Oui j'imagine bien que pour certain, je sois perçue comme provocante... Et pourtant. Dans le milieu artistique il est bien entendu qu'il n'en soit pas ainsi. Mais pour l'opinion général, il faut bien reconnaitre que oui.
Pour commencer.... "Pour commencer, il y a le verbe".
Excusez moi, je m'égare. Non, je ne vais poursuivre sur le mot "gare" SNCF", version "rue de la paix, de Zazzie, parce que j'ai l'ai deja faite maintes et maintes fois.
Pour commencer, disais je, il y a d'une part le sujet, selon les cas, il peut s'agir d'un paysage, d'une scène, plus ou moins lointaine, d'un modèle "plus au moins consentant" selon que l'on recherche du spontanné "dans la vraie vie", ou bien posé.
Je tiens juste à préciser que si le fait de demander sytématiquement le droit à l'image, aujourd'hui est devenu incontournable, je m'adresse tout particulièrement aux photographes animaliers, car en temps que mammifère "bonnet F", je demande le plus sollannellement du monde dorénavent, à ce qu'avant de prendre vos clichés au Massaï Mara, vous fassiez remplir par le guepard que vous convoitez avec votre objectif, l'autorisation "VGTRENJUTR-565435678" paragraphe 7,alinea 3, en triple exemplaires.
Le premier pour sa maman et son papa. Et bien oui, deja, que quand il va à une sortie scolaire, sa mère est morte de trouille, qu'il se trouve un paparazzi qui le colle sur FB, alors pensez donc !
Le second pour la lionne, qui est la chef de la jungle, comme chacun sait, et le troisième exemplaire, pour le photographe de telle sorte qu'il lui soit possible de brandir haut et fort, le précieux sésame, pour le cas où le guépard devenu aussi con que les humains, ne vous foute un procès au cul.
Mais je vous préviens. Si au moment où je vous parle, il se trouve encore plein de pays dans le monde où l'on assassine comme ça, sans raison, surtout si on ne pense pas comme le type qui est au pouvoir, qu'on appelle plus communement "dictateur", nous ne sommes en possession d'aucun élément au moment où je vous parle, qui soit de nature à garantir qu'une famille guépard, soit plus intelligente que les humains, necessairement, et que par conséquent, nous ne sommes pas en mesure de vous affirmer qu'en cas de traumatisme psychologique du à une photo prise sans le fameux exemple dûment signé et paraphé.... Il ne vous bouffe, purement et simplement tout cru, comme un vugaire bout de barbak....
Voilà. Peut être que certains trouvent que je suis d'un seul coup, moi aussi, légèrement accusatrice, voir procédurière vis à vis de la Faune en général, et des felins en particulier, position que je peux parfaitement comprendre et que j'assume parfaitement.
Mais en tout cas les faits sont là, et j'ose esperer que les couillons qui ne font que faire des photos, version "photo mâtons" ont bien pris la mesure des risques encourrus, contre lesquels je tiens à le préciser, j'ai informé monsieur Ban Ki Moon, en particulier, que je déconseillais absolument, de prendre parti en quoi que ce soit pour le parti des humains pas plus que pour le parti des animaux. J'oses espérer que les choses sont à présent bien claires.
A présent on va se pencher sur cette expression, ART MINEUR.
Le probleme se pose chez les intellectuels,, on se demande bien quel intrêt ils y trouvent pour ê^tre franche.
Serge Gainsbourg, avait tenu ce propos aussi au sujet de la chanson.... J'ai deja expliqué en plusieurs endroits, mon point de vue sur le sujet.
Je pense moi, que les critères qui definissent, qu'un Art soit mineur ou pas ne sont pas les bons !
La raison réside dans le fait que j'ai une vision plus altruite, il me semble de l'Art en général, peut être, même si ça peut sembler prétentieux, j'assume.
Pour moi, un Art majeur, donc, est un Art qui sait s'adapter à tous. J'entends par là, toutes les couches sociales.
