Je lis qu'on envisage, un procès canonnique.... "la bonne blague".
Et depuis quand la justice divine, doit elle se substituer, à la Justice des hommes ?
Le pape François a été formel sur le sujet, (à ma demande), il a bien précisé, qu'en aucune façon, un Evêque, ne devait "couvrir", un prêtre, qui aurait été acci usé de pédophilie.
Dans le cas en question, il s'agit de scouts, à l'epoque, et plusieurs scouts, qui ont la quarantaine, maintenant, ses sont reunis en association? ils ont parfaitement raison? c'est exactement, ce qu'il faut faire.
Bien sûr, il pourraient aussi, s'dressrer, à l'association, AIVI, qui les aiderait, ça ne fait aucun doute.
Mais l'ommerta est si puissante, au sein des religions, sur le sujet, et le sujet si délicat, que le fait de se fédérer via une association, me semble véritablement, salutaire.
Dans ce cas, en particulier, le probleme est le suivant.
Les premières victimes, elles, se sont manifestées, à Mgr Decourtray (décédé en septembre 1994)".
Mais si ces faits lui ont été rapporté, sous le couvert de la confession, ou bien qu'ils aient été rapporté, sur une simple lettre, comme on dt vul gairement, "c'est un coup d'épée dans l'eau";
PIRE, pour moi, ce sontdes faits, d'une extrême gravité, parce que les victimes, de bonne foi, ont lancé unveritable appel au secours, appel qui non seulement, n'a pas été entendu, mais a été nié.... Ainsi, entre le moment, où l'Evêque en a ér té informé, et le moment, où la decision de l'ecarter, a été prise, ce dernier a pu continuer à faire des victimes, avecl'entière bénédiction, de l'Evêché.....
Car les raisons pour lesquelles ces faits, ont été rapportés, sont doubles. d'une part, la victime souhaite, qu'il y ait reparation, mais surtout......
ELLE DESIRE QUE LE PRETRE NE PUISSE PLUS SEVIR ET FAIRE DE VICTIMES.
Ensuite, temps qu'à faire, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin, "pensez donc".
Je cite:
Le cardinal Barbarin, (je rappelle qu'il est dans les petits papaiers de marion maréchal le pen) en tête de cortège des anti-mariages pour tous en 2012, "a reçu les premiers témoignages au sujet de ce prêtre à l'été 2014:
Il a donc demandé que soit conduite une enquête, avant de prendre l'avis de la congrégation pour la doctrine de la foi.
Attendez, mais on s'en tape, complètement, de ce que l'Eglise en pense, de cette affaire, d'accord ?
ON S'EN TAPE !
C'est à l'issue de cette enquête et de cet avis, et quoique les faits reprochés soient anciens, qu'il a décidé de lui retirer toute forme de ministère au 18 mai 2015", avait ajouté le diocèse.
Ensuite, je cite :
L'association conteste en partie cette version en affirmant qu'une ex-victime, prénommée Laurent, s'était manifestée auprès du diocèse dès 2011.
CONCLUSION.
Entre 2011 et l'été 2014, le prêtre a pu continuer à violer les scouts, avec la couverture pure et simple, des autorités ecclésiastiques....
J'en déduis donc, moi, que le Cardinal BABARIN, est coupable de non assistance à personne en danger.
Régle numéro 1....
Quand vous allez porter plainte, c'est au commissariat, ou la gendarmerie, qu'il faut aller. il faut y aller, avec un temoin, et jamais seul, pour le cas, ou le gandarme soit tenté de glisser l'affaire sous le tapis.
Régle numéro 2.
Si vous souhaitez en informer, la Hierarchie ecclésiatique, il est impératif, d'écrire par un pli recommandé, etSTRICTEMENT UN PLI RECOMMANDE,et surtout pas une lettre recommandée, parce qu'on peut vous retorquer, au tribunal, que l'enveloppe était vide.
Moi, je recommande à toutes les victimes, d'aller porter plainte, et d'adhérer à l'association, c'est extrêmement grave.
Pédophilie: les évêques français affirment pratiquer "une politique de fermeté"
Mieux lire ça que d'être aveugles !
Je copie colle l'article, et je commente.
La conférence des évêques de France a assuré samedi tenir une "politique de fermeté" envers les actes de pédophilie commis par des prêtres, alors que la justice a ouvert une enquête pour non-dénonciation de crime visant notamment un cardinal.
C'est bien, je suis parfaitement d'accord, pour moi, il est clair qu'il y a non assistance à personne en danger.
L'instance représentative des évêques français "réaffirme la politique de fermeté menée par les évêques de France depuis plus 15 ans sur ces questions de pédophilie", indique un communiqué qui souligne sa "volonté de coopération complète avec la justice".
Ha non non, la preuve est faite, selon les teloignages, que non seulement, les Evêques en question, n'ont absolument rien fait, pour proteger les enfants, qu'ils aient été victimes, ou qu'ils aient été susceptibles, d'être en contact, avec le prêtre, mais qu'en plus, ils les mutent, dans d'autres Evêchés ! INCROYABLE.
Elle assure le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon (est) et deuxième personnage de l'Eglise catholique en France, "de son soutien et de ses prières".
je vais tenter de rester polie, d'accord , Vous savez où il peut se les coller, ss prières, ce sadique ,
oui, j'ai bien dit, sadique.
Parce que pour information, ces actes de pédophilie, il avait parfaitement conscience, à l'époque, de l'extrême gravité, des retombées psychologiques, sur les enfants des familles, qui étaient confiés aux scouts, d'accord, et jusqu'à preuve du contraire, ça n'est certainement pas avec des prières, qu'on protege un enfant d'un violeur, mais comment il fait ce connard, pour l'être autant, mais c'est pas possible, il prend des cours du soir ?
Alors attendez, je suis enervée, là d'accord ?... Ok certains vont se dire, "quand même elle exagère, peut être, qu'il y a quelque choses, qu'il n'avait pa compris, ou peut être, qu'ila cru bien faire"...
ha oui, c'est sûr, "ila cru bien faire"......
Comment vous dire;
Mais ces enfants, là, qui se sont adressé à l'Evêque pour le dénoncer, et leurs parents, comment imaginez vous donc, qu'ils aient vu la situation, à l'époque, dites moi ?
Et aujourd'hui, quel regard portent ils, sur ce pervers, qui comme bien d'autres Evêques, soit dit en passant, se contentent de muter le prêtre coupable....
En gros, c'est carrement, la benediction des autorités religieuse, pour recommencer ailleurs, ce qui s'est produit, à chaque fois.
Le prêtre en question, a dit, parait il, qu'il ne recommencerait plus... ha lala..... c'est sûr, s'il a dit qu'il ne recommencerait plus.
Un pédophile, c'est un malade mental.... Il recommence toujours. La faible chance, qu'il ait de guérrir un jour, ça ne peut être, d'une part, qu'en étant jugé, vis à vis de sa victime ou de ses victimes, et ensuite, d'avoir conscience de sa pathologie et enfin, d'accepter de se faire soigner.
Ensuite, EVENTEULLEMENT, il peut guerrir. mais ça, ce sont les psyc, et les medecins, qui sont en capacité de le dire, et personne d'autre... ça n'est certes pas avec des prières qu'on soigne un malade mental....
Le parquet de Lyon a ouvert une enquête préliminaire après des plaintes pour "non-dénonciation de crime" et "mise en danger de la vie d'autrui" déposées par des victimes d'un prêtre, Bernard Preynat, récemment inculpé pour des agressions sexuelles commises il y a plus de 25 ans.
Je précise que moi, j'ai demandé il y a bien longtemps çà ce que la loi de prescription, soit carrément supprimée, et je m'en explique.
Les ravages psychologiques, dus à des traumatisme sexuels, sont d'une telle gravité, que les repercussions, vont en s'empirant, au fil des ans. Le fait de ne pas réagir sur le coup, comme de ne pas s'opposer ou de ne pas se debattre, s'appelle en psychologie, le phénomène de sidération. c'est un processus qui est très bien connu, dans le milieu animal, entre un prédateur (prédateur sexuel, là, en l'occurence), et sa proie. C'est une attitude parfaitement reflexe, qui se produit, quand on a le sentiment de mort imminante. En gros, comme on voit qu'on va mourir, on fait le mort, pour se faire passer comme tel, les souris font ça, devant un chat, par exemple, qui va la croquer. Moi, j'ai fait ça, quand ça m'est arrivé.
Ce comportement a a été notamment parfaitement décrit, lors des différents témoignages, qui ont été recueillis, lors du massacre, que nous avons helas connu, au Bataclan. Plusieurs rescapés l'ont raconté.
Ces victimes accusent plusieurs responsables du diocèse de Lyon, parmi lesquels le cardinal Barbarin, de ne pas avoir dénoncé ce prêtre à la justice après avoir été informés de certaines de ces agressions, et de l'avoir laissé en poste au prétexte qu'il disait les regretter.
Une des victimes a confirmé à l'AFP avoir déposé une série de plaintes visant le cardinal, deux responsables du diocèse, ainsi qu'un haut responsable du Vatican, le cardinal allemand Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, que Mgr Barbarin a consulté au sujet de cette affaire, et son secrétaire.
Vendredi soir, le cardinal Barbarin a pris acte "avec gravité" de l'ouverture de l'enquête, assurant que lui-même et le diocèse coopéreraient "avec sérénité et confiance avec la justice".
Oui, c'est ça, "collaborez", et ne venez pas nous faire chier, avec votre jutice divine, parce que vous allez m'entendre.
Je rappelle juste que c'est aussi ce tocard, à qui l'on donne la parole, pour prendre parti contre le mariage pour tous.
Mercredi 15 mars 2016.
Le cardinal Barbarin, se débat comme un Diable dans un bénitier.
Il prétend, lui, ne jamais avoir cautionné en quoi que ce soit, la pédophilie, qui pourtant lui avait été dénoncée.
MENSONGES.
Un prêtre, et à plus forte raison, son suppérieur irerarchique, représente bien plus, que n'importe quel autre mentor psychologique, puisqu'il a la prétention, aux yeux des parents, des enfants concernés, de représenter une caution morale.
C'est aussi grave, que si c'était un enseignants.
Je ne sais plus qui a dit, enfin, c'est une citation célèbre, qui explique, que ce qui est grave, dans la lutte entre le Bien et le Mal, c'est que ceux, qui ne prennent pas parti, pour lutter contre le mal, sont plus responsables, encore, par leur inaction, d'avoir laissé, les acteur du mal, agir, par mutisme et immobilisme.
Et s'il est un cas, précisément, où cette parole soit sensée, c'est bien pour lutter contre le crime, et la pédocriminalité.
Ainsi, quand moi, je prétends, qu'il y a de toute évidence, non assistance à personne en danger, je pèse mes mots.
Partout, dans n'importe que district, de n'importe quelle religion, quand un prêtre, ou n'importe quel oficiant, se rend coupable, de tels actes, il est absolument impératif, parallèlement, à la plainte déposée en gendarmerie, d'envoyer un pli recommandé, et surtout pas une lettre, car on pourrait prétendre qu'elle est vide.
UN PLI RECOMMANDE dont vous gardez précieusement le récipissé, ça va sans dire. Ensuite, vous pouvez rencontrer, l'evêque concerné, par le secteur, pour envisager, la suite des opérations, dont je devrai, moi, en principe, ne pas avoir à me mêler.
Mais pour information, jusqu'ici à chaque fois, qu'un prélât, ait vu, l'un de ses prêtres dénoncé, je dis bien à chaque fois, le prêtre a été démis de ses fonctions, et changé de diocèse, autant dire, "changer le loup de bergerie".
IL FAUT QUE CELA CESSE.
