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L'Art des jardins à la croisée des différentes cultures et modes d'expression.

Le 22/06/2015

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

   Je vois, en réfléchissant à mon titre, que décidement, je ne réalisais pas à quel point l'Art des jardins était un sujet d'un spectre aussi large, Et pourtant. Y réfléchissant,  dernièrement, je réalisais que je devais écrire sur le sujet, véritablement parce que j'ai tant et tant à dire, sur le sujet.

   Il serait bien prétentieux, ici, d'en faire la démonstration, enfin, "prétentieux" n'est pas le bon mot, je dirai plutot "parfaitement illusoire" et donc improductif d'avoir cette prétention.

   Je vais donc me contenter ici, non pas "d'éfleurer" le sujet, mais plutôt de ne parler que d'une branche de cet arbre qui ne demande que de m'y voir grimper, pour la décrire et en expliquer les raisons.

   Il s'agit du jardin de Giverny.

   Je précise que si je n'ai encore jamais "raccroché les wagons" sur le sujet, c'est d'une part parce que j'étais frustrée moi  de ne plus avoir de jardin, mais aussi de me voir interdite quasiment, de peindre et d'exposer, pour des raisons qui n'ont pas être évoquées ici. Alors le jardin d'un peintre "pensez donc".

  Et puis pour être franche, le simple fait qu'on ne fasse que me tanner en me le collant sous le nez, n'était pas fait pour arranger les choses, si ce n'est que me faire fuir chaque année qui passait.

  Et puis bon, "les impressionnistes" ça va 5mn... Oui je sais, je suis dûre. Mais enfin pour moi, la peinture c'est avant tout une histoire d'actualité, et c'est plus encore la démarche artistique, là, au moment où je vous parle, qui tant qu'elle n'occulte pas celle du passé, si talentueuse soit elle, me passionne aujourd'hui....

  Loin de moi, de vouloir mépriser les musées, pensez donc. "Manquerait plus que ça". Mais enfin, en matière d'Art, il est bon de ne pas rester, non pas "le cul sur la commode" mais plutôt "le nez dans ses grimoires" et ces propos que je tiens sur le rétroviseur, tient tout autant pour la démarche artistique que pour la religion, et le reste.

 Et donc, "aussi pour les musées".

   Ainsi, combien, ou plutôt, "quel poucentage" se pâment devant tel ou tel peintre au Louvre, ou à Orsay et qui, pour rien au monde, ne foutra les pieds, dans une exposition de peinture contempraine, où le mec n'est même pas célébre, et qui plus est, dont la peinture n'a même pas été récupérée, pour décorer une boite de chocolat, "mon piout piout" pour offrir à la concierge ou à la voisine qui est si gentille, d'emmener votre petit cherubin, à l'école chaque jeudi matin.... Hein ? Dites le moi.

 Et oui, je sais je suis dure. JE SUIS MEME TRES DURE.

   Mais réaliste !  Vous en conviendrez.

    Bon attention, qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit. Je respecte les musées, et suis même responsable dans une proportion non négligeable, de la dernière politique dans le secteur c'est vous dire.

   Il n'empêche que pour faire entrer monsieur et madame tout le monde, dans des expos, où les peintres sont aussi méconnus que "maudits", c'est encore bibi, qui s'y colle et je précise que ça n'est pas de la chanteuse dont je parle. Et que s'ils y rentraient "tout doucement" ça serait un moinde mal.... NON NON NON NON NON NON.  Ils n'y entrent PAS DU TOUT.

  Quoi qu'il en soit donc, il se trouve que le pretexte est parfaitement bien trouvé pour aborder le sujet suivant et qui réside, dans le fait que l'Art  des jardins peut être croisé avec d'autres formes artistiques.

 Comment ?

  Oui je fais les questions et les réponses, l'aventage incontestable du monologue, réside dans le fait que je ne suis contredite par personne !

   Par le lieu, tout d'abord.

