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DPDA. Alain Finkelkraut et Daniel Cohn Bendit.

Le 23/01/2016

Dans Medias, communication, INTERNET.... "Elle n'a jamais menti".

   Wiam Berhouma, une enseignante venue sur le plateau de l'émission, a interpellé le philosophe Alain Finkielkraut sur sa responsabilité d'intellectuel : "Là où votre rôle d'intellectuel c'était d'éclairer les débats, vous avez au contraire obscurci nos pensées, nos esprits avec tout un tas de théories vaseuses et tout à fait approximatives." Elle a surtout regretté qu'Alain Finkielkraut n'évoque pas le racisme dont les musulmans sont victimes.

   Je suis parfaitement d’accord, avec cette posture. Mais je reconnais qu’il a cherché à rectifier le tir, ce soit là, et qu’il y est parvenu, « en partie », enfin, au moins, a-t-il sauvé la réputation, de la philosophie, et de l’Académie Française, dont il est )à présent membre honoraire, ce qui n’est déjà pas mal.

Après une année 2015 chargée sur le plan social et politique, David Pujadas a reçu sur le plateau de l'émission Des Paroles et des Actes Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen Les Verts/Alliance libre européenne, et Alain Finkielkraut, philosophe et membre de l'Académie française. Les deux hommes ont exposé leur vision de la France et de l'Europe. Ils ont aussi évoqué les problèmes du système scolaire français et de la montée du communautarisme. Francetv info vous résume l'émission en vidéos.

Finkielkraut attaqué sur sa responsabilité d'intellectuel

"Je dois vous dire que je suis absolument accablé par ce que je viens d'entendre." Alain Finkielkraut s'est défendu en s'appuyant sur certains intellectuels musulmans qui dénoncent les dérives de l'islamisme. Il a aussi souhaité que l'on condamne "tous les racismes" et pas seulement celui envers les musulmans. 

   Oui, bon, il a mis de l’eau, dans sa piquette, il faut juste lui rappeler, que quand ila avait pris cette position, se projetaient les élections régionales, et qu’il aurait pu alors, porter sous sa responsabilité, certaines dérives, dont je serai fort curieuse, de voir comment il s’en serait débattu, aujourd’hui.

L'enseignante a également marqué l'émission avec une petite phrase à l'adresse de l'intellectuelle : "Pour le bien de la France, taisez-vous". Une pique qui a donné l'occasion à Alain Finkielkraut de s'expliquer sur un incident survenu en 2013 sur le plateau de l'émission Ce soir ou jamais de Frédéric Taddéï où le philosophe avait perdu son sang-froid : "Je suis accusé d'être Barressien [partisan de Maurice Barrès, figure de proue du nationalisme français], c'est un contre-sens terrible, j'essaie de répondre et je suis interrompu une fois, deux fois, trois fois pour pouvoir finir ma phrase, je dis 'taisez-vous'."

 Oui, bon, c’est vrai, « ça peut arriver à tout le monde », il faut le reconnaitre, voyons voir, ce que ça donnera, si les palmes académiques, calmeront le bonhomme, à l’aveni, ou pas.

 Quand on est toujours interrompu, et qu’on e peut plus en placer une, on peut aussi apprendre à tricoter. Mdr.

Cohn-Bendit et Finkielkraut s'affrontent sur l'école 

Si les deux hommes partagent certains constats, ils sont souvent en désaccord sur les solutions à apporter. Alain Finkielkraut a une nouvelle fois attaqué le modèle scolaire français qui privilégie le "prêchi-prêcha" des enseignements pluridisciplinaires au lieu des matières de base comme la lecture et l'écriture. De son côté, Daniel Cohn-Bendit a reproché à son contradicteur d'être dans la contradiction et lui a rappelé que l'école avait le mérite d'essayer de "rattraper des inégalités".

    Bon, alors, là, moi, qui suis à l’origine des rythmes scolaires, désolée, mais le philosophe déconne, mais alors, sur toute la ligne.

 Le déterminisme social, il est bel et bien là, on le sait tous.

 Et pour lutter contre, il faut précisément modifier, les méthodes, il parle comme quelqu’un qui n’a vécu l’échec scolaire, contrairement à moi, qui connais le sujet mieux que personne.

 Juste pour info, le taux de décrochages scolaires, à diminué, depuis que les reformes scolaires, dont les rythmes scolaires, ont été appliquées. C’est donc bien la preuve, que ces méthodes fonctionnent. Que ce soit encore imparfait, dans bien des secteurs, est une chose entendue, mais nous sommes, sur ce point, sur la bonne voie, j’en suis persuadée.

   La vérité, c’est que la méthode idéale pour enseigner, n’existe pas, mais il faut être assez subtile pour le comprendre.

   D’autre par, on demande à l’école, de pallier, autant que possible, aux lacunes, de la société, dont celles des familles, qui sont de plus souvent, monoparentales, et c’est une donnée, dont le philosophe se fout complètement.

