google-site-verification: google7d26736b1ef720ed.html

Trump, accusé d'instabilité mentale.

Le 28/01/2017

Dans POLITIQUE INTERNATIONALE.

http://www.lepoint.fr/monde/donald-trump-est-fou-selon-son-ancien-cuisinier-sarthois-02-11-2016-2080219_24.php

 Un témoignage supplémentaire, pour plaider en ce sens.

 Et c'est bien loin d'être le premier, comme chacun sait.

   J'ai dénoncé, depuis bien longtemps, à quel point cet homme était dangereux, et ce, bien au delà de son discours, et de ses idées, l y a plusieurs années.

   J'avais évoqué cette hypothèse, aussi.

   Chacun sait, dans le milieu psychiatrique, que la notion même de maladie mentale, est une notion qui prête à interprétations.

   Le problème en somme, le plus souvent, repose sur le fait, qu'il est opportun de se demander, si le patient représente un danger, pour autrui, ou s'il représente un danger, pour lui même, pour autrui, ou pire, pour la collectivité. c'est le cas, pour le risque attentat, precisement, que ce soit sur notre sol, ou n'importe où ailleurs, sur notre terre.

 Il peut arriver qu'il le soit, sous ces différents confondus.

  Je serai tentée de dire, qu'il n'y a guère qu'envers lui même, qu'il ne représente aucun danger.

   Riche comme il est,  sa mégalomanie, et son amour immodéré, pour ce qui est clinquant, et donc "le paraitre", démontre à quel point, le "contenu de la matière", au sens philosophique du mot, n'a pour lui, absolument aucun intérêt, alors qu'il n'est capable que de se soucier du vernis, qui craque, à chaque foisqu'on fouille dans son passé, que l'on exerce un minimum d'introspection, sur son parcours,  qu'on etudie son profil psychologique, ou bien qu'il prend la parole.

   Son épouse elle même, potiche décérébrée, incapable de rédiger un discours, dont elle aurait été l'auteure, renonce à habiter la maison blanche, parce qu'elle ne se sent pas à la hauteur de la tâche....

   La scolarisation du petit sert de prétexte, c'est vrai, et je reconnais que Michèle Obama avait placé la barre bien haut, pour que quiconque, puisse espérer rivaliser, sur ce point.

   Je l'entendais, il y a quelques jours, s'adresser aux américains, en ces termes:

 "Je vous aime, croyez moi, je vous aime".

 Juste INCROYABLE, en temps que véritable symptôme, véritablement.

 Mais je vais vous raconter un truc.

    Dans une vie antérieure, j'avais eu l'occasion d'observer chez des personnes, chez qui nous étions invités, un couple recomposé.

    Le père, version "self made man", mais à la française, avait l'arrogance d'un trump, avec pour seule grande différence, une fortune bien moindre.

   Mais suffisante, malgré tout, pour avoir réussi à capter dans ses filets, une femme divorcée elle aussi, intelligente et compétante en affaires, mais dont l'amour immodéré pour l'argent, l'avait faite tomber amoureuse de ces tempes argentées, sans la moindre considération, pour les côtés psychologique et affectif, relatifs aux enfants, dont il était pourtant question.

   En gros, soit on prenait le bonhomme et on assumait, soit on ne le prenait pas, que ce soit de sa part, à elle, ou que ce soit de sa part, à lui.

 BREF.

   Nous nous trouvions, donc, à manger chez eux, et comme d'habitude, ça se passait mal, entre les parents et les enfants.

  Le père, aussi stupide, que violent et borné,  était adepte du chatiment corporel.

   Le ton montait, entre son fils, et lui.

   Je n'ai d'ailleurs même pas le souvenir, que le fils, ait eu l'opportunité, de développer verbalement, la moindre opposition au père, qui ne le laissait de toute façon, pas en placer une.

   Non, la seule chose qui lui importait, résidait dans le fait qu'il était souhaitable que les apparences soient preservées, et qu'ils ressemblent, pendant ce repas, à un couple amoureux, dans le cadre d'une famille recomposée.

 Ce qu'on appelle "le vernis", si cher à ce type d'individu.

    J'aimerai vous donner un élément, qui ait pu justifier ce qui va suivre, comme un caillou dans le fond d'une chaussure, empêchant la communication, entre le père et le fils, helas, j'en suis bien incapable, parce qu'il n'y en avait aucune...  Non, c'était plutôt, un bon gros silex, apte à voir un père, s'emporter sur son fils, de la manière, la plus basse qui soit, c'est à dire, lui mettre une bonne branlée, parfaitement digne d'être comparée, à ce que les fans de trump, admirent.

   Et une fois qu'il a tenu son fils en respect, plaqué contre le mur, rouge de colère, et de haine, et le fils, tout autant, savez vous ce qu'il exigeât de son fils ?

   Il lui posât la question, suivante : "Est ce que tu sais, pourquoi tu es là, sous notre toit ? hein, est ce que tu sais ?