    L'art d'une plate bande réussie ne consiste pas uniquement à réussir, quelquechose d'esthétique, mais plutôt à reussir quelquechose d'esthétique SUR LE LONG TERME. C'est à dire, en tenant compte du temps qui passe, des défloraisons, des refloraisons, des semis spontannés, du développement des arbustes, et des arbres.

   Mais deja, là, voyez vous, je commence par avoir la prétention (ho, que je suis prétentieuse) de ne parler que d'une branche de l'arbre, et j'aborde deja le sujet en parlant de celle qui la croise, c'est à dire... "annuelles ou vivaces".... Ha non bisannuelle, ou bien vivace "de courte vie" et puis non, vivace. Et si je mettais quelques arbres ?

   Nous en étions donc, au fait de tenter désespérément de décrire une branche de l'arbre "Art du jardin", et je vois que je suis en train de divaguer de branche en branche.

 Le lieu disais je. Non, madame pas le poisson. Décidément. Oui Giverny, il y a des carpes asiatiques, je suppose. Mais le lieu, ça pousse bien en mer, que je sache non ?

 Le lieu, donc, l'endroit. Et bien oui, on peut y organiser des expositions de  sculptures, par exemple.

 Le temps. Quand j'y suis allée, personnellement, il crachouillonnait un peu, mais ça a passé.

 Mais enfin, merde, non mais ça suffit ! le temps. L'heure, quoi, la seconde, la minute, l'heure, la journée, le temps quoi, merde !

 Oui, on peut aussi, y dire des poèmes ou chanter, pourquoi pas ?

 Et quoi, d'autre ?

 Peindre. Ha mais oui, bien sûr, je me disais bien aussi qu'il manquait un truc ! La peinture, suis je bête.

   J'ai connu pluseurs nanas, moi qui ayant un jardin, peignaient également. En ce qui me concerne, il m'est deja arrivé de peindre des fleurs, en petits modèles, une sorte d'exercice que je m'imposais, un peu comme une forme de gymnastique pour entrainer ma dexteritié, en aquarelle. Très rarement, je dois dire, et aussi jouissifs pour moi que de peindre des drapés, et des matières de façon générale.

   C'est d'ailleurs pour cette raison que, c'est Degas qui a été choisi, à Giverny ce printemps, parce que lui aussi plus que n'importe qui d'autre, il me semble, a cette sensibilité avec les matières et notamment les tissus.

   Oui je me compare à Degas, non, je vous remercie, non, non vraiment ça ne me pose aucun problème. Dommage simplement, que regardant ses toiles, son talents ne dscende pas du tableau pour m'arriver dans les neurones.  Enfin, on fait ce qu'on peut !

  J'ai beaucoup aimé celui là.

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Ffr.academic.ru%2Fpictures%2Ffrwiki%2F69%2FEdgar_Germain_Hilaire_Degas_016.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fwww.refletsdutemps.fr%2Findex.php%2Fthematiques%2Fculture%2Farts-graphiques%2Fitem%2Freflets-des-arts-beaux-arts-edgar-degas&h=1597&w=2024&tbnid=Nn3EKTTN3JkbAM%3A&zoom=1&docid=5fW6H7cPyIkhbM&ei=GjKIVerrO8uRsAG48L9Q&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=655&page=4&start=68&ndsp=26&ved=0CLQCEK0DMFM

 Ainsi que celui là.

   Bon je ne le trouve pas. il s'agit d'une scene de face, où le clair obscur est plus prononcé. C'est assez incroyable de voir à quel point les reproductions sont toujours moins bonnes que les tableaux "en live". Mais, c'est une excellente raison pour aller les voir.

   Il y a à cette exposition, 80 tableaux. Je ne sais pas quel pourcentage de son oeuvre ça représente. C'était la première fois que je voyais une expo de cet artiste, en particulier.

   Je trouve interressant pour ma part, de consacrer une expo à un peintre en particulier, avec en rajout, éventuellement, cerains potes à lui, qui ont "copiné" (vous êtes priés, "je vous prie", de ne voir là aucune allusion sexuelle) mais plutôt, de tenter de dicerner, comment et pourquoi, il existe certaines similitudes entre les oeuvres de certains contemporains, qui ont travaillé avec.....

