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Les Evêques en visite au salon de l'Agriculture 2016.

Le 06/03/2016

Dans SPIRITUALITÉ.

   Il y a quelques jours, j'avais synthétisé ma position, relativement à la situation plutôt catastrophique, pour certains, où se trouve l'agriculture, aujourd'hui.

 

"Plus le tracteur est haut, plus l'agriculteur s'éloigne de sa Terre".
 
 Ce matin, jour du Seigneur, moi, je retrouve mes pinceaux, et il est probable que ça sera mon prochain calligramme.
 Peut être que certains se demande sur lequel je bosse, là, aujourd'hui, sur un qui me titille, depuis pas mal le temps:
 
 "Je n'ai jamais voulu être soldat".
 
Qu'on peut rapprocher, à une phrase que j'avais dite, il n'y a pas si longtemps, au sujet d'une remarque que j'ai deja entendu dire, au sujet de ma mère, c'est à dire que c'était ce que l'on nomme "une femme de devoir".
 
 Dire ça, à une femme, pour moi, une le compliment le plus pervers qui soit, parce que ça traduit, en fait, tres exactement, ce que je ne veux jamais devenir.
Entendons nous bien, il n'est pas question, là, de nier la notion de devoir, bien evidemment, mais de se l'entendre dire, d'autrui, y compris, de l'homme qui vous aime, surtout, je dirai, ou de vs enfants, consiste simplement à pretendre, qu'à leurs yeux, c'est bien le seul prix, et la seule valeur, qu'ils vous accordent, et c'est en ce sens, que pour moi, c'est la pire des insuktes, qu'on puisse dire à une femme.
 
 Nous les femmes, savons ce que nous avons à faire et à ne pas faire, pour mener à bien, les "chantiers", que nous avons en route, et surtout, quand et comment nous devons procéder, en notre fort intérieur, pour "cultiver notre jardin interieur" et ainsi maintenir l' équibre dans ce que nous sommes, au plus profond de nous, et mener à bien notre entreprise.
 Apprendre à être égoïste, quelquefois, et apprendre à dire NON, aussi étrange que ça puisse paraitre, quand repose sur nous, aujourd'hui, autant de défits, est la chose la plus fondamentale à apprendre, pour éviter se nous trouvées broyées, par les hommes au désespoir.
 
 pour en revenir à la visite des Evêques, au salon, et considérant les propos que je viens tenir,  je leur demanderai bien  "où sont les femmes"....
 
 Version Patrick Juvet, tant qu'à faire.
 
 Oui, je sais, si l'on considére que le taux de suicides dans le milieu agricole, pourrait sembler, je suppose, aux yeux de certains, un domaine "ors humour", je considére moi, que tous les moyens sont bons pour faire chier tout le monde et la ramener sur le sujet.
 Certes ça ne resoud rien, sur le plan politique, mais au moins, ça fait parler, et le sujet, commence à être serieusement abordé, par Benureau,  entre autre, qui est en spectacle, en ce moment, à Paris.
 
 Aptres tout, chacun soutient la filière porcine, comme il le peut.
 
 Certains achètent du saucisson, d'autres en font des sketches, d'autre enfin, mangent de la salade de boyaux de cochon, avec persil et echalottes, à chacun sa méthode, "pourvu que ça mousse".
 
 Pour les Evêques, je ne suis pas encore allée voir.
 
 
 Bon, je suis allée voir.
Juste pour infrmation, je ne suis pas vraiment certaine, que les agriculteurs, aiujourd'hui, aimment à la messe, ou soient pratiquants, "plus assidus", ou "plus croyants", que celà.
 Je pense même que beaucoup y vont, pour assoir leurs position sociale (permettez ? J'en viens, alors, je sais de quoi, je parle)....
 Et que l'agriculteur, quia e  racheté toutes les petites fermes, au alentours,   se rejouissant, du fait,d e es avoir bouffés, soyez sans crainte, sa CULTURE c'est bien sur l'Eglise catholique, qu'il l'assoit, et quelquefois aussi, son racisme et sa xenophobie aussi.
 
 Oui, je sais, je ne suis pas tres "charitable", sur ce coup là.
 
 Excusez moi, mais si Charité, il y a, en ce qui me concerne, j'ai une prédisposition à la réserver à ceux qui la méritent, et qui crèvent la gueule ouverte, du milieu agricole, ou pas, plutôt qu'à ceux qui les ont bouffés.
 
Voilà, ce que c'est "une femme de devoir", et sans soutane.....
Bon, sinon, pour information, je n'ai moi, absolument rien, contre cette demarche, et je les pense particulièrement sincères, dans leur démarche.
 
 Quand aux pauvres cons, qui pratiquent l'agriculture industrielle et intensives, qui ont eu juste les rognons bien couverts, au bon moment, pour participer jooyeusement, à la destruction de nos paysages, et de nos terroirs, qu'ils sachent que les emmerde, moi, Françoise Niel Aubin, fille d'agriculteur,  et conchonnier, comme on disait, jadis,  et que s'ils vont à la messe, que ce soit à Chartres, ou ailleurs, "pour se donner bonne conscience", qu'ils ne s'y trompent , pas, il n'ya guère que eux,  qu'ils menent en bateau, et personne d'autre.
 
 Car c'est ainsi,  (que les hommes vivient ?)chacun va à la messe, pour des raisons qui lui sont propres, et ça n'est pas en faisant bonne figure, en étant généreux au denier du culte, ou  se mettant dans la poche, tel  Evêque ou tel autre, infrzquenttable, version, marion le pen, qu'ona une attitude Noble,  et qu'on rehausse, l'image de l'Eglise cathlique, aujourd'hui.
 
 Visiblement, certains Evêques, "ont des couilles", si vous me permettez l'expression, ce qui n'est pas necessairement le cas, de tout nottable, qui se  croit INTOUCHABLE, simplement, parce qu'il est "dans la place", ou plein au as....
 Sur ce, je retourne à mes pinceaux.
 
 Et surtout "faite gaffe", parce que plus haut est le tracteur, et moins on voit la Terre, mais le pire, c'est qu'à ne plus la voir, on finit par tomber, et quand elle, n'est plus reconnue, ça fait nettement plus mal.
 
 Et si vous doutez, faite donc analyser quelques uns de vos cheveux,"qu'on rigole".
 
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