Qaund le cardinal Barbarin, prétend, lui, ne jamais avoir cautionné les actes pédophiles, je regrette, mais par son silence, vis à vis des victimes, AUSSITOT, l'interprétation, des victimes, elle, a du ne laisser aucun doute, et leur pense, a laissé croie, au minimum, que le clergé, n'y accordait,absolument aucun credit, ni aucune importance, ce qui signifie bien que c'est l'inverse de la bienveillance, justement.
Ensuite, un prêtre pédophile, c'est une chose.
Mais un prêtre pédophile, n'a aucune raison de considérer que seuls les enfants, dont il avait la charge, puissent eux, être ses seuls victimes, A PLUS FORTE RAISON UNE FOIS QU'ON LUI A RETIRE SA CHARGE.....
Ainsi, une fois, "rangé", et mis à l'abris, j'aimerai, moi savoir, selon quel critère, et comment, ce cardinal, ait pu garantir, que ce prêtre, n'ait pas a git ailleurs, dans son cercle familial, chez des amis, ou chez des voisins...
Et oui.
Moi, quand j'ai pété les plombs, au bout de quelques mois de thérapie, le necessaire avait été fait.
Mon psy, n'en était pas revenu, je m'étais dit, "il est à la maison de retraite, et alors ?"
Qu'est ce qui peut me certifier, qu'il ne continue pas ailleurs, dans un autre endroit, chez des amis, quand il sort ?"
Donc, j'avais rédigé un plis recommandé, le même, un pour le brigadier de gendarmerie, à Barentin, à l'époque, pour lui signifier, que s'il recommeçait, il serait tenu pour responsable.
Et un autre, pour le directeur, de la maison de retraite.
J'avais eu l'occasion, moi, d'avoir au téléphone, une employée de la maison de retraite, et je lui en avais parlé, parce que je savais que valide, il sortait.
Elle m'avait repondu, que j'avais bien fait de les en informer, de telle sorte, que controlant ses sorties, elles, puissent avoir la certitude, que le lieu, où il se rendrait, ne le mettrait pas en contact avec des enfants.
En aucune façon, on ne peut prétendre, avoir une posture bien intentionnée sur ce problème, sans avoir fait ce travail de prévention, auprès des personnes, qui cottoient ce type d'individu.
Bon, sinon, mes fons limieurs, ont bossé sur le sujet, comme vous pouvez bien vous en douter.
Et puis Sofia Aram, mais je ne retrouve pas le lien.
Je remercie au passage, marion maréchal le pen, qui a eu la franchise de prendre position clairement, sur le sujet, il y a quelque jours.
A l'insatant, on vient de me suggerer, d'envisager la démission du cardinal.... je pense qu'il s'agit d'un mesage, qui emane de Lourdes, puisqu'ils sereunissent sur le sujet, aujourd'hui; Il est 16h 21. oui, je pense que la demission s'impose. Enfin, moi, elle semeblerait coherente.
Enfin, pour finir sur le sujet, pour l'instant, je l'ai entendu dire, ce matin, que son souci aujourd'hui, était le devenir de ces victimes, j'ai été prise, d'un rictus que rarement des prêtres, m'aient inspiré !
En effet, ce qui serait souhaitable serait plutôt, de se soucier du devenir des enfants, qui leur sont confiés, plutôt, que de celui des victimes, qui seraient infiniment mieux secourues, il me semble, par des psychologues, "que chacun sache rester à sa place, et les brebis seront bien gardées".
Bon, comme je ne peux pas repondre sous l'article, je le fais ici.
Quand on fait la remarque, que Monseigneur Barbarin, soit accusé, parce qu'il était à la tête de la manif contre le mariage pour tous, n'influence pas, pour moi, mon jugement, même si je trouve coherent qu'on puisse le penser.
Le lien, qui existe entre l'un et l'autre, tend à mettre en évidence, une forme de conservatisme, qui peut vraiment, par son décalage, quand à la réalité des faits, sembler particulièrement rétrograde, et demontre que l'Eglise n'est pas à la hauteur face aux évolutions, de notre société.Ca oui, je le reconnais, et mêeje l'affirme.
Ensuite, la comparaison, avec un chef d'etablissement, l ne peut pas vraiment être prise en considération, puisque pour qu'il reagisse, il faut deja, que la plainte ait été deposée, et si c'est le rectorat, qui en est avisé, c'est à lui, ensuite, de faire redescendre, les consignes, sur le chef d'etableement. il me semble, sauferreur de la part, que desormais, c'est chose, faite.
Si d'aventure, un chef d'etablissement, n'est pas informé du fait, qu'un de ses enseignants, se soit rendu coupable de tels actes, je ne vois pas comment, il pourrait prendre des mesures.
Ensuite, on parle encore une fois,desdelais, entre l'acte, et la plainte deposée. Je connais ce problème mieux que personne, helas.
La raison, c'est que cet acte est tellement grave, qu'on a le sentiment, d'être mort(e)... On est aussi, peu le savent, écrasé par une forme de culpabilité, culpabilité qui est le plus souvent brandie par l'entourage, pour taire les faits, et faire passer la victime, pour un menteur, et un afabulateur.
Pour cette raison, je sais, moi que de porter plainte, c'est un acte difficile, alors, j'ai proposé que les prélèvements, soient mis sous scellée, et congelés, de telle sorte, que simplement, les faits soient notifiés, et que cette plainte ne puisse alors être déposée, que quand la victime se trouve suffisamment requinquée, pour affronter les suites judiciaires.
Pour moi, ça serait un progrès considérable.
D'autre part, j'ai demandé aussi, à ce que la période de prescription soit supprimée, elle vient je crois, d'être doublée pour d'autres faits, mais pas pour la pédophilie.
Je vous recommande d'autre part, le site, AIVI, qui vient au secours des victimes.
Et si le cardinal Philippe Barbarin était en fait pris en otage dans un combat contre l’église sur les questions sociétales? Régis de Castelnau s'interroge...
Le cardinal Philippe Barbarin, en 2013, à Lyon (Photo : SIPA.00657323_000043)
"Alors comme ça Monseigneur Barbarin, cardinal et primat des gaules, serait pédophile ? Eh bien dites donc ! "
Deja, ça commence mal ! On ne l'accuse pas d'être pédophile, on l'accuse, par son mutisme, de "non assistance à personne en danger", ce qui est plus grave, selon le diction, "qui ne dit mot, consent".
Avec une telle attitude, un pédophile n'a qu'à entrer dans les ordres, et l'affaire est dans le sac, "ni vu ni connu", il ne serait jamais inquiété, non mais on va où, là ?
Mais là, où ça devient franchement comique, pour ne pas dire,"cosmique", c'et que certains cathos, je suppose, s'en prennent à la marque.... INCROYABLE.
Moi, je n'ai qu'un commentaire à faire, qui est le suivant:
"Qui seme le vent, récolte la tempête".
Et puis franchement, passer du statut d'accusé de non assitance à personne en danger", à celui de simple bigleux, en dehors, de l'aspect assez comique, il faut bien le reconnaitre, on est vraiment tres loin, de la moindre insulte ou calomnie. Et en plus, il porte des lunettes, effectivement. mdr.
"Ce prêtre, qui exerce à l'époque à Rodez, dans l'Aveyron, est condamné au printemps 2007 à dix-huit mois d'emprisonnement avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans pour agressions sexuelles commises sur des étudiants dans un foyer dont il était responsable".
S'il y a eu plainte, de la part des victimes, et qu'il ait été condamné, ça signifie donc, qu'il y ait eu, agression sexuelle.
S'il y a eu agression sexuelle, il y a eu, alors, "chosification" des victimes, ressenti classique, dans la chair des victimes.... d'où le traumatisme.
Certes, d'une part, nulle part, le mot VIOL n'avait été évoqué par qui que ce soit, ni par les victimes, ni par les juges....d'où la sentence, plutot clémente, le "sursis".
Quand il était prétendu, hier, que nulle part, il n'avait été question de pédophilie, à l'époque, c'est effectivement parfaitement exact, il faut le reconnaitre.
Ensuite :
Les victimes étant majeures, il ne s'agit donc pas d'actes de pédophilie.(parfaitement d'accord) Lorsqu'il arrive dans le diocèse de Lyon « en 2008-2009 », il est vicaire, avant de devenir curé d'une paroisse.
Ensuite :
Dans l'entourage du cardinal Barbarin, on ne juge pas la condamnation incompatible avec sa mission pastorale.
Et bien ils ne sont pas bien difficiles, dites moi ! C'est le moins qu'on puisse dire. Mais enfin, sur ce point, chacun est libre de penser ce qu'il veut.
« Il ne devait pas être en internat, mais le juge d'application des peines n'a émis aucun avis négatif par rapport à un ministère paroissial », confient les proches du cardinal.
Bon, là, je dois avouer, je suis moi, absolument morte de rire.
Et oui, j'imagine la scène, au tribunal, "pensez vous que malgré les actes, dont il s'est rendu coupable, il puisse être nommé dans une paroisse ?", autant dire, "simplement être curé".
Je vais vous dire, moi, pourquoi, je suis morte de rire.
C'est que la question aurait du être simplement, "pensez vous que le COUPABLE (appelons le par le nom qu'il mérite), puisse présenter le moindre danger, s'il était appelé, à s'occuper d'enfants".
Ce qui est incohérent, c'est qu'on se soit reposé, sur le juge, pour répondre, relativement, au futur professionnel, et sacerdotal du prêtre, et pas sur l'avenir de l'homme, au sens le plus basique... Voilà, où est le HIC, d'ailleurs, j'imagine que le juge, a du trouver assez saugrenu, qu'on lui pose le problème sous cet angle...
Enfin, je veux dire, depuis quand les juges sont ils habilités, au sein de l'Eglise, à statuer, si oui, ou non, untel ou untel, puisse être nommé curé ?
INCROYABLE.
Alors, entendons nous bien, je suis la première à gueuler comme un putois, quand on nous emmerde, avec la sacro sainte justice divine...Et je remercie chacun, de veiller, à ce qu'on ne nous emmerde, plus avec ça... MERCI A TOUS...
Mais franchement, de là, à aller pousser le processus, vers l'extrêmité opposée, qui consiste à demander au juge, si tel coupable ou tel autre, peut, ou ne peut pas être nommé curé, dans une paroisse, alors, là, je dois dire, que franchement, si je n'étais pas éventuellement vulgaire, quelquefois, pour secouer le cocotier, je dirai que ça me troue le.....
Non, mais vraiment, je vous assure !
Ensuite :
"De là à bénéficier d'une promotion ? En 2013 – l'année même où le père Preynat est mis en examen pour des soupçons d'agressions sexuelles –, le prêtre est promu doyen par le cardinal Barbarin. Mgr Barbarin connaissait-il le passé judiciaire du prêtre qu'il a décidé de promouvoir ?
Et oui, voilà, c'est vraiment là, que se touve le problème.
Parce que si le coupable a été condamné, et même s'il ne s'agit pas effectivement de pédophilie, il n'en s'agit pas moins pour autant, d'un prédateur sexuel, n'en déplaise à son entourage, que je plains sincèrement.
En réalité, c'est bien là que se trouve l'énorme problème, c'est que le fait de cette "promotion", suggère une interprétation des faits qui lui sont reprochés, comme n'étant pas "si graves que celà.....
Et ça, pour moi, c'est vraiment très grave.
Pour moi, il s'agit de ce que l'on nomme en psychologie, un MENTOR TOXIQUE.
Et j'ai des preuves, là, pour le coup.
C'est que si ce monsieur avait eu des relations sexuelles, même s'il ne s'agissait que d'attouchements avec ces jeunes, qui n'étaient plus des enfants, dans une relation d'égal à égal, jamais, je dis bien jamais, ces jeunes n'auraient porté plainte.