Un peu plus tard quand Alain Finkielkraut s'est inquiété de la montée des phénomènes communautaristes au sein de l'école, Daniel Cohn-Bendit a livré une autre analyse : "Mais ces enfants qui sont dans la République française pourront apprendre s'ils se sentent bien et s'ils se sentent chez eux."

 Il  faut vraiment arrêter de taper sur le communautarisme, parce que c’est une mauvaise stratégie, qui plus est, parfaitement immature.

   Elle doit être non pas encouragée, mais parfaitement tolérée, dans un contexte de bienveillance, et de non rejet, les français aussi, sont communautaristes, quand ils sont à l’étranger, ce communautarisme, se dissipe d’autant plus facilement, qu’on le considère comme un bien nécessaire, et non toxique, dans le respect des lois de notre République.

Des solutions divergentes pour lutter contre l'islamisme

  Alain Finkielkraut a d'abord voulu insister sur l'échec de l'intégration française : "l'intégration connaît des ratés (...) parce qu'on a abandonné le mot d'assimilation pour celui d'intégration." Il s'est ensuite inquiété de constater que dans certaines banlieues "les insultes les plus répandues" étaient "sales juifs et sales Français".

  Le fait de jouer entre les mots "intégration"et "assimilation", est une bagarre sémantique, qui n'a pas vraiment lieu d'être, ce sont des mots très proches, je comprends l'importance, du vocabulaire, mais enfin, ce qui importe réside surtout, dans ce qu'il y a derrière, et chipoter sur les mots, comme on l'a fait, pour ' "migrant", plutôt qu' immigrés", on a vu ce que ça a donné, le resultat, c'est qu'on est un peu dans la merde, sur ce point, et le probleme du vocabilaire, à l'époque, doit sembler à présent, bien dérisoire, conformement à ce qui ça aurait du être dès le départ.

 Oui, ces insultes sont bien regrettables, je suis d'accord, il fût un temps où les immigrés, prenaient en pleine poire "saloperie de untel, tu viens bouffer le pain des français, voilà aujourd'hui, que leurs dscendants, osent la rouvrir, c'est quand même incroyable, qu'ils aient la pretention, de venger leurs parents, et grand parents, comme s'ils ne pouvaient pas de contenter de nettoyer les chiottes, et se taper le sale boulot, comme leurs parents !

 Bon, je caricature, hein, nous sommes bien d'accord. Oui, c'est regrettable, mais c'est ainsi, c'est d'autant plus con, que le français, qui se fait traiter de français,  ne risque pas dêtre le descenedant de celui, qui a écrasé ou humiliè son père ou sa mère, quand eux, sont arrivés en France, pour faire le sale boulot.

 OUI, C'EST UN PROBLME, j'entends bien.

Alain Finkielkraut a également estimé que le dialogue ne marchait plus dans des lieux où l'islamisme était devenu majoritaire, comme à Molenbeek en Belgique. Daniel Cohn-bendit l'a contredit en lui rappelant que les islamistes n'étaient pas en majorité dans la ville belge : "Les islamistes, c'est comme la mafia dans un village sicilien, ils ne sont pas majoritaires, mais par la terreur ils tiennent un village. Donc il faut défendre le village pour qu'il se libère de cette terreur." L'ancien député européen a estimé qu'il fallait donc "des médiateurs et des policiers" dans des villes comme Molenbeek.

 Oui, je suis d'accord, avec cette analyse.

La petite phrase : "Alain Finkielkraut est angoissé"

Si le débat est resté courtois entre les deux invités, cela n'a pas empêché quelques attaques bien placées. Daniel Cohn-Bendit a notamment taclé Alain Finkielkraut et son idée de "l'identité malheureuse" exprimée dans l'un de ses livres : "Il y a des Français qui sont heureux, il y a des Français qui sont malheureux (...) Alain Finkielkraut est angoissé, il est malheureux, c'est son droit, il aime le malheur."

 Je tiens juste à rappeller que ce qui fait l'identité d'une personne, d'un homme ou d'une femme, ne se limite pas à son identité nationale, il faudrait peut être remettre les coucous à leur place de pendule, un mec, qui est malheureux, c'est peut être juste parce qu'il est con !

 Ho, pardon, mon nez de clown, vient de bondir, je veux dire que son identité nationale, ne fait partie que dans une faible proportion, de son identité, enfin, c'est quoi, ces conneries  ?

 Sinon, pour ce qu'il disait, au sujet du fait, qu'il était angoissé, ce qui est parfaitement exact, ce qui explique qu'il ait été si con, à l'époque, visiblement, son fils l'a remis sur lr droit chemin, il était temps ! mdr.

Les regrets de Daniel Cohn Bendit

A la toute fin de l'émission, un sondage a été présenté à Daniel Cohn-Bendit montrant notamment qu'un électeur de gauche sur deux aimerait le voir jouer un rôle politique à l'avenir. Malgré cela, l'ancien député européen a assuré qu'il restait en retrait de la vie politique et qu'il ne participerait pas à d'éventuelles primaires : "Moi je suis trop vieux, et je trouve qu'il faut un renouvellement, et j'ai loupé mon coup quand j'ai pas été la primaire quand Hollande était là avec le succès d'Europe-ecologie, quand on rate son coup dans l'Histoire, et bien l'Histoire vous châtie."

