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"Au pays des Lumières, il serait peut être temps de remettre le courant".

Le 13/04/2017

  Désolée, pour le ton un peu péremptoire,  parce que ça n'est vraiment pas dans mes habitudes, mais là, franchement, on ne peut pas vraiment juger une telle posture, autrement.

  Il est possible que certains de leurs adeptes, oui, j'ai bien dit "adeptes",  comme dans une secte, considèrent que j'y vais un peu fort, b  voire, que je sois dans l'interpretation, de sa posture, à elle, face à ses funestes projet, concernant notre pays.

  Alors, pour ceux là, je vais simplement, comme j'ai coutme de le faire, copier coller, l'article, et commenter, meticuleusement, de telle sorte, que chacun soit rassuré...

  Alors, ceux, qui ont coutume d'appeler les médias, frnçais, "les merdias français", bavant devant l'exemple poutinien d'une presse, à la solde d'un régime de démocrature à la russe,  crieront à la trahison.... Mais calmez vous, QUE DIABLE, il ne s'agit ici, que de france télévision, ça n'est ni Elise Lucet, ni Yann Bartes, ou ses fidèles lieutenants !

  Ainsi, avant que les portes couilles et blondasses péroxidées, façon trump, ne se soit levés tous pour aller pisser, après une nuit, à defaut d'être "du Juste", je m'en vais "clopin clopant", copier coller ce fabueux article, et disséquer tout ce travail de sape, de notre République, et surtout, démontrer, qu'on est parfaitement en droit de respecter, celle qui fait notre identité, tout en en espérant, la VIième....

 Et oui, c'est comme ça.

 L'avenir appartient à ceux, et celles, qui se lèvent tôt.

Bon avant de plonger mes deux bras dans la merdasse du front national, je suis tombée sur une pepite, là, et Guillaume, je me suis permise de t'empreinter ta chute, pour le titre de mon article.

 

C'est l'une des mesures-phares du programme de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle : instaurer la "priorité nationale".

 Première nouvelle... Lors d'un des debats télévisés, pourtant, il doit y avoir 15 jours, environ, elle avait annoncé que notre constitution n'était pas si mauvaise que celà, et qu'un bref petit relooking, version "nettoyage de printemp" (ça, c'est moi, qui avait utilisé cette metaphore, pour la commenter), était seul necessaire.

 Elle avait donc menti, encore, comme toujours, sur ce point, puisque son programme était arrêté.

Si elle est élue, la candidate du Front national veut intégrer ce principe dans la Constitution. Par la même occasion, Marine Le Pen souhaite étendre l'usage du référendum, et notamment introduire la possibilité de soumettre au vote populaire tout type de loi – alors qu'aujourd'hui, l'usage du référendum est restreint par l'article 11 de la Constitution.

  Au sujet du référundum, je suis contre le principe, et dans ma nouvelle version, celle que j'aimerai voir étudiée, ça consisterait au contraire, à restreindre encore d'aventage son usage, parce que je considère que non, le peuple n'est pas souverain, et surtout, n'a pas à l'être, puisque de proposer  qu'il le soit, est une attitude purement démagogique, qui n'a d'autre objectif, que de "botter en touche", sur des sujets de société, que les dirigeants successifs, se refilent, comme une patate chaude, ne sachant comment faire face, pour proposer une Loi, qui puisse permettre  de résoudre le problème dont il est question, ou de proposer des alternatives.

  D'autre part, un autre point, qui jutifie le fait, que je sois à quelques exceptions pres contrre le principe de référundum, je le justifie par le fait, que par definition, la présentation, qui est faite du sujet, sur le quel il faut trancher,  ne peut être autre, que de proposer, un sujet, avec pour seul vote OUI, ou NON...

 Ors, l'experience prouve qu'à chaque fois, que cette methode ait été utilisée, pour soit disant satisfaire l'opinion, et se donner bonne conscience, de la part, d'un chef d'etat,  c'est presenter, une resolution, d'un probleme de façon catgorique, et simpliste, alors, que le sujet, est GRAVE, COMPLEXE, et MULTIPLE.

 Il en est ainsi, pour n'importe quel sujet de société, pour lequel, dans l'histoire des democraties, les référundums aient été proposés.

  Je précise, cependant, que je suis aux antipodes, de penser qu'il faille interdire l'interférence du peuple, dans le processus démocratique, et dans la gestion de notre pays, BIEN AU CONTRAIRE, mais surtout pas, en procedant par le référundum, voilà, quelle est ma position.

