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Les traités commerciaux en général, et le CETA en particulier.

Le 16/02/2017

Dans POLITIQUE INTERNATIONALE.

http://www.francetvinfo.fr/economie/commerce/traite-transatlantique/video-la-video-de-yannick-jadot-pointant-les-dangers-du-ceta-devient-virale_1901065.html

 Il a parfaitement raison.

 pour commencer, je precise que sur le trainté TAFTA, j'avais pris la même position.

 Ce qui je trouve incroyable, c'est d'observer que ces traités, fassent 1000 pages, enfin, bon, je caricature.

    Mais moi qui ai pour habitude d'utiliser l'expression "on achète pas un ka dans une pouk", expression normande, je crois, pour ce genre de traité, c'est bien de ça, dont il est question.

   C'est à dire que pour imposer la commercialisation, de pratique, ou de denrées, dont tout le monde sait pertinament, qu'ils sont produits, sur un mode industriel, et donc (désolée de le répéter, souvent de mauvaise qualité, car on ne peut produire vite, et bon.....).

   Oui, pour information, un sapins, une fois planté, ou un fesne, sera exploitable, sur le plan forestier, au bout de quelques decennies, et si le chêne, lui, va mettre 80 ans, ou 100 ans, ça n'est pas pour rien, son bois, est plus precieux, et plus serré,  que du bois de sapin, d'où l'extrême gravité de ce qui se passe dans la forêt amazonienne).

   Mais pour nimporte quelle industriel, qui travaille avec le vivant, c'est la même chose, on ne peut prétendre à une certaine qualité, et griller les étapes, et se foutre de la gueule du sablier, et du temps qui passe.

   Le principe même du CETA comme dans n'importe quelle traité commercial, c'est d'englober tout un tas de secteurs, afin d'un faire un truc tellement lourd, au sens physique du mot, que les principaux interressés, qi sont les consommateurs, d'un côté, et les producteurs, de l'autres, eux, n'y voient que du feu, d'une part, puisqu'ils ne sont pas juristes, et que ceux qui menent la danse ce sont les politiques, et bien plus inquietant, les industries agroalimentaires, ou autres multinationales.

 En gros, c'est juste ideologiquement, une forme d'encouragement, au mode industriel, de la production agricole.

   Mais je précise ma pensée sur ce point.

 Je ne suis pas une passéiste à outrance, en ce qui concerne l'agriculture.

   Mais quand j'entends une agricultrice, à qui je demande, "est ce que vous manger vos produits", et qu'elle me reponds "non mais ça va pas, je suis pas flle non plus"....

 Je suis juste revoltée.

 Certes, cette reflexion, ne date pas d'hier, elle remonte à plusieurs decennies.

   Mais j'aimerai bien sa voir,  si aujourd'hui, encore, il peut arriver à un agriculteur, de tenir de tels propos.

   Je veux dire que le fait, que ces traités, concernent autant de produits, aussi diversifiés, et autant de secteurs, aussi, par si j'ai bien compris, ça ne concerne pas que l'agriculture, me fait dire que par principe, ça sent l'arnaque, parce que par son empleur, ça decourage qui que ce soit, d'aller fouiller pour voir ce qu'il contient.

   Mais ce qui est grave, pour moi, surtout, c'est de devoir observer, que ces traités, sont une forme d'entrave au bon sens, souvent, parce que l'objectif, consiste à fournir une base juridique, qui interdise de se protéger, par l'interdiction, de certains produits, que l'on considère comme indesirables.

   Par exemple, "on veut bien de votre excellent Roquefort, mais en contre partie, vous n'avez aucun droit de refuser notre viande bovine qui n'a jamais mangé le moindre brin d'herbe".

 Et bien non, je suis désolée, si notre viande bovine est de mailleure qualité, parce que les normes que nous imposons, à nos producteurs, sont plus drastiques, et la viande de meilleure qualité, elle ne devrait pas avoir à subir de plein fouet, une concurrence parfaitement deloyale.

 En core une fois, ça n'est pas un refus de faire du commerce, sur le plan international, que d'être contre...

 à partir du moment, où l'on travaille sur des produits qui sont effectivement equivalents...

 mais là, ça n'est vissiblement absolument pas le cas !

 Autre chose.

 J'ai ecouté, hier, un reportage, de monsieur Combes, sur france TVino, sur ce sujet:

    Oui, je suis parfaitement d'accord avec lui.

   Mais il existe d'autres points qu'il faut aborder. D'une part, le fait, que la transports des animaux, et des carcasses, mais de l'ensemble des denrées dont il est question, ont pour conséquence, un bilan carbonne, dont personne ne parle.

