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"L'imposture des droits sexuels des enfants".

Le 12/08/2017

Dans FAMILLE.

https://www.youtube.com/watch?v=ll4xwPIxX6M

 Je précise que la vidéo que j'ai décortiquée n'est plus disponibe sur youtube, mais certains de ces extraits, sont repris dans celle que vous donne.

 Je cite:

"Je ne voulais pas faire cette vidéo, sur ce sujet, pas plus que d'en écrire un livre.

  Ou la loi, du pédophile au service du totalitarisme mondial,  que j'ai édité de façon indépendante, sur amazon.

 Le fait de n'avoir pu trouver un éditeur, en soit, aurait du générer une remise en cause, à la base. Je sais, on me dira que le courage, rencontre souvent, quelqu'obstacles, face à un édition, mais comme cette femme qui se dit chercheuse, a déjà publié, d'autre part, d'autre ouvrages, qui eux ont retenu l'attention d'un éditeur, on est en droit de se poser quelques questions.

 Je suis Araine Bilheran je suis normalienne, formée à la philosophie morale et politique, (cette expression est assez amusante, pour moi, la notion du bien et du mal, se transmets d'abord, par l'éducation, que l'on reçoit, plus encore, que sur les bancs de la FAC…Il n'y a qu'à observer en quoi, certains qui ont fait l4ENA, sont bien peu attaché, à une forme de morale politique.

 Maitrise de latin, et de grec, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, (cette expression, est elle aussi, assez amusante, si l'on considère, que les psychologue, qui n'ont fait, par définition, aucune formation, de médecine, ne sont toujours pas habilités, à ^voir leur séances remboursées par la sécurité sociale !)

 Je suis en clair, une intellectuelle, (ouai, c'est ça, moi aussi, je suis une intellectuelle,  enfin, c'est ce qu'on me dit, j'ai eu mon BAC à Duclair, une chercheuse, spécialisée en analyse de la psychologie du pouvoir, et des pouvoirs déviants, manipulateurs, harcèlement, tyrannie, etc.

  Bon, je n'ai lu encore aucun de ses livre, alors, je ne sais pas ce que vaut son travail, sur le sujet.

  Au lieu de chercher, elle serait bien inspirée de trouver, et ça, si j'en crois cette vidéo, c'est pas gagné !

 Je veux dire, que quelqu'un, qui fait une vidéo, en éprouvant la nécessité, d'étaler ses diplômes, à la base, je trouve ça un peu "chelou".

 Ce qui m'intéresse, ce sont les pourvoir manipulateurs, et totalitaires, au sein du langage, pour que vous réussissiez à y voir clair, je les décrypte pour ça.

  Et bien justement, hier, je bossais, sur le conflit, actuel, entre trump, et le dictateur nord coréen, et dans un cas comme dans l'autre, comme on dit vulgairement, "ça tombe pile poil, dans ses compétences".

 Moi, je n'ai peut être aucun diplôme en psychologie, mais quand il faut que je m'y colle, je m'y colle. Je n'aime pas la polémique, parce que la polémique, c'est la guerre par les mots, et quand il y a la guerre par les mots, ça signifie que les mots ont perdu, la justesse de leur définition.

  Et oui, sauf qu'il n'y a  que dans le débat, précisément, qu'on peut a voir l'occasion de se frotter, aux opinions, qui ne sont pas les mêmes que les nôtres, et c'est la seule issue, qui est respectable, pour faire progresser un sujet de société.

 Moi, j'appelle ça, "la peur de débattre", simplement.

  Voilà, donc, moi, mon travail, c'est de remettre un peu d'ordre, dans le sens des mots, pour comprendre comment, les mots peuvent soigner, ou comment, ils peuvent commettre le pire.

 Oui, sauf que les mots, avant de les remettre en cause, il est bon de reconnaître, qu'il y ait eu assez courageux, pour pouvoir ls dire, et les poser.

 Ce qui n'empêche pas, de ressentir, quelquefois, le besoin de les remettre en cause, ou de les interroger. Sur ce point je suis d'accord.

 Quand à l'expression, "commettre le pire", pour parler des mots, je trouve ça un peu fort, et pour tout dire, franchement irresponsable, venant d'une psychologue, qui se drape de ses diplômes.

 Le pire, jamais, n'a été commis par les mots, parce qu'une parole, ou des paroles, malheureuses, déplacées, blessantes, ou humiliantes, toujours, peuvent trouver réparation par la communication, des explications, des questions, qui attendent des réponses,  sur les causes, par exemple, pour ensuite, générer des regrets, et pourquoi pas, le pardon….

 Un meurtre, un viol, un génocide, des actes de guerre, ou de barbarie, voilà, ce qui a toujours été et sera toujours le pire.

 Je suis consternée, par une telle bêtise ! 

 Parce que si on ne le fait pas, ça donne, "la guerre c'est la paix", la liberté c'est, l'esclavage", l'ignorance, c'est la force, je cite Orwell, 1984, mais nous pourrions, citer, etc, et, etc…

 Que ça plaise, ou pas des l'instant, que l'on nomme les choses, qui ne sont pas de l'ordre du visuel, et encore, n'importe quel mot, ou n'importe quelle expression, prêtera toujours, à interprétation, on n'y peut rien.

 Et encore, en matière de visuel, cette histoire de robe, blanche, que certains prétendaient bleu ciel, au seul prétexte que la photo avait été prise, à l'ombre, me fait douter !

 'références à certains propos, qui auraient pu être tenus, dans les camps, pendant la seconde guerre mondiale).

 Aujourd'hui, par le front national, ou des propose de donald trump, certaines notions abstraites, se trouvent ainsi, parfaitement distordues.

 Voilà, donc, des mots, qui nomment le réel, qui le nomment autrement, nous conduisent, aux pires stragédies de l'histoire..

…..  ……  …..

  Il y a quelques mois, une collègue, me montre une vidéo, de marion, sigaud, et me dit, '  "Qu'est ce que tu en penses".

  Sur le coup, je n'en pense rien, j'écoute cette femme, qui tient des propos, qui me semblent, très graves,  il faut que j'aille vérifier", je n'ai pas les moyens de le faire, parce que je ne suis pas en France, ensuite, impossible de me procurer son livre, et je voulais rester très indépendante, par rapport à ces propos, et donc, ne voir que le texte.

