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Tutelle et famille.

Le 24/12/2014

"Tutelle", arme fatale, pour enfermer quelqu'un dans la stigmatisation, au sein de la famille.

Qu'on se rassure, ça n'est pas de mon cas personnel dont il est question.

 Non, juste observé.

 On sait, qu'au sein des familles, se trame de drôles de choses, soit pas très reluisantes, quand à l'origine de certains enfants, soit dans les faits, coups et blessures, attouchement, par le vieux tonton, qui a les mains balladeuse, des qu'il  a pris un coup de pied de barrique.... Comment vous dites ?

 Quand il à jeun, aussi, "allons bon".

  Le vilain petit canard, alors, quelqu'en soit la rasion, se trouve plus ou moins stigmatisé, voire, franchement stigmatisé.

  Ca peut aller des remarques blessantes, qui commencent dés le plus jeune âge, jusqu' à l'infanticide, quand décidément, "il nous fait bien chier ce gosse", il aurait été bien inspiré d'avaler son bulletin de naissance, une fois sorti.

 A intervalles réguliers,  les faits divers nous sortent des cas d'enfants martyres, qui paient les degats colateraux, de telles situations.

 Grandissant, les choses empirent, toujours, si le vilain petit canard, n'a pas mis une croix, sur la famille toxique.

 Excepté dans l'hypothèse, où quelqu'un de proche, remarque quelque chose, un instituteur, avec qui le courant passe mieux, et la roue peut tourner.

  Hélas, ça n'est pas toujours le cas, et j'ai en mémoire, le cas de certaines jeunes filles, rencontrées pendant un internement psychiarique, qui  se touvaient être ce vilain petit canard,  quand souffrant d'anoréxie, ou de boulimie, autodestruction, ou autres réjouissances, ses vieux, finissaient par apprendre,  que le père etait incestueux, ou un truc, de ce genre.

 Oui, je sais, ça fait mal à entendre, mais ça n'est que la vérité.

 Une adolescente, qui révèle, qu'elle ait été vicitime d'un viol, ou d'attouchements, au sein de sa cellule familiale, helas,  au sein de cette famille, assez souvent, elle se voit traitée de menteuse, ni plus, ni moins.

 Et pourtant, sur 100 enfants, vicitime de viols,  ou d'attouchements, dans 75 % des cas, c'est quelqu'un de la famille, ou de l'entourage.

 A méditer.

 Il est bon d'observer, ensuite, comment la vicitme, évolue.

 Dans le cas d'une stigmatistion extrême, il peut arriver qu'elle ne quitte jamias le nid, et si en plus, elle trouve un travail, et qu'on puisse en profiter, ça n'est pas négligeable.

 Ca devient alors, une sorte de Tangy, c'est vrai, l'écrasement, et la soumission, en plus.

 Imaginons ensuite, ce qu'il ou elle devient, pour peu que de s'être trouvée dévalorisée, sa vie entière, l'air renfrogné, et toujours, chez papa maman.

 Quand l'un des deux part, voilà, le vieux garçon, ou la vielle fille, bien embarrassante, au point, qu'on ne sait guère, où la ranger....

 Je suis dure, oui, je sais, mais tellement réaliste.

 J'ai en mémoire, ainsi, un veux garçon, dans cette situation.

 L'aide ménagère, s'en était plainte, je ne sais si c'était à cause de propos, ou plus, qu'elle subissait...

 Toujours est il, que le pauvre bougre, s'était retrouvé chargé comme une mule, à coup de neuroleptiques, pour cette raison, et pour un sacré bail, dans le service où j'étais moi aussi.

 Non, je ne connais pas son dossier, mais franchement, la version humaine, du vilain paquet de linge sale, dont on ne savait que faire, s'imposait clairement.

 Puis je m'étais dit, "mais enfin, ce bonhomme, il a bien dû bosser, dans sa vie, non" ?

 Il doit toucher quelque chose, non ?

 Et il etait là, lobotomisé, un vrai robot, et n'allez pas culpabiliser la psychiatrie, fallait bien trouver un endroit, et puis  faire pour que sa mère, agée, puisse bénéficier d'une fin de vie descente sans que son vieux Tanguy, ne perturbe l'aide menagère, ou les infirmières, non ?

 BREF, ils l'avaient rangé "là bas".

 Comment je l'ai su , ben, on avait causé, pardis !