 Pour ce sujet, celui du référundum, à dire vrai, c'est l'expression la plus aboutie de la lâcheté en Démocratie.

 le principe du referundumComment Marine Le Pen compte-t-elle faire adopter ces projets ? Et quelles conséquences cela aurait-il pour la République ? Pour tenter d'y voir plus clair, franceinfo a interrogé Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne.

Franceinfo : Si elle est élue, Marine Le Pen promet une grande réforme constitutionnelle dans les premiers mois de son quinquennat, notamment pour inscrire la préférence nationale dans la Constitution. Quel regard portez-vous sur ce projet ? 

Dominique Rousseau : Les propositions de Marine Le Pen remettent en cause la forme républicaine du gouvernement, caractérisée par la devise "Liberté, égalité, fraternité". Inscrit dans la Constitution, le principe d'égalité signifie qu'il est interdit de fonder une discrimination sur la race, l'opinion, la religion et l'origine.

Je suis en train de me demander, si tous ceux qui ont la pretention, de voter marine le pen, ont bien reflechi, à la gravité, de ce qui est expliqué, là ?

 Je rappelle pour information, que cette devise, si elle n'est pas suffisemment respectée, helas, sur notre sol, conformément à ce que certains souhaiteraient, et parmi lesquels je me compte, et que pour quelqu'un qui prétend aimer son pays, pietiner ainsi ces principes, n'equivaut à rien de moins, que d'occulter la seule véritable ossature, qui soit née au sortir de la Revolution Française. 

En voulant inscrire le principe de la préférence nationale dans la Constitution, Marine Le Pen porte atteinte à ce principe d'égalité qui identifie la République française.

Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel

à franceinfo

 Oui, je suis d'accord, c'est juste purement criminel, rien de moins que celà.

Ensuite, dans le préambule de la Constitution, il est dit que la République française, "fidèle à ses traditions", respecte les règles du droit international et coopère avec les autres pays pour la paix et la sécurité. Or, si l'on ne coopère plus, si l'on sort de la Cour européenne des droits de l'homme, de l'Union européenne, de l'euro… on sort bien de la tradition républicaine, qui fait partie de notre droit positif, au même titre que la Déclaration des droits de l'homme de 1789.

 Et oui, c'est aussi mon sentiment.

A mes yeux, les propositions de Marine Le Pen nous feraient donc sortir du cadre républicain pour entrer dans un autre cadre, qui ressemblerait beaucoup à celui de l'Etat français du maréchal Pétain.

 Et bien nous y voilà, decidement, cette déclaration,  qu'elle fit, il y a quelques jours, allait bien effectivement, renouer avec donc, le negationnisme, que son père aime tant, et bien au delà, de l lecture qu'on en faisait.

 Voici l'article, que j'ai redigé sur le sujet.

http://sainteaustrebertheavaitellevuleloup.e-monsite.com/blog/politique-interieure/marine-le-pen-en-mal-de-racines-politiques-retisse-ses-liens-avec-les-negationnistes-de-la-shoah.html

 La sortie de l'Union européenne, c'est le repli de la France sur elle-même. C'est dans cette perspective que s'inscrivait l'Etat français de Vichy : on ne coopère pas et on se replie sur son territoire.

 Et oui, on courrit juste à la catastrophe, quoi. parce que pour information, dans cette hypothèse, je rappelle juste, que sur le plan economique, AUSSI, cça serait une vraie catastrophe. le royaume uni, doit débourser 60 milliards.... Ou envisagerait elle, de les trouver ?

Pour mettre en œuvre son programme, Marine Le Pen veut "élargir le champ d'application de l'article 11" de la Constitution. De quoi s'agit-il ?

Comme le dispose l'article 11, on peut faire un référendum uniquement sur des propositions de loi dans trois domaines : l'organisation des pouvoirs publics, la politique économique, sociale et environnementale de la France et la ratification des traités qui ont une incidence sur le fonctionnement des pouvoirs publics.

Pour élargir ces possibilités, il faut réviser la Constitution. Cette révision se fait par le moyen de l'article 89, qui implique que le projet soit discuté d'abord à l'Assemblée nationale et ensuite au Sénat, et qu'il soit adopté en termes identiques par les deux chambres. Une fois cette étape passée, le président a deux possibilités pour faire adopter son projet : réunir le Congrès à Versailles ou organiser un référendum. Mais en tout état de cause, pour étendre le champ référendaire comme le souhaite Marine Le Pen, cela implique d'avoir une majorité à l'Assemblée nationale et au Sénat.