 Enfin, j'avais déjà ma petite idée, parce que l'expression "droit sexuel", pour moi, déjà, c'est quand même un peu bizarre…

 Ha oui ?... Et pourquoi ça ?

  La raison, c'est que la notion de droit, est sensée répondre à réprimer, par les pulsions, pour préserver l'intégrité de chacun, et non pas les encourager.

 Ha, non non. Je cite :

"Le droit, est sensé répondre à réprimer, par les pulsions".

  Mais en aucune façon, quand il s'agit de pulsion, ce qui est bien loin d'être évident, ne saurait être sexuelle…

 Si vous marchez dans la rue, et qu'un homme vous insulte, vous allez aller vers lui, peut être, et par reflexe, allez l'interpeller, pour lui demander, pourquoi, il se comporte ainsi, il ne s'agit pas alors, d'une pulsion, mais je dirai, d'une stratégie de reflexe, qui tend à provoquer, le respect de votre interlocuteur, en temps que personne. Et rien de plus. Etça n'a rien de sexuel !

  Il n'est pas inutile de préciser, que la notion de droit, induit effectivement, une forme d'encouragement, c'est vrai…

   Les droits de l'homme, induisent effectivement, un encouragement, à réagir, si l'on a le sentiment, de voir son droit bafoué, c'est indéniable.

 Donc j'ai décidé de m'y coller.

  Je croyais n'en avoir que pour quelques jours, quoi, d'investigations et puis au bout de quelques jours, je découvre une montagne de textes, assez effrayants, dans la confusion, dans le mélange de tout, dans la différenciation,  et qui, surtout, ne protège absolument pas les mineurs, et qui évacue la notion de mineurs sexuels.

 Les "mineurs sexuels, " et bien justement, parlons en.

  Visiblement, cette femme dans sa formation, n'a jamais pris aucun cours de sexologie, et aucun cours de psychologie  de l'enfant, ce qui me semble, pour le coup, extrêmement inquiétant.

 Nier, que l'enfant, ait une sexualité, me semble, une grave erreur, parce que l'enfant, par nature, ne serait que parce qu'il a précisément un sexe, se pose pas mal de questions, et nier qu'il en soit ainsi, ne relève que d'une vision étriquée, mais surtout, particulièrement malhonnête du fait, qu'elle prétend connaître.

  Je ne suis pas en train de prétendre, que les enfants sont sensés avoir une activité sexuelle, au sens nous l'entendons, en temps qu'adultes, ce que semble prétendre cette incompétente…

 Je prétends juste, que les enfants se soucient, de ce qu'est la sexualité, et qu'il découvre leur sexe….

  Les questions, qu'ils se posent, sur le sujet, doivent impérativement, trouver une réponse, qui tende à leur inculquer, non seulement, le respect de leur corps, et pas uniquement, de leur sexe, mais aussi, à bien comprendre, en quoi, pourquoi, et comment, ils doivent tout autant intérêt ,elle fait, que le corps de l'autre, mérite autant d'être respecté, que le leur, voilà, ce qui importe.

  Bon, là, on est complètement, dans un jugement de valeur, qui n'est étayé, par rien, absolument rien.

  En gros, c'est du vent, et rien de plus.

  Moi, je suis quelqu'un, qui analyse froidement,  je fais un travail d'analyse de textes, duquel sort donc, mon livre, et je vous confirme, exemple à l'appui, l'existence de dérives graves, en France, au travers de le prétention, des adultes à éduquer sexuellement, des mineurs sexuels.

  Déjà, là, il y a problème, éduquer, on éduque à réprimer des pulsions, et à ne pas faire tout ce que l'on veut, on n'éduque pas à une pulsion, c'est en fait, complètement délirant. En fait.

 RIDICULE…

   Ca n'est pas vraiment la pulsion, parfaitement embryonnaire, à l'âge d'un enfant, je le précise, mais plutôt, le contexte, et notamment, la personne, face à qui l'on se trouve qui doit interroger, l'adulte, qui prétend pourvoir enseigner, qu'il soit parent, ou qu'il soit, éducateur, ou enseignant.

  J'étudie, littéralement des passages, de la déclaration des droits sexuels, un texte parmi d'autres, je l'ai fait dans le livre, vous verrez, qui décrit une telle dérive pédophile, sous couvert de lutter, pour le droit des homosexuels, droits des femmes, droits à la santé, par la prévention.

 Alors, il faut bien comprendre, que la perversion, elle fonctionne toujours comme ça.

  C'est le bonbon empoisonné.

  C'est appétissant, ça fait super envie, et c'est super bon,  c’est-à-dire des idéaux, auxquels tout le monde a envie de croire.

  Quelle personne normalement constituée, avec  de l'empathie, a envie que des homosexuels soient persécutés ?

  Que les femmes, n'aient pas accès à un peu plus de libertés, dans leurs droits, et que les pauvres, n'aient pas accès à la santé ?

  Mais il faut comprendre que toutes la manipulations, y est en particulier, les manipulations de masse, se font au nom des idéaux, et en particulier, au nom d'un idéal, qui est celui de l'égalité.

  Pour ce qui concerne la description de la perversité, dans le fonctionnement de la communication, d'un individu à un autre, je suis d'accord, on peut effectivement voir les choses ainsi.

  Mais  j'estime que ça ne s'applique absolument pas au sujet dont il est question, ici.

  L'égalité de droit, qui est en fait, l'égalité de faits, et qui égalise le champs, et qui donc, finit par harceler les peuples.

   Il est sous entendu par ces propos, enfin, c'est la lecture que moi, j'en fais, et ce que je crois comprendre, que la posture de l'auteur qui décrit le droit sexuel, prétendrait, que le droit sexuel de l'enfant, serait parfaitement assimilable, au droit sexuel de l'adulte.

   En tous cas, c'est ce qu'elle prétend avoir compris.

   Je trouve ça très étrange, pour tout dire, parce que la lecture, que j'en fais moi, qui suis une ancienne victime de pédophilie, je le rappelle,  je subodore, qu'aux yeux de certains, ça ne valle pas ses diplômes (sic ! ), mais ça n'est pas du tout, la lecture que j'en fais.

   Enfin, en tout cas, d'après les extraits, qu'elle en donne, elle.

  Car si effectivement, l'enfant,  a une sexualité, elle n'est en rien comparable, à celle de l'adulte, et doit être bien d'avantage, être perçue, comme la "sensualité", et pas comme la "sexualité".