   Ce que je trouve interressant chez lui aussi, c'est le fait, qu'il ait touché pas mal de techniques differentes, ce qui n'est pas necessairement si courant que celà. Le fait que beaucoup de travaux intermediaires soient exposés, est tout aussi édifiant, aussi, parce que ça démontre la complexité, les hésitations éventuelles, ou si vous préférez, les  hésitations dans le cheminement, pour que le tabeau soit "considéré comme fini". Je dis bien "considéré comme" parce que les peintres savent tous que pour certains "un tabeau n'est jamais fini".

   "J'en parlerai à mon psy" si vous le voulez bien. Oui, mieux encore "j'y réfléchirai", vous savez les psys "faut s'en méfier".

   Mais en dehors de tout contexte comique, lié à ma réfléxion sur le sujet, je précise juste qu'on est en droit de faire un véritable parallèle par contre, entre le fait qu'un tabeau pour certains peintres ne soit jamais fini, alors qu'un jardin ou une scène de jardin, ne l'est pas d'aventage.

   Je suis aussi très sensible au fait qu'il ait peint avec une telle intelligence, aussi, les chevilles je dirai même, "les chevilles ouvrières", de l'Opéra, sorte de pépinière de l'Art de la danse, à Paris.

   Je précise qu'au sous sol, on y expose aussi, des artistes qui ont résidé ici, à l'époque de Monnet, ce qui permet notamment de dicerner avec quelle largeur un artiste est en droit d'interpréter ce qu'il voit.

   Je précise enfin, qu'il y avait la semaine dernière, avec Aïda Toueri, un spécial opera, sur Frannce 2, que je n'ai pas encore trouvé le temps d'aller regarder, mais j'ai l'intention de le faire.

http://www.france2.fr/emissions/grand-public

   Pour ce qui concerne le jardin, je n'y suis donc pas allée encore. l'idéal c'est de rester dans le secteur quelques jours. Je ne dis pas ça, comme ça, mais juste parce qu'il importe quand on visite de prendre son temps, quelqu'en soit le sujet. "les vacances marathon" sont à mon avis profondement malsaines, et improductives. Il y a beaucoup de choses à voir en Normandie, et je précise qu'il est possible, au départ de Paris saint Lazare, de prendre le train, jusqu'à Vernon, et que de Vernon, il est même possible de faire du tourisme fluvial.

http://voyagiste.pro-normandie-tourisme.com/menu/grandes-thematiques/l-impressionnisme/l-offre/excursions-maritimes-et-fluviales-110-1.html

     J'ai bien noté dans une vidéo, que l'intérêt était porté aussi sur le forêt, et sur les arbres, sachant que ces derniers étaient peu répandus, dans le jardin de Monnet originel.

   Il est vrai, et j'ai fait la triste expérience dans mon jardin antérieur, du fait que la coéxistence entre les arbres et le jardin, relève d'un challenge qui ne peut, sur le long terme, que mener à l'échec, si l'on prend en compte, la portée de l'ombre, qui va en grandisssant, chaque année, et chaque decennie, les arbres necessitant alors, un lieu qui leur soit consacré. Je précise donc, "message bien reçu".

http://www.mdig.fr/

   Pour finir, j'ai bien vu que les infrastructures étaient opperationnelles, pour recevoir des écoles, ce qui me ramène a  à la reforme necessaire, des rythmes scolaires, et l'absolue necessité de considérer le développement de la démarche artistique, comme étant un élément fondamental, pour le développement psychologique de l'enfant, chose que visiblement les parents qui n'ont jamais été confrontés à l'echec scolaire, eux même, ont du mal à assimiler.  

    J'ai trouvé ça vraiment bien, et je suis vraiment emballée pour le peu que j'ai pu découvrir, lors de la première visite.

http://www.lefigaro.fr/jardin/2015/07/10/30008-20150710ARTFIG00016-le-jardin-de-monet-sous-un-autre-angle.php#xtor=AL-155-[facebook]

 

 

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