 En gros, en plus de debaptiser la france, oui, j'ai bien dit DEBAPTISER LA FRANCE puisque le mot FRANC, justement, signifie direct, et courageux, pour ceux, qui auraient oublié à quoi, sert un dictionnaire, je vous rappelle, la definition:

LAROUSSE:

 

  • Qui agit de façon claire, sans équivoque ni arrière-pensée : Un homme franc et sincère.
  • Qui manifeste cette qualité : Un regard franc.
  • Qui parle sans détour ni dissimulation, qui ne cache pas sa pensée : Soyez franc, ne me cachez rien.
  • Où il n'y a ni équivoque, ni arrière-pensée, ni dissimulation : Ce n'est pas une réaction franche.
  • Qui est net, précis, non douteux : Une situation franche. Montrer une franche hostilité.
  • Qui est sans mélange ; pur : Vert franc.

  • En savoir plus sur http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/franc_franche/35003#F4vW1kr2dQ5T2gVm.99
  •  
  •     Je rappelle que moi, je m'appelle "Françoise",  ce qui ethimologiquement, signifie française, et que quand j'ai merde à dire à quelqu'un, qu'il soit Evêque, qu'il soit Roi, ou mendiant, ou n'importe quel PINIOUF, comme dit Collard, quand il me  vole mon vocabulaire, je n'y vais jamais, par quatre chemins, contrairement à marine le pen, qui erige le mensonge, et la manipulation, auang de mode de communication usuel, vis à vis des français.
  •  la preuve en est, allez donc, verifier, comment elle ait presenté les choses, sur les plateaux télé, ces derniers temps, et vous constaterez que sur le sujet de la preference nationale, elle s'etait bien gardée, de developper ce sujet, en particulier, et pour cause, tel qu'elle envisage les chose, elle laisserait simplement les français, decider de plein de choses, dans la totalité des secteurs, mais là, où c'est encore lus grave relativement à ce que j'ai developpé plus haut, c'est qu'il faut observer, que tel que les choses, sont actuellement, la participation, des français lors d'un scrutin, n'est pas aussi réelle qu'on le souhaiterait.
  •  
  •   Je veux dire, que l'abstentionnisme est un souci, même si aux dernières elections, ce fût moins le cas, qu'on ne le craignait.
  •  Selon ce procédé, donc, ces histoires de référundum, nous feraient voter, chaque mois, peut être ? Ou en tout cas, "pour un oui, pour un non"... Ce qui serait cohérent, pour un référundum, me direz vous, mais avec une fréquence, qui aurait pour conséquence, que bien vite, plus personne n'irait voter, pour donner son avis, et j'en entend même qui diraient haut et fort, "mais enfin, à quoi, ça sert, alors, qu'on soit allés voter".
  •  
  •  Si l'on "lit, quelqu'un, c'est bien pour qu'il décide des lois, pour nous, parce qu'on lui a fait confiance, et qu'on croit en lui, et pas pour devoir se déplacer aussi souvent, et se mêler de la gestion du pays, AUSSI FREQUEMMENT QUE CELA.
  •  

Or, vu le mode de scrutin, vu le choc que provoquerait son élection, je pense qu'il pourrait y avoir un sursaut démocratique, qui permettrait de ne pas avoir une majorité lepéniste à l'Assemblée. Et seule, Marine Le Pen ne peut rien. Notre Constitution a une structure parlementaire. Tout président a besoin d'une majorité parlementaire.

Si elle n'avait pas de majorité à l'Assemblée et au Sénat, Marine Le Pen aurait-elle la possibilité de contourner cet obstacle, en organisant un référendum ?

Il y a un débat. En 1962, le général de Gaulle a utilisé l'article 11 pour réviser la Constitution par référendum et introduire l'élection populaire du chef de l'Etat. A l'époque, tous les juristes, les commentateurs, les institutions et la quasi-totalité de la classe politique ont dénoncé dans cet usage de l'article 11 une violation de la Constitution. Sur les 24 révisions de la Constitution opérées depuis 1958, toutes – à l'exception de celle de 1962 – se sont faites par le biais de l'article 89.

Si Marine Le Pen utilisait l'article 11, ce serait considéré comme une atteinte, une violation manifeste de la Constitution.

Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel

à franceinfo

 

 Donc, si je résume, le danger, de la voir trucider notre Constitution, et en faire des confettis, est bien réel, et ce, des l'election presidentielle, et absolument pas, sous la condition suspensive, d'obtenir un grans nombre de sieges, aux legislatives, contrairement, à ce qui a at dit, ici et là.

A supposer qu'elle le fasse, l'article 11 prévoit que c'est le Premier ministre qui propose formellement au président d'organiser un référendum.

 Oui, mais comme c'est le president de la Republique, qui choisit son premier ministre, elles erait alors, parfaitement libre de choisir quelqu'un, qui soit fidèle à cette cause, et donc, que ça se fasse.

