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Droit à mourir dans la dignité.

Le 10/06/2015

Dans SANTE NI CAFE mais si possible avec humour.

 Le cas de Vincent Lambert a defrayé la chronique jusqu'à aujourd'hui, encore.

 Le probleme s  reside, dans le fait que ses parents sa mère plus particulièrement considère qu'il doit être maintenu en vie artificiellement pretexatant le fait, qu'il existe certains signes qui manifestent ce qu'elle petend elle être une forme de communication.

 Son ancien medecin met les choses au clair sur ce sujet.

http://www.francetvinfo.fr/jt-permanent.html

 Je précise qu'on m'a demandé mon point de vue depuis longtemps, deja.

 J'ai pointé du doigt, moi à l'époque, plusieurs aspects dont personne ne parle.

 D'une part, doit on considérer le fait, que le destin d'un homme qui est marié, est plus lié au couple qu'il forme et donc à la cellule fmiliale qu'il forme avec son epouse et ses enfants... ? Et donc au detriment, de la famille dont il est issu.  Moi, je dis clairement, OUI.

 Mais surtout, une petite fille il m sembledoit aujourd'hui, se trouver bien mal en point voyant sa grand mère s'acharner à vouloir maintenait r en vie un corps, qui fût celui de son papa, et qui e comprend probablement pas, ce qui est en train de se jouer là...  enfin si elle sait elle que son père, "affectivement est parti definitivement depuis bien longtemps et que l'acahrnement therapeutique que le vide juridique  donne le droit à sa grand mère d'abuser de son rôle de mère et la prive ainsi elle, de pouvoir dire adieu à son appa pour tourner enfin la page et peut être pouvoir  se trouver plus sereine vis à vis d'une éventuelle  nouvelle identification paternelle.

   Ce que je trouve extrêmement grave, moi j'ai bien vu, enfin appris, que cette grand mère avait écrit un livre. Grand bien lui fasse. Je ne sais pas si cette petite est suivie psychologiquement. Mais je n'ai helas aucun doute, moi sur le fait que ces grands parents devront rendre des comptes à cet enfant, un jour, et que la facture sera "bien plus salée que les revenus que la madiatisation et l'ecriture de son livre, aura apporté". Vous aurez compris que ça n'est pas d'arent moi dont je parle.

 Je viens de découvrir aux infos, à cet instant, pourquoi ce medecin donnait ces explications.

 Je suis absolument révoltée, de voir que des intégristes de l'acharnement théraputique, exploitent ce cas pour leur propagande. Et moi qui prenait la défense de sa petite fille, j'étais loin de penser, que son pauvre père se trouvait ainsi instrumentalisé...

 En fait, leur attitude là, est parfaitement assimilable, à la chosification que subit par exemple, une victime de viol, ou pire encore d'inceste.

 Oui j'imagine, que certains sont scandalisés par mes propos. Et pourtant comment ne pas voir l'assitance respiratoire autrement que comme une véritable agression, sur sa personne, dites moi ?

 

 Mardi 22 septembre 2015.

http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/justice-proces/jean-mercier-juge-pour-avoir-aide-sa-femme-a-mourir_1094413.html

 J'ai entendu son témoignage bouleversant, ce matin, aux infos, et je "combatis", à son combat, si je puis me permettre, cet écart de langage.

 Je viens d'entendre par contre, quelle était sa demande. il soihaite, s'il est condamné, ne pas l'être par sursis.

 pour rappelle, le sursis, signifie que le condamné, est condamné, à une certaine peine, mis qu'il n'est pas emprisonné, mais il ne sera, s'il recidive.

 Dans cette hypothèse, donc, il considère que jugé "coupable", il ne devrait l'être que faisant sa peine, réellement.

 Je viens de proposer, moi, qu'il soit condamné, avec sursis, malgré sa demande. Et je m'en explique.

 Je comprends fort bien quel est sa demande, et quel est son desir. Oui, la France doit legiferer, sur le droit à mourir dans la dignité, et cequ'il soihaite, et que je comprends fort bien, c'est que ce combat, soit utile....

  Mais de la même façon  que cette maman, qui a donné la mort à sa petite fille, parce qu'elle était désespérée, il importe que ce monsieur, soit effectivement condamné, pour la simple raison, que ne pas le condamner, équivaudrait à laisser croire, que n'importe qui, chez lui, aurait le droit, de procéder ainsi.