  Le fils, qui était pré adolescent,  prétrifié de peur, n'osant plus dire quoi que ce soit, et surtout pas ce qu'il pensait, il pensait plus à esquiver les coups, devant LA question, que son paternel lui posait, il était ébêté, comme un animal, en proie à la souffrance la plus terrifiante, tentait de deviner quelle parole, eût été susceptible de faire baisser ce bras vengeur....

   Il ne trouvait pas, il paniquait, ils étaient l'un et l'autre, aussi rouges,  pour des raisons différentes.

   Puis au bout de quelques minutes, le père explosât, et lui hurlât au visage: "parce qu'on t'aime".

   Une fois dit, la scène se calmât, le fils aurait aimé se cacher dans un trou de souris, il ne savait pas que d'être aimé eût pu justifier, qu'on prenne une telle branlée.

   A ce stade, je sais ce que pensent certains, que peut être, ensuite, les deux auraient eu une conversation qui puissent corriger le tir, des excuses, peut être, pour s'être emporté, je parle du père.

    Et dire que la scène n'avait même pas été provoquée, par quoi que ce soit, je n'ose imaginer ce que ça aurait été alors, si tel avait été le cas. 

    Non, le mot AMOUR, pour ces enfants, se trouvait entâché de notions destructrices, de mutilation affective, d'incapacité à faire confiance, à qui que ce soit,  qui se serait prétendu bienveillant.

   La suite de la famille, son évolution, et l'évolution de l'ensemble, ainsi qu'individuellement, démontrât hélas, à quel point mon analyse sur le coup, puis le fait de l'avoir mémorisée, confortait parfaitement mon sentiment.

  Car enfin, quand on aime quelqu'un, que ce soit au sein d'un couple, que ce soit entre parents et enfants, ou que ce soit  un président, qui parle à son peuple, on ne dit pas "je vous aime, croyez moi"...

 L'amour, ça s'inspire, ça ne se contrôle pas, mais surtout, ça se demontre.

   Mais surtout quand il dit "croyez moi", ça signifie qu'il ment, et qu'il souhaite qu'on ne s'en rende pas compte, qu'il le sait, et qu'il en est conscient.

   Chercher à créer la haine et la discorde, au sein de la population américaine, comme le fait trump, en s'en prenant aux minaurités, est bien justement la preuve irréfutable, que non seulement, il crache et méprise la tradition ancestrale d'accueil des immigrés, qui sont une des valeurs fondatrices des USA, mais qu'ainsi, créant ce sentiment de haine, il désire voir trahir ceux, qui sont citoyens americains par leur essence même, avec les plus recents arrivés, créant, ainsi, "un shisme générationnel".

 Car tous les américains, sont des descendants d'immigrés. Y COMPRIS LUI.

   On nous parle de légitimité de son élection , mais elle n'est pas légitime, puisque par l'intermedaire des réseaux sociaux, et l'influence des soviétiques, sur leurs élections, les résultats ont été entièrement tronqués, même trump a révélé lui même, que c'était bien la Russie, qui était derrière.

 IL EST ILLEGITIME en temps que président des USA aujourd'hui.

   Il souhaite, supprimer "l'Obama care". II fait tout, pour griller les étapes. Comme s'il craignait quelque chose, mais que craint il donc  ?

   Mais tous ceux, qui ont attrapé un cancer, à cause de la pollution, ou des maladies degénératives, comment vont ils faire, pour pouvoir se soigner, alors, qu'ils ont travaillé leu vie entière ?

 COMMENT VONT ILS FAIRE ?

   Mais au delà de ces coups de coude, pour tenter les coups de force, pour assoir une forme de légitimité, parce que c'est bien de ça, dont il est question, nous sommes en plein abus de pouvoir, là, le côté colérique  moi, m'inquiete bien plus encore, car compte tenu de ses responsabilités, je suis très inquiète, sur le sujet.

  Oui, je pense aussi, que cet homme est un malade mental, qui représente un vrai danger pour les américains, mais aussi pour les autres pays, dans le monde.

  http://snapmonde.com/31-faits-a-propos-des-enfants-trump/?utm_source=taboolafr&utm_medium=xooit&utm_campaign=trumpkidsnew-fr&utm_content=Pourquoi+Donald+Trump+ne+parle-t-il+jamais+de+l%E2%80%99une+de+ses+filles%E2%80%89%3F_http%3A%2F%2Fcdn.taboolasyndication.com%2Flibtrc%2Fstatic%2Fthumbnails%2F7b5056efc2747841b8d97b3546916f67.jpg

https://secure.avaaz.org/campaign/fr/president_trump_letter_loc/?cmgXjgb

http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/etats-unis-la-fronde-anti-trump-se-prepare_2044765.html

http://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/etats-unis-donald-trump-peut-il-etre-demis-de-ses-fonctions-pour-maladie-mentale_2047137.html

En cours de commentaire.

"Nous, professionnels de la santé mentale, pensons que Donald Trump présente de sérieux problèmes mentaux qui l'empêchent de mener à bien ses fonctions de président des Etats-Unis." Le 26 janvier, un psychologue américain a lancé une pétition sur le site Change.org (en anglais), pour demander que le président américain quitte la Maison Blanche.