Ors, ces plaintes ont été déposées ! CE QUI PROUVE BIEN QU'IL Y AIT EU ABUS DE SON STATUT vis à vis d'eux.....
On est là, sur le plan psychologique, exactement, dans le même contexte, qu'un mentor toxique, version crime sexuel.... Même s'il ne s'agissait pas de pedophilie, effectivement.
Alors, soyons clairs, pendant qu'on y est.
Moi, je suis la première à revendiquer le fait que les prêtres, et les religieuses, aient droit à une vie sexuelle, c'est comme ça, je suis aussi, pour la mariage des prêtres, et pour qu'il y ait le plus de Diacres possible, aussi, je tiens juste à préciser, que ma posture ne tend pas à envoyer bouler, la hierarchie catholique, dans la gestion de ce qu'il faut bien appeler, une crise majeure....
Mais enfin, il faut tenter d'être objectifs, et honnêtes, je vous prie.
Aujourd'hui, les catholiques connaissent parfaitement la position de l'Eglise sur la sexualité, dont je soupçonne fortement le pape François (bien inspiré, je vous remecie) de désirer voir ces sujets, être moins tabous, qu'il ne l'ont étés jusque là.....
Autant je suis la première, à cautionner un prêtre, qui est tombé amoureux d'une paroissienne, et qui veut rompre ses voeux, ou je ne sais quelle situation alambiquées, qui serait reprouvée, par l'Eglise, autant j'ai le regret de vous informer, que ce type de "tolérance", moi, m'inquiete considérablement, et je n'ai aucune doute, sur le fait, que bon nombre de paroissiens, pensent comme moi, pour information.
Il parait que ses paroissiens, sont parfaitement au courant, et n'y trouvent aucun ombrage....
Excusez moi, j'ai un peu mal au lèvres, oui, celles du haut.
Et bien super, on organise au sein de la paroisse, un grand camp de scouts, alors, et qu'ils leur confient leurs enfants, et petits enfants, et on verra bien au nombre d'inscription, combien leurs confieraient leurs chères petites têtes blondes, qu'on rigole cinq minutes, d'accord ?
Ses proches ne souhaitent pas s'exprimer sur la question. Dernièrement, raconte encore Le Parisien, ledit prêtre, aujourd'hui âgé de 55 ans et auteur d'une chronique sur une radio chrétienne, répondait à la question : « Qu'est-ce que le péché ? »
Et bien écoutez, sur ce point, "le débat est ouvert" ! (oui, merci, je vais m'y coller, si ça peut faire avancer le debat, je ne demande pas mieux).
Vendredi 18 Mars 2015.
Entendu aux infos, hier matin, une déclaration de monseigneur LEBRUN, Evêque de Rouen.
Il a fait une déclaration, ces jours derniers, expliquant que lui même avait du faire face, à ce type de problème plus qu'épineux, posture, venant de lui que je comprends parfaitement.
Il a expliqué qu'alors, s'etant lui, référé au procureur de la République, ce dernier lui avait alors, demandé de maintenir ce prêtre en place, dans le but de disposer de d'aventage d'éléments, pour constituer un dossier à charge.
Je précise, que dans cette déclaration, entendue hier, il n'était mentionné aucune date.
Il importe d'avoir cette notion en tête, parce que cette prise de conscience, du problème pédophile, à la quelle nous assistons, pas uniquement au sein des Eglises, mais de façon générale, n'existe vraiment, que depuis 2000, environ, c'est à dire, "depuis que je me suis pointée", et oui....
Alors, j'imagine que certains seraient tentés de dire, "mais enfin, ça n'excuse pas tout"...
Mais il n'est nullement question d'excuser quoi que ce soit, mais plutôt, d'avoir conscience, qu'à une époque antérieure, alors même que si individuellement, la volonté, d'oeuvrer pour défendre les victimes, était bien réelle, la sousestimation des conséquences véritables du problème, générait une lenteur adminitrative et juridique, alliés à une profonde incompétance, souvent, des magistrats, faisaient, que pour ces personnes, quelquefois, de réelle bonne volonté, les prises de position, tendaient à se trouver, de telle sorte qu'aujourd'hui, elles senbleraient déplacées....
Il fau revoir le contexte, à l'époque, je veux dire.
Comme aucune date, n'était donnée, hier, pour ce qu'a dit notre Evêque, je ne peux, moi, me prononcer sur ce cas en particulier.
Maintenant, aujourd'hui, en pareil cas, un procureur qui réagirait ainsi, à mes yeux, serait parfaitement repréhensible.
Seule la victime elle, peut porter plainte... Mais sur ce point, déja il n'est pas certains qu'il soit souhaitable, qu'il en soit ainsi.....
Et quand bien même.....
Le procureur, lui, a pour devoir, d'intimer l'ordre à un juge, de traiter une affaire, ou de corriger une affaire, qui pour une raison, ou pour une autre, aurait été mal jugée, ou jugée de façon tronquée, ce qui est mon cas, au sujet de la tutelle, pour information.
Pour ce qui concerne un cas de pédophilie, qui lui serait révélé, je considère moi qu'il doit appliquer, en urgence, ce que l'on nomme "le principe de précaution".
C'est à dire, que le "soupçonné" (car il ne s'agit pas d'accusé, ou de pédophile), doit être démis de ses fonctions, sur le champs, en attendant, que les investigations soient menées, et continuer à percevoir son salaire.
Je parle là, de personnes, qui sont en contact avec des enfants, dans un contexte professionnel. Donc, aussi, en ce qui concerne un prêtre.
Je tiens à préciser que les professionnels de santé, qui travaillent sur ce sujet, sont parfaitement compétants, pour parvenir à dicerner, si ces dires, sont fondés, ou pas....
Si je donne ces infos, c'est parce que nous savons tous, aussi, qu'il arrive que de tels soupçons, soient galvaudés, aussi, via les reseaux sociaux, comme je viens d'ailleurs, d'y bosser au sujet de Daniel Chon Bendit, et qu'il n'est pas rare, aussi, dans le cercle privé, au sein d'une famille recomposée, par exemple, de voir un beau père au dessus de tout soupçon, accusé à tort, dans le seul et unique but, d'assouvir, des désirs de vengeances....
Ces cas, seraient plus courants qu'on ne le croit, aussi, est il prudent d'avoir à l'esprit, qu'un sujet aussi sensible, fait l'objets, de tentatives de manipulations, des plus perverses, y compris, en politique....
De là à penser qu'il en soit de même, au sujet des prêtres pédophiles, je sais que ça ferait bien l'affaire de l'extrême droite, aujourd'hui, qu'il en soit ainsi...
Helas, j'ai le regret de vous annoncer, sur ce point, une bien triste nouvelle.
Que les bouffeurs de curé, aillent se faire foutre aussi, les victimes de prêtres pédophiles, elles, sont bien réelles, et je ne peux imaginer une seule seconde, que leurs accusations, soient de cet ordre.
Oui, je sais, pour le conseiller du pape, relativement au problème de pédophilie.
J'ai une profonde admiration, pour notre pape François, comme chacun sait. Aussi, je me dois moi de faire mon devoir, et de pointer du doigt l'indubittable incohérence, qui consiste à avoir maintenu, à son poste, un evêque qui est lui même accusé d'avoir fermé les yeux, sur certains cas de pédophilie, qui lui avaient été pourtant dénoncés.
Le positionnant aujourd'hui, alors, dans la même accusation de "non assistance à personne en danger", et que ce dernier en soit encore à occuper, un poste de conseiller, auprès du pape François, au moment où je vous parle, est pour le moins supect.
Je sais, que notre Pape, a d'autre part renoncé jusqu'à maintenant, à condamner lui, monseigneur barbarin, comme ça devrait pourtant être le cas....
Je n'ose imaginer, que ce manquement, ne soit le signe d'un laxisme, ou d'une réelle volonté de minimiser, le problème de la pédophilie, au sein de l'Eglise catholique, aujourd'hui, pour la simple raison, que ça serait parfaitement contraire aux valeurs, qui ont érigé le pape François, à une si grande popularité.
Un article dans le journal le télégramme, ce matin, je copie colle, et commenterai, dans la journée.
La pression ne cesse de s'accroître sur le cardinal Philippe Barbarin, qui se débat dans la tempête depuis des révélations d'agressions sexuelles dans son diocèse. Une nouvelle affaire est venue le fragiliser encore davantage, hier, même si certains défendent aussi les efforts de l'Église contre la pédophilie.
L'archevêque de Lyon, figure majeure de l'Église de France, n'en finit plus de se débattre dans la tourmente médiatique et même politique. Après le Premier ministre Manuel Valls, qui lui a demandé, mardi, de « prendre ses responsabilités, de parler et d'agir », sa secrétaire d'État à l'Aide aux victimes, Juliette Méadel, est allée plus loin hier, en jugeant que le départ du cardinal serait « la moindre des choses ».
Oui, je suis parfaitement d'accord, avec cette posture.
Chaque jour ou presque apporte une nouvelle accusation, même si le troisième cas, révélé mercredi, semble différent des deux premiers. Selon le porte-parole de l'épiscopat, Mgr Olivier Ribadeau Dumas, cette affaire concerne un prêtre du diocèse de Rodez « condamné à 18 mois de prison avec sursis pour des gestes déplacés sur des majeurs, il ne s'agit donc en aucun cas de pédophilie ». Le prêtre a ensuite « été nommé dans le diocèse de Lyon » afin de « protéger les victimes », a expliqué le prélat, assurant que l'archevêché est même allé « au-delà des recommandations du juge » d'application des peines.
Des réactions trop tardives
Les plaintes pour non-dénonciation visant l'archevêque de Lyon sont très embarrassantes pour l'épiscopat qui pensait s'être mis au clair depuis la condamnation d'un évêque, en 2001, et découvre aujourd'hui qu'un gros travail reste à accomplir concernant des faits anciens. Le cardinal Philippe Barbarin est accusé d'avoir réagi trop tard dans l'affaire Bernard Preynat, du nom d'un prêtre mis en examen pour des agressions pédophiles de scouts lyonnais entre 1986 et 1991. Une nouvelle plainte touchant l'archevêque a été déposée, en février, par un haut responsable au ministère de l'Intérieur, concernant des atteintes sexuelles qui auraient été commises par un autre prêtre lyonnais, suspendu mardi.
Les soutiens au cardinal se mobilisent
L'épiscopat, réuni en assemblée à Lourdes, affiche à la fois sa « compassion » pour les victimes d'actes qui ne bénéficient, selon lui, d'« aucune prescription morale », et son « soutien » au cardinal Barbarin, l'une des plus éminentes figures du catholicisme français, réputé proche du pape François.
Pour moi, il est juste parfaitement illogique et incohérent, de soutenir à la fois les victimes, et simultannément, un Evêque qui s'est rendu coupable de non assistance à personne en danger.
Les pressions politiques passent cependant mal chez certains catholiques.
L'écrivain et journaliste Jean-Pierre Denis se dit ainsi « surpris » par ces « atteintes à la laïcité, à la séparation des pouvoirs et à la présomption d'innocence ». Il estime que la tempête tient aussi à la figure du cardinal Barbarin, conservateur sur l'avortement, la famille et la fin de vie, et qui ne craint pas la lumière médiatique.
Si je puis me permettre une "saillie", j'accuse, monsieur Jean Pierre Denis, qui saisit là une occasion, je suppose, de se faire sa pub, comme quoi, certains n'hésitent pas à surfer sur les dos des victimes de pédophilie, c'et une posture, qui trahit pour moi, une réelle mauvaise Foi.
« Il a pris des positions très fortes contre le " mariage pour tous ", faisant à l'époque quelques gaffes.