   Sachant que dans sa construction psychologique, dont sa sensualité actuelle est le prémice, de sa sexualité future,  cette notion de sensualité est absolument fondamentale, et doit effectivement, être prétexte, d'une part, à une bonne communication de la part des parents, pour expliquer pourquoi, on se lave les dents, pourquoi, on doit se laver, pourquoi, on doit prendre une douche, plutôt qu'un bain, quand l'enfant est assez grand….je veux dire, que l'on peut aussi saisir l'occasion, de lui parler d'écologie.

  Il ne s'agit pas de faire, de cette "sensualité", ni un sujet tabou, pas plus qu'un sujet exclusif, ou une obsession, mais plutôt de le restituer, dans un contexte général d'éducation, et d'initier un rapport au corps, qui soit sain.

  Pour cette raison, d'ailleurs, je précise que s'il est parfaitement normal, pour un parent, de masser son enfant, sur le corps, après le bain, par exemple, ou pour l'endormir, un père ou une mère qui donne le bain   à son enfant, des que l'enfant, a conscience de son corps, enfin, assez pour l'accompagner, quand il commence à se laver seul, et que vous surveiller, qu'il n'oublie, aucune partie du corps, c'est l'enfant, et l'enfant, seul, qui doit laver son intimité avec sa main, et que les parents, n'ont pas à toucher, les parties intime, de leur enfant.

  Je sais, que certains parents, doivent se poser certaines questions, sur le sujet, ou plus précisément, sur le fait, que j'insiste sur ce point.

  Alors, je vais vous en donne les raisons.

  J'ai eu l'occasion, il y a quelques années, d'avoir sous les yeux, une étude, qui révélait, que  sur dix enfants, ayant été violés, par leurs parents, et donc, victimes d'inceste,   parce que l'enfant se sent en confiance, et donc, se confie, et se sent proche, de son père, qui vient lui lire une histoire….

  Le père alors, abuse de ce pouvoir, et glisse sa main, sous les draps.

  De la même façon, un père incestueux, sera tenté de faire dormir dans son lit, en l'absence de la mère, sa propre fille, pour les raisons que vous n'avez hélas, aucun mal à imaginer.

  L'enfant, ne se doute de rien, et pour cause,   il ou elle, ne lui vient pas à l'idée, que son père, puisse lui faire du mal, lui, qui est sensé le protéger, de tout danger, au contraire.

  Je ne suis pas en train de prétendre, que tout père, ou toute mère, qui dort avec son enfant, serait incestueux.

  Mais nous savons tous, que dormant, nous pouvons avoir des comportements, qui prêtent à interprétation, et que pour cette raison, certaines précautions doivent être prises.

  Je précise que ce risque existe tout autant, entre mère et fils, ou entre mère fille, ou entre père fils, même si c'est plus rare.

   De la même façon,  qu'on explique à un enfant, qu'il est bon, pour sa santé, de manger des légumes, et d'éviter de se goinfrer de sucreries,  de gâteaux ou de bonbons,  en en donnant les raisons,  dans l'intimité de la toilette, on peut parfaitement lui expliquer, que s'il a envie de se caresser, c'est de son corps, dont il est question, et qu'il a le droit de le faire, et que ça ne regarde absolument personne et que c'est intime.

  On peut d'ailleurs, lui expliquer, ce que signifie, le mot "intime" ou "l'intimité", on devrait, en temps que parents, transmettre cette notion fondamentale, et qui dépasse largement, le domaine de la sexualité.

  Quand on parle de ces choses à son enfant, il est important, aussi, d'avoir le courage, de lui expliquer qu'il existe des adultes, qui  aiment, faire des choses sexuelles,  avec des enfants.

  Il faut alors  leur expliquer, que quelquefois, ça peut arriver, aussi, avec la bouche, et  que de faire ces choses, est criminel, absolument interdites, et que ces personnes, quelquefois, font croire qu'elles sont gentilles et aimables.

  On peut leur expliquer, que pour eux, l'enfant, n'est qu'un jouet, exactement, comme un objet, un ballon, ou un outil, mais que quand ces choses arrivent à un enfant,  c'est tellement grave, qu'il a le sentiment, d'avoir fait quelque chose de mal.

  Je sais fort bien, que certains parents, seront choquées, en lisant ces lignes, parce que parler aussi ouvertement, de pédophilie, est simplement, absolument impensable, pour certains….

  Mais les faits, sont pourtant, bien là…

  Et si les affaires de pédophilies, défraient l'actualité, quelquefois, il faut simplement, que l'enfant, qui se pose des questions, puissent trouver les réponses, aux questions qu'il posera, ou qu'il pose, et pour cela, il faut avoir le courage de dire les choses, et les dire avec des mots, qui soient justes, et sans hypocrisie.

  Il faut dire aux enfants,  qu'ils ne doivent jamais, se promener, tous seuls, mais toujours accompagnés,  avec des amis, ou avec des adultes, qui veillent sur eux, et qu'il arrive que certains adultes, y compris, dans leur entourage, même si c'est plus rare, quelquefois, font ce genre de choses, et qu'ils doivent impérativement le dire, aux autres adultes.

  Harceler, veut dire "égaliser".

  C'est bien la peine de jouer, les connaisseur, sur l'importance, des mots choisi, pour sortir, une telle ânerie.

  Harceler, veut dire:

  1648 « soumettre sans répit à de petites attaques »

  À partir de l’adresse <http://www.cnrtl.fr/etymologie/harceler>

  Et ça a la même étymologie, que le prénom Harry, d'où le titre du film, "Harry, un ami qui vous veut du bien".

  Il faut être très attentif, à ce qui se passe, au sujet du mot égalité.

  Quand on commence à douter du bien fondé, du mot égalité, on est effectivement en droit, de se poser certaines questions, d'autant que ce mot, n'a rien à voir, avec le mot harceler, contrairement, à ce qu'elle prétend.

  Bon, je vais vous citer donc, un certain nombre de mensonges, mais il y en a plein d'autres.

  Premier mensonge, "ce n'est pas une charte".

  La déclaration des droits sexuels, n'est pas une charte.

  La charte date de 1994, au planning familial, international.

  Elle est différente de la déclaration.

  Elle se veut en fait, similaire, à la déclaration des droits de l'homme.

