http://www.dailymotion.com/video/x2a9q2e_poutine-anticipe-son-depart-du-g20_school
18 février 2024.
Je copie colle ici, l'extrait d'un article, que j'avais deja posé ailleurs, pour poursuivre.
Les droits de l’homme, contrairement à ce que prétend poutine, ne sont pas une exclusivité européenne ou occidentales, mais appartiennent à ce qu’on appelle l’universalisme, ce qui est diffèrent.
En effet, dans n’importe quelle partie du monde, qui soit habitée, par des humains, il se trouve certains d’entre eux, qui ont la singularité d’être plus vifs intellectuellement, aptes à apprendre, plus vite que d’autres, à être des artistes, peut être, des politiques boostés par une envie d’en découdre, pour faire valoir l’égalité, défendre le droit à la différence, ou n’importe quelle autre singularité.
C’est ça exactement, qu’on appelle l’universalisme.
En temps que citoyens de leurs pays, où que ce soit, ils revendiquent, donc, aussi, en Russie, le droit, le plus élémentaire de vivre comme bon leur semble, et de s’y épanouir, exactement comme un enfant espère pouvoir le revendiquer, au sein de la famille qui l’a vu naitre.
Un citoyen russe, comme n’importe quel citoyen, ailleurs, dans le monde, y compris, en France, est en droit d’attendre, de celui, qui s’est donné pour mission, de gérer son pays, qu’il soit empreint de bienveillance, y compris, quand il s’agit d’un dictateur.
J’ai entendu, hier, que pendant un discours, il parlait « des ennemis de l’intérieur », et si j’en crois, la métaphore, du « bon père de famille », j’en déduis, qu’en aucune façon, au sein d’une famille, un père, précisément, ne doit pas donner sa préférence, à celui qui obéit au doigt et à l’œil à son paternel, sans oser penser par lui même, et se forger sa personnalité, comparativement, à son autre enfant, plus frondeur, et qui est assez courageux pour dire à son père, tout en le respectant, « je ne suis pas d’accord, avec ce que tu dis ».
Les mauvais pères, comme les mauvais chefs d’état, ce sont ceux qui ont des préférences, et qui discriminent certains de leurs enfants, au prétexte qu’ils sont différents, et non conformes aux idées que leur ont imposé leur père.
J’ai entendu les propos qu’il a tenus, hier, lors d’un meeting où il comparait, les opposants, à son régime, à de vulgaires moustiques, que sa nation recracherait….
Un jour, le Daïlaïlama, avait dit la chose suivante.
« un moustique, c’est tout petit, et pourtant, su tu essaie de dormir, c’est lui, qui aura le dernier mot, et toi, tu n’arriveras jamais à le faire taire ».
D’autre part, n’importe quel insecte, sur cette terre, a sa raison d’être, et symboliquement, ces propos, ne font que dénoter, un manque évident de clairvoyance, sur les défis actuels, infiniment, plus inquiétants, au sujet du permafrost, notamment, et de ce qui a commencé à se produire, en relation, avec le réchauffement climatique, alors, que précisément, à la biodiversité, des végétaux, ainsi que la diversité de la faune, dont font partie les insectes, y compris, le moindre petit insecte, correspond, entièrement la biodiversité, des idées, et des profils, qui font effectivement, la véritable richesse, d’un pays, fût-il l’un des plus vastes, géographiquement, que compte, le globe terrestre.
En attendant, le fait, que poutine aujourd’hui, ait éprouvé le besoin de démontrer à la face du monde (comme s’il se trouvait qui que ce soit, pour le croire), à quel point son armée est puissante, la preuve est désormais faite, précisément, que ça n’est pas le cas…
En effet, quand on ne doute, pas, de ce que l’on est, on n’éprouve pas le besoin, de le démontrer.
Imaginez donc, au sein d’une famille, un père dire à ses enfants, « vous savez que je suis très fort » ?
En dehors, de les faire rigoler, je veux dire…
Non, un « un bon père de famille », ne dirait jamais ça, IL EST, et n’a pas besoin, de le démontrer, POINT BARRE.
Avant hier, son principal à opposant, Alexeï Navalny est mort.
C'est vladimir poutine, qui en porte l'entière responsabilité, qui avait deja tenté de l'asssasiner, et qui aujourd'hui, se rejouit d'être enfin parvenu à ses fins.
Je n'apprécie "guerre", la notion de martyre, dont a usé depuis toujours la religion, mais quand Alexeï Navalny a décidé, de revenir sur le sol russe, il est apparu clairement, qu'il se remettait dans les mains de son bourreau, et qu'à ce titre, c'est bien en tant que martyre, alors, qu'il apparait, à la face du monde, aujourd'hui.
Brassens, écrivait, "mourrir pour des idées, d'accord, mais de mort lente".
Mais si Brassens n'est rien de moins, qu'un père spirituel pour moi, enfin, plus precisément, l'un d'eux, je n'ai aucun doute, que cette formule, que je cautionne, induit, dans mon esprit, et dans l'esprit de bien d'autres, je le soupçonne, l'idée selon laquelle il serait bien hasardeux, d'un faire un principe de vie universel...