Ha oui, ça, c'est le moins qu'on puisse dire. Pour information, je conçois fort bien que l'on soit contre, mais encore faut il apporter, face à moi, disons les choses crument, des personnes intelligibles, et sensées, ce qui n'était pas le cas.
On essaie aujourd'hui de le lui faire payer », estime le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire La Vie. Refusant tout « déni », face à la pédophilie, l'abbé blogueur Pierre-Hervé Grosjean souligne que « ceux qui ont l'honnêteté de regarder la réalité en face voient l'évolution de l'Église, qui est aujourd'hui claire sur ces faits, la façon de protéger les victimes et la volonté que cela ne se reproduise pas ».
Bon, ok, admettons, qu'aujourdhui, la posture de l'Eglise, soit d'être vraiment claire, admettons.....
Mais c'est juste oublier une notion absolument fondamentale qui réside dans le fait que les victimes, elles, passées ne sont pas des personnes, qui ont été meurtries, et complètement détruites à l'époque uniquement, mais bien, jusqu' maintenant, et ça n'est certainement de l'affaire de l'Eglise, que d'y pouvoir grand chose, croyez moi.
Tenir cette position, encore, est une preuve incontestable, d'une meconnaissance absolue, sur les conséquences psychologiques des tels crimes, et moi, ça me révolte.
En gros, on leur conseille gentiment, de devenir amnésiques, quoi, comme on dit vulgairement, "j'hallucine".
Quand au prétexte de vouloir "casser du barbarin", il faudrait peut être envisager les choses, sous un autre angle.
Quand on est médiatique, on part du principe, qu'on va s'en prendre "plein les mirettes", d'accord ? Si tant est que barbarin, ait les mirettes en question.
Il n'exite absolument aucune personne, dans la sphère médiatique, quelque soit le secteur concerné, que ce soit, dans le domaine artistique, ou politique, qui ne se retrouve confronté, et je trouve ça parfaitement légitime, à des propos, ou des positions, qui seraient susceptibles, de mettre en évidence, des incohérences, pas necessairement à charge, soit dit en passant, mais qui en tout cas, tendraient à vouloir signifier, que la cohérence du discours, se doit, de correspondre à la cohérence des actes, ou des choix politiques. Enfin, dans la mesure du possible.
Je veux dire par là, que la non assistance à personne en danger, dont est accusé, monseigneur barbarin, est effectivement liée, à sa vision, plus que rétrograde, de sa vision de la famille, et que sa posture, JUSTEMENT trahit entièrement son incapacité à considérer le crime sexuel, au sein de l'Eglise, comme il devrait pourtant l'être....
Moi, je vais bientôt sortir du placard, enfin, j'ose espérer, et quand je serai connue, si je dis quoi que ce soit sur quelque sujet que ce soit, qui soit incohérent, je l'assumerai, et je trouverai ça, logique et normal qu'on vienne me le reservir.
Oui, je sais, on dit tous des conneries, et visiblement, le statut d'évêque, ne dispense pas de la chose.... Je suppose que ce jour là, les voies du Seigneur devaient, à défaut d'être impénétrables, plutôt bouchées, version "les WC étaient fermés de l'intérieur".
Personne ne se trouve à l'abri de sortir des conneries, et je ne fais pas exception, mais moi, quand on me met, le nez dans mon caca, je vais jusqu'au bout, et j'assume.... Je n'ai jamais rechigné, pour information, et depuis fort longtemps, à reconnaitre mes torts, ou recnnaitre mes erreurs, c'est bien la seule chose à faire, quand on sait, qu'on ait fait une connerie, ou tenu des propos, qui aient généré, des choses pas jolies, (c'est un euphemisme).
Pour faire avancer certaines idées, on prend des coups, on appelle ça, "le courage politique".... Le courage politique, ça consiste aussi, à reconnaitre ses torts, et moi, ça, j'en suis parfaitement capable, contrairement à lui, visiblement.
Odon Vallet : « Une gestion insuffisante »
Mai 2017, seul le pape François, au sein de son Eglise, a le courage de prendre le problème à bras le corps.
Petites précisions.
A l'intention, de ceux qui consderent que peut être, je n'en fais pas assez sur le sujet....
Moi, je suis, sur ce point, parfaitement réparée, et depuis longtemps.
Ensuite, le pedophile dont j'a été victime, ne m'a pas agressé dans un contexte qui était mêlé au fait religieux, ni de près, ni de loin.
Mais comme ce crime fait helas partie de mon histoire, et que ar ce fait, je le connais mieux que d'autres, je soutiens les victimes.
Conformèment à ma demande, les victimes de pédophiles dans un contexte religieux ont mené leur chemin par le biais de leur association, et je continuerai à les soutenir.
Pour l'heure, je donne des nouvelles, de ce que j'entends.
Pour commencer, Barbarin.
Bon, je ne trouve aucun article, sur le sujet, mais j'ai entendu aux infos, que l'association avait demandé à ce que cette affaire que je qualidfierai de "non assistance à personne en danger", soit rejugée.
Le diocèse de Lyon prend acte que plusieurs des victimes du P. Bernard Preynat intentent une nouvelle action judiciaire contre le cardinal Philippe Barbarin et plusieurs de ses collaborateurs pour « non dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs » et pour « non-assistance à personnes en péril ».
Je pense qu'ils ont parfaitement raison.
L’enquête préliminaire ouverte pour les mêmes raisons avait pourtant été classée sans suite au 1er août 2016, après plusieurs mois d’investigations, de perquisitions et plusieurs dizaines d’heures d’auditions.
Le diocèse de Lyon regrette qu’une nouvelle action de justice ait été préférée à un dialogue, pourtant plusieurs fois proposé par les autorités diocésaines à la Parole Libérée. Comment comprendre ce recours judiciaire alors même qu’il ne semble justifié par aucun élément nouveau ? Le Procureur de la République de Lyon avait, dans un avis, particulièrement motivé, jugé qu’aucune infraction n’avait été commise par le cardinal.
Et bien être procureur de la République, n'epêche pas l'incompétance, visiblement.
La question de la prescription évoquée par la Parole libérée, ce 23 mai 2017, n’était pas la justification du classement sans suite rendu par les magistrats du Parquet le 1er août 2016. Ils avaient en effet estimé que le cardinal Barbarin n’avait nullement entravé les démarches de la justice.
Oui, c'est un fait, mais justement, ça n'est pas suffisant !
Par définition, un prêtre, et plus encore, un cardinal, représente dans l'inconscient collectif, une caution morale, je dirai même, un chef spirituel, qui entrave plus encore que n'importe quelle autre institution le désir de Justice, qui aurait dû, effectivement, se materialiser, par ces dépots de plaintes.
Le parquet avait noté par ailleurs que les personnes concernées étaient majeures lorsqu’elles ont pris contact avec le diocèse et qu’elles « ne présentaient pas un état actuel de vulnérabilité ou de faiblesse de nature à les empêcher de révéler personnellement à la justice les faits subis par elles-mêmes ou par d’autres enfants, durant les années 1980-90 ».
Bon, alors, là, je dois dire, que je suis vraiment ulcérée de lire que sous pretexte, que l'etat psychologique des victimes, n'aient pas semblé traduire suffisemment leur souffrance, les crimes dont ils ont été victimes, auraient du faire l'objet d'une considération moindre, qui plus est, devant la Justice.
Faut il donc, qu'une femme ait tenté de mettre fin à ses jours, pour justifier que le viol, qu'elle ait subi, ait vraiment eu lieu ?
Un crime est un crime, et seul la description, de celui ci, par les fait, doit le définir. Ce que je trouve tres inquiétant, c'est que cette remarque à elle seule, me semble bien traduire, une volonté délibérée, de minimiser la gravité des crimes dont il est question, et ça, je trouve ça, profondément inquiétant.
Par ailleurs, le Procureur de la République soulignait que plusieurs des personnes mises en cause avaient déclaré « avoir invité les plaignants à des dépôts de plainte ».
Et oui, je comprends bien, mais la pression, qu'ils subissaient était plus forte, et là, encore, on surprend le procureur, dans une incapacité totale, à juger du contexte psychologique, qui pervertit, la reltion, entre les victimes, et les violeurs, quand ils sont dans un environement proche.
Je n'ose imaginer, comment ce dernier, juge une affaire d'inceste, ou des enfants, sont violés, par leurs parents, et qu'il est incapable de comprendre, qu'il soit difficile de porter plainte, mais qu'est ce qui m'a foutu, un incompetant pareil ?
Lire ici la décision intégrale du classement sans suite prononcé le 1er août 2016 par Monsieur le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Lyonhttps://www.doctrine.fr/d/CA/Lyon/2016/DE201608011
Si le diocèse de Lyon comprend le désir de justice des victimes du P. Preynat et leur regret de ne pas avoir porté plainte à temps, il ne peut que déplorer un acharnement qui se trompe de cible et qui disperse les énergies inutilement au regard de l’objectif commun : la lutte contre la pédophilie.
Le cardinal Barbarin veut redire à chacun sa disponibilité, son désir de rencontrer les victimes qui le souhaitent et sa détermination à lutter avec toute la société française contre ce fléau. Il prie pour chacune des victimes, connues ou inconnues, et il appelle les catholiques à s’unir à lui à cette intention.
(Je viens de travailler, plus d'une heure sur le sujet, mais un bug, a fait disparaitre la totalité de mon travail).
Vendredi 7 juillet 2017.
Je sais, il s'est passé bien des choses, encore, sur le sujet, ces derniers temps, au sein du Vatican, sur ce sujet, et je n'ai pas encore réagi.
La raison en est pourtant simple, je ne peux pas être partout.
Je vais sur le journal "LA CROIX", qui est une référence, et voilà, sur quoi je tombe.
Je n'en sais pas plus, je n'ai pas la possibilité d'avoir l'article.
Je sais que certains chretiens, sont tres mal à l'aise, avec cette histoire de pedophilie, au sein de l'Eglise catholoqie.
Plus precisement, ils ne sont pas mal à l'aise, avec le phenomène pedophilie, ils sont mal à l'aise, avec le fait, que le papae François, ait décidé d'y mettre bon ordre.....
C'est vous dire, l'ampleur du problème.
Je ne sais pas si les voies du Seigneur sont impenetrables, mais visiblement, les victimes, elles, l'ont été, "pénétrables", je veux dire, et visiblement, tant que ça ne "touche" pas certains de pres, au sein de leur famille, "ma Foi", pourquoi aller leur chercher des noises.
Mais enfin, "passons", le fait, que j'aborde le sujet, va emettre le probleme dans l'actualité.
Quand je pense que celui qui se pend pour le Roi Soleil, aurait la prétention de mater la presse, et certains médias d'investigation, qu'ila ccuse, mine de rien, de jouer les fouilles merde, je rappelle simplement, qu'il n'ya qu'en investigant, que l'on trouve certaines anomalies, et que ce sont precisement, ces anomalies, qui sont à l'origine, de la loi, sur le transparence politique, même si la nouvelle ministre de la Justice, prefere, parait il, défendre la notion, d'ethyque.
Je ne comprends pas qu'on puisse, dans un pays démocratique, jouer à remettre en cause, l'investigation journalistique, parce que c'est le seul moyen de pointer du doigt, des anomalies du systême, et d'ainsi, avoir la pretention politiquement, dans le cadre d'un programme, que l'on soit au pouvoir ou que l'on soit dans l'opposition, de proposer des alternatives, pour y remédier.
Pour ce qui concerne donc, les problèmes de pédophilie, au sein du Vatican....
21 Mars 2018, c'est FR3 qui s' 'y colle et donne la parole aux victimes, avec l’émission, "un silence de cathédrale".
Il est probable que bon nombre de catholiques, vont se trouver choqués qu'on foute les pieds dans le plat, ou plus précisément, dans le benitier...