  Bon, pour véritablement savoir dans quel case, on doit ranger ce texte charte, ou pas charte, il s'agit d'un texte de référence, qui vise à prendre conscience, du droit de l'enfant, et puis voilà.

 Charte, charte... Probablement, par sympathie, avec la ville de Chartre, par amitié avec ses amis politiques, je suppose.

  Disons que ce sont des valeurs vers lesquelles on est sensé tendre, et rien de plus.

  Si elle juge de la dénomination du texte comme elle manie l'étymologie, ça en dit long effectivement.

  D'ailleurs, il y a un amalgame.

 "Droits sexuels, et droits de l'hommes".

  Disons que les droits sexuels de l'enfant, sont inspirés des droits de l'homme, oui, c'est vrai, mais je ne vois pas très bien, en quoi, ça serait un problème…

  Amalgame, non, je ne trouve pas…

  Il est évoqué, de façon détournée, la notion selon laquelle on voudrait accorder à l'enfant, le même droit, sexuel notamment, dont bénéficie d'adulte, c'est ce qu'elle tente, PAR MANIPULTION, de laisser croire, mais en réalité, il n'en est rien.

  Alors, que les droits sexuels, viennent contredire, les droits de l'homme.

  Ha bon ?

  En particulier, sur les choix des parents, prioritaires, sur les choix d'éducation, en matière d'éducation, sur leurs enfants.

  Oui, c'est vrai, mais ce sont aux parents de veiller, à l'éducation des enfants, et non à l'école.

  Pour autant, les parents ont le devoir de veiller sur leurs enfants, et le devoir aussi, de leur transmettre, certaines valeurs, et chacun sait, que certains parents sont effectivement défaillants, il serait bon d'arrêter de faire passer les parents, comme étant systématiquement bienveillants, sur leurs enfants, et aimants, parce qu'on sait que ça n'est pas toujours vrai.

  Il faut quand même être très attentif, il y a un sophisme, le sophisme c'est un faux raisonnement, qui font de tout ce qui se passe, autour de cette notion complètement crapuleuse de droit sexuel, ça n'est absolument pas de le prévention, mais qui va introduire, à l'intérieur des (????).

  Bon, là, on attend des explications, mais on n'a que la conclusion, comme au départ, c’est-à-dire, sans la moindre argumentation.

  Cette déclaration, elle dit que l'obligation de satisfaction requiert des états qu'ils adoptent des mesures, legislatives et administratives, budgétaires, et judiciaires, promotionnelles, et toute autre mesure appropriée, et visant, au plein exercice de ses droits,  c’est-à-dire qu'elle entend infléchir la politique des états, en matière de loi, d'administration, de budget, de justice, de promotion, et toute mesure appropriée,  ce n'est pas une charte qui fait ça.

  La lecture que moi, j'en fais, est tout autre…

  Il est possible que certains trouvent, cette intention étrange, moi, je la trouve parfaitement bienvenue, mais je m'en explique.

  Pour commencer, le fait que le droit sexuel de l'enfant, soit inspiré des droits de l'homme tend à vouloir insuffler, l'idée selon laquelle, un enfant doit être considéré, comme un être humain à part entière,

"sur le plan de la dignité et non comme ayant une valeur moindre".

  Et si cette inspiration, relative aux droits de l'homme me semble bienvenue, au contraire, c'est parce qu'elle s'oppose, justement, à la chosification que subit l'enfant, ou toute victime de crime sexuel…

  Brazelton, disait, "le bébé est une personne", et bien on peut en dire, tout autant, de l'enfant.

  Car le viol, les attouchements, ou la pédophilie, ont pour conséquence, dans le psychisme de la victime,  de l'avoir chosifié, et donc, assassiné  intérieurement, état de mort affective, et intérieure, qui chez certaines victimes, peut durer, la vie entière….

Autre exemple.

  Standart, pour l'éducation sexuelle en Europe, qui nous sont donc, imposés, en tout cas, on  à tous les enfants de France, sans que le peuple français, ait eu quelque chose, à en dire.

  Désolée, franchement désolée, mais on ne peut pas non plus demander l'avis à chaque français, pour tous les sujets.

  D'autre part, une charte des droits, quelque soit la charte, n'est qu'un idéal, vers le quel on doit tendre, mais chacun sait, qu'hélas, surtout par les temps qui courent, bien souvent, la charte des droits de l'homme, elle même, y compris sur le sol français, est bien malmenée.

  Exemple, enseignement de la masturbation des enfants de quatre ans, à l'école.

  Bon, sur ce point, je tiens à préciser ma position, je prends ça, pour un mensonge éhonté…Ou plus précisément, de la diffamation.

  Il est possible, que le mot "caresse", ait été dit, mais entre "masturbation", et "caresse", la nuance est grande, et bien différente.

  Moi je n'en crois pas un mot.

  Et pour ceux qui seraient en doute, face aux fait que l'enfant ait une sexualité, effectivement, je leur demande alors, pour quelle raison, un  petit garçon qui prend son bain, avec sa maman, aurait une érection… Raison, pour laquelle je recommande, justement,  d'assez vite ne plus prendre de bain avec son fils, et je serai fort curieuse d'apprendre quelle préconisation, et surtout, quelle explication elle donnera à la maman, et surtout, QUEL CONSEIL ?.

 Parce que sur ce point, soyez tranquille, elle n'en dit rien.

  Alors, les professionnels de santé, et de la petite enfance  seront aussi heureux d'apprendre que l'enfant, fantasme  (vous pourrez aller vérifier), sur le fait, que les enfants, entre 7 et 9 ans, fantasment beaucoup sur le fait, d'être amoureux, d'un autre enfant, du même sexe.

  Heu, oui, franchement, je ne vois pas où est le problème…

  Le fantasme, n'est qu'une élucubration de l'imaginaire, dont les enfants, sont fort friands, notamment, quand ils jouent.

  Le fruit d'une imagination, qui n'a aucune importance, et parfaitement futile, et qui s'évapore bien vite, et qui visiblement, est entièrement confondu, avec le désir, ce qui n'a rien à voir.

  De la même façon, des petites filles qui jouent à la poupée, vont, avec des "ken", si ce sont des barbies ou entre poupées, simuler des actes sexuels,  qui feraient faire des bonds, à bien des parents, s'ils les voyaient alors, que c'est parfaitement normal, tous les enfants font ça….