   Bien sûr, ce sont des cas extrêmement complexes, et que d'aider quelqu'un que l'on aime, à se donner la mort, dans de telles conditions, est ecffectivement, un acte d'Amour, le plus beau, et le plus extraordinaire, qu'on puisse imaginer, DANS DE TELLES CIRCONSTANCES........

  Mais imaginez donc, certains couples, non pas fictifs, mais bien réels, où les deux protagonistes, ne s'aiment plus, et restent ensembles, par pures conventions. Ou pire, qui se détestent.

  Ne pas condamner ainsi, cet homme, pour sa complicité, équivaudrait alors, à cautionner le fait d'aider à donner la mort, au moindre désespoir "provisoire", comme il arrive souvent qu'il se produise, quand on est gravement malade.

 Voilà pour quelle raison, je pense que malgré sa demande, il importe qu'il soit condamné avec surcis.

Lundi 5 octobre 2015.

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Mobilisation-des-pro-euthanasie-avant-l-examen-du-texte-sur-la-fin-de-vie-2015-09-11-1354846

   Je vois que c'est au Sénat, où la moyenne d'age, est plus qu'évocatrice, que cette loi, s'est trouvée rejettée, ce qui en soit, est assez interpellant.

 De là à prétendre, que les decennies venant, on ne peut être que fâché avec l'innovation, il n'y a bien qu'un pas de botte de chat botté, que je franchis allègrement...

   C'est juste oublier, un gros détail, messieurs, qui consiste à vous, reconnaitre que vous avez tous, l'honneur et l'aventage, d'être ce que l'on nomme pudiquement, "bien nés", j'entends pas là, issus d'un milieu social, qui vous garantisse,  le plus tard possible, j'ai cette bonté là, d'être pris en charge, avec toute la prévenance que votre haut rang social impliquera, ce qui n'est certainement pas le cas, helas, comme chacun sait, de personnes âgées, d'un milieu social, plus modeste.....

  J'aurai pu dire aussi, que vous êtes tous nés, avec ce que l'on nomme "une cuiller en argent dans la bouche",  et je vous rappelle que la vieillesse arrivant, ça sera cette même cuiller, qui vous servira la bouillie, et qui sait,avec un peu de chance, ça sera un ou une emigrée, qui viendra vous la servir...

   Vu vos âges cannoniques, je n'ai aucun doute sur le fait que les couches qu'avaient utilisées votre maman, ou plutôt, le plus souvent, votre nurse,  étaient en coton, et comme disait ma tante Colette "les couchettes sont encore étendues sur la haie"...

   Mais sachez qu'en ce qui vous concerne, je crains fort que ça ne soit que des couches jettables, qu'on vous réservera, car si votre derche, ne sera que trop longtemps resté vissé à la place qui est la vôtre, sur les bancs du Sénat, il n'en reste pas moins, que vieillissant, votre trou du cul, ainsi que votre vessie, ne seront pas plus opperationnels, que votre dentition.....

   Je suis vraiment désolée de m'en prendre à vous sous cet angle, mais j'en ai vraiment ras le bol, de me voir ainsi contrariée, par une bande de trous du cul qui pratique, ce que j'appelle moi, " l'obscurantisme intellectuel et politique".....

   Ainsi, le cas de Vincent Lambert, ne vous suffit t il pas, de voir que par la Loi, sa propre fille, ne peut avoir, comme tout à chacun, le droit de voir son père, "charnel", uniquement, puisque depuis bien longtemps, ce père, ne peut plus communiquer, et donc être son père psychologique, privée ainsi, de la possibilité, d'en garder une image digne, et continuer, son chemin, pour enfin, trouver la paix....

  Vous êtes messieur, permettez moi, de vous en informer, ce que la politique, donne à voir de pire, ces derniers temps, en erigeant la vieillesse, non pas comme vous le pensez, une sorte de "rempart de la sagesse", mais pluto le plus triste exemple, à donner à notre jeunesse, qui consiste  en une forme d'obscurantisme, refractaires au moindre progrès, ternissant, de la façon la plus efficace, non seulement, la classe politique, dans son ensemble, mais aussi, la notion m^me de asagesse, qui serait pourtant, par les tempsqui courrent, une valeur, qui manque cruellement, à certains jeunes aujourd'hui, justifiant, à n'en pas douter, le fait de fuir les urnes, par exemple.

 En un mot, je vais être dûre, mais je suis pétrifiée, devant la sclérose de vos neurones.

 

 Mercredi 7 octobre 2015.