On n'a guère le choix, pour information, puisque faisant un sondage aupres des catholiques, à la sortie de la messe, on realise que 70% environ, préfèreraient qu'on n'ébruite pas la chose, mais quelle horreur, et quel mépris, envers les victimes.
Alors, oui, pour vous foutre le nez dans votre merde, (je ne parle que de ceux qui sont dans le déni, je précise), on va le faire.
Et une fois que vous aurez bien le nez, dans votre merde, je ne vous donnerai même pas un kleenex, pour que vous vous mouchiez !
Ha, c'est sûr, ça risque de piquer, hein, mais ça piquera tellement moins, qu'une vie antière, bousillée, par un vieux c vicelard, et pediphile, qui a choisi, de faire prêtre, pour a ssouvir ses pulsions, pedophiles....
Vous vous en remettrez, ne vous inquietez pas, serrez les fesses, c'est tout.
J'avais deja entendue cette religieuse, sur France inter, je crois, et j'éprouve un grand plaisir, ENFIN, à entendre le son de la voix d'une femme, sur ce sujet, là où tout le monde admet à quel point, ce sont elles, qui officient le plus pour assurer le bon fonctionnement de l'église de France.
Je ne vois rien à redire de plus à son analyse, que je trouve fort honnête et mesurée, ce qui, je dois l'admettre, n'est pas un challenge si difficile à relever, devant l'énormité de la crise, que traverse l'église de France.
Je dois préciser une chose cependant, à la question qui lui est posée, et qui est la suivante: "comment expliquez vous, qu'un certain nombre de femmes qui sont actuellement aux responsabilités, au sein du Vatican, démissionnent en si grand nombre ?
Question à laquelle, elle n'a pas pu répondre, ce que je comprends, parce qu'elle aurait pu être perçue, comme mettant en difficulté les femmes dont il est queston.
Mais je me permets, moi, d'émettre certaines hypothèses.
La confiance, pour moi, c'est "sacré".
Oeuvrer dans l'ombre, n'est toujours facile à assumer, intellectuellement, quelque soit les oeuvres, les motivations, ou les causes qu'on défend, et ce, bien au delà du cercle religieux, quelque soit la religion, dont il serait question.
On pourrait probablement observer le même phenomène, dans un mouvement politique quand le dirigeant ou quelqu'un d'exposé médiatiquement, et sensé représenté le mouvement est surpris, le doigt dans le pot de confiture, à moins, que ça ne soit devant un millésime, ou devant un homard aussi outrancier, que les oceans sont pollués....
Ne pas jouir d'une forme de reconnaissance peut éventullement être accepté, quand la donne à été entendue, largement en amont, comme c'est le cas, je suppose, au sein de l'église...
Mais si en plus, on réalise que ceux qu'on sert trahissent la cause dont il est question, c'est parfaitement cohérent, qu'on soit homme ou femme, d'ailleurs.
Il n'est pas exclu d'ailleurs, que certains au sein du Vatican, tentent de harceler, certains ou certaines, si d'aventure, ils ou elles, auraient tendance à trop penser, et parler.
"Pédophilie perverse", comme s'il existait une pédophilie, qui ne le serait pas, je ne crois pas....J'appellerai plutôt, cette pédphilie, comme "opportuniste".... C'est rare, mais ça n'est certainement pas au sein de l'église, ou de n'importe quel culte, qu'on la rencontre.
Ce que j'en pense ? Que c'est là, une très bonne chose.
Que ça sera insiffisant, aux yeux de certains, sans aucune doute... Que ce soit trop, pour d'autres, logique et cohérent, quand on observe, qu'au yeux, des traditionnalistes, ces accusations de pédophilie, seraient sans fondement, et que ces plaintes n'auraient en somme, aucune raison d'être.
Généralement, ils sont évangelistes, et en bonne voie pour le devenir.
Je trouve interpellant, d'observer que l'église catholique passe outre, le phénomène de prescription, contrairement jusqu'alors, à la Justice des hommes...Il faudra veiller, cependant, selon l'ampleur que prendra le phénomene, à ce qu'il n'y ait pas d'abus...
Car oui, les escrocs sont partout, et au sein de l'église, tout autant.
Aussi, il ne serait pas etonnant, d'observer certains, ou certaines, devenir des victimes de pédophilie, là où précisément, ça n'aurait pas lieu d'être.
Je vois donc, que par ce fait, la Justice de l'église catholique, revendique le fait de faire mieux que la Justice des hommes.
Je ne vois rien à y redire, "pour le moment", ce qui n'est pas dit, que ce soit acquis, pour le futur proche, ou plus lointain.... Mais ceci m'interpelle, à différents niveaux.
D'une part, la lecture que certains, croyants, et (ou), pratiquants, ou pas, pourrait faire, serait que l'Eglise chercherait par ce biais à se refaire, une sorte de virginité, face à la Justice des hommes, et que par ce fait, d'une certaine façon, elle, "reprendrait la main", quand à la priorité, qui lui serait de nouveau accordée...
Loin, de moi, l'idée de remettre en cause, une évidente Bonne Foi.
Chats échaudés, craignent l'eau froide, et d'avoir vu pendant des siecles, à quel point, l'église ait été instrumentalisée, pour jouer les pervers manipulateurs, vis à vis de la communauté des croyants, pour mieux les soumettre, avec la bonne vielle méthode, du Dieu à la foi, père fouettard, et bienfaiteur, selon la vitesse du vent, et l'age du captaine, il convient, d'être sur ce point, particulierement prudent....
Et oui, car si l'ambiance générale, tend à la réelle bonne volonté de faire le ménage dans un clergé qui a largement perdu la boule, et depuis longtemps, force est de constater, qu'on n'est, du coup, pas à l'abri, de quelques communutés intégristes, ou frisant une réelle volonté de ne surtout rien voir bouger, de persister, à protéger des prêtres pédophiles, au sein de leurs communautés, au prétexte justement, que le message envoyé, par cette histoire d'indemnités versées aux victimes de pedophilie, signifierait, que tout repart à zéro, version, "on ne change donc rien"....
Ou si vous préférez, que cette histoire d'indemnité, ne soit lu, que comme une volonté, d'assimiler la pédphilie, au sein de l'Eglise, comme au fond, n'étant pas si grave"....
"On efface tout, et on recommence... PAREIL".
Ne jamais oublier, la parole malheureuse de Barbarin sur ce sujet, qui en disait long, sur le non dit, à ce sujet.
Encore une fois, je me rejouis, de cette décision, mais penser que ça résoudrait tout, serait faire preuve, d'une grande naïveté, et il y fort peu de chance, que si des dérives, ou des problèmes, peuvent voir le jour, suite à cette décision, il ya fort peu de chance, que ces problèmes, viennent des victimes, elles même.
Alors, commen faire, pour ameliorer, le système ?
Moi, ce qui m'importe, c'est aussi, au delà, des victimes, de determiner, et de sa voir, ce que sont devenus, et deviennent, les prêtres, qui ont été coupables, jugés, comme tel, que ce soit ceux, qui coulent des jours paisibles, au sein des comunautés... ou que ce soit, une fois relâchés, dans la nature...
Car un pédophile, qui est dans le déni, qu'ils soit condamné, ou qu'il ne le soit pas, peut recommancer, n'importe quand, avec n'importe quel enfant... et en dehors de l'eglise, une fois qu'il en a été rejetté...
QUID DE CES PEDOPHILES ?
Le probleme reste entier, apres a voir purgé sa peine, et je pense à Dutroux, en Belgique.
Mais au sein de l'église, il en va de même..... Ben oui, je sais, je suis bien chiante, hein, avec mes questions, et bien, je suis là pour ça, FOUTE LA MERDE, ne vous dérangez surtout pas pour moi, je continuerai d'ouvrir ma grande gueule, sur le sujet, ou sur nimporte quel autre, aussi longtemps, que necessaire ! soyez en sûrs.
ROUEN, pédophilie au sein de l'église, l'archevêque Mgr Lebrun "demande humblement pardon".
Le problème, en matière de délinquance sexuelle, de façon plus générale, n'est pas la victime, si je puis dire, mais "prendre le mal à la racine", à savoir, le pédophile.
Parce que monseigneur Lebrun, pour qui j'ai une réelle estime, ne parle que des victimes, pour qui le consensus ne peut en aucune manière, être discuté.
Il en va tout autrement des coupables, vis à vis desquels, précisément, on sait bien peu de choses, notamment, en ce qui concerne le cas le plus courant, j'ose espérer, où les faits sont prescris, parce que les révélations ou confessions au diocèse, ont trop tardé..... Est ce que rien ne change, et qu'ils continuent, à filer des jours, heureux, aux "vieux prêtres", à BONSECOURS ?
Ou sont ils remis, dans la vie civile, comme n'importe quel autre pédophile ?
D'autre part, j'ai vu passer sur internet, il y a quelques jours, une declaration de monseigneur Lebrun, qui informait, qu'il avait reçu, depuis que "la parole libérée", a révélé au grand public, cet enorme probleme, au sein de l'eglise, il avait reçu une dizaine de lettre, pour denoncer donc, des pedophiles, au sein de l'eglise, donc, plus recents, visiblement.
On peut donc en conclure que dans chaque diocèse, il doit en être tout autant, aproximativement.
Et oui, suis je bête, c'est pour ça, que Thomas a fait sonner mon téléphone, pour ne pas que j'oublie de poser le lien de l'émission, qui y a été consacré jeudi soir...
Il est vrai que j'ai toujours fourrré mon nez, là, où ça dérange.
Mais si l'on m'avait affirmé, un jour, que la Justice elle même, que mon avocat, et que mon coach, lui même, en personne, se ligueraient contre moi, pour me museler, afin que je ne puisse plus lutter, contre ce que j'ai toujours détesté...Jamais, je ne l'aurai pensé.
Je ne sais pas ce qu'il adviendra de moi, j'ai le sentiment que jamais, je ne parviendrai à pardonner, à tous ceux, qui depuis toutes ces années, ont veillé, si méticuleusement, à m'ecraser, pour mieux observer, telle une souris de laboratoire, avec quelle ruse, je parvenais à me relever, TOUJOURS.
Aujourd'hui, c'est par une décision assassine, qui émane de la juge des tutelles elle même, alors que je n'ai eu de cesse, que de lui dénoncer en quoi, et comment, la curatrice de l'UDAF, pratiquait, sur moi, les pires tortures psychologiques, en n'appliquant pas ce que la juge pourtant, lui avait indiqué.
Je pourrai vous la faire théatrale, selon la chanson de Barbara, en vous disant courtoisement, "et je m'en vais sereine".... Il va bien se trouver un crétin, pour s'en contenter, non ?
Mais ça serait trop d'honneur, que je vous ferai là, et je ne crois pas que le fantôme de Barbara, apprecierait.
Je pourrai aussi, vous resortir, la chanson de Anne sylvestre, sur "les gens, qui doutent"... Et qu'on s'évertue, inmaquablement, à me recoller sous le nez, en la personne de Jeanne Cherhal, Vincent Delerm, et Albin de la Simone.... C'est juste oublier, que de souffrir est infiniment plus acceptable, et concevable, quand on ne vous enferme pas dans un rôle qu'on vous impose.
Aurait elle, elle même ecrit cette chanson, si elle avait été dans la situation, que l'on m'impose, depuis toutes ces années ?
Personne ne le sait, et Anne Sylvestre, pour qui j'ai bien plus que du respect, elle même, ne le sait pas d'aventage.
Je m'excuse de ne pas être aussi forte, que beaucoup le voudraient, je ne suis qu'une simple femme, qu'on s'evertue à transformer, en vielle conne mal baisée..... Et je ne crois pas être responsable, en quoi, que ce soit, du sort que l'on m'impose.