 Bon, dis donc, le rouquin, t'as pas bientôt fini de chialer ? Et de faire ta midinette ? Voilà qu'il nous la fait version sado maso, maintenant !

  Après une année 2015 chargée sur le plan social et politique, David Pujadas a reçu sur le plateau de l'émission Des Paroles et des Actes Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen Les Verts/Alliance libre européenne, et Alain Finkielkraut, philosophe et membre de l'Académie française. Les deux hommes ont exposé leur vision de la France et de l'Europe. Ils ont aussi évoqué les problèmes du système scolaire français et de la montée du communautarisme. Francetv info vous résume l'émission en vidéos.

Finkielkraut attaqué sur sa responsabilité d'intellectuel

Wiam Berhouma, une enseignante venue sur le plateau de l'émission, a interpellé le philosophe Alain Finkielkraut sur sa responsabilité d'intellectuel : "Là où votre rôle d'intellectuel c'était d'éclairer les débats, vous avez au contraire obscurci nos pensées, nos esprits avec tout un tas de théories vaseuses et tout à fait approximatives." Elle a surtout regretté qu'Alain Finkielkraut n'évoque pas le racisme dont les musulmans sont victimes.

 Oui sur ce point, je dois admettre qu'il avait singulièrement manqué d'objectivité, et c'était regrettable, cependant, il ne faut pas omettre que les philosophes aussi, ont le droit, d'être dans le doute, ou de ne pas être très clairs, quelquefois, ce qui importait, justement, ce soir là, residait, dans le fait qu'il puisse être plus clair, justement.

"Je dois vous dire que je suis absolument accablé par ce que je viens d'entendre." Alain Finkielkraut s'est défendu en s'appuyant sur certains intellectuels musulmans qui dénoncent les dérives de l'islamisme. Il a aussi souhaité que l'on condamne "tous les racismes" et pas seulement celui envers les musulmans. 

 Bon, voilà, qui est corrigé.

L'enseignante a également marqué l'émission avec une petite phrase à l'adresse de l'intellectuelle : "Pour le bien de la France, taisez-vous". Une pique qui a donné l'occasion à Alain Finkielkraut de s'expliquer sur un incident survenu en 2013 sur le plateau de l'émission Ce soir ou jamais de Frédéric Taddéï où le philosophe avait perdu son sang-froid : "Je suis accusé d'être Barressien [partisan de Maurice Barrès, figure de proue du nationalisme français], c'est un contre-sens terrible, j'essaie de répondre et je suis interrompu une fois, deux fois, trois fois pour pouvoir finir ma phrase, je dis 'taisez-vous'."

 Oui, bon, on va pas en faire un fromage, non plus. Elle en temps qu'enseignante, aurait du être capable aussi, de nous expliquer, puisqu'elle est si maline, comment elle a avait presenté les choses, à ses éléves.

 Je veux dire que remonter les bretelles à un philosophe, pourquoi pas, mais encore faut il developper, et ne pas se contenter d'accusation,  accusez "vous avez dit taisez vous", je vous reponds taisez vous, vous";ok, et ensuite ? RIEN.

Cohn-Bendit et Finkielkraut s'affrontent sur l'école 

Si les deux hommes partagent certains constats, ils sont souvent en désaccord sur les solutions à apporter. Alain Finkielkraut a une nouvelle fois attaqué le modèle scolaire français qui privilégie le "prêchi-prêcha" des enseignements pluridisciplinaires au lieu des matières de base comme la lecture et l'écriture.

  Sa posture est stupide, parce que le pluri disciplinaire, pour moi, doit être encouragé, parce que justement il offre la possibilité d'enseigner, de façon plus transversale, et donc, plus actuelle, mais il raisonne comme quelqu'un, qui na jamais connu l'echec scolaire, c'est évident.

De son côté, Daniel Cohn-Bendit a reproché à son contradicteur d'être dans la contradiction et lui a rappelé que l'école avait le mérite d'essayer de "rattraper des inégalités".

Un peu plus tard quand Alain Finkielkraut s'est inquiété de la montée des phénomènes communautaristes au sein de l'école, Daniel Cohn-Bendit a livré une autre analyse : "Mais ces enfants qui sont dans la République française pourront apprendre s'ils se sentent bien et s'ils se sentent chez eux." Et oui.

Des solutions divergentes pour lutter contre l'islamisme

Il a en revanche fait une confession : "La seule chose où je pourrais être candidat, si vous voulez le savoir, s'il y avait une élection directe à la présidence de l'Union européenne, je suis tout de suite candidat (...) même si j'ai quatre-vingts berges".

 Bon, et bien en voilà, une bonne nouvelle.

 Bon, et bien, MOI, JE TE LE DEMANDE.... mais va pas falloir chialer, comme une gonzesse, hein.

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