Alors que le critère qui a toujours fait loi, il me semble, était plutôt de considèrer que d'appprécier une forme artistique, devait faire l'objet d'un apprentissage. C'est ce concept, qui a toujours été retenu sauf erreur de la ma part, pour définir si un Art était majeur ou pas, et je pense moi, que ce critère est élitiste et discriminatoire.
Il l'est à mes yeux, pour une raison fort simple, que j'ai expliqué ce matin, à un photographe qui expose à Mesnil Panneville le village que j'ai habité 30 ans.
C'est qu'un enfant par définition, est un petit être en devenir, qui par définition, quand on s'occupe bien de lui, ne demande qu'à apprendre.
Je précise ici que je sais fort bien qu'il arrive que certains enfants aient des difficultés, sur ce plan là, et je tiens juste à rappeler, qu'un enfant en difficulté, ne signifie pas que les parents soient mal aimants ou bien incompétants....
Ainsi, c'est un peu comme si au fur et à mesure de son développement mental, il trouvait devant lui, une quantité de portes ouvertes, qu'on l'invite à franchir.
Ces portes, sont proposées à être franchies en tout premier lieu, par ses éducateurs, généralement les parents et toutes les personnes qui prennent soin de lui.
C'est seulement après je drai m^me loin derrière, en théorie, que l'école intervient.
Ensuite, c'est selon le temps consacré au fait de veiller à ce que ces portes restent ouvertes, par les parents en tout premier lieu, que l'enfant, va entrevoir l'opportunité, et éventuellement le désir de franchir ces portes, les unes apres les autres.
Ainsi, j'ai deja connu, moi, une maman, qui n'avait eu que son certificat d'étude, pourtant, alors qu'à cette époque, c'était un diplôme tout à fait valorisant, ayant travaillé à la ferme, elle trouvait parfaitement inutile et improductif, d'avoir dans sa maison des livres et des journeaux, ou des magazines. Ma soeur apportant des revues avait vu cette maman, les foutre à la poubelle, et dire franchement, "pour bosser, ça ne sert à rien".
Ce cas est un cas extrême, j'entends bien. Il n'empêche qu'on ne peut pas demander à un enfant d'apprendre à l'école, si à la maison, on lui tient un disours où le livre est un objet banni, ou stupide.
Ce que je veux dire par là, n'est rien de moins que les premiers à fermer les portes, qui doivent pourtant se présenter devant l'enfant, au fur et à mesure de son développement intellectuel, ce sont ses parents, et plus précisement sa culture, ou son milieu social.
C'est pour cette raison que je considère moi, qu'un Art qui soit assimilable par le plus grand nombre, devrait être il me semble considéré comme majeur et pas mineur.
Alors certains diront "mais l'ecole elle sert à quoi". Et bien à apprendre, mais pas éduquer !
C'est précisement pour cette raison, que je recommande moi aux mamans, qui viennent de pays emigrés, ou bien de couches sociales qui sont défavorisées, de participer aux activités péroscolaires dans le cadre des rythmes scolaires, parce que l'enfant voyant sa maman être perçue par les enseignants comme étant digne de replir une telle mission, voit sa maman ainsi valorisée et s'en trouver beaucoup plus acceptée.
A l'inverse, si l'enfant entend sous son toit des propos salissant ou insultant vis à vis des enseignants, l'enfant risque de devenir plus ou moins imperméable, au discours, de la maittresse ou bien du maître.
Pour en revenir à l'Art "mineur", et la photographie je ne peux résister, ne m'en veuillez pas, à faire une allusion à la Lumière.
Et oui, faire des clichés six pieds sous terre, comme on dit, ou bien dans des galeries, impose une lumière artificielle, qui ne vaudra jamais la Lumière du jour.
Mardi 16 fevrier 2016.
Association des Photographes de Naissance.
Je ne savais pas que ça existait.
http://www.huffingtonpost.fr/2016/02/11/photos-concours-naissance_n_9209326.html
Magnifique.
24 Juillet 2019.
Il faut aller reécouter les émissions de France Inter, qui en parlent, comme "regarder voir", en rediffusion.
Sinon, le village de sainte Austreberthe organise un concours photo.
http://www.sainte-austreberthe76.fr/
J'ai deja envoyé les miennes, des que j'ai su.