   Plus la distance est courte entre l'endroit, ou est élevé un animal, et l'endroit où il est consommé, pareil pour les legumes, ou les céréales,  plus faible est son empreinte carbonne. Et ça, à present, ça doit absolument entrer en ligne de compte.

   Ensuite, il existe un point, dont quasiment personne ne parle, que j'ai entendu, hier, sur franceTVinfo,  mais je ne retrouve pas le lien, avec précision, au sujet de la confrontation juridique, qui aurait lieu, entre ce qui a été signé à la COP 21, et le CETA.

  Ségoleine Royal, sur ce point est formelle, en aucun cas, ce qui a été signé, à la COP 21, ne pourrait être remis en cause.

  Ors, il s'avère que c'est elle, qui serait dans l'erreur, d'après les juristes, qui travaillent sur le droit européen,  qui eux, sont absolument formels, sur le contraire, c'est à dire, que de signer le CETA rendrait caduque, ce qui a été signé, à la COP 21, en tout cas, pour certains produits, ou certains aspects, qui vont bien au delà, de l'aspect strictement agricole.

 Et ça, pour moi, c'est extrêmement grave.

 29 juillet 2019.

 Je précise, que si je n'ai pas parlé sur ce sujet, depuis quelques temps sur mon site, je l'ai fait, par contre sur les reseaux sociaux.

 "

Francoise Niel Aubin

23 juillet, 10:17 · 

#FNielAubin, il faut aller écouter, ce matin, sur France Inter, la responsable, d'une des ONG, des plus importantes, qui a démontré, point par point, à quel point, n'importe quel traité, de cette ampleur, était le meilleurs moyen, de nous museler, sur le plan national, pour faire valoir, les normes, qui sont les nôtres, dans le secteur.

   Je rappelle, d'autre part, qu'en ce qui concerne le droit international, qu'il existe un gros problème, au sujet de ce qu'on appelle, "l'arbitrage international", c'est à dire, le fait, que certaines multinationales, tentent d'intenter ds procès, à certains états, pour entraver, le commerce, et donc, "leur commerce"....

   En d'autres terme, signer, le CETA, c'est comme si la France, signait, pour qu'on lui colle les menottes, afin de plus être maître, en son pays, moi, je ne suis pas d'accord".

   Je précise, d'autre part, que c'est aussi cautionner le fait de faire parcourir des distances hallicinantes à des produits ou des denrées, qui ont donc par ce fait, une empreinte carbonne considérable, là, où justement, on est capable, le plus souvent, de les produire, en europe, ou en France, avec une empreinte cabonne, qui est donc, moindre.

   Je vous recommande d'aller réécouter, aussi, sur France Inter, Isabelle Autissier, sur ce sujet, qui tient aussi cette position.

https://www.franceinter.fr/emissions/des-idees-pour-demain/des-idees-pour-demain-27-juillet-2019?xtmc=isabelle_autissier&xtnp=1&xtcr=1

 Je signale d'autre part, parce qu'on oublie trop souvent d'en parler, que le commerce international, est aussi énormement conditionné, bien trop, parce qu'on appelle l'arbitrage international, qui consiste, pour les grosses multianationales, à vouloir ntenter certains etats, en Justice, avec pour accusation, l'entrave de ce commerce, international...

 Comme si, cette notion, de commerce international, et le business, qui s'y rapporte, etait la finalité sublime, et intrinseque, des relations, entre etats, ou entre les differents continents...

 Qui a dit, "et bien, c'est bien le cas, non ?" ... 

   Ha, non, non, OBJECTION VOYTE HONNEUR, ce qui devrait être la priorité,  n'est certainement pas, le CAC40, et les couilles en or, que ce font les actionnaires, quelqu'en soit le prix à payer, pour les peuples.

   Les priorités,  ce sont que les peuples, et donc, par anticipation, aussi, leurs lieux, de vie, et leur nourritures, en questions, qu'ils parviennent à vivre à l'endroit où ils sont, si possible, dans leur pays d'origine, pour peu, qu'ils ne soient menacés de mort, soit par la famine, soit par les dictatures, ou autres vermines politiques, et que les agriculteurs mangent à leur faim, eux aussi, et qu'ils n'avalent pas leurs bulletins de naissance, avant d'avoir la quarantaine, pour cause de cancer,  parce que les multinationales concernées, cherchent elles et leurs actionnaires, à s'en foutre plein les poches, ce qui est bien différent.

   Merci, aux députés, qu'ils soient de "en marche", ou pas, qui ont eu le courage de ne pas signer cet accord.

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