Sinon, ça serait comme cracher au visage, du moindre resistant, qui ait agi dans la clandestinité, pendant la seconde guerre mondiale, pour ne citer que ces héros là.
Mais ce que ça interroge, par contre, enfin, c'est mon desir ce matin, c'est la notion de courage.
Défendre ses idées, quand on est certain de son fait, que tout le monde va dans l'autre sens, et qu'on passe son énergie à marcher contre le vent demande du courage.
C'est assez souvent mon cas, je dois avouer, et c'est épuisant.
C'est moins le cas à présent, et j'apprécie, ainsi, de parvenir à me sentir moins seule, et lestée de certains combats, liés à mon propre parcours.
Vivre humblement, ici, protégés par nos démocraties, où certains sont confrontés à la pauvreté, voir, à l'exptrême pauvreté, demande pour certains, aussi du courage.
Aujourd'hui, en russie, qui n'appartient pas à poutine qui passera, comme tous les dictateurs passent, certains meurrent de froid, d'autres, homosexuels, sont stigmatisés pour cette raison, alors, qu'il n'ont pas choisi de l'être, mais juste, aimeraient l'assumer, sans nuire à quiconque, en somme, qu'on leur foute la paix.
D'autres, ont gardé le goût, de la liberté, celle de penser, celles d'aller et venir, comme bon leur semblait, mais surtout, ont gardé le gout de la liberté de s'opposer.....
Oui, c'est bien de courage, dont il est alors, question.
Soupeser le poids du manque, peut il être envisagé, ou discuté ?
Qu'est ce qui est le plus dur, à quelqu'endroit, que ce soit, sur cette terre ?
Crever de faim ? De soif ? Les deux ? ou manger à sa faim, avoir un toit sur sa tête, et n'avoir aucun droit de manifester en quoi que ce soit ses idées, et voir ses enfants, aller mourrir pour une guerre, qu'ils ne cautionnent pas ?
Cruel dilemne. Le manque, est par esssence, une affaire parfaitement subjective.
La notion de courage, aussi, l'est tout autant.
Une chose, demeure certaine, pourtant, qui réside dans le fait que plus un dirigeant refuse la notion de doute, plus ces certitudes, lui semblent n'être que des promontoirs, pire, et plus mauvais père, pour sa nation il devient.
Les dictateurs sont perçus, parait il, comme des malades mentaux.
Au moment, où j'ecris ces lignes, nous aprenions hier, que poutine desormais, mais j'ai la quasi certitude, que c'était deja le cas depuis des années, revendique officiellement, d'utiliser la psychiatrie, comme pretexte politique, pour faire taire les opposants.
Apres la torture, apres avoir, acheté des prosonniers, pour en faire des guerriers, qui une fois revenus du front, recommencent à assassiner, aux dernieres nouvelles, la panoplie du parfait dictateur, est à present bien visible à l'international. certains diront, que bien des psychiatres, là bas, sont anormalement coopératifs....
C'est qu'ils n'ont pas le choix, je suppose.
Quand on observe les defits, qui doivent être relevés aujourd'hui, sur le plan planetaire, je parle, là, d'ecologie, de biodiversité, de rechauffement climatique, et poutine, n'a qu'une idée en tête, L'EXPENSSIONISME.....
On peut en dire tout autant, d'Israël, vis à vis de la Palestine, d'accord.
Qui d'autre, encore ?
C'est qu'il est bien difficile, de tenter de comprendre, par n'importe quel esprit sain, comment, dirigeant politique, peut être lâche, au point, de n'avoir, qu'autant de mepris, pour le moyen terme, et le long terme....
Nostalgie, de l'ère, Nicolas, II..... Marquer son époque, pour être dans les livres d'histoire, méglomanie, à tou crain....
Gilles de Rey, aussi a marqué l'histoire. Dès qu'un enfant franchissait le pont-levis de son château, il etait perdu, à tout jamais.
Aujourd'hui, poutine fait voler des enfants ukrainiens, pour les faire adopter par des russes et en faire ensuite des soldats, qui iraient plus tard, faire la guerre en ukraine, contre donc, leurs propres parents biologiques, qu'on aura fait passer, bien sûr, pur des parents indignes, qui ont abandonné lurs enfants, jadis.... La perversité des dictateurs, ne connait absolument aucune limite.
Aujourd'hui, en France, on apprznait, hier, que le journal Play boy, que je n'ai au demeurant jamais ouvert, avait des appointances, avec les extrêmes droites, en europe, au point, qu'ils donnent la paroles, à ceux, qui, aux USA, ont "été suscidé", pour ne pas reveler de noms, concernant les affaires de crimes sexuels, je veux parler, de l'affaire Harvey Weinstein.....
Quelle relaion, diront certains, avec poutine ?
Je peux comprendre. Mais comme on dit vulgairement, on savait que ça pue vraiment autour de poutine, mais que ça pue, dans une telle proportion, dans les idéologies qui le soutiennent, il ne lui reste plus qu'à prôner la pédocriminalité, et on se rapprochera, de façon assez logique, d'un gille de rey.