  Si aucun adulte n'intervient, pour pervertir ces jeux innocents,  ou les culpabiliser, c'est parfaitement anecdotique, et ça n'est que si vraiment, ces petits scenarios, se répètent, de façon vraiment récurrentes, qu'il faut se poser des questions…

   Mais ces jeux peuvent avoir pour cause,  le fait que l'enfant, ait vu des films pornos, que les parents ont laissé trainer, ou qu'ils l'aient  vu à leur insu.

  Une autre explication, aussi, peut être qu'ils soient en contact avec un couple, quelque peu exhibitionniste, et n'ayant aucune notion d'intimité, sans pour autant, que ça aille jusqu'à l'acte sexuel, et l'imagination, de l'enfant s'emballe.

  A dix ans, il commence à s'intéresser beaucoup à la sexualité des adultes.

  Et qu'il fantasme beaucoup, sur la sexualité des adultes.

  Oui, alors, là, désolée, mais à mon avis, c'est plus tôt que cela. Mais ça n'est que du fantasme et rien de plus….

  Chaque petite fille est un peu amoureuse de son papa, et chaque petit garçon, est amoureux de sa maman, on n'y eut rien, et c'est logique, elle n'a jamais entendu parler, du complexe d'Œdipe, cette femme ?

  Le partenaire sexuel, du père, ou de la mère, généralement, le compagnon, ou la compagne, le mari, ou l'épouse, pose l'interdit  par les faits, et la réalité qui est imposée à l'enfant, l'aide à resoudre ce complexe, qui est le BA B A, de la construction de l'enfant, et tout rentre dans l'ordre, mais ce sont là, des choses parfaitement normales, et je ne vois pas où est le problème….

  Ca se complique  singulièrement, quand le père ou la mère, ont une maitresse ou un amant, et que l'enfant, y est confronté… mais ça non plus soyez sans crainte, elle ne risque pas de foutre les doigts, dans ce type, de probleme, pensez donc....

  Mais en dehors de ces cas de figure particuliers,  (que j'ai helas, parfaitement connus, enfant, pour que je l'ai vécu, en temps qu'enfant) il est parfaitement normal, que l'enfant, se pose certaines questions, sur la vie sentimentale et amoureuse et donc sexuelle de ses parents et ça serait qu'il ne se pose pas ces questions, pour le coup, qui moi, m'inquiéterait.

  Je précise, cependant, que le fait qu'il n'en parle pas,  ou qu'il ne pose aucune question, sur ce sujet, ne signifie pas qu'il ne se les pose pas.... Je dis ça, pour rassurer certains parents, qui pourraient penser que le fait de ne rien dicerner, serait une source d'inquiétude, sur le sujet, alors que ça n'a pas necessairement lieu d'être...

 Et entre 16 et 18 ans, ils affinent leurs  carrières  (elle a voulu LIRE, caractère, je suppose)sexuelles.

   Au sujet de cette erreur, je tiens à mettre en avant, une méthode qui consiste à prétendre que quand on a la prétention de faire des vidéos, sur internet, je considère que la moindre des politesses, c'est de les faire, selon une certaine rigueur, qui me semble pour le moins indispensable.

   Il n'est pas question, pour moi, de lui reprocher d'avoir commis cette erreur, et je dirai cet "acte manqué", peut être, mais plutôt d'observer, qu'elle n'ait même pas, je suppose, regardé, et vérifié sa vidéo, avant de la poser sur youtube….

 Quand on vérifie son travail, et qu'on vient de se filmer, on vérifie…

  Et si l'on constate, que certains propos, sont peu clair, ou prêtent à interprétation, il est alors, fort aisé, dans la foulée, pendant que la vidéo est en train d'uploder, de corriger sous la vidéo, par un commentaire, comme je le fais, quelquefois, sous les miennes.

  Comme par exemple, "à la minute, T, quand je dis "xxx",  j'aurai plutôt utiliser le mot "wwww", qui aurait été mieux approprié. Mais la moindre des politesses, consiste à ne faire des vidéos, que sur les sujets, qu'on ait, un temps soit peu préparés, pour avoir des choses à dire, et de le faire avec un minimum de rigueur.

  Je veux dire par là, que de faire des vidéos, comme on dit "vite fait bien fait", je n'ai rien contre,  c'est moi aussi, ce que je faisais.

   Cette remarque peut sembler étrange, peut être, sur le méthodologie, mais en dit bien long, sur  sa volonté, de faire la promo de son livre, uniquement, au détriment le plus absolu,  du sérieux de sa démarche.

  Il aurait, cet enfant, une sensualité beaucoup plus large, que la sexualité, des adultes moyens, 

  Oui, je pense que cette affirmation, est tout à fait juste….Puisqu'il se pose énormément de questions, sur ce sujet, ce qui est parfaitement légitime, à ce moment de nos vies, c’est-à-dire, l'adolescence.

  L'objectif recherché, réside, non pas dans la promotion, d'une orientation sexuelle non hétérosexuelle, mais dans le fait, que si telle est le cas, il est préférable que le jeune l'assume, plutôt que de la refouler, ce qui risque de le rendre véritablement malheureux, sa vie entière.

  Il ne faut pas omettre que les questions qui hante tout adolescent, en matière de sexualité, consiste aussi à comprendre, comment il se positionne, vis-à-vis de ses semblables, vis-à-vis de l'autre sexe, bien sûr, mais aussi vis-à-vis du même sexe que lui….

  Un adolescent, ou une adolescente, qui a le sentiment de tomber amoureux, ou de désirer quelqu'un, du même sexe, que lui, ou qu'elle, est en droit de se demander,  s'il a déjà ressenti de l'attirance, déjà, auparavant, pour quelqu'un du même sexe, ou pas….

  C'est un cheminement personnel,  qu'aucune morale, qu'elle soit religieuse, ou qu'elle ne le soit pas, ne devrait venir perturber, nous ne sommes, à ce stade, que dans la réflexion, l'introspection, le questionnement, et l'estime de soi, aussi.

  Dans cette hypothèse, alors, que dira la famille, que diront les amis ?

 Je rappelle pour ceux, qui ne sauraient pas, que l'une de mes filles est homosexuelle…

 Et ça n'est que quand le passage à l'acte est envisagé, que la bonne question, de la Loi, et du respect de l'autre doit alors se poser.

  Mais si ces propos sont tenus, c'est uniquement, pour laisser le champs, "libre", à toute éventualités, quand à l'orientation que l'adolescent, ce serait d'ailleurs, la raison pour laquelle il faudrait commencer l'éducation sexuelle, avant l'âge de 4 ans,  (ce sont des citations, hein).