Voici un exemple interpellant, qui justifie effectivement, la necessaire d'être prudent, en matième d'euthanasie....

http://www.lemonde.fr/etudes-superieures/article/2015/10/05/coucours-de-medecine-le-grand-contournement_4782799_4468191.html

 Je précise, cependant, que dans le cas présent, le problème ne se posait pas.....

 Mais dans le cas de certains cancers, il est bien connu, qu'il arrive que le cas se présente.

De façon générale, quelque soit le cas concerné, ce que tout le monde refuse de voir, c'est qu'une loi, sur la fin de vie, quelle qu'elle soit, sera toujours imparfaite.

 Elle ne peut être qu'imparfaite, pour la simple raison qu'elle tendrait à faire croire, que beaucoup de cas, se ressemblent, ce qui est faux.

 Dans le cas présent,  notamment, c'est son fils Thomas, quia pris la decision, de tenter une nouvelle piste coté, chimio.....

Mais il arrive, à un age tres avancé,  souvent, helas, que des personnes, en fin de vie, soient abandonnées de tous, et qu'il ne reste que le personnel soignant, pour apporter du mieux qu'ils peuvent, l'affection dont ils ont besoin.....

 Oui, je sais, ce que je dis doit déranger, mais je l'ai vu, moi, de mes yeux vu, qand je visitais Marcelle. Certains appellent ça, "des mouroirs".

 Ce qui me choque, moi, c'est de ne pas oser reconnaitre, à quel point, cette souffrance là, à plus forte raison, quand la raison n'est plus là, est tabou.....

  Et si j'ai coutume de dire, que tant qu'il y a de la  la vie il y a de l'espoir, je pense que de refuser à la Nature, de faire son office, mieux, de lui faciliter la tâche, en l'aidant à assimiler la notion de mort, qui fait partie integrante, de la vie, est un symptôme de surpuisssance, je dirai même, d'arrogance, des elites religieuses et idéologiques....

  Je rapproche ça, moi, du fait, que mangeant des aliments bourrés d'antibiotique, dans la viande animale, on crée, dans la viande animale, que l'on destine à l'alimentation, l'interdiction, de vivre de certaines bacteries,  empêchant la proliferation, des mauvaises, certes, mais du coup, aussi, de celles qui sont necessaires et positives, la nature, pourtant, nous previent, par les phenomènes de resistance, qu'elle met sur pied, mais on persiste,malgré tout, à tout desinfecter, et à utiliser les antibiotiques, de façon curatives je le comprends, mais infiniment plus grave, de façon preventive, dans les élevages industriels.....

   Il est probable, que certains trouvent étranges, que je parle d'un tel sujet, relativement, au droit, à mourir dans la dignité... Et pourtant.

  Je vois, moi, chez les refractaires, une forme de désir de toute puissance de l'homme sur le cycle de la vie, excluant la mort, justement, la niant même, au lieu de l'intégrer.

   En fait, ce qui me choque, moi, c'est de voir que les désirs de ceux qui souhaitent voir cette loi évoluer, voient leurs positions, baffouée, trahies, et deformées, comme si le sens sacré, de la Vie, leur était etrangère.....Et ça, ça me met veritablement en colère.

  Mais ceux, qui souhaitent que cette loi, devienne un peu plus permissive, ne sont pas des irresponsables, ils ont simplement une idée de la dignité humaine, plus affutée que la moyenne, c'est tout !

   Il serait par ailleurs, particulièrement interessant de fouiller un peu, pour dicerner, quelle est leur position, sur d'autres faits de société, tels que la pauvreté, les sans logis, une jeune femme, qui se retrouve enceinte, qui est tootalement desespérée.... Ou toute autre situation de detresse, que l'être humain, ait pu connaitre, pendant sa vie....

  Ainsi, tenez vous bien, on peut parfaitement imaginer, aujourd'hui, en 2015, qu'une jeune femme, se soit retrouvée un jour,enceinte, qu'elle ait voulu, pratiquer un avortement, qu'on l'en ait dissuadée, ou qu'elle n'ait pas pu, pour des raisons juridiques, le temps, etant depassé, chose qui est cohérente.......

 Qu'elle se soit retrouvée à la rue, devant tendre la main, se prostituer, peut être, comme ça arrive, quelquefois, quand on est une femme, pauvre, desespérée...

 Certans diront "oui, mais enfin, c'était à la société, qu'il fallait s'en prendre", car c'est elle, qui aurait du s'en soucier"....