Des lors je n'ai plus d'autre alternative, que de rentrer en moi, afin de lêcher mes plaies, pour une durée indéterminée, puisque l'énergie, qui a été mobilisée, pou porter ma souffrance, les 40 années premières de ma vie, là voilà de nouveau mobilisée, pour cette même raison, énergie, que de facto, je ne puis donc plus donner, vers l'extérieur....
Comment vous dites ?
Consulter un psy ?
Mais j'ai fait, bien sûr.
Le psy, et la psychiatrie, cautionnent entièrement, les méthodes de barbare, de Thomas Fersen. ils les cautionnent tellement, qu'ils souhaitent, non pas me mettre sous neuroletiques, de nouveau, mais sous antidépresseurs.
Quand je pense que je suis assez conne, pour avoir écrit mon histoire sur le sujet, ces derniers jours, pour avoir la certitude, qu'il ne restait rien de douloureux, entre eux et moi, je n'en reviens pas de ma naïveté.
J'attends toujours, depuis plus d'un mois, qu'il me fixe un RV avec la psychiatre, principe que j'ai accepté, mais qui visiblement, semblerait, lui poser à lui quelques problèmes de conscience...
Je souhaite bien du courage, à la profession, pour envisager la moindre collaboration avec moi, quelque soit le sujet, désormais".
Maison Blanche, le 4 janvier 2018. (CARLOS BARRIA / REUTERS)
franceinfo avec AFPFrance Télévisions
Mis à jour le 04/01/2018 | 23:39
publié le 04/01/2018 | 23:17
La sortie du livre de Michael Wolff, Fire and Fury : Inside the Trump White House, s'annonce explosive.La sortie de l'ouvrage sur les coulisses de la Maison Blanche,initialement prévue mardi, a été avancée à vendredi, ont annoncé, jeudi 4 janvier, son auteur et son éditeur, qui n'entendent pas renoncer à la publication.
"Et voilà. Vous pouvez l'acheter (et le lire) demain. Merci, monsieur le président", a lancé Michael Wolff dans un tweet.
Au lendemain de la parution d'extraits ayant suscité une vive controverse, les avocats du président américain ont adressé un courrier à son auteur et à Steve Rubin, président de la maison d'édition Henry Holt and Co. leur demandant de "cesser immédiatement" sa distribution, évoquant, entre autres, la diffamation.
Le livre de Michael Wolff raconte combien la première année au pouvoir de Donald Trump fut marquée d'abord par une forme de "chaos" permanent sur fond d'intrigues autour d'un président raillé par ses propres collaborateurs. La Maison Blanche a dénoncé "les mensonges ridicules" d'un ouvrage truffé de "ragots de tabloïd".
Certes, il serait pour le moins tentant, de s’en réjouir….
Mais avant de s’en réjouir, il me semble plus opportun, encore, d’y regarder à deux fois, sous différents angles.
Pour commencer, « qui a écrit ce livre », et pourquoi ?
Un homme dangereux, et toxique, au sens où politiquement, il est le meilleurs soutien d’une extrême droite américaine, proche du KU KLUX CLAN, et de toute forme de suprématistes blanc…. Autant dire, en ce qui me concerne, « nos pires ennemis ».
Certains alors, doivent se dire, « mais enfin, pourquoi, venant de lui, un tel revirement ?
C’est vrai, ça tiens, « pourquoi, un tel revirement, au point, qu’il devrait à mon avis, faire très attention à sa peau, parce que ces gens là, les suprématistes blancs, sont adeptes des armes à feu, et donc, des intérêts qui s’y rapportent… Et je ne serai pas surprise, qu’il ait reçu quelques menaces de ses anciens amis ».
Pourquoi ?
Parce que à l’extrême droite, TOUJOURS, on ne fait de politique que pour LES MAUVAISES RAISONS…
C'est-à-dire, gagner toujours plus d’argent, et uniquement cela…
Epouser une cause idéologique, n’a pas pour ambition, de véhiculer des valeurs, en aucune façon, mais d’avoir conscience de quelles valeurs, il importe de se draper, pour parvenir soit à gagner plus d’argent, encore, soit, se faire élire, on nage là, en plein populisme, c’est d’ailleurs, la véritable définition, qui doit en être faite.
Côté altruisme des valeurs en question, on est juste au niveau de la fausse à purin, à peu prés au niveau du caniveau.
Pour « ces gens là », d’ailleurs, le mot VALEUR, c’est un raisonnement de financier, et pas un raisonnement de philosophe, d’auteur, d’où le nom du journal VALEURS ACTUELLES ici, en France, c’est sous l’angle financier, que ça doit être entendu, puisqu’ils n’entendent (au sens comprendre), que cela.
Alors, « chez eu », ils doivent se dire, je suppose, « mais enfin, quelle mouche l’a donc piqué…
Bon, la mouche, en principe, c’est MOI.
Je dis bien « en principe », et pourtant, moi, je n’ai rien fait que d’ecrire, et faire des vidéos, je vous promets, moi, ce monsieur, je ne le connais absolument pas !
D’autres, dans leur rang, doivent se dire, « mais quel salaud, et le principe de loyauté alors ? Apres ce qu’il avait fait pour lui ».
Bon alors, là, on arrive dans le caviar de la moralité, et de la bienséance.
D’une part, ce monsieur, était déjà bien établi, socialement, il me semble, et j’ai des doutes, sur le fait, qu’il eût été si nécessaire, pour lui, d’être encore plus mis en avant.
Ensuite, un dicton, dit, « Dis moi, qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es ».
Je veux dire, que quand on fréquente des personnes, de basses moralité, il ne faut pas ensuite, s’étonner de voir, que les méthodes peu recommandables, qu’on observait chez l’autre et qu’on trouvait si drôle, pour s’en prendre au clan Clinton, à la belle époque, d’avant présidentielles, ces méthodes donc, le pseudo ami, il les a dans son ADN politique…
Je veux dire que quand on va faire son marché, dans le caniveau, on trouve ce qui s’y trouve, et on vient pas ensuite, chialer sa mère.
Une autre hypothèse, serait qu’il ait fait un deal, avec un juge, dans l’hypothèse, oùil aurait lui aussi, des problèmes avec la Justice américaine.
C’est une hypothèse, qui tiendrait la route, effectivement, sauf, qu’il y a une autre hypothèse, à la quelle je crois, plus crédible encore, qui réside, dans le fait, qu’observant, comment, ça se déroulait, sous ses yeux, il ait véritablement pris conscience, de l’extrême gravité de la situation.
Je suppose, que certains, là, doivent se dire, que je choisi, cette opportunité, moi aussi, par opportunisme, ce que je peux comprendre….
Moi, j’imagine simplement, que cet homme, a peut être des enfants, et des petits enfants, et qu’il a juste envie, peut être, puisqu’il n’est pas si jeune, de voir ses petits enfants, évoluer dans un monde, où lui, en temps que politique, a le devoir de rendre compte, véritablement, d ce qu’il a vu, pendant cette période….
Car il est une chose, que les puissants, eux, refusent d’observer, c’est que cette histoire de réchauffement climatique, et toutes ces conséquences, quelque soit la richesse du monde de l’entreprise, peu importe… Ils feraient comment, pour en jouir, si autour d’eux, il n’y a plus que le chaos ?
Je veux que si aujourd’hui, au moment, où je vous parle, si l’on observe, qu’il existe autant de puissants, d’entreprises du CAC40, ou multinationales, aux USA pour dire, haut et fort, à la face du monde, « ce que trump, tente d’empêcher, nous, le feront à sa place » ? il arrive inévitablement, un moment, où autour du président, lui, même, certains se posent les bonnes questions….
Si je donne la parole à mon nez de clown, il rajoutera même, « vieux motard que jamais ».
(clin d’œil à qui vous savez…)
Parce que pour information, de tout ce qui est révélé, dans ce livre, il n’ya absolument rien de fantaisiste, mais au contraire, de plus que plausible.
La panique à bord, une fois élu, comme celle qui était lisible, chez jean marie le pen, quand il s’est retrouvé élu, pour le second tour des présidentielles, et que Jospin, avait été évincé et que cette panique avait été notée de tous, ce qui montre bien, les véritables raisons pour lesquelles, ces gens là, font de la politique…. Satisfaire leurs égos personnels, en arrivant au pouvoir, quelque soit la méthode, user de toutes les stratégies possibles et imaginables, au détriment de la moindre morale, ficelles, que trump a toujours, utilisé, depuis le début, et qui sont en train de l’étrangler.
Ce qui est dit, au sujet des amendements, de la Constitution Américaine, est pour le moins explicite, et sonne tellement vrai, qu’il mérite un sketch…
J’explique.
Il se fait expliquer, par la lecture les amendements de la Constitution Américaine… Au bout du troisième amendement, le conseiller constate qu’il n’écoute plus….Et qu’il envoie tout balader, parce que ça l’emmerde.
Et bien si ça t’emmerde, mon gars, et bien laisse la place à quelqu’un de plus patient, et surtout, de plus compétant…
Moi aussi, ça m’emmerdrait, mais moi je ne postulerai jamais, pour devenir chef d’état !
Les pleurs de son eposue… ha, ça, c’est clair, je ne suis pas étonnée, enfin, un soupçon de lucidité, visiblement, qui helas, a bien vite disparu, puisqu’elle n’a rien trouvé de mieux, que de recopier, celui, de Michèle Obama….. Et comme commentaire, quand les journalistes, lui avait fait la remarque, elle n’avait rien trouvé de mieux, que de répondre avec un sourire, aussi naturel, que botoxé….
Enfin, je veux dire, que pour se marier, avec un tel énergumène, qui doit, dans le privé, être simplement aussi épouvantable que capricieux, il faut en vouloir… Elle aussi, n’a que ce qu’elle mérite.
Mais de tout ce qui a été révélé, dans ce livre, enfin, de ce que nous en savons, depuis hier matin, il n’ y a rien, qui laisse supposer, que ça serait diffamatoire….Au contraire, ça colle hélas, avec le profil psychologique, que j’en avais fait, il y a des années de cela.
Avant hier, encore, je regardais une petite vidéo, où il signait un document, la camera est un peu loin, « hélas », mais justement, malgré cela, par le geste de la main, on pouvait y voir, encore, que sa signature, doit faire encore, une largeur en hauteur, parfaitement symptomatique, d’une mégalomanie anormale….
Je veux dire, que quelqu’un, de serein, et de fort, normalement, ne devrait pas signer, un document, où sa signature, fait environ, 4 ou 5 cm de hauteur….
Si un artiste peitre, signe avec des lettres aussi grandes, il faut que le tableau, fasse au moins 5 ou 6 m sur 5 ou 6 m….. On n’imaginerait pas, signer, sur un feuille de format A4, avec des lettres de 4 cm de hauteur. Et bien lui, SI….
Seul les enfant, procèdent ainsi, et c’est normal, un enfant, est en phase de développement, alors, c’est logique…. CQFD.
Il y a bien des années, "je piquais un phare" (pou éclairer, je suppose...), au sujet des prières, que l'on dit, qund on va à la messe.
Je le faisais en parlant à Thomas, bien sûr.
Je suis souvent irritée, observant, quelquefois, que certains disent des prières, mais je pense que c'est le cas, dans tous les cultes, sans même reflechir, aux paroles, dont il est questions.
Quand je vais à la messe, il m'arrive de ne pas dire, certaines paroles de certaines prières, parce que je ne les cautionne pas.
"Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen".
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne soumet pas à la tentation.
(Maintenant)Et ne nous laisse pas entrer en tentation
Mais délivre-nous du Mal.
Amen.