  Ce que je veux dire, c'est qu'il arrive, au sein de certaines familles, que la mise sous tutelle, ne soit que la décision parfaitement arbitraire  d'un clan,  qui instrumentalise la tutelle, comme étant le point final et ultime, d'un processus d'éviction, de certains de la famille, qu'ils considèrent, comme des vilains petits canard, enfin, je dirai plutot, vu leur âge, d'un vieux colvert tout rabougri, et dont on aimerait bien se debarrasser.

  Si en plus, il a bossé sa vie entière, et qu'il y ait quelques sous à grapiller, ma foi, comme on dit vulgairement, "c'est pas de refus".

 Alors, vous me direz, "mais enfin, la juge des tutelles, doit bien y voir clair, pourtant, non ?

 Et bien pas toujours...

 Et non, puisque ce vilain petit canard, généralement, enfant adulterin,  né ors mariage,  ou d'un mariage précédent, enfin, "celui de trop", d'avant, souvent, et qu'on aurait préféré, qu'il ne soit pas là, cet enfant, donc, devenu adulte, subissant de multiples humiliations, pendant sa vie entière, devant le juge, a deja été conditionné, "vous pensez bien".

 On lui a toujours dit, qu'il etait nul à chier, malpropre, fénéant, ou que sais je encore, dans la lune aussi, non ?

 BREF, entre lui dire, qu'il ait toujours été nul, et puis lui dire, qu'il faut qu'il soit mis sous tutelle,  écrasé un peu plus, ou un peu moins, "un peu beta", comme on dit chez nous, les juges, eux aussi, se font ballader par la famille, qui s'en rend coupable.

  Je ne suis pas en train de prétendre, que ça soit toujours le cas, bien sûr, mais enfin, ça arrive.

  Alors, maintenant, j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer sur le sujet.

 J 'ai passé une énième (je ne sais même plus, s'il s'agissait de la quatrième, expertise psychiatrique... il y a quelques semaines.

 Et j'ai donc, pu voir, comment elles avaient évolué.

 J'ai noté que le déroulement, est beaucoup plus objectif, qu'il ne l'était aupavent.

 De cette façon, dans le cas de manoeuvres, pas tres reluisantes, vis à vis d'un vieux colvert, anciennement vilain petit canard, il n'est pas dit, que la famille, obtiendra ce qu'elle espère. Mais encore faut il, pour celà, que la juge demande l'expertise, sachant, qu'elle coute, quand même 160€ (dans le privé)....Et j'ai bien peur que certains juges des tutelles, devant l'insistance de certaines familles, défavorisées,  ne cèdent à la tentation d'en décider, sans avoir eu recours, à cette expertise, voilà, quelle est ma crainte...

 "Mais enfin, madame la  juge, vous voyez bien, qu'il n'a pas toute sa tête".... On sait comment, ça se passe. 

6 novembre 2019.

On me suggère, de me pencher sur le cas des mesures de protection, d'un conjoint vis à vis d'un adulte, de l'autre conjoint, donc.

 C'est expliqué ici:

https://hizy.org/fr/demarches/demarches-administratives/conjoint-sous-tutelle-quelle-protection-juridique-?gclid=Cj0KCQiA-4nuBRCnARIsAHwyuPpj4u0BRawg5mr8qS73Lo9GhamJODZ2N6aWQEJabOxI90qzCVXZs18aAuDIEALw_wcB

 Par contre, il y a un truc, que je n'arrive pas à demeler....

  J'ai appris, qu'auparavent, pou se marier, une personne, sous protection, devait obligatoirement, avoir l'accord de  son tuteur...

 La loi, aurait donc, été modifiée  recemment, mais je n'en trouve trace nulle part,  qui aurait levé, cette autorisation, laissant alors, libre court, à une personne protegée,  d'epouser, qui elle le desire et que cette autorisation, n'a plus lieu d'être.

 Pour moi, le mariage implique, que juridiquement,  on soit egauc, l'un, et l'autre, devant la loi....

 Deja, là, y'a un gros souci, parce que si l'un, est sous protection, ça veut dire, qu'ils ne le sont pas.

  J'imagine alors, que le futur époux, ou la future épouse, doit se voir signifier, alors de la situation, en amont.... Comme on le fait, pour informer l'assemblée, du fait, qu'il y ait un contrat de mariage, ou pas.

 A bien y réfléchir, je pense que dans certains cas, dans le cas de remariages, par exemple, et qu'il y aurait, une grande différence de patrimoine,  ça peut être un bon moyen d'éviter de voir, un belâtre, pervers manipulateur, mettre les grapin, sur le magot....

 Mais il doit exister d'autres possibilités aussi, je pense, pour éviter la mise sous tutelle, dans un tel cas.

féminisme émancipation

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