 Mais ce que je veux mettre moi, en avant, c'est que pendant notre vie entière, tant qu'on a deux pieds, sur les lesquels se tenir, en doit imperativement, "erentrer dans les case, à l'ecole, au collège, au sein de notre famille, pour ceux, qui en ont une, puis ensuite, jeune adulte, si on ne se reproduit pas "on nous emmerde, et on nous stigmatise"....

 Mais pendant notre vie entière, je tiens juste à préciser, que la notion de dignité, tous ces decideurs, et ronds de cuir, que ce soit au Senat ou ailleurs, ils s'en tapent completement !

 Vous entendez bien, ILS S'EN FOUTENT.... Complètement.....

   Que la petite gamine, qui s'est faite violer, et qui est en larmes,dans son coin, et qui n'a personne, à qui se confier, parce que son père, vient la visiter,chaque nuit, et qu'elle n'a personne, à qui se confier,  ou qu'elle est enceinte, et parfaitement ses perée.... Qui, se soucie, de sa vsion, de la dignité, à elle...

   Notre vie entière, notre dignité, elle est baffouée, écrasée, humilièe..... Et le jour où la fin approche, ce sont ces ronds de cuir, qui eux, sortent des grandes ecoles, bardés de diplômes universitaires, d'un seul coup, vont ériger, la notion de dignité humaine, le fait, de tenir absolument en vie, un corps, humain, considerant que d'être ainsi maintenus en vie, est plus digne, que d'être mort.....

   Est ce que quelqu'un, s'est seulement demandé,  quelle perception de la dignité humaine, avait la fille, de Vincent Lambert ?

 

 Mardi 20 octobre 2015.

 Au sujet du cas, "Bonnemaison", je précise que je suis ça, de tres pres, et comme on dit vulgairement, "si je ne dis rien, je n'en pense pas moins".

 A la question, "est ce un humaniste", la réponse est "oui", pour moi, ça ne fait aucun doute.

  Le problème consiste, en fait, beaucoup, il me semble, que les juges, qui traitent de cette affaire, ne connaissent que peu, le quotidien, d'un hopital, et sa vie, au jour le jour...

   Les soignants, medecins, etc,  sont aussi, des individus, qui quand ils teinnet la main, et soureint ou rient quand c'esst possible, avec leurs patients, n'en sont pas moins de véritables eponges, et doivent gerer le fait, qu'ils portnt, toujours, en tres grande parti, des souffrances qui sont immenses...

  A ce titre,  le rire est un ingrédient rigoureusement indispensable, y compris dans le processus de guérison.... Y compris, aussi entre collègues.

  J'ai eu l'occasion de voir,un jour, les blagues, absolument terrifaintes, qui se disent, "dans les salels de garde", justement, qui en offusqueraient plus d'un, ou plus d'une, ça ne fait aucun doute...

  Ce fait, existe en intene, dans les professions, qui sont sujettes au stress,  et est parfaitement legitime....

  Oui, cette histoire de pari, était déplacée, je le reconnais, mais de là, à considérer qu'elle soit  de nature à remettre en cause la bonne Foi de monsieur Bonnemaison, je pense sincerement, que ce soit déplacé. En tout cas ça demontreune meconaissance absolue, de la gestion de la souffrance, de façon plus elargie, ce qui me semble être pourtant au coeur même du debat, en ce qui concerne le cas de ce medecin.

 

  1er février 2016.

 J'ai posé un commentaire, sous l'article.

http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/13964-Vincent-Lambert-la-mise-sous-tutelle-decidee-le-10-mars#

20 Mai 2019.

Bon, je reconnais, s'en prendre à son apparence, et son côté enfant de chœur, c'est un peu facile...

   Mais après tout, je ne fais que traduire ce que tout le monde ressent, et si ça peut sembler, quelque peu caricatural, ça n'est certes pas, son discours aussi policé que conservateur, qui risque de nous en faire douter.

  Je l'accuse de mensonge, sur le droit à l'avortement, et si ces bruits, me sont venus aux oreilles, ça n'est certes pour rien.

  Il n'y a qu'à écouter, son malaise parfaitement palpable, sur le sujet, ce matin, sur France Inter, pour s'en persuader.

  Pour Vincent Lambert, à partir d'aujourd'hui, tout rentre dans l'ordre, en lui permettant, enfin, de retrouver sa dignité, celle qui autorise un être humain à mourir, de façon aussi naturelle, que le jour où il est venu au monde n'en déplaise à ceux qui ont honteusement instrumentalisé son cas idéologiquement, depuis ces douze dernières années.