  Oui, je pense moi aussi, que c'est là, une bonne idée…

  Ca  doit être fait, de façon adaptée à l'enfant bien sûr, on peut parfaitement parler de ces choses, à un enfant en bas âge, au même titre, qu'on peut lui donner des bases, sur le soin apporté au corps, face à la façon de se nourrir, accorder de l'importance, au sommeil, ou à l'hygiène….

  Il  existe dans les librairies, depuis plusieurs années, des livres sur l'éducation sexuelle, qui sont très bien faits, de façon ludique, et non culpabilisante, pour l'enfant.

 Je ne vois vraiment pas en quoi, ça devrait poser problème.

 Je pense que ceux qui s'offusquent de cette volonté, d'informer les enfants, sur ce point, ont juste un gros souci, c'est que considérant le fait qu'ils se sentent eux, incapables de faire, vis-à-vis de leur enfant, il s'opposent au fait, que l'école, s'en chargent à leur place….

  Mais si les parents, tenaient mieux leur place, en cette matière, comme en tout autre, l'école, n'aurait pas à pallier, leurs carences.

 Je rappelle que ce sont les parents, les premiers éducateurs de l'enfant, et pas l'école, ni les instituteurs.

  La reproduction, (oui, bon, ça, pour moi, c'est une bonne chose,  le discours, doit être adapté, bien sûr, mais en dehors, de quelques imbéciles, qui racontent, encore, que les garçons naissent dans les choux, et les filles, naissent, dans les roses….

  Je veux juste dire, que ce qui fait la bonne santé mentale d'un enfant, et qui est un bon signe de développement d'un enfant, c'est de le voir curieux….

  Mais franchement, le prendre pour plus stupide qu'il n'est, ou le prendre pour un imbécile, surtout, sur des sujets aussi tabous que la sexualité, si telle est votre intention, je vous affirme moi, comme on dit vulgairement, que vous n'avez pas fini d'en chier, avec vos enfants, parce que eux, veulent qu'on réponde à leurs questions…

  Alors, si vous vous dérobez, derrières des  explications alambiquées, ou mensongères, votre enfant, risque de ne pas vous croire, ou de ne plus avoir confiance en vous.

  En temps que parents, je reconnais que la tâche, ne soit pas très facile, quelquefois, ou qu'on ne se sente pas toujours à la hauteur….

  Et bien dans cette hypothèse, dite à votre enfant, la chose suivante:

  Je ne sais pas trop comment t'expliquer, mais je te promet, qu'on va y réfléchir ensembles.

  Emmenez le dans une librairie, et feuilletez des livres, avec lui, ou elle, sur le sujet.

  Certains parents, (dont je faisais partie, moi, aussi, quand j'étais jeune maman), n'ont pas eu la chance, que toutes ces choses, leur soient expliquées, quand on était enfants, parce que le sexe, était tabou…

  Et bien, quand en temps que parents, vous vous retrouvez, exactement, dans cette posture, là…. Ca, vous devez, le dire, à votre enfant.

  Vous pouvez expliquer à votre enfant, que quand vous étiez enfants, vos parents, jamais, ne vous expliquait rien, sur ce sujet, et qu'à cause de cela, vous êtes un peu embarrassés,  pour le faire, vous aussi.

  Votre enfant, s'il a la chance d'avoir encore ses grand parents, feront très bien le rapprochement, avec le ressenti, ou l'image, qu'ils ont d'eux, et ne seront que plus proches de vous, alors, et comprendront votre embarra…

  La masturbation (bon, ça, je vais être franche, je n'y crois pas…). Si tel est le cas, il doit être remplacé, par "caresse", et pas masturbation.

  Le plaisir lié au contact physique,  (elle commente, "j'aimerai savoir, comment, on apprend, çà un enfant, les plaisirs, liés, au contact physique),

  Et bien oui, si on explique, à un enfant, que quand il pose son doigt sur sa peau,  sur son bras, et qu'il remonte, avec ce doigt, jusqu'à son épaule, ça s'appelle une caresse, et que c'est très agréable.

  Certains enfants, ne bénéficient pas de parents assez atentionnés, pour avoir la caresse d'un simple doigt, sur leur joue, avec un sourire.

  Entre parents et enfants, on appelle ça, "la tendresse", et cette tendresse s'accompagne de gestes physiques, et agréables.

  Quand vous expliquez à votre enfant, qu'il est important de se laver, pourquoi, ça l'est, et le plaisir que ça procure, c'est de sensualité, dont il est question, et c'est cette sensualité qui conditionne sont épanouissement d'adulte, sexuellement…

  Mais il est vrai qu'un enfant, qui n'a pas la chance de voir ses parents, simplement enlacés, et échanger des bisous, ou simplement, des gestes tendres, aura plus de difficultés, pour appréhender, lui aussi, une approche sensuelle, pour préparer sa vie future.

  Si vous massez votre enfant sur le corps,  les jambes,  les bras, c'est sensuel, et ça apprend la sensualité à l'enfant….

  Prêtez lui votre lait corporel, pour qu'il le fasse lui-même, ou elle-même, ils adorent ça, et c'est un bon moyen, je trouve que leur inculquer, une forme de rapport au corps, qui est sain, évitez, les produits bas de gamme, avec des parfum, ou des colorants….

 Les identités sexuelles, entre autre.

  Et bien oui, expliquer, qu'il arrive qu'on réalise, que l'on aime plus les personnes, du même sexe que soit, et que ça n'est pas grave, mais que c'est plus rare….

 Citez lui, certaines personnes, de votre entourage, si vous avez la chance d'en avoir, qui sont homosexuelles, et qui l'assument, et ils verront ainsi, à quel point, en fin de compte, ça ne pose pas de problème particulier, si jamais, ça se produit.

  Evidemment, dans l'hypothèse où les parents, sont a  homophobes, et qu'ils souhaitent transmettre leur homophobie à leurs enfants, ça pose problème, je le reconnais.

  Expliquer, à un enfant que l'homosexualité, ou la bisexualité, existent, n'a jamais incité un enfant, à le devenir, ça a même un effet, extrêmement salutaire, pour un enfant, parce que ça lui apprend la tolérance, et il regarde ainsi, ceux qui sont "différents",  quelque soit la différence, sans la craindre.