"Nous demandons qu'il soit relevé de ses fonctions, en vertu de l'article 3 du 25e amendement de la Constitution américaine", écrit John Gartner, un psychologue américain. Jeudi 2 février, plus de 15 900 personnes, présentées comme spécialistes de la santé mentale, ont signé cette pétition en ligne. Mais un président américain peut-il être vraiment être démis de ses fonctions pour des "problèmes mentaux" ? Un diagnostic à distance est-il viable ? Eléments de réponses.

La Constitution américaine ne le mentionne pas

Si John Gartner s'appuie sur la Constitution américaine, cette dernière ne stipule pas qu'un président puisse être démis de ses fonctions pour "incapacité mentale". Selon l'article 3 du 25e amendement (en anglais), sur lequel le professionnel s'appuie, le président des Etats-Unis "peut faire connaître par écrit son incapacité d'exercer le pouvoir et de remplir ses devoirs" au président du Sénat et au président de la Chambre des représentants, et peut être ainsi remplacé par le vice-président.

Il paraît peu probable que Donald Trump, entré en fonction il y a à peine deux semaines, rédige donc un courrier aux présidents du Congrès pour faire part de son "incapacité" à gouverner, alors qu'il affirmait durant sa campagne qu'il serait, entre autres, "le plus grand président de l'emploi que Dieu ait jamais crée", reprend L'Express. De plus, on a du mal à croire que Donald Trump justifiera lui-même cette incapacité par des troubles mentaux dont il souffrirait.

Aucun diagnostic n'a été effectué en présence de Donald Trump

Autre problème, selon des psychologues et psychiatres opposés à cette démarche : aucun des professionnels qui affirment que Donald Trump présente des signes de troubles mentaux ne l'a rencontré. "Ils ont passé en revue le DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, outil de référence en psychiatrie) et lui ont trouvé plusieurs symptômes : manque d'empathie, narcissime, besoin d'admiration... Et c'est vrai que Trump est tout cela", explique le professeur de psychiatrie Allen Frances à Psychology Today (en anglais).

 Suivre

Allen Frances @AllenFrancesMD

Constantly saying Trump's crazy wrong & misses point.
He doesn't meet DSM Narcisssistic criteria(I wrote them).
Its worse-he's bad,not mad. https://twitter.com/lk240/status/825866955320070149 …

07:03 - 30 Janv 2017

 

"Mais ils oublient le point essentiel dans la définition des troubles mentaux : ils doivent provoquer de la souffrance et une déficience chez le patient." Est-ce le cas chez le président ? "Trump ne présente aucun de ces symptômes (...) Trump n'est pas fou", répète le chercheur. Dire que Trump est fou est une insulte envers les personnes qui soufffrent de maladie mentale, dont la plupart sont bien intentionnées et polies. Trump n'est rien de cela", écrit Allen Frances dans un tweet.

 Suivre

Allen Frances @AllenFrancesMD

Calling Trump crazy also insults people who suffer from mental illness, most of whom are well meaning & well mannered.
Trump is neither.

12:26 - 30 Janv 2017 · Hillingdon, London

Les psychologues doivent obtenir une autorisation d'examen

De plus, rappelle The Independent (en anglais), selon l'APA, l'Association américaine de psychiatrie, "il est contraire à l'éthique, pour un psychiatre, de donner son opinion professionnelle en public, à moins qu'il ait procédé à un examen ou ait obtenu une autorisation".

De manière générale, "les psychiatres et les psychologues ne sont pas censés révéler publiquement leur diagnostics de personnalités sans avoir examiné la personne", reprend le journal. Dans le passé, ceux qui ont enfreint cette règle ont d'ailleurs été sanctionnés, ou évincés de l'APA.

Le plus célèbre précédent remonte à 1964, à la suite de la campagne présidentielle opposant Lyndon Johnson au républicain Barry Goldwater. Quelque 1 189 psychologues avaient, dans un article, déclaré ce dernier "psychologiquement inapte", qualifiant le candidat de "paranoïaque" et "dangereusement lunatique". L'article publié dans la revue Fact a conduit l'APA à créer en 1973 "la règle Goldwater", pour éviter que des faits similaires se reproduisent.

 "Les psychiatres pensaient politique. On était contre Goldwater", déclare l'un d'entre eux à The Independent. Aujourd'hui, nombre d'entre eux se prononcent pour la fin de cette règle, reprend le Huffington Post (en anglais). Pour d'autres, il serait "plus utile d'examiner le système qui l'a (Donald Trump) mis au pouvoir, plutôt que son système mental."

22 Août 2019.

 Visiblement, les symptômes s'accumulent, face à cette  accusation.

https://www.20minutes.fr/monde/2586923-20190822-video-elu-donald-trump-croit-matrix?fbclid=IwAR26hoP1oXOzkB8p0ovskTGzYuLgvQoGkIT6d1tO6Xg7VCnvkR8TQFd_Io0

 Difficile de savoir, quel pourcentage des hommes de pouvoir ont cette capacité uniquement, due au montant de leur fortune,  de se prendre pour le messie.... une chose est certaine, cependant,  c'est que ça parle particulierement bien à la psychiatrie.

 

immigration FBI Européen féminisme émancipation

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !