, "Est ce que c'est un désir véritable", la réponse est NON BIEN SUR.

 Ho putain de merde, j'ai comme un doute, d'un seul cop...... ha ha ha ha.ha

 Bon, redevenons sérieux, s'il vous plait.

     Ensuite, il faut absolument que les femmes, et les ados aussi, bien plus important à mes yeux que ce viagra, apprennent à utiliser pour celles qui ne le font pas encore, un sextoy.

 Oui, je sais, c'est "tabou", chez certaines.

 Mais enfin, le désir sexuel est un désir naturel, et apprendre comment fonctionne son corps,  et quelle caresse lui est le plus positif et le plus agréable,  me semble vraiment important à savoir, et ne peut qu'enrichir sa vie sexeulle, quand on fait l'Amour.....

    Quand aux ados même si certaines peut être, sont choquées par cette "position". Je préfererai, pour ma part, cent fois que ma fille, ait perdu sa virginité avec un sex toys plutôt qu'elle ait eu ses première relations sexuelles avec un mec qui ne la méritait pas, et qui soit indigne d'elle....

   D'autre part, une fois ses premières séances de caresses faites, je pense que vis à vis des premiers amants d'un soir, c'est un bon moyen de faire fuir, des mecs peu recommandables, que de leur dire franco, "oui je me suis deja masturbée (vous pouvez dire caresser si vous préférez)"... Celui qui ricane ou qui trouve ça "chelou", c'est un connard qui ne vous mérite pas ! "Passez votre chemin, monsieur j'ai pas que ça  à faire".

 Soyez "dignes", bodel "dignes d'un don".  Don de votre corps précisement.

 J'écoutais une émission sur France Inter, au sujet de la masturbation.

   Dans le couple, il semble que ça passe mal, je trouve ça regrettable. Il peut arriver que pour une raison ou une autre, l'un ait envie et l'autre pas. Mais ça n'est pas grave !

   Il fantasme sur une autre, occasionnellement. Bon, est ce que c'est réellement si grave que ça ? Nous aussi les femmes, il arrive qu'on fantasme sur un autre que notre "officiel", non ?  Est ce qu'on est en faute véritablement, vis à vis de ça ?  Est ce vraiment si grave ? je ne crois pas, non.  Moin, grave que d'être trompé(e)en tout cas.

   Si ça devient constant, et que c'est une  histoire qui sent le pâté soit, avec le temps je comprends que ça pose problème, ça m'en poserait aussi, je le reconnais. Mais enfin, entre accepter de bonne grâce de voir son compagnon ou son mari se faire du bien (on ne veut pas savoir à qui il ou elle pense) et faire l'étoile de mer systèmatiquement, parce que vous êtes dans une mauvaise passe, et que vous n'allez pas bien, je pense que de faire preuve d'ouverture d'esprit, me semble vraiment préférable et ne met en péril ni vous, ni votre compagnon ou conjoint. Vous pouvez aussi le faire, chacun de votre côté.

 Et si vous êtes en manque d'inspiration, surtout pour précisement vous ouvrir l'esprit sur le sujet, je vous recommande vraiment la lecture de textes érotiques....

J'ai deja tenu ces propos, il y a bien des années, sur le sujet.

   Jusqu'à il y a quelques années, je n'étais encore jamais allée voir de pornos, pour la simple raison que ça ne me disait rien, et que je n'avais pas à le faire, "parce qu'on souhaitait que je le fasse".

 Et puis j'ai eu envie d'aller voir.

  Si "ça fonctonne", oui je trouve ça tellement triste, vraiment. Triste, parce que je trouve justement que ça donne une image de sa propre sexualité, quand on vit seul(e), dénuée de tout imaginaire, et surtout de la moindre joie. Enfin moi, c'est mon sentiment....

 Je préfère comme je l'ai deja dit l'érotisme, qui pour moi justement comme seule la lecture sait le faire, permet à chacun, de s'approprier l'histoire et de se faire son film.

  De plus, puisque par la lecure, "on se fait son film" je pense que pour l'entretien de sa libido, c'est un carburant "sur le long terme",  ce qui n'a donc vraiment rien de comparable ni avec le porno, ni avec le viagra, que je trouve pour ma pat stupide.

 Mais enfin, objectivement, si des femmes éprouvent le besoin d'être boostées sur ce plan "pourquoi, pas". Business uis business".

 

 

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