  Si vraiment, vous souhaitez en remettre une couche, pour avoir la certitude, que votre enfant, ait bien compris, à quel point, l'orientation sexuelle, est bien loin, d'être aussi importante que cela, pour forger une personnalité, vous pouvez aussi, mais c'est en option, citer l'oncle Marcel, ou François, à moins que ça ne soit la tnte françoise, ou la tante Marcelle, qui est bourré chaque semaine, parfait hétérosexuel, marié, et qui est violent avec sa femme, ou son mari, et ses enfants.

  Et je puis vous assurer que votre enfant, alors, sera parfaitement en mesure d'évaluer à quel point, alors, être homosexuel, ou pas, est franchement accessoire…

  Mais ça n'est qu'un option, nous sommes bien d'accord.

  Autre exemple, la liberté de pensée, et d'opinion, et d'expression, en matière d'orientation sexuelle.

  Oui, enfin, je ne vois pas en quoi, cela pose le moindre problème, d'autant qu'un enfant, qui se pose cette question à son sujet, et donc, ce qu'il ressent, lui, n'est qu'aux prémices, de cette suspicion, d'avoir une orientation sexuelle différente…

  Pour ce qui serait de la liberté d'expression sur la sexualité, à l'âge de l'enfance ou de l'adolescence, elle est, je crois, contrairement à ce qu'on aimerait faire croire, plutôt masquée, ou "entre soi", précisément, parce qu'ils se posent beaucoup de questions sur le sujet.

  Avoir, un discours, volontairement outrancier, sur ce sujet, à cet âge là, avec une volonté délibérée de choquer les adultes, l'entourage, doit plutôt orienter les adultes qui en sont responsables, que ce soit les parents, ou les éducateurs,  vers la signification éventuelle d'un symptôme, du fait que l'enfant, soit en difficulté, vis-à-vis de sa sexualité.

  Il ne faut pas oublier, qu'on estime que dans une classe de trente élèves, il y a au minimum un enfant, qui ait été abusé sexuellement….

  Le fait, de se couvrir, de lui-même beaucoup plus que les autres, refuser de montrer sa peau,  de se mettre en short, une pudeur excessive, et qui ne semble pas justifiée, par une culture d'origine,  (je pense à la culture islamique), ne pas supporter les jeux physique, sports collectifs, par exemple, et se refugier dans les sports individuels, comme je le faisais, excepté le volley ball, parce qu'on est chacun de son côté du filet, doit attirer l'attention.

  Tout autant, que le contraire, doit inciter à plus surveiller, son comportement, parce que ça peut être, venant de lui, ou d'elle, une volonté de dire, quelque chose.

  La volonté répétée de ne pas se trouver seul avec quelqu'un, surtout si c'est répété, doit systématiquement, donner l'alerte, et faire l'objet de la plus grande attention. C'est ce que je faisais, pour donner l'alerte, au sein de ma famille, mais qui helas, n'avait pas capté le message.

 Généralement, à cet âge, ils sont souvent très pudiques…

 Je vais rappeler que les pédophiles invoquent le fait, d'avoir une orientation sexuelle.

  Et bien il s'agit d'une dérive de langage, que je qualifie personnellement de criminelle, puisque elle tend précisément à vouloir faire passer un acte criminel, le viol, et la pédophile, comme des délits, alors, que ce sont des crimes.

  Mais ce qui est encore plus criminel, de la part des pédophiles, qui tiennent ce discours, réside, dans l'absolue négation du profil pédophile, qui réside, d'une part, dans le fait que le pédophile est toujours, ce qu'on appelle un pervers manipulateur.

  Dans la très grande majorité des cas, pour ne pas dire tous les cas, il prépare le terrain en amont, et s'en prend à des enfants, dont il sait, qu'ils sont en carence affective, et qui donc, recherchent un ami adulte, qui puisse compenser  le fait, que leurs parents, manquent de temps, ou soit en état de faiblesse, suite à un deuil,  ou une moment difficile, traversé dans le couple, ou la famille.

  Alors, le loup entre dans la bergerie, et met l'enfant en confiance, pour mieux en abuser.

  L'enfant alors, se sent redevable, et combiné à la peur n'ose pas refuser.

  D'autre part, cette remarque, n'est pas recevable, parce qu'elle nie la notion fondamentale de sidération, qui frappe la très grande partie des victimes, quand elles subissent l'agression, que l'on soit enfant, ou que l'on soit adulte, comme une jeune femme, ou une femme qui se fait violer.

  Ce que l'on ressent, alors, est tellement grave, qu'on a le sentiment, qu'on est en train de mourir…

  Ca, je connais parfaitement, puisque je l'ai vécu, enfant.

  Alors, il ne nous reste que notre instinct de survie, faire le mort, ou la morte, et ne pas de  se débattre, pour avoir la vie sauve.

 Comme le mulot, que j'avais observé, il y a bien longtemps devant les assaut de ma chatte, noire et blanche, qui jouait avec elle.

 Visiblement, il avait bien reussi, en jouant, avec ses pattes, àà la tuer....

  Puis, une feuille s'est envolées, à quelques dizaines de centimètres du museau de la chatte.... Son attention, s'est trouvée distraite...

  Le mulot, lui, restait mort, en apparence.... Une fois que la chatte est partie, pour choper la feuille qui l'avait distraite, j'ai alors, observé, le mulot, qui le plus discretement du monde, rempait, pour finir, par se sauver veritablement, il n'était absolument pas mort, et même pas bléssé !

  Parmi les rescapés du Bataclan, certains ensuite, ont raconté exactement ce que j'ai vécu, moi, c'était un pédophile, eux, c'était les attaquants du Bataclan, avec leurs kalachnikov', qui tiraient sur tout ce qui bougeait…

  Dans un cas, comme dans l'autre, et comme le mulot, que j'avais observé, seul notre instinct nous guide…. La sidération, simuler la mort, par l'immobilité, pour ne pas mourir, bloquer sa respiration, le plus longtemps possible, même s'il le faut.

  Quand on en est à ce stade, on n'est plus humain… On est juste un animal, qui n'est plus guidé, que par son instinct.

  Survivre.