  J'attire sur ce point, votre attention, sur la possibilité pour tout à chacun a de remplir le "testament de vie", qui donne les consignes, à une personne de confiance, de prendre toutes les dispositions nécessaires, conformes à votre désir, que vous aurez pris soin de remplir, et confier, à qui de droit.

  En effet, cette démarche fort simple, permet de décharger vos proches, en cas de mort cérébrale, puisque c'est votre volonté uniquement, qui dicte, la marche à suivre.

https://www.vitalitenb.ca/fr/patients...

https://www.admd.net/

 21 mai 2019.

 23 Mai 2019.

https://www.francetvinfo.fr/societe/euthanasie/vincent-lambert/savoir-laisser-partir-c-est-bien-plus-difficile-que-maintenir-en-vie-estime-l-ancien-medecin-de-vincent-lambert_3452363.html#xtor=EPR-502-[newslettervideo]-20190522-[video6]

https://www.franceinter.fr/societe/fin-de-vie-tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir-sur-les-directives-anticipees-sans-oser-le-demander

https://www.franceinter.fr/monde/affaire-vincent-lambert-en-belgique-c-est-l-epouse-qui-aurait-pris-la-decision-d-arret-du-traitement

https://www.franceinter.fr/justice/la-justice-ordonne-la-reprise-des-traitements-de-vincent-lambert

https://www.franceinter.fr/emissions/le-moment-meurice/le-moment-meurice-22-mai-2019

Loi sur la fin de vie.

Le journal LA CROIX consacre au sujet, tout un dossier.

https://www.la-croix.com/Debats/Ce-terrible-malheureux-demande-deuthanasie-cest-cette-maniere-tuer-lautre-soi-2022-12-20-1201247356

 Méfiez vous des idées reçues sur le sujet, en ce qui concerne le journal, et allez lire, d'abord.

 Voici d'autres liens, d'autres émissions sur ce sujet.

https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/le-club-des-correspondants/fin-de-vie-que-prevoient-les-lois-espagnoles-et-suisses-2167983

 Je n'ai pas retrouvé le lien, d'une autre émission que j'avais écoutée sur ce sujet.

 Philosophiquement, je note que de moins en moins (est ce possible ?), on culpabilise de moins en moins, celui ou celle qui cherche à se suicider.

 Un truc m'interpelle, dans l'article, de la Croix.

  Je cite: « Ce qui est terrible et malheureux dans la demande d’euthanasie, c’est cette manière de tuer l’autre en soi ».

   Je considère, pour ma art, que l'autre est toujours vivant en soi, qu'il soit en vie, ou qu'il soit mort, quelque soit, la ou les raisons, qui aient eu pour consequence, qu'il ou elle soit mort.

   Parce que c'est le cheminement, de tout à chacun, d'une part, qui laisse une trace, et qui fait qu'il ou elle est vivant en nous, notamment, par le phenomène d'identification, maisaussi, donc, par voie de consequence, les sentiments, qu'il nous ait inspirés....

  Ce qui est terrible, justement, et j'en reviens à la notion de dignité, toujours et encore....

  Quand on aime et qu'on admire quelqu'un,  c'est toujours, par ce qu'il a fait de sa vie, en temps qu'être humain, les combats qu'il a menés, qu'on les ait approuvés ou pas d'ailleurs, mais en tout cas, le fait qu'il ait été acteur de sa vie, et pas en l'ayant observé, comme mouton qui suit sans comprendre, ou qui subit.

   L'autre en soi, est toujours, vivant, plus que jamais, des lors, qu'on accueille,  dans son coeur, l'amour, qu'il nous ait inspiré, parce qu'il ait fait de lui, de son vivant, un être digne.

   Parce qu'on entend toujours parler, dans le cadre de ce débat,  de la souffrnce physique, qui est terrible.... ET les soins paliatifs, helas, ne sont pas toujours à la hauteur, pour pouvoir y remedier.

   Mais la souffrance psychologique, elle, par contre, toujours, est eludée, ou passée sous silence.

   Est ce qu'il ne serait pas envisageable, aussi  d'autoriser le patient concerné,  selon un moyen objectif de mesurer sa souffrance, qu'elle soit physique ou psychologique,  d'admettre, qu'il soit en droit, de revendiquer, de ne plus avoir envie de mener le combat ?

 En d'autre terme, est ce que ça ne serait pas, quelquefois, par pur égoïsme, qu'on impose à l'autre de rester en vie, quelque soit le prix à payer.

 

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