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Jean Pierre Coffe mange le pissenlit par la racine.

Le 30/03/2016

Dans Nous sommes ce que l'on mange.

 Je ne sais pas si cette expression est courante, ou connue, ailleurs qu'en Normandie, mais chez nous, c'est une truc qui se dit.

 Justement, le week end dernier, avait lieu la fête du pissenlit, pas loin de chez moi,  à l'auberge du Val au Cesne, mais helas, le temps n'a pas été de la partie.

 Nul doute qu'il aurait aimé, lui aussi.

http://www.valaucesne.fr/

  Je regardais à l'instant la page FB des grosses têtes, où les auditeurs de RTL, déposent leurs condoléances et leurs témoignages, dont voici le lien.

https://www.facebook.com/groups/11375092950/permalink/10153549062407951/?comment_id=10153550705462951&notif_t=group_comment_reply&notif_id=1459304281486175

 A bien y réfléchir, je éalise que je lui devais bien plus, à lui, je crois, qu'à bien d'autres, dans le medias.  J'espère ne froisser personne, en tenant de tels propos.

Mais je m'en explique.

  Le fait, de jouer la caricature assez souvent, quand il était sur un plateau télé, devait en agacer plus d'un, je suppose, dont une bonne partie probablement, prenait ces coups de gueules pour une volonté délibérée de "faire le buz", comme on dit aujourd'hui....

 Moi, çame faisait rire, parce que je lisais frt bien, dans son jeu, et je voyais surtout à quel point, conscient qu'il était, sur la methode, il obligeait ainsi mine de rien, le téléspectateur à reagir, et à accpeter de se troyvé interpellé, en temps que consommateur.....

   D'une certaine façon, Jean Pierre Coffe était un peu à lui tout seul, le Pussy Riot de la gastronomie française, et moi, j'adorais ça..... Je me considère en fait, comme une deses filles spirituelle, comme il doit en avoir, soit dit en passant, énormement.

   Je souris en repensant à lui, ce matin, parce qu'il y a deux jours, justement, notre ministre de la ville, monsieur  disait au sujet des banlieus française, que nous avions nous aussi nos Molenbek.....

   Au delaà de la polemique, et puisque je suppose que beaucoup se demandent ce que vient faire ce propos, reltivement à à JP Coffe, je pretends moi, que pour aider à certaines prises de conscience, il est quelquefois necessaire, d'userd ela caricature.

   "Grossir le trait", ou donner un coup de bélier (ce qui est mon signe) permet de mieux le dicerner, ou de donner un coup de projecteur, c'est ce que notre ministre à fait.

   Et bien JP Coffe, lui, le faisait aussi, et il ne fût pas necessaire, qu'il se fît trop souvent, pour que le message fût passé.

    C'était une attitude de toute façon parfaitement salutaire, précisement parce que ça n'était pas des coups de com, mais des indignations et des colères sincères, colères qui en vérité, profitent toujours à l'auteur.

  Mais j'ai une anecdote à son sujet, qui moi, m'avait beaucoup touchée.

   Un jour qu'il officiait chez Michel Drucker, il y a environ 14 ou 15 ans, je ne sais plus.

 Il avait parlé des métiers d'Art.

 Il expliquait alors, à quel point, il était vraiment souhaitable, que des jeunes s'y interressent,  et que c'était un secteur qui embauchait....

 Ors, ce secteur, moi, j'en avais été largement victime, aussi, ses propos, m'avaient ils semblé, carrément irresponsable.

   C'était le début d'internet, et j'avais trouvé son site, un site assez rudimentaire, un blog, d'ailleurs simplement, qui présentait ses différents ouvrages,  et où "miracle", parce que ça n'était pas courant, l'onglet "contact", existait bel et bien.

   Je dois avouer que j'en avais un peu gros sur la patate, et croyez moi, c'était pas de la roseval, ni de la charlotte.... (Seuls ceux qui cultivent des pommes de terre, dans leur potager, peuvent comprendre cette blague).

 Je lui écrivais alors, avec mon coeur, une longue lettre, pour lui expliquer mon resenti.

   Et quelle ne fût ma surprise de voir, que moi, qui n'était connue d'absolument personne, à cette époque, dans le milieu médiatique, excepté Thomas Fersen, à qui je n'en avais pas parlé d'ailleurs, il me semble, de voir que non seulement, il m'avait lue, mais que surtout, sa réponse avait été pour le moins développée, attentionnée, et particulièrement bienveillante à mon égart.....

  Je n'ai plus cette lettre, enfin, ce message, peut être, que quel qu'un l'a, je ne sais pas.

   Il avait pointé du doigt, notamment, le fait, que j'étais restée profondément blessée, par l'échec qui avait été le mien, quand j'évais été peintre sur soie, et avait surtout eu l'extrême intelligence, justement, de développer, et d'avoir trouvé les mots, pour me dire, sur le sujet, ce qu'il fallait, comme il le fallait, quand il le fallait.....

  Je précise que j'étais en psycothérapie, à l'époque, parallèlement au fait, que j'étais la muse de Thomas Fersen, à qui j'écrivais régulièrement.

  J'avais deja pris le temps de raconter cette histoire, il ya quelques années, et je sais fort bien, qu'il continuait à me suivre, moi, et moi, à le suivre, lui.

  J'ai en mémoire, notamment, sa participation à une émission de "toute une histoire", avec Sophie Davent, où il avait raconté ses chagrins, relativement à un enfant, qu'il avait perdu, et les circonstances de la ruptures, pour le moins suspecte, avec son épouse, à l'époque, quand il était jeune homme.

   Le sujet de l'émission était pour le moins interpellant, en effet, et l'est toujours, il consiste à se demander, en quoi, un enfant  dont on n'est pas géniteur, ou plus largement, un enfant spirituel, peut être, ou pas, considéré comme un enfant véritable.... Un véritable sujet de société, à une époque, où  ENFIN, autant de mentors toxiques, qui ont toujours sévi dans l'ombre, depuis toujours, sont en passe d'être démasqués, à présent, sous le statut psychiatrique, de "pervers manipulateur,",  au point que juridiquement, ce statut, est en passe d'être reconnu, il m'avait semblé pour le moins opportun, par son exemple, de poser l'index, sur la valeur véritable, de pères spirituels, au sens le plus merveilleux et positif qui soit....

   Hélas, en pareil cas, il arrive souvent que ces pères spirituels là, y compris des beaux parents d'ailleurs, au quotidien, resentent une forme de complexe d'infériorité, persuadés qu'ils sont, que de ne pas avoir été le géniteur d'un enfant, serait une forme de handicap.....

 GROSSIERE ERREUR.

   Je n'ai jamais eu l'occasion de le rencontrer, et ne l'aurai donc jamais, c'est bien dommage, mais j'espère que mes propos sur le sujet, lui auront permis de réduire, ou de supprimer cette culpabilité là, qui n'avait pas lieu d'être.

 
 
 Je donne la page sur fb, les commentaires, sont agréables à lire.
 
 
 
 
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