  Et que comme jamais, ces textes n'opposent jamais des lignes strictes, en matière de pédophilie, et qu'au contraire, ils invoquent, la notion de consentement de l'enfant,  c'est vraiment problématique,  donc…

  Bon, là, je me dois d'intervenir, ce discours, est tout droit issu, d'une perception du texte, telle que le ferait un pédophile, justement…

  Qui dirait, "ha oui , tiens, ils sont donc, d'accord, eux aussi, sur le fait, que l'enfant, ait une sexualité, ha bon ? ha ben, c'est ok, alors" ???

  Et puis c'est quoi, ce délire, au fait ?

  Que la notion de "majorité  en âge", ne soit pas considérée comme valant "majorité sexuelle", ou "majorité psychologique".

  C'est une évidence, et ça me semble être la moindre des choses !

  Mais pourquoi faire l'amalgame, avec le consentement de l'enfant, ces notions n'ont rigoureusement rien à voir. On va prendre un cas concret….

 Une petite  fille, subit les attouchements, d'un pédophile.

 Ce dernier, pour se défendre, devant le tribunal,  prétexterait que l'enfant, n'ayant montré aucun désaccord, ou aucune désapprobation, était consentant….

 En quoi, l'âge entre t il, en ligne de compte ?

 Je ne comprends pas, cet amalgame.

 "Problématique", c'est vrai, mais parfaitement justifié, et je dirai, indispensable.

  Ainsi observons ce qui se produit, quand un homme ou une femme de 35 ans, a une relation, un flirt, ou forme un couple,  avec un partenaire, ou une partenaire, qui ait 20 ans de moins que lui… ?

 Je donne 20 ans, mais j'aurai pu tout autant dire 15 ou 25 ans, ou plus.

 Ca fait jaser, bien sûr, et ça n'est pas notre couple présidentiel,  qui nous dira le contraire.

 De façon générale, je n'aime pas trop,  qu'il y ait de telles différences d'âge, parce qu'il arrive souvent, qu'il y ait une forme d'ascendance, du plus âgé,  sur le plus jeune….

  Pour peux, que le plus âgé du couple, ait une situation sociale bien installée, et voilà  le plus âgé, qu'il soit homme ou femme, considéré comme entretenant le plus jeune, voir, considéré comme maquereau, et elle, comme cougar,  y compris, s'ils sont mariés…

  Mais ce qu'on en pense, n'a pas à être jugé, n'est ce pas, puisqu'ils sont majeurs…

  Néanmoins, n'en déplaise à certains, certains de ces couples sont non seulement parfaitement viables, mais surtout, liés, par un amour parfaitement sincère….

  Maintenant, imaginons donc, cette même différence d'âge, s'ils s'étaient rencontrés, bien plus tôt….

 14 ans, plus 15, donc, le plus âgé,  ou la plus âgée, 30 ans.

 14 ans, plus 20 ans, le plus âgé, ou la plus âgée, 34 ans.

 14 ans, plus 25 ans, le plus âgé, ou la plus âgée, 39 ans.

 Comme on dit vulgairement, "ça commence à faire".

 Pour le coup, au sujet de la première différence d'âge que j'énonce, c’est-à-dire, 15 ans de différence,  déjà, tout le monde est choqué.

 Et pourtant, le même couple,  10 ans plus tard, personne ne trouverait, à y redire.

  Quand au jeune homme de 14 ans, ou à la jeune fille de 14 ans, elle n'est pas  majeure, sur l'état civil, c'est un fait, mais physiquement, et psychologiquement, il et elle, savent déjà, qu'ils sont perçus, et pas uniquement par les hommes, comme de futurs adultes….

 Je pense, qu'à partir du moment, où cette relation, est  exhibée aux yeux de tous, et qu'elle ne relève pas d'un maitre ou d'un enseignant, elle ne devrait pas être considérée, comme une relation pédophile….

 Le problème en fait, est le suivant…

 La différence d'âge, entre adulte et adolescent, sous entend que le plus âgé, ait une forme d'ascendance, sur le plus jeune, ou la plus jeune dans le couple.

 Il peut arriver effectivement, selon les cas, que l'accusation de pédophilie, puisse être défendue….

 Mais pour cela, encore faut il, qu'il y ait plainte de déposée, et déposée, par la victime…

    Ors, celui ou celle, qui souhaite déposer plainte, sont toujours les parents, le père ou la mère, parce qu'ils considèrent que cette relation, serait toxique pour leur enfant, alors, que quelquefois, il s'agit d'une véritable histoire d'Amour.

 Mais l'adolescent, ou l'adolescente, elle,  rarement, portent plainte.

 Selon, le cheminement personnel de l'enfant, aussi,  et ce qu'il a vécu, sa psychologie peut énormément varier…

    Moi compte tenu de mon histoire personnelle, j'ai toujours eu pour amis, des gens qui avaient deux ans de plus que moi…Ou plus encore.

 Je ne suis jamais tombée amoureuse d'un homme qui soit beaucoup plus âgé que moi, mais quand je me suis mariée, à 18 ans (ce qui est très jeune, c'est vrai), j'avais la maturité, d'une femme de 25 ans….

  Parce que mon passé traumatique, avait mangé mon enfance et mon adolescence, et m'avait projetée, dans le monde des adultes, où je me sentais, infiniment plus à ma place.

  Voilà, pourquoi je pense qu'il est préférable, que l'âge réel,  ne serve pas à déterminer, s'il s'agit de pédophilie ou pas, ça me semble, effectivement nécessaire.

  Peut être, que la sagesse, malgré tout, serait de fixer un âge maximum, à partir duquel l'accusation de pédophilie,  ne soit plus recevable.

  Elle revient, sur le texte, en amont.

  Sa liberté ne devra pas rencontrer de limites, quand à l'ordre public, la moralité publique, la santé publique,  et la sécurité publique, qui sont considérés comme des notions discriminatoires.

  Je crois que sur ce point il y a un malentendu, mais s'il y a un malentendu, ça signifie que le texte, est mal énoncé et je comprends, que ça prête à interprétations.

  Il ne faut pas oublier, que la charte des droits de l'enfant,  émane aussi, des Nations Unies.

  Ors,  parmi ces signataires, se trouvent bon nombre de pays, ou d'une part, l'orientation sexuelle est criminalisée,  d'autre part,  les fillettes sont vendues, comme esclaves, dans des maisons pour y être domestiques, et sont victimes d'esclavage moderne, ou d'esclavage sexuel… Et d'autre part, le simple fait, de porter plainte pour pédophilie, ou pou viol, est juste même pas possible et envisageable.

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