C'est précisement sur cette phrase, que je m'etais emportée, parce que j'avais expliqué à Thomas que de croire en une puissance suppérieure, quelque soit le nom qu'on lui donne,
et considérer que ça serait lui, qui serait responsable, du fait que nous subissions certaines tentations était juste...
complètement stupide.
La notion même de tentation, est complètement tronquée,là, dans cette prière !
Et oui, parce que parler de tentation, de Bien et de Mal, de façon aussi superficielle, que le fait souvent la religion, est immature, comme posture.
Certains mènent une vie parfaitement rangée, dans une forme de train train, dans et d'égocentrisme, ou seul leur nombril, semble les interesser, et puis d'autres, avec le même train de vie, vont décider de tourner le dos à leurs habitudes, à leur culture, à leur religion, aussi, quelquefois, pour prendre un chemin de vie, qui sera plus conforme à leurs valeurs, et où ils seront observés, comme des traitres, face à leurs origines, mais où eux, auront le sentiment, d'être infiniment plus conforme à un chemin de vie ors normes...
Pourquoi vouloir observer la notion de "tentation", comme synonyme d'un désir d'aller vers des plaisirs simples, coupables, et généralement condamnés, par la religion, alors que la notion de Tentation, peut ausssi parfaitement, être reliée au Courage, justement, d'assumer certaines postures, ou certaines prises de paroles, qui vont à l'encontre des conventions.
Prenons un cas concret...
Un enfant, ou un ado, observe dans la cour de l'école, ou du collège, un autre enfant, qui se fait bousculer, par un petit groupe...
Il comprend ce qui se passe, il voudrait intervenir, pour le protéger, ou prendre sa defense,
Mais il n'ose pas.
IL EST TENTE DE LE FAIRE, mais il manque de courage....
Est qu'il va le faire, ou pas ?
Il est tenté de le faire... Là, on voit bien que la tentation, est du côté de l'Empathie, et de la Bienveillance...
Prendre position, pour défendre un faible, dans un sentiment d'Empathie, le sentiment même de Solidarité,
y compris en politique, alors que le vent serait contraire, chez ceux qui sont au pouvoir, relève aussi de la tentation.
Est ce qu'elle est du côté du mal , non, certainement pas.
Il existe bien des notions philosphiques, qui sont ainsi malmenées par les religions, qui souvent, encore aujourd'hui, s'evertuent à vouloir faire passer pour simples, des notions, qui sont en realité bien plus diverses.
Il ne faut pas oublier, que c'est aisi, que fonctionnet les derives sectaires, et les nationalismes, aujourd'hui.
Vouloir, apporter des réponses simples et expeditives à des problèmes compliqués,
voilà, quel est la manoeuvre, qui ne fait que servir l'enrichissement des politiques qui s'en reclament.
Il existe plusieurs types d'arbitrages internationaux.
Celui, qui émane de l'ONU, sachant que certains pays mettent en doute, on ne sait pas exactement, en fin de compte, on ne sait pas si c'est le bien fondu de l'ONU, en eux même, ou si c'est uniquement les raisons, pour lesquelles, ils sont mis en cause...
Je suppose que quand l'ONU pointe du doigt quelque chose qu'on leur reproche, l'ONU, est tres tres tres vilain... Et quand l'ONU, s'en prend à leurs ennemis, d'un seul, ça devient une haute instance des plus respectables.
C'est comme ça, que font les enfants, non ?
"sui qu'il dit qui est".....
Non, c'est pas moi, je vous jure, qui ai trempé les doigts dans le pot de confiture, je veux parler des terres rares, bien sûr, "m'adame, je vous jure".
En attendant, pour résoudre les "conflits de canards qui sont toujours vivants", ou bien "conflits de canard déchainés", on a beau dire, tant qu'on aura pas mis sur pied, la Fédération Internationale de Paint Ball, (FIPB), d'une part, et qu'individuellement, les égos des dictateurs, version Corée du Nord et USA, ne se seront pas réglés, sur le champs d'honneur, à l'ancienne, au lever du jour, avec la brume, et tout et tout.....
Bougez pas, je m'enfile une bonne petite "vodke coca", et je reviens.
On leur colle à chacun, en guise d'épée, de sabre ou de fleuret, un bon vieux couteau à beurre, et c'est moi qui vous dit qu'ensuite, ils feront moins les malins.
La prochaine fois, je vous expliquerai, une autre forme d'arbitrage international, verson "pieuvre opportunistes", et vous allez voir, à quel point on va se fendre la gueule, "à coup de hache".
Sinon, il y en a un autre, qui reprente le ruban blanc, fait avec des lettres, mais qui n'est pas disponible encore sur google. Inspiré par moi, visiblement. On se demande bien pouquoi ...
J'expliquais dernièrement, dans une video, que j'ecrivais un livre, sur la spiritualité, ou plus precisement, sur un approche philosophique, du fait religieux.
J'expliquais, qu'aujourd'hui, certains musulmans remettent en cause bon nombre des versets, qui sont écrits dans le Coran, et passent par les reseaux sociaux, pour m'envoyer leurs remarques, me donner certaines explications, pour que je sois leur porte voie, mais aussi, pour que je commente, ou que ça alimente ma reflexion, dans l'ecriture de mon livre.
Avant hier, donc, on vint me poser ce txte, sur FB.
Il est deja arrivé, qu'on m'explique, ce qui est vrai, que le plus gros probleme de l'Islam, aujourd'hui, reside dans le fait qu'il ne parle pas d'une seule voix? mais qu'au contraire, chaque imama, fasse sa sauce, et donc, "pêche", pour defendre les idées, qui l'intéresse, lui, au détriment d'un discours qui dans l'interêt de tous, devrait plutôt montrer une forme de coegherence générale.
Alors certins me diront "mais enfin, un prêtre dans sa paroisse, il en est tout autant"...
Et bien non, justement.
C'est vrai, pour le prêche, oui, il n'est pas question, d'interdire au prêtre, qu'il impregne de ses idées, sont intervention, pendant le culte.
Mais...
Les textes lus chaque dimanche matin, pendant les messes, sont les mêmes lus, où sont dites les messes.
Et c'est uniquement, le commentaire qui en est fait, qui permet au prêtre, de le developper ou de le commenter, comme bon lui semble.
Il est deja arrivé que je recomande de regarder, le dimanche matin, les émissions religieuses...
Il ne faut pas se contenter de ne regarder que celle qui concernent le culte qui est le vôtre, mais au contraire de regarder, au moins en partie, ou episodiquement, les émissions des autres cultes, y compris, ça va sans dire, celle qui est consacrée à l'Islam, pour diverses raisons.
D'une part, ça permet d'observer de façon absolument criante, les énormes simillitudes, qui existent d'un culte à un autre.
Mais ça permet aussi, d'observer, dans chaque culte, en quoi, pourquoi, et comment, le culte en question entre en raisonnance, et de quelle façon, avec l'actualité.
Un exemple.
Dans l'émission qui est consacrée à l'Islam, je me souviens a voir vu qu'il était expliqué, que les prières devaient être adaptées, au pauses observées, selon le travail...
Et pas l'inverse.
Je veux dire par là, que ce sont les moments de prières qui doivent s'adapter aux lois relatives au travail, et pas l'inverse.
Et si j'explique celà, ce matin, c'est pour repondre justement, au post, qu'on m'a posé, sur FB, avant, hier, et que vous livre.
Je cite:
▬ Lu pour vous ▬
Kamel Daoud (je me suis permise d'aérer le texte, pour une lecture plus confortable).
Jeudi 23 nov 2017.
Je viens de revoir occasionnellement, à l'instant, une émission de Thé ou Café, consacrée à Jeannette Bougrab.
J'avais été particulièrement choquée, après l'attentat de Charlie Hebdo, de voir la façon dont elle avait été lynchée, et qu'on remettait en cause sa relation avec Charb'.
Moi, qui suis une fervente défenseuse de le moindre notion de fidélité, que ce soit dans le couple, ou que ce soit de façon plus large, j'avais observé ce problème aussi, à la mort de Coluche, ou la "légitime", qui avait été mariée au defunt revenait sur le devant de la scène, comme la seule femme digne d'être mise en avant, au seul et unique prétexte, qu'un jour, l'homme en question l'avait épousée...
Ca n'est pas la première, helas, ni la dernière, qui se trouvera broyée, au seul pretexte que l'homme en question, a une vie sentimentale, relativement complexe, et que ce soit la femme, qui se touve rangée au placard de la médisance bien pensante.
"Fermons la parenthèse".
Certains la détestent.
Bon, fort bien, raison de plus pour que je m'y attache, alors, j'admire son incroyable courage, et s'il s'en trouve que ça dérange, qu'ils prennent bien conscience que je les emmerde.
Mais au delà, de ces considérations, à la boutin version islamique, je précise que sa position, au sujet du voile, n'est pas exactement la mienne, même si je la respecte.
Je prétends, qu'une jeune femme qui persiste à porter le voile, ici, en France, ne doit le faire que si c'est son choix, et que nous n'avons pas l'entraver, la manipuler, ou la stigmatiser, pour l'instrumentaliser politiquement.
Je veux dire que la base même du féminisme, consiste justement, à leur laisser le choix d'en décider.
Mais les propos qu'elle tient, sur les jeunes femmes qui sont tentées par le fondamentalisme islamique, est parfaitement opportun, et courageux, quand elle parle de pures inventions, quand on parle d'un retour à un islam, qui serait "pur".
Si l'on observe la métaphore avec le végétal, je rappelle que certaines maladies de certaines plantes, s'en prennent aux racines, elles même, et que si les racines, sont gâtées, ou pourries, la partie qui en poussera, ne pourra être viable.
D'autre part, j'ai regardé un reportage passionnant, sur ARTE au sujet des Républiques banannières, en Amérique centrale. j'y reviendrai, dans un autre article.
La théorie que je développe sur la monoculture, qui est toxique, quand à la faune et la flore, Y COMPRIS QUAND C'EST EN BIO...; Trouve aussi, une correspondance parfaitement judicieuse, si on l'applique, à la multiplicité des cultures, dans un même pays, comme l'est la multiplicité des cultures, dans la nature, vraie, ce qu'on appelle la BIODIVERSITE a donc, ainsi, une véritable correspondance, avec le CULTODIVERSITE. (c'est nouveau, ça vient de sortir).
Il s’agissait, depuis quelques années, d’aborder ce sujet, face à des faits divers, qui mettaient en accusation, souvent des professeurs, face à des élèves, qui se voyaient accusés de pédophilie, au seul prétexte de l’âge de l’un d’eux, et sans jamais tenir compte, du fait, que c’était avant tout, d’Amour, dont il était question.
Je ne suis pas en train d’encourager ce type de comportement, je dis juste que le sentiment véritablement amoureux, entre un adulte, et un ou une adolescente, peut effectivement se produire, et ça n’est certes pas notre couple présidentiel, qui risque de mettre ma parole en doute.
Un des aspects, qui doit attirer, la plus grande attention, que ce soit dans le milieu des avocats, ou dans l’entourage, réside, dans le fait, qu’il peut parfaitement se produire, que des parents, se disent les mieux intentionnés du monde, en qualifiant de viol, par le dépôt de plainte, sur l’acte commis, ALORS QUE LA VICTIME ELLE N’A PAS CE SENTIMENT et donc, PAS CE DESIR, rendant ainsi, traumatique, un acte sexuel, qui ne l’aurait pas été.
Voilà, le danger.
Là, le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est bien loin, de ce genre de situation, puisque c’est la victime, qui est plaignante.