Il prévoit aussi, à la suite de cette proposition, un débat à l'Assemblée nationale. Les députés peuvent alors utiliser l'article 49, c'est-à-dire déposer une motion de censure, reprochant au Premier ministre d'avoir proposé à la présidente de faire une révision de la Constitution, à la fois sur un tel sujet et par le biais de l'article 11. A ce moment-là, le gouvernement peut être renversé, s'il n'a pas de majorité.

Si Marine Le Pen avait une majorité, le référendum serait-il possible ?

Toujours dans l'hypothèse de l'article 11, le Conseil constitutionnel est saisi du décret qui organise l'opération référendaire. A cette occasion, il a la possibilité d'émettre un avis sur la conformité à la Constitution du projet de loi soumis à référendum. On pourrait donc parfaitement imaginer le Conseil constitutionnel rendre un avis dans lequel il dirait, par exemple, qu'on ne révise pas la Constitution par le biais de l'article 11, ou que l'introduction de la préférence nationale dans la Constitution est contraire à la constitution et au principe d'égalité.

 Donc, dans cette hypothèse,   ça serait le conseil constitutionnel, qui veillerait au grain....

C'est un avis consultatif, le président n'est donc pas obligé de le suivre.

 Donc, si sa consultation, n'est que consultative, alors, ça signifie, excusez moi, pour la trivialité de mon propos, mais la gravité du problème m'y autorise, pour une meilleure comprehension.

 Marine le pen, peut donc, leur demander leur avis, et une fois l'avis defavorable rendu, qu'elle dise froidement, JE M'EN BAS LES COUILLES.

   Mais imaginez l'impact d'un tel avis ! Il serait publiquement énoncé que le référendum organisé par le président de la République est contraire à la Constitution.

   Il y aurait là une situation politique et constitutionnelle très grave : l'institution chargée de garantir le respect de la Constitution accuserait le président de faire un coup d'Etat, en organisant un référendum contraire à la Constitution.

 Et oui, effectivement, quand on voit ce que donne à voir, "les affaires", à l'etranger, comme si l'image de la france n'était pas deja suffisemment ternie comme celà.

  Si l'on pousse ce scénario encore plus loin, cela pourrait même déboucher sur la mise en accusation du président, via l'article 68. Ce dernier prévoit la possibilité d'une destitution du président, en cas de manquement grave et manifeste aux devoirs de sa charge, qui sont de gouverner dans le respect de la Constitution.

 OUF..... On avait deja eu un président, qui était à moitié fou, qui s'était appelé Deschanel, je crois... Un autre, qui est mort d'un orgasme en culbutant sa maitresse, sortie par l'escalier de service, il ne manquait plus qu'une femme présidente, qui resorte de l'Elysée, les menottes aux poignets, et comme ça, le spectacle, et la risée internationale, seraient garantis.

  Ausx dernières nouvelles, ou appellera ça, "les pieds nikellés intergénérationnels de l'Elysée".

Il y a toute une série de garde-fous qui sont la raison d'être d'une Constitution : elle sert à protéger les citoyens des abus de pouvoir des élus.

Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel

à franceinfo

 

 Oui, je sais, ça donne à réflechir, quand même, non ?

Les élus, une fois en place, ont tendance à vouloir gouverner selon leur volonté. Mais ils ne le peuvent pas : ils doivent gouverner selon la volonté du peuple, inscrite dans la Constitution.

Absence de majorité probable au Parlement, garde-fous constitutionnels... En somme, vous semblez persuadé que Marine Le Pen ne pourra pas inscrire la préférence nationale dans la Constitution, quelle que soit la situation politique ?

Mon sentiment est que ce sera très difficile. Elle ne pourra pas y arriver, à moins d'un coup d'Etat institutionnel. A un moment donné, le droit a ses limites. Si Marine Le Pen ne tient compte d'aucun des avis émis par les institutions de la Ve République et que le peuple approuve le référendum, on sort carrément du cadre constitutionnel. C'est pour cela que je disais au début de cet entretien que ses propositions ne peuvent être réalisées qu'en rompant avec la forme républicaine de gouvernement.

D'ailleurs, si elle propose autant de référendums sur la Constitution via l'article 11, c’est qu'elle a conscience que la Ve République l'empêcherait de gouverner. Le projet de Marine Le Pen est de sortir de la République. Or elle ne peut en sortir qu’en changeant "de" Constitution, pas "la" Constitution.

 En somme,

elle s'appuie sur le principe de lâcheté nationale, pour justifier ensuite, l'autorisation de bousiller, le moindre de nos principes Républicains.

 Jolie synthèse, pour conclure....

 En cours de redaction.

 

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