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Les désirs non avouables, du patronât français.

Le 09/07/2017

Dans CULTURE, AGRICULTURE. A moins que tout compte fait ça ne soit Sylvie.

mardi 6 juin 2017

08:36

Bon, je suis en vacances d'internet, mais de penser que ça suffirait à me la faire fermer, décidément, "c'est bien mal me connaître".

 Non, pour la pub,  vous ne me devez rien, MERCI.

   Et pour le coup où internet, serait non disponible, soyez sans crainte, sous la pluie ce matin, j'ai fait mes cent mètres à pied,  parce que je n'ai plus qu'une petite radio, plus de télé, et plus de téléphone fixe, et juste le portable, qui ne capte pas ici, où je vis…

 CENT METRES JE VOUS DIS, sous la pluie !

  Ca vous dit ? Alors, j'ai donné mes conseils, bien vite, des que j'ai entendu les infos, sur France Bleu.

  Ha, mais "on ne me la fait pas à moi, c'est moi qui vous le dis, gataz, je le ferai chier, jusqu'au BAC !

  Ca lui apprendra à ricaner comme un couillon, moi non plus, je ne trouve pas ça drôle, comme beaucoup de français, peut on rire de tout  ? OUI, mais pas avec n'importe qui, et surtout pas avec GATTAZ !

  Je l'aime pas celui là, y'a rien à faire, JE L'AIME PAS !

  J'ai donné la consigne de surtout ne rien lâcher, sur l'accord par entreprise….

  C'est hyper important, de ne jamais céder sur ce point, mais je vous explique, pour quelle raison.

  Pour moi, déjà, le principe même, va complètement, à l'encontre les lois de rachat des sociétés, puisque la masse salariale, est alors, considérée, non pas comme une plus value, dans le sens potentiel, créateur de travail, puisque jusqu'à preuve du contraire, c'est quand même le travailleur, qui fait la valeur de la boite…. (ça, va, gataz, là, il ne s'est pas encore étouffé ???  Ne vous inquiétez, pas, avec ce qui arrive, je vous garantit ce qu'on appelle "la fausse route"…

  Il toussera un bon coup, pissera dans son froc, et tout rentrera dans l'ordre.

  Non, ce qu'ils recherchent, les grand patrons, c'est que dans l'hypothèse où une grosse société, parviendrait, à négocier un droit du travail, qui soit propre à sa boite, cette loi du travail, serait codifiée, de telle sorte, que ça serait ce droit à broyer le travailleur, ou à le licencier, si vous préférez, qui deviendrait une part de la plus value, de la boite en question, dans l'hypothèse, d'une revente, comme ces gros patrons, aiment si bien le faire.

  Et moi, qui depuis des années, avait proposé de créer, un indice de respectabilité du travailleur, ce connard de gataz, est en train de tenter de nous introduire, et je rajouterai "sans vaseline", ce que j'appellerai "l'I BMS", plus communément, appelé INDICE DE BROYAGE DE LA MASSE SALARIALE".

  Je signale d'autre part, à cet imbécile (ha, ça non, je l'aime pas !), que de telles pratiques, sont de toute façon, pour moi, moralement complètement irrecevables, parce qu'elle induit, dans le milieu des affaire, un contexte de concurrence absolument déloyale, d'un pays à l'autre, et tronquerait de façon particulièrement vicieuse, la notion de monopole, "ou non", branche par branche.

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