"A 11 ans, on n'est pas consentante." Devant le ministère de la Justice à Paris, mardi 14 novembre, plusieurs organisations féministes dénoncent de récentes décisions de justice dans des affaires concernant des mineures. Début novembre, notamment, la cour d'assises de Melun (Seine-et-Marne) a acquitté un homme accusé du viol d'une fillette de 11 ans, des faits remontant à il y a huit ans. L'affaire a suscité un vif émoi dans l'opinion et relancé le débat sur le consentement sexuel des mineurs : faut-il fixer un seuil, un âge en dessous duquel une victime ne pourra jamais être considérée comme consentante ?
Dans cette affaire, tout débute au mois d'août 2009. L'enfant se trouve en vacances chez son oncle. Elle joue au ballon et fait du vélo en compagnie d'autres enfants, dans la cour intérieure d'un immeuble de Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Sa cousine et une amie viennent l'informer qu'un "grand" veut lui parler. Ce jeune homme âgé de 22 ans se trouve également en villégiature dans le lotissement, chez un proche, mais ne lui a jamais adressé la parole auparavant. "Ils discutent de tout et de rien", raconte Laure Habeneck, avocate de cette jeune fille qui est aujourd'hui âgée de 20 ans. L'homme lui demande où il peut trouver un parc dans les alentours.
La plaignante assure avoir bien informé son interlocuteur de son âge, 11 ans. L'homme affirme qu'elle lui a dit 15 ou 16 ans. La fillette "fait" pourtant bien son âge, affirment par la suite des éducateurs, selon Laure Habeneck. Les deux protagonistes discutent de tout et de rien, tout en se dirigeant vers le parc voisin. "Il la suit, car elle connaît mieux Champs-sur-Marne que lui", raconte Samir Mbarki, avocat de l'homme. "Jusqu'à l'entrée, tout va bien. Ma cliente n'a jamais prétendu qu'il l'avait traînée de force, poursuit Laure Habeneck. Mais d'un seul coup, il s'empare d'elle et tout bascule."
Consentante à 11 ans ?
C'est à partir de là que les versions divergent. La plaignante dit avoir été maintenue, déshabillée et pénétrée. "Elle ne lui dit non à aucun moment, ça se fait naturellement", répond Samir Mbarki.
Et oui c’est bien là, que réside le problème « NATURELLEMENT ? COMME UN ANIMAL EN RUT QUI CONVOITE UNE FEMELLE ET QUI LA PREND,
Ha, ça, pour se faire, NUTURELLEMENT, c’est naturel, c’est sûr.
C’est caractéristique, du viol, par essence, justement, aucun affect, aucun discernement, on dispose du corps de la femme, ou de l’enfant, comme si c’eût été un morceau de viande…
Juste dégueulasse.
"C'est parole contre parole", ajoute-t-il, en pointant l'absence de certificat médical, d'ITT (Incapacité totale de travail) ou de témoins.
Et oui, bien sûr, à 11 ans, effectivement, quand on subit ce genre de chose le cops, lui commence à se transformer, mais mentalement on est encore un enfant.
Ce qui est incroyable, c’est que cette notion de « sidération », que putain de bordel de merde, il va falloir arriver à tatouer, sur le front de tous les humains, ma parole, n’ait encore et toujours, une fois de plus, absolument pas pris en compte !
Alors, on va rappeler de quoi, il s’agit.
Le phénomène de sidération, réside dans le fait, que le sentiment de peur paralyse entièrement, le corps de telle sorte qu’on est incapable de réagir, de hurler, ou d’appeler au secours.
Voir l’exemple que j’ai bien dû raconter environ 20 fais, depuis des années et des années, en divers endroits de mes sites internet, l’exemple de la souris et du chat que j’avais observés, dans mon jardin, il y une vingtaine d’années.
Mais Laure Habeneck est convaincue du caractère contraint de l'acte sexuel. Elle voit mal sa cliente, de nature timide et réservée, tomber dans un tel scénario avec un inconnu. "L'expert-psychologue explique que c'est quelqu'un qui n'exprime pas ses sentiments, jamais." Un enfant issu de ce rapport sexuel est né l'année suivante, en 2010, avant d'être placé. La famille a pris connaissance des faits lors de la grossesse de la jeune fille, selon Le Parisien.
Au moment d'évoquer son histoire, lors de l'audience à Melun, lundi 6 et mardi 7 novembre, la plaignante est en pleurs. Laure Habeneck évoque une jeune femme "très courageuse et digne" : "La défense a décrit la scène comme une initiative d'un rapport sexuel – le premier de sa vie, dans un parc avec un inconnu !". L'avocat général requiert huit ans de prison et un suivi socio-judiciaire, mais l'homme est finalement acquitté des accusations de viol. Citée par l'AFP, la procureure de Meaux explique que les jurés ont considéré que les éléments constitutifs du viol, "la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n'étaient pas établis".
Je regrette , mais pour moi, c’est bien de viol, dont il est question, puisque cet enfant a bel et bien été « prise », par surprise, il y a de toute évidence, abus de pouvoir d’un homme qui se considère comme légitime, AU SEUL PRETEXTE qu’il a un ascendant en âge, et physiquement, pour moi, c’est un viol, et certainement pas une simple agression sexuelle.
"Comment ça se fait que des gens potentiellement parents puissent prendre des décisions comme celle-ci ?", s'interroge la mère de l'accusée, citée par l'avocate. Pourquoi la Cour n'a-t-elle pas retenue la "contrainte morale" ? Depuis 2010, l'article 222-22-1 du Code pénal prévoit que cette contrainte "peut résulter de la différence d'âge" entre une victime mineure et son agresseur. Agée de 11 ans lors des faits, la fillette était-elle seulement en mesure de consentir à un acte sexuel ? "Ma réponse est non", tranche son avocate.
Il n'y a aucun doute possible. C'était une enfant à l'époque. Elle ne s'intéressait pas aux garçons.
Laure Habeneck, avocate de la plaignante
à franceinfo
Mais le texte de 2010 sur la contrainte morale donne une "simple possibilité de définition", nuance Audrey Darsonville, professeure de droit pénal : "C'est une indication". La différence d'âge, seule, n'est aujourd'hui pas suffisante pour qualifier la contrainte. En revanche, la juriste estime que le juge aurait, dans cette affaire, pu et dû retenir le critère de surprise. "Une fillette de 11 ans n’a pas besoin de hurler pour que le viol s’applique, explique-t-elle. On peut considérer que l’état de sidération – qui est un état de tétanie – empêche le consentement."
12, 13, 14, 15 ans... Quelle limite ?
Pour éviter des cas comme celui-ci, de nombreuses associations proposent de fixer dans la loi un âge en deça duquel l'agression sexuelle (ou le viol, en cas de pénétration) serait établie de facto : tout acte sexuel entre un adulte et un mineur en-dessous de ce seuil serait qualifié de viol. "Cette question se pose car la loi est mal appliquée, estime Audrey Darsonville. C’est peut-être aujourd’hui le seul moyen qu’on a de protéger les mineurs." "L'avantage, c'est que l'avocat général n'aurait plus à apporter la preuve d'un défaut de consentement", poursuit Laure Habeneck. L'idée fait aujourd'hui l'objet de plusieurs pétitions et de quatre projets de loi, selon un décompte du Monde. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s'est engagée "sur une loi autour du printemps", au micro de CNews.
Reste à définir ce fameux seuil. Le Haut Conseil à l'égalité propose 13 ans. Audrey Darsonville rappelle qu'un mineur peut être incarcéré à partir de cet âge, en droit pénal des mineurs. "Si l’on considère qu’un mineur de 13 ans est assez mûr pour être incarcéré, on peut considérer aussi qu’il a la maturité suffisante pour accorder son consentement aux relations sexuelles." C'est aussi l'âge statistique de la puberté, précise le psychiatre Roland Coutanceau, coauteur de Victimes et auteurs de violence sexuelle (éd. Dunod) : "L’imaginaire sexuel est révolutionné par la puberté. Une fille ou un garçon prépubère ne cherchent pas dans la sensualité la même chose qu’un(e) pubère."
Mais "la révolution pubertaire" n'est pas suffisante pour "donner un consentement pour une sexualité adulte". Le médecin rappelle que tous les adolescents ne développent pas la même maturité au même âge. "Au-delà du symbole de l'âge, qui permet de donner un message dans le champ social, rien ne remplace l'étude au cas par cas. Il faut encore étudier in concreto chaque histoire, pour comprendre ce qui s'est passé entre les deux protagonistes." D'autres propositions françaises évoquent un seuil à 15 ans. L'Espagne, l'Allemagne et le Royaume-Uni et l'Allemagne ont respectivement adopté des barrières à 12, 14 et 16 ans.
Une requalification en "atteinte sexuelle" possible
On veut faire croire que la cour d'assises a légalisé la pédophilie en France, mais personne ne veut comprendre ! C’est horrible ce que la plaignante a subi, mais cela s’appelle une atteinte sexuelle sur mineure de moins de 15 ans et pas un viol.
Samir Mbarki, avocat de l'accusé
à franceinfo
Récemment, le tribunal de Pontoise (Val-d'Oise) a ainsi acquitté un homme, accusé de viol, dans un dossier similaire, tout en le poursuivant pour atteinte sexuelle. Cette qualification, toutefois, n'a pas été évoquée dans l'affaire de Champs-sur-Marne. Sollicité par franceinfo à ce sujet, le parquet n'a pour l'heure pas donné suite. Un tel délit aurait peut-être pu permettre de condamner l'accusé, mais pour Audrey Darsonville, toutefois, ce terme reste un pis-aller dans ce genre d'affaires. "C'est très injuste pour les victimes car l'atteinte sexuelle postule qu'elles étaient consentantes", analyse-t-elle.
Contrairement au viol, l'atteinte sexuelle n'est pas un crime, jugé aux assises, mais un délit, puni de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, étudiée au tribunal correctionnel. Quand elle n'est pas utilisée à bon escient, il s'agirait donc d'une sous-qualification. "Les juges sont parfois réticents à envoyer des mineurs devant la cour d’assises [pour un crime, le viol], par crainte que leur parole ne soit pas suffisamment entendue par les jurés", explique Audrey Darsonville.
Dans cette affaire, la plaignante "a dû faire preuve d'énormément de courage pour venir à la barre", estime son avocate. Après avoir fait "le deuil de son enfance" en 2009, elle a vécu l'acquittement "comme un deuxième traumatisme", selon les mots de Laure Habenec. Aujourd'hui étudiante, la jeune femme âgée de 20 ans ne souhaite pas s'exprimer. Un nouveau procès doit avoir lieu, car l'avocat général a fait appel du jugement controversé.
Il y a un autre traumatisme, qui n’est pas abordé, c’est que cette jeune femme, elle, a placé son bébé, chose que je peux comprendre.
Le simple fait, que précisément, elle n’ait pas désiré soit le garder, soit manifester un intérêt positif, pour cet enfant, en dit pourtant long sur le sujet.
En effet, dans l’hypothèse, où il n’y ait pas eu viol, il eût été plus facilementenvisageable, même si elle l’aurait placé, qu’elle garde un lien, avec cet enfant, non ?
Il importe effectivement, d’aller en appel, et de légiférer sur le sujet, parce que ce verdict, s’il ne change pas, ferait rigoler, bien des pédophiles, qui pour peu que leurs proies potentielles, commencent simplement, à manifester, des signes de puberté, ou à porter le moindre vêtement qui tendraient à montrer un signe de féminité, feraient d’elles, des proies potentielles, avec la bénédiction de la Justice…
En gros, aux yeux des pédophiles, le message serait le suivant :
« Bon, ben, ok, y’a plus qu’à se servir, alors ».
Voilà, la lecture qu’ils en font, EUX !
Sinon, la question à cent balles, il en pense quoi, lui, le coupable, du fait, que sa descendance, soit pris en